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Site multimédia relooké et nouveau logo pour visibilité accrue : le CIFA de l’Yonne à fond la « com » !
janvier 21, 2021Prenant à contre-pied le sacro-saint principe très hexagonal de vivre heureux dans l’ombre lors d’une période de crise, le centre de formation de l’Yonne souhaite optimiser en la renforçant sa visibilité vers l’extérieur. Un challenge impérieux qui intègre une nouvelle stratégie de communication peaufinée aux petits oignons par ses responsables. Et en particulier l’une d’entre elles, Delphine ENGELVIN. Celle-ci possède parmi ses multiples cartes de visite celle des relations publiques…
AUXERRE : Plus de notoriété à acquérir alors que l’établissement n’en manque pas dans la réalité ! Un curieux paradoxe, en vérité, qui montre toute la détermination de l’équipe dirigeante du centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage de l’Yonne !
Question de logique, en somme, puisqu’il y a belle lurette que ces gens-là ont choisi le sceau vertueux de l’excellence pour accroître le rayonnement de leur savoir-faire auprès de leurs partenaires usuels et de leur public cible, les apprentis et leurs familles. Voire au niveau national pour certaines manifestations résolument porteuses à l’instar du restaurant d’application « Le Com des Chefs », le salon de coiffure applicatif sous l’égide de L’Oréal ou le fameux « Clic Store », concept ultra technologique d’enseignement que beaucoup d’établissements leur envient aujourd’hui.
Bien présent dans les esprits du sérail de la pédagogie et de l’orientation made in Yonne, le CIFA profite donc de cette nouvelle année pour s’appliquer de grandes résolutions identitaires. Via la création d’un logo qui gagne en modernisme dans sa configuration conceptuelle. Tout en affirmant l’identité visuelle de ces différents supports de communication.
De la réflexion partagée pour des solutions préconisées…
Un travail de refonte en profondeur a ainsi été réalisé selon les rites intellectuels du partage collectif. Autour de la table, plusieurs acteurs cogitent et lancent des pistes à tout crin. Delphine ENGELVIN, à l’évidence au vu de son positionnement stratégique dans l’organigramme interne du centre, en qualité de bras droit du directeur de l’établissement Marcel FONTBONNE.
Il y a aussi une jeune recrue ayant rejoint les rangs de cet effectif au printemps. Maxime LAUZET est son patronyme. Chargé de développement, la communication est son fil d’Ariane. Il puise dans ses connaissances sanctionnées par l’obtention d’un master en marketing pour s’y étayer avec allégresse.
Extérieurement, l’agence de communication auxerroise BEES COM apporte ses compétences. Michaël BERGIA et son équipe se sont plongés dans le relookage du site multimédia qui sera rendu opérationnel d’ici peu. De nouveaux univers vont apparaître. Permettant de mieux définir les thématiques principales d’enseignement dispensées en ces lieux. Tout devrait être finalisé en février.
Second objectif : la réappropriation des réseaux sociaux. « Nous allons les travailler différemment, concède Delphine ENGELVIN, en déployant une ligne de communication cohérente et identique… ».
Des manifestations thématisées pour les professionnels de l’artisanat…
La mise en forme de manifestations thématisées à destination des entreprises de l’artisanat et des maîtres d’apprentissage se profile également à l’horizon. Elles confèreront de la valeur ajoutée à cet ensemble de décisions. Même si pour l’heure, et selon les évolutions chaotiques de la crise sanitaire qui perdure, il est impossible d’en arrêter la moindre date sur le calendrier.
Qu’importe ! L’optimisme prévaut au CIFA. Qui ne compte pas baisser les bras en cette période de flou artistique total et se prépare à reprendre très sérieusement du collier grâce à sa nouvelle communication accélérée !
Thierry BRET
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Les viticulteurs invités à rejoindre « J’veux du local 89 » : la plateforme en circuit court accueille déjà 212 références
janvier 20, 2021La Nièvre et le Jura ont rejoint le projet il y a peu. Conçu en Saône-et-Loire, le concept a eu tôt fait de gagner en les convaincants l’ensemble des acteurs de la filière agricole de Bourgogne Franche-Comté. D’où le soutien de la Région. « J’veux du local » s’inscrit parmi les belles réussites de ces instruments numériques qui relient les producteurs du terroir à leurs consommateurs directs.
AUXERRE : Avec deux cent douze producteurs répertoriés dans la base de référence de l’outil pour sa seule partie icaunaise, on peut se satisfaire de la pertinence et de la fonctionnalité de la plateforme digitale, « J’veux du local ». Depuis son lancement survenu sur notre territoire au plus fort de la crise sanitaire au printemps dernier, le nombre d’inscriptions a fait florès dans le landerneau.
Des émules de toutes les filières qui croient mordicus à ce besoin constant de renforcer les liens entre les consommateurs et ceux qui produisent, la plupart du temps en circuit court, dans un périmètre très proche.
Les objectifs quantitatifs tels qu’ils avaient été définis à l’origine ne cessent de progresser. Dans l’Yonne mais aussi sur l’ensemble de notre contrée.
Toute la Bourgogne Franche-Comté décline désormais cette ambitieuse vitrine commerciale et représentative d’un savoir-faire à faire connaître et à partager autour de soi.
Par ailleurs, la jauge de ces professionnels à découvrir via le site est loin d’être limitative pour optimiser durablement cet outil. Rien que pour l’Yonne, selon les informations fournies récemment par le président de la Chambre départementale d’Agriculture Arnaud DELESTRE, un potentiel de quatre-vingt intervenants supplémentaires est encore envisageable pour accroître le nombre de références à visiter.
Sans compter que les viticulteurs sont encore peu présents sur ce registre numérique consultable gratuitement par nos concitoyens.
Le service communication de la chambre consulaire devrait dans les jours qui viennent augmenter les appels du pied auprès de cette filière, incitant ses représentants à se faire répertorier sur ce catalogue réactif.
Précisons, pour être tout à fait complet, que deux artisans de bouche, des éleveurs bouchers et traiteurs de l’Yonne, figurent également en bonne place sur cette plateforme.
En savoir plus :
La plateforme de l’alimentation de proximité « J’veux du local-Nos Terroirs de l’Yonne » favorise les circuits courts en Bourgogne Franche-Comté.
Thierry BRET
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Note positive pour le groupe : BMW prévoit le doublement de ses modèles électriques en 2021…
janvier 16, 2021L’optimisme est de mise chez le constructeur allemand après les premières analyses des résultats obtenus sur le dernier trimestre 2020. Cela augure de réelles perspectives de développement en 2021 pour les dirigeants de la firme. L’objectif 2021 sera de doubler le nombre de véhicules électriques immatriculés en Europe.
MUNICH (Allemagne) : L’électromobilité représente un enjeu majeur pour le fabricant automobile d’Outre-Rhin. Le groupe à la lecture des résultats relatant la commercialisation de ses produits au cours de l’ultime trimestre 2020 souhaite doubler les ventes de ses véhicules électriques au cours de ces douze prochains mois.
L’année dernière, l’introduction du modèle BMX iX3 et des MINI électriques ont dopé les résultats de la société. Ces modèles seront suivis prochainement par le démarrage de la BMW i4. Treize modèles sont désormais disponibles sur les marchés internationaux. Soit 74 pays.
Par ailleurs, le groupe allemand va assurer un investissement annuel d’un à trois millions jusqu’en 2025 dans la digitalisation de ses ventes et du marketing. Les services connectés y seront davantage développés afin de répondre à la forte demande et à la croissance attendue.
Thierry BRET
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L’émergence fulgurante du Bitcoin, véritable arlésienne pour la pérennité de nos systèmes économiques ?
janvier 16, 2021Impossible de parler des crypto-monnaies sans évoquer leur point de départ. Tout commence en 2008 d’un certain Satoshi NAKAMOTO, dont l’identité réelle reste encore inconnue, tant et si bien que l’on ne sait pas s’il s’agit d’une personne ou d’une corporation entière. Toujours est-il que ce bon Satoshi nous a gratifié d’un document scientifique et technique de dix pages, intitulé « Bitcoin: a peer-to-peer electronic cash system”. Une lecture complexe s’il en est pour celles et ceux qui ne sont pas véritablement versés dans les pratiques numériques. Mais qui présente et décrit le principe de fonctionnement de la blockchain.
TRIBUNE : « Blockchain » : c’est un gros mot qui n’en est pas vraiment un ! Car, c’est sur ce fameux processus que l’on entend désormais à toutes les sauces, que se base un grand nombre de crypto-monnaies actuelles. L’idée est de pouvoir servir des applications décentralisées.
C’est-à-dire des applications ne dépendant pas d’un tiers qui régira des opérations et autres transactions (par exemple, une application qui gérera le stockage de fichiers, des courses automobiles, des transactions financières, etc.). C’est en quelque sorte un nouveau modèle pour créer, financer et opérer des services de softwares mais décentralisés – un mot très important dans le concept des crypto-monnaies.
Les concepteurs et gestionnaires de ces fichiers seront récompensés par de la monnaie virtuelle comme un Bitcoin. Les crypto-monnaies préservent ce que les autres monnaies ne peuvent pas offrir : le contrôle, la centralisation…
Par l’absence de règles et d’autorité reconnues, elles font entrer ainsi l’anarchie dans la finance et les moyens de paiement ! On a même vu un footballeur demander à être payer en Bitcoin…
Si les crypto-monnaies relativement classiques mettent l’accent sur la décentralisation ainsi qu’une résistance absolue à la censure, certaines ajoutent une couche supplémentaire au mélange déjà bien complexe : l’anonymisation. Pour un modèle basé sur la blockchain classique, l’identité des deux parties qui prennent part à une transaction n’est pas inconnue. Elle est simplement cachée derrière les différentes clés qui servent à faire la transaction. La brèche est grandement ouverte aux cartels qui veulent blanchir l’argent de la drogue, aux organisations terroristes qui achètent des armes et aux fraudeurs fiscaux !
La confiance absolue dans ses nouveaux systèmes est de rigueur : du risque à l’état pur !
Le Bitcoin : la démocratisation de la spéculation…
La crypto-monnaie la plus connue, c’est également celle qui est née avec l’invention de la blockchain. Le Bitcoin est donc décentralisé, sans l’intervention d’un organe tiers, avec l’historique de toutes les transactions passées, recensées dans la blockchain. Il fait énormément parler de lui pour sa progression continue et son actuelle valeur, en face du dollar. À l’heure où l’on écrit ces quelques lignes, un seul Bitcoin représente près de 40 000 dollars américains, ce qui n’est pas rien quand on sait qu’à l’origine, il tutoyait à peine les cent dollars.
Si le Bitcoin ne sert pas vraiment aux transactions en France (contrairement à d’autres pays aux systèmes financiers défaillants), rien que le posséder est l’utiliser en quelque sorte. Le Bitcoin a une valeur parce qu’il demande des ressources pour le générer. La démocratisation du Bitcoin entraîne des usages, des pratiques, et peut-être son émergence comme une monnaie à part entière.
Le tout étant, comme pour l’or en son temps ou le dollar actuellement, de pouvoir créer la confiance. Cette dernière est le point de départ de la reconnaissance de la valeur dans un système monétaire, mais aussi de son utilisation dans les opérations courantes. D’où une certaine forme de spéculation à la base. La démocratisation de la spéculation, elle, peut largement provenir de l’engouement persistant autour des cryptos, quitte à ne pas avoir la moindre idée du domaine et de spéculer sur la simple base d’une valeur attribuée à un moment « t ». Elle fluctue, et peut éventuellement donner une plus-value à l’arrivée, en revendant ses actifs.
A l’heure où nous publions ces lignes, la crypto-monnaie continue son envolée historique et vient de prendre 10 000 dollars en cinq jours. Le prix du Bitcoin a dépassé 40 000 dollars jeudi dernier pour la première fois de son histoire, profitant de l’optimisme des marchés lié à la certification de l’élection de Joe BIDEN aux États-Unis, et poursuivant sa spectaculaire envolée des dernières semaines. La principale crypto-monnaie, en hausse de 6,52 % sur la séance, après être montée peu avant à environ 40 380 dollars, sur un marché extrêmement volatile depuis deux mois.
« Un seuil important de prix a été atteint et le Bitcoin, décentralisé et non dépendant des banques centrales, a fait ses preuves en tant qu’actif », estime Naem ASLAM, analyste d’Ava Trade.
« Maintenant tout le monde connaît le Bitcoin et tout le monde en veut un bout… ajoute-t-il, sachant que les particuliers peuvent en acheter une portion. Il précise cependant que « ce sont les investisseurs institutionnels qui mènent la danse de cette envolée ». Les « investisseurs institutionnels », encore appelés « les zinzins » par les spécialistes, sont les banques, assurances, sociétés financières, SICAV… C'est-à-dire un niveau de risques et de volatilité importants au niveau du particulier.
Une évolution foudroyante imputable aux résultats des élections américaines…
Le prix du Bitcoin a battu record sur record fin 2020. Poussant de nombreux observateurs à conseiller la prudence aux investisseurs individuels face à une envolée qui pourrait faire craindre une bulle avec une correction à la clé.
« Les investisseurs continuent à monter dans le train des crypto-monnaies qui semble gagner de plus en plus d’intérêt, maintenant que l’économie américaine est bien partie pour bénéficier d’un plan de relance budgétaire de l’administration BIDEN lors de ses cent premiers jours », remarque Edward MOYA, analyste d’OANDA. Il remarque que les systèmes de courtage à haute fréquence pourraient déclencher des prises de bénéfices si la tendance haussière perd de son souffle autour du seuil de 41 500 dollars. Même si bon nombre d’analystes s’attendent à ce que la dynamique se poursuive jusqu’au seuil de 50 000 dollars, avant ce que beaucoup estiment être une inévitable correction. Autre précisions : le nombre total de Bitcoins est fixé dès l’origine à 21 millions.
Attention à la retombée qui va faire très mal !
Même si certains analystes pensent que la tendance haussière peut encore progresser (pour qui roulent-ils donc ?), il risque d’y avoir « des pleurs et des grincements de dents » lors de l’inévitable chute brutale !
« Ça commence à être inquiétant, c’est plus du tout le marché d’il y a quelques semaines, la correction est inéluctable », renchérit un analyste européen qui souhaite garder l’anonymat. Encore un « zinzin » !
Pour plusieurs acteurs du marché, le Bitcoin représente une forme d’or numérique, un moyen de se prémunir de l’inflation qui pourrait être créée par les mesures monétaires ultra-accommodantes adoptées par de nombreuses banques centrales, dont la fameuse réserve fédérale américaine (FED) en tête.
Les analystes de JPMORGAN estiment que le Bitcoin pourrait atteindre 146 000 dollars, à condition que sa volatilité s’apaise pour attirer des investisseurs qui préfèrent pour l’instant l’or, plus stable.
Justement, dire qu’on peut se prémunir de l’inflation grâce au Bitcoin, c’est un non-sens ! Face à un euro devenu pléthorique, injecté à tout va par la BCE, nous devrions avoir une inflation forte ! Où est passée cette nouvelle arlésienne ? Ni dans l’alimentaire ou les biens de consommation.
Alors dans les bulles immobilières, sur les marchés financiers et autres bourses, mais progressivement sur l’or et les métaux rares comme le lithium ! Et…les cryptomonnaies dont le Bitcoin…
Pour certains, le Bitcoin s’inscrit dans une véritable révolution capable de faire chuter nos pays et de faire évoluer les paradigmes du système monétaire et financier actuels !
La spéculation sur le Bitcoin ? Amateurs et petits porteurs s’abstenir !
Jean-Paul ALLOU
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Hors Cadre trouve la parade au couvre-feu : quand l’art s’expose dans les encadrements de fenêtres à Auxerre !
janvier 16, 2021L’association culturelle dirigée par l’inventive Nathalie AMIOT poursuit son cycle de projections de court-métrages dans le cadre du programme « Des lumières dans la nuit » débuté la semaine dernière. Jusqu’au 23 janvier, les promeneurs matinaux et autres rares noctambules pourront admirer les vidéos d’Annelise RAGNO diffusées sur la façade de la galerie d’art auxerroise de la rue Joubert.
AUXERRE : Deux œuvres filmées de la diplômée de l’Ecole nationale supérieure d’art de Dijon Annelise RAGNO seront présentées dès ce 16 janvier et ce pour une période de sept jours dans les encadrements de fenêtres de la galerie d’art auxerroise. Celle-ci fait renaître la culture dans un climat conjoncturel hostile malgré les rigueurs du couvre-feu.
L’idée est séduisante. Le concept s’y prête bien. Il suffit pour les lève-tôt d’Auxerre (tranche horaire de 7 à 8 heures 30) mais devant aussi respecter impérativement les nouvelles contraintes du couvre-feu (visibilité entre 17 et 18 heures) de flâner quelques instants devant la galerie d’art au 49 de la rue Joubert pour en apprécier le résultat.
Première des deux vidéos à être soumise à la sagacité curieuse du public, « Inlassablement ». L’œuvre représente un homme âgé qui court dans un cadre champêtre. Son buste passant du côté droit au côté gauche de l’écran permettant de se mouvoir d’une fenêtre à l’autre. Une course vers l’infini dont on ne semble jamais atteindre les limites.
La seconde fiction montre des chutes d’arbres au sein d’une forêt. Par intermittence, des troncs traversent l’écran avant de tomber alors que des feuillages et des branches s’agitent avec frénésie. La vidéo se nomme sobrement « Lever les yeux/forêt », elle date de 2017.
Des visions artistiques agréables qui peuvent nous rendre espoir : la créativité n’est pas morte avec ce satané virus. Hors Cadre, en accueillant ces artistes à l’imagination fertile, en demeure le bienveillant porte-étendard.
Thierry BRET
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