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La France sur de bons rails avec l’hydrogène : le marché de l’or vert se dispute à armes égales pour J-B DJEBBARI
mars 06, 2021D’ici 2030, plusieurs centaines de trains à hydrogène sillonneront la France. Ils relieront les villes attractives des grands bassins régionaux aux plus petites des dessertes. Une prouesse technologique en forme de cocorico pour notre savoir-faire industriel qui souhaite prendre ainsi une longueur d’avance sur la concurrence. Les Américains et les Chinois sont d’ores et déjà prévenus ! L’Hexagone ne loupera pas le coche de l’alimentation par hydrogène de ses transports ferroviaires. Un message clair réaffirmé par le ministre Jean-Baptiste DJEBBARI…
AUXERRE : Les trains à hydrogène entreront en service dès 2023 sur plusieurs territoires de l’Hexagone. Après une série de tests établis, durant le laps de temps qui nous sépare de cette échéance. Des opérations minutieuses qui se réaliseront en toute logique, avant la mise en application de cette nouvelle technologie.
Or, on se souviendra longtemps à la lecture des ouvrages retraçant l’historique de ces étapes évolutives des moyens de locomotion que le premier bon de commande signifiant l’achat des trois rames initiales alimentées par de l’hydrogène fut signé dans la capitale de l’Yonne.
A Auxerre, précisément, dans « ce petit joyau placé dans un bel écrin » comme devait le qualifier la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY lors de la cérémonie protocolaire de la signature de cette triple acquisition.
Pour autant, le message adressé à la concurrence internationale est sans appel. La France est fin prête à relever le challenge mondial de la transition énergétique, notamment celui de la mobilité.
Quatre régions en deviennent désormais ses meilleures ambassadrices : Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est, Occitanie et Bourgogne-Franche-Comté.
« Ce sont des territoires d’expérimentation avec des élus qui ont su s’engager vers cet audacieux pari, souligne le ministre délégué en charge des Transports Jean-Baptiste DJEBBARI.
La BFC pionnière en la matière ? Elle a su investir depuis longtemps…
Lors de son périple de quarante-huit heures dans trois des départements bourguignons (la Saône-et-Loire n’était pas concernée par la visite ministérielle), le représentant de l’Etat a salué « ces faiseurs d’innovation » que sont les élus territoriaux et leurs partenaires de la sphère économique.
Pourquoi la Bourgogne Franche-Comté est-elle pionnière en la matière ? Réponse du ministre à brûle-pourpoint : « Parce qu’elle a su investir dans le transport urbain et ferroviaire en sachant mobiliser les moyens humains et financiers… ». Et de féliciter deux des acteurs de cet engagement qui ont su s’employer à cette mobilisation dont on récolte aujourd’hui les fruits : le premier vice-président de la Région Michel NEUGNOT et la présidente Marie-Guite DUFAY.
Toutefois, l’Etat n’est pas étranger non plus à ce succès. Il a injecté la coquette somme de sept milliards d’euros à l’accélération de ce concept « hydrogène ».
Face à une crise sanitaire, devenue entre-temps un vrai accélérateur des évolutions comportementales dans nos modes de consommation avec une pression sociale forte, les réponses à apporter en haut lieu ne pouvaient être que déterminées et importantes. Notamment sur le sujet de la mobilité.
Sept milliards d’euros dans le concept : pas du saupoudrage…
« Ce plan de relance de sept milliards n’est pas un énième saupoudrage comme on a pu déjà l’observer sous d’autres cieux et dans d’autres temps. Il s’agit de concentrer ses efforts sur ce qui va créer de la valeur ajoutée à notre société… ».
Le ministre cite alors des technologies où certains acteurs économiques nationaux ont su prendre leurs marques et faire la différence avec la concurrence internationale. C’est le cas pour les fabricants d’électrolyseurs ou des liquéfacteurs.
Mener à armes égales la bataille qui est dûment engagée sur la maîtrise de ce nouvel eldorado que représente l’or « vert » (le marché exponentiel de la transition écologique) est l’une des priorités de l’Etat français.
« C’est maintenant que tout se joue, résume Jean-Baptiste DJEBBARI, le plan « France Relance » nous permet d’accélérer le temps et de mobiliser des financements publics et privés extraordinairement importants. Ces investissements nous permettront de préserver les avantages que nous avons déjà acquis en la matière et qui sont bien réels sur d’autres pays… ».
L’Etat joue donc la gagne en misant sur l’essor des trains à hydrogène sur le domaine de l’économie. Par les temps qui courent, soyons unanimes, personne ne s’en plaindra !
Thierry BRET
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La journée de ce vendredi 05 mars restera à jamais gravée dans les annales de la ville d’Auxerre. Et de manière plus globale dans celles de la Bourgogne Franche-Comté. C’est à dix heures précises que le ministre délégué en charge des Transports Jean-Baptiste DJEBBARI assistera à la signature du bon de commande des premiers trains à hydrogène devant circuler à terme sur notre territoire. Une première nationale…
AUXERRE : « C’est une excellente chose pour notre territoire ! ». C’est à brûle-pourpoint le premier commentaire que devait livrer le député Les Républicains Guillaume LARRIVE, dès qu’il a pris connaissance de l’excellente nouvelle ce mercredi après-midi.
La commande originelle des fameux trains à hydrogène sera donc effective en cette veille de week-end. Elle sera actée de manière très protocolaire dans la capitale de l’Yonne ce vendredi à la gare SNCF. Une capitale départementale qui est amplement concernée par l’essor de ce mode d’alimentation novateur pour le transport ferroviaire en France.
D’autres régions ont décidé d’emboîter le pas de la Bourgogne Franche-Comté. Elles sont aujourd’hui au nombre de trois : Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est et Occitanie.
Toutefois, la nôtre peut se targuer d’être la première des régions à décliner un écosystème territorial complet pour son exploitation.
C’est ce que ne cesse de marteler depuis longtemps et à raison le premier vice-président de la Région en charge de ce dossier Michel NEUGNOT. Il n’a pas tort dans les faits. Une station favorisant la production de ce gaz sera construite à Auxerre d’ici quelques mois. L’infrastructure répondra à de multiples objectifs : alimenter le train, certes, mais aussi le réseau de bus communautaire, des bennes à ordure, et aussi les moyens de locomotion fluviaux.
Un bon de commande de près de 52 millions d’euros…
Précisons que la mise en circulation des cinq premiers bus à hydrogène est programmée avant le terme de cette année. Tandis que la phase de tests de ces appareils sur le ferroviaire est envisagée dans l’intervalle 2022/2023 : ce sera le prélude à leurs mises en circulation un an et demi plus tard par la SNCF.
Instruit par l’ancienne municipalité, alors pilotée par l’édile socialiste Guy FEREZ, le dossier de candidature d’Auxerre avait été retenu à cette époque lors d’un appel à projet européen en faveur du développement de l’hydrogène.
Les rames de ce type, des TER, devraient desservir les gares des lignes Avallon-Auxerre, Corbigny-Clamecy-Auxerre et favoriser la liaison entre Auxerre et Dijon.
Le bon de commande paraphé ce vendredi en présence de Jean-Baptiste DJEBBARI, ministre délégué en charge des Transports, équivaut à une enveloppe de 51,9 millions d’euros.
Le représentant du gouvernement sera accompagné de Jean-Baptiste LEMOYNE, secrétaire d’Etat chargé du Tourisme, des Français de l’étranger et de la Francophonie.
Par ailleurs, le ministre aura entre-temps signé une convention entre l’Etat et la Région sur le devenir des petites lignes ferroviaires.
Il aura visité également la gare de triage de Gevrey-Chambertin aux côtés de Jérôme GRAND, directeur territorial de SNCF Réseau.
Avant de clore ce déplacement par la Nièvre où on lui aura présenté les vertus de la navette gratuite électrique « Coursinelle » qui circule à Nevers.
Thierry BRET
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Jean-Noël LOURY (SDEY) en selle pour le Salon de l’Eclairage public et de l’Innovation : l’évènement aura lieu le 03 juin
mars 02, 2021La date de la manifestation a été confirmée ce mardi 02 mars par le service communication du Syndicat départemental des Energies de l’Yonne. Le prochain Salon de l’Eclairage Public et de l’Innovation ouvert aux collectivités locales retrouvera le parvis de la salle des fêtes de VENOY avant l’été pour sa nouvelle édition. Une animation qui fut plébiscitée par 340 élus la saison dernière malgré le contexte sanitaire…
AUXERRE : L’évènement a été confirmé ce mardi matin. Se tiendra-t-il dans le respect des gestes barrières avec le port du masque obligatoire pour ses participants et la distanciation physique qui s’impose ? Sans aucun doute. Mais, ces légers désagréments ne devraient pas entacher son succès. Ni la fréquentation de ses visiteurs.
On se souvient qu’à l’automne dernier, le 01er octobre, lors d’une période de relative accalmie entre deux confinements, ce rendez-vous destiné aux élus des collectivités locales avait réuni près de 340 personnes.
Toutes furent interpellées par la qualité informative et les préconisations tangibles qui étaient présentées dans les stands.
Vingt-sept exposants, venus de toute la France, avaient à force de démonstrations expliqué les ultimes solutions innovantes dans le domaine de l’éclairage public.
Intéressés, les élus eurent tout le loisir de préparer leur stratégie en matière de transition énergétique pour les six prochaines années de mandature en rencontrant ces professionnels.
Pourtant, les conditions météo n’étaient guère favorables à ces échanges instructifs. Qu’importe ! La manifestation n’en avait pas moins connu un franc succès.
Un des sujets de motivation des visiteurs était de réduire le budget énergétique de leur commune. Au détour de rencontres informelles, ils purent rencontrer les services du Syndicat départemental des Energies pour découvrir les moyens d’optimiser leur propre consommation : l’éclairage public, certes, mais aussi l’isolation des bâtiments, le chauffage, le recours aux énergies renouvelables ou encore la mobilité électrique.
Le futur rendez-vous est d’ores et déjà à biffer sur les agendas. Afin de ne pas le manquer !
Thierry BRET
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Les agriculteurs en sont les bénéficiaires : le Crédit Agricole développe une avance de subvention favorable à la transition écologique
février 27, 2021Depuis le début de la pandémie, le Crédit Agricole soutient les acteurs de la filière agri/viticole de notre contrée en accompagnant leurs projets de développement. Sans omettre, l’octroi d’aides indispensables pour éviter les écueils. Soit environ 400 prêts garantis par l’Etat (PGE) et 38 millions d’euros destinés aux exploitations frappées de plein fouet par la crise.
DIJON (Côte d’Or) : Face aux grands enjeux sociétaux devant favoriser la préservation de la planète, renouveler les équipements agricoles au bénéfice de matériels plus à même de renforcer la transition agro-écologique est devenu une nécessité très sérieuse pour les professionnels de la filière.
Ainsi, le Plan de relance agriculture initié par le gouvernement prévoit le versement de subventions adéquates à cette démarche. Celles-ci sont distribuées par France AGRIMER.
Le Crédit agricole Champagne-Bourgogne propose en parallèle un coup de pouce supplémentaire à cette initiative étatique : une avance de subvention sous la forme d’un prêt à taux zéro.
Le partenaire historique de ce secteur séculaire de l’économie crée ainsi une offre de préfinancement servant à l’acquisition immédiate de ces futurs équipements.
A titre d’exemples, cela répond à l’objectif de réduire et optimiser l’usage des intrants tels que les produits phytosanitaires, les effluents, les fertilisants mais aussi d’adapter le travail des agriculteurs aux aléas climatiques. En effet, plusieurs épisodes de grêle, de gel, de sécheresse, de vents forts, voire de violentes tornades ont sévi la saison dernière sur l’Hexagone.
Une nouvelle mesure qui complète le dispositif déjà existant…
Dès réception de la subvention par l’agriculteur ou la CUMA (Coopérative d’utilisation de matériel agricole), le remboursement sans frais sera effectif.
Quant au montant, il est équivalent à la subvention attendue. Soit entre 20 et 40 % du plafond éligible, en fonction du matériel agricole choisi, du projet global et, naturellement, du profil de l’emprunteur. Cette offre sera par ailleurs proposée directement par le concessionnaire qui commercialise ledit équipement.
Commentaire à chaud de l’un des dirigeants de l’établissement bancaire Jean-Christophe ROUBIN, en charge de la direction de l’agriculture : « Le fait de bénéficier d’un préfinancement sans intérêt sur la quote-part de l’investissement subventionné représente un réel avantage… ».
Cette nouvelle offre complète le dispositif existant. Elle permet d’accompagner les agriculteurs dans cette phase de mutations profondes.
Directeur du développement des marchés de l’entreprise, de l’agriculture/viticulture, des marchés spécialisés et de la banque privée, Tristan LAMY se félicite du lancement de cette procédure en parfaite cohérence avec le Plan de relance agricole déclenché par l’Etat.
Thierry BRET
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La bascule du tout électrique prévue en 2025 : JAGUAR s’adosse à la politique neutralité carbone des Britanniques
février 20, 2021La feuille de route du constructeur haut de gamme a été dévoilée cette semaine par le nouveau PDG Thierry BOLLORE. Le schéma est simple : il se calque à la volonté du gouvernement britannique de ne plus commercialiser de véhicules à essence d’ici 2030. Pour y parvenir, la marque au célèbre félin injectera chaque année 3,5 milliards de dollars dans l’électrification de ses modèles, ceux de JAGUAR et à moindre mesure de LAND ROVER…
PARIS : Le budget est colossal au niveau des investissements. Mais, le challenge in fine s’avère très important à relever pour le constructeur du Royaume-Uni. D’autant que le gouvernement a bien fait savoir qu’il n’autoriserait plus la moindre vente de véhicules à essence dans le pays d’ici le terme de cette décennie.
Fort de cela, le groupe JAGUAR LAND ROVER a donc revu sa copie en matière de stratégie pour répondre à ces futurs enjeux environnementaux.
Les cinq prochaines années apparaissent comme déterminantes pour l’enseigne haut de gamme européenne, propriété de TATA Motors Ltd, l’un des géants automobile de l’Inde.
Toutefois, l’abandon définitif des motorisations traditionnelles ne se fera pas sans une phase de restructuration. Y compris au niveau humain avec certainement des conséquences sur les emplois. Même s’il a été précisé par voie de presse que pas une seule usine ne fermera avec le changement de cap voulu en faveur de l’électrique.
L’objectif sera au terme de cette aventure technologique d’atteindre la neutralité carbone en 2039.
Thierry BRET
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