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Sondage : la CCPF interroge la population pour dessiner le futur de la Puisaye-Forterre
juillet 12, 2021Les bureaux de la Communauté de Communes Puisaye-Forterre (CCPF) à Toucy ont accueilli Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président, Dominique MORISSET, vice-président en charge de l’environnement et des circuits de proximité, et Laurent PINON, représentant le bureau d’études ALPHAVILLE. Tous trois ont présenté dernièrement à la presse le sondage qu’ils mettent en ligne.
TOUCY : « Imaginons ensemble l’avenir de la Puisaye-Forterre » est l’invitation adressée par la CCPF à tous les habitants de ce secteur géographique. Il s’agit d’un questionnaire simple et ouvert. Le document vise à recueillir les avis et suggestions. Il permettra de nourrir le « projet de territoire », c’est-à-dire l’ensemble des priorités correspondant réellement aux aspirations de chacun.
Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI souligne que « l’activité économique est ce qui attire les familles et ce qui retient les enfants de partir ». L’élu déplore le retard avec lequel la fibre est installée. « La connexion haut débit est indispensable » rappelle-t-il.
Quant à Dominique MORISSET, il insiste sur les liens entre élus et administrés. Conseiller municipal à Treigny-Perreuse-Sainte-Colombe depuis vingt-cinq ans, il connaît l’importance de ces échanges. « L’écoute doit nourrir la réflexion et l’action » précise-t-il.
De l’étude préalable, Laurent PINON retient l’attractivité de lieux ayant su préserver leur caractère. Le revers de la médaille est le taux de logements anciens, inadaptés. N’avoir que la voiture comme moyen de locomotion peut être vu comme un handicap. Entre l’analyse statistique et le vécu, il y a une différence que les habitants sont invités à faire connaître.
Ce questionnaire est en ligne. L’accès à Internet étant le grand absent du territoire, espérer recevoir beaucoup de réponses témoigne d’un optimisme fort. Sera-t-il partagé ?
En savoir plus :
L’enquête est en ligne sur le site www.puisaye-forterre.com
Thierry CARABIN
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L’IA s’immisce dans la vie urbaine : COCOPARKS expérimente son système de parking connecté à Sens…
juillet 09, 2021La ville de Sens lance une expérience inédite sur le parking Abbé Poupon. Il se situe à la croisée de la rue des Déportés et de la Résistance. C’est un système de détection de places libres développé par l’entreprise COCOPARKS, fondée par le Sénonais Raphaël JATTEAU.
SENS: A long terme, les automobilistes sénonais vont certainement pouvoir se détendre et devenir à leur tour des « Cocos », noms donnés à la communauté des utilisateurs de l’application COCOPARKS. Finie l’interminable recherche de place, vecteur de stress et d’énervement !
Pour l’heure, et c’est une première à Sens, la municipalité entre en phase d’expérimentation avec la mise en place d’un tout nouveau système de détection de places de parking libres. Une opération menée en étroite collaboration avec la très jeune start-up COCOPARKS en plein essor. Celle-ci est spécialisée dans le stationnement en temps réel.
La ville de Sens est également pionnière dans l’utilisation du système dans sa totalité qui comprend des capteurs, affichage pour les stationnements à la fois classiques et PMR (personne à mobilité réduite). Concernant le coût de l’opération, la mairie préfère attendre pour le dévoiler.
Une technologie très high-tech derrière un système simple à piloter…
« La mise en œuvre est très simple » explique Amine HIRIDJEE, adjoint chargé de la Transition écologique et solidaire et de l’Amélioration du cadre de vie. Un panneau d’affichage a été placé au début de la rue des Déportés et de la Résistance. Il indique le nombre de places libres et occupées du parking Abbé Poupon. Les conducteurs peuvent le visualiser avant même de s’engager dans cette voie. De simples capteurs placés sur les lampadaires scannent l’ensemble du parking et détectent la présence de véhicules, y compris les motos.
L’installation peut être facilement recalibrée si nécessaire via un logiciel…
Mais la technologie utilisée pour la mise en œuvre de ce système touche plusieurs domaines combinés ultra moderne : la data science (science des données), les technologies PWA (progressive web apps) de Google pour la partie application et l’intelligence artificielle (IA), le deep learning plus particulièrement.
Cette dernière technologie est une sous-catégorie du « Machine learning » (apprentissage automatique) utilisé par Facebook où des algorithmes peuvent apprendre par l’étude d’exemples et réaliser des prédictions de résultats.
Le « Deep learning » (apprentissage profond) est plus poussé et ne nécessite pas d’intervention humaine pour restructurer les données. Il est basé sur le fonctionnement du cerveau humain avec un réseau très complexe de neurones artificiels autonomes.
Il permet, en l’occurrence, d’analyser la présence des véhicules jusqu’à leur forme et leur marque ainsi que leurs déplacements.
Une technologie innovante en termes de protection environnementale…
Le CEREMA (Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) estime que 60 % de la pollution urbaine serait due à la circulation liée au stationnement.
Ce système permettrait de réduire significativement le temps de recherche d’une place et le trafic urbain et, par conséquent, le niveau d’émission de CO2. De plus, « c’est un système qui est très peu énergivore et qui demande très peu de maintenance… ajoute Amine HIRIDJEE.
Floriane BOIVIN
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Le CFA La Brosse à la pointe de la technologie éducative : sept simulateurs de conduite d’engins prévus d’ici 2022 ?
juillet 06, 2021Innovation pédagogique à tous les étages au sein de l’établissement à vocation agricole de l’Auxerrois ! L’apport de simulateurs de conduite d’engins devrait être un sérieux plus éducatif pour les élèves qui fréquentent la filière. D’autant que sept de ces appareils aux multiples options y seraient fonctionnels pour assurer une découverte des risques inhérents aux métiers, mêlant aspects ludiques et modernistes. Qui a dit que l’enseignement agricole n’était pas à la pointe de la technologie ?!
VENOY : C’est presque une révolution de palais au sein de l’institution agricole de l’Auxerrois. Appréhender toutes les subtilités techniques propres aux différents métiers de la filière par le prisme de la simulation électronique représente un sérieux avantage pour celles et ceux des apprenants qui s’y exercent.
Testés par plusieurs élèves, trop heureux de vivre cette expérience unique, les simulateurs de conduite d’engins offrent une kyrielle de possibilités, devenant une étude de cas grandeur nature où le conducteur doit savoir manier les manettes de ce pseudo engin virtuel avec dextérité et prudence.
Muni de diverses options (enjambeur, véhicule agricole, transport animalier, van, tractation d’une remorque…), l’appareil plaçait dans un contexte proche du réel ces jeunes gens encore inexpérimentés à la conduite qui souhaitaient en découdre avec lui, histoire de se mesurer aux vertus du digital !
Le volet sécuritaire examiné en priorité…
Naturellement, du fait du confort usuel de cet appareil issu du made in France, les apprentis conducteurs d’engins agricoles purent aborder le volet sécuritaire et la découverte des dangers existants à leur mauvaise maniabilité. Avec en filigrane, le souci de l’optimisation économique des engins, bien réels ceux-là, que ces jeunes apprenants seraient amenés à piloter ultérieurement lors d’exercices sur le terrain. En maîtriser avec plénitude les gestes serait un gage supplémentaire pour en éviter la casse ! Donc, les coûts inutiles à leur réparation !
Conscient de cette prodigieuse avancée pédagogique favorisant la confiance et l’engouement des élèves, le CFA La Brosse, associé au lycée et au CFPPA éponymes, envisagent très sérieusement de se doter de sept de ces appareils révolutionnaires, fortement usités dans le milieu des travaux publics et du bâtiment.
Grâce au concours du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté qui supporterait 80 % de l’achat, l’établissement disposerait d’un reste à charge plus que correct pour en financer l’octroi.
Une enveloppe budgétaire de 700 000 euros TTC serait nécessaire pour acquérir sept de ces simulateurs de dernier cri, gavés de multiples options. Il n’est pas exclu que d’autres partenaires économiques inféodés à la cause agricole participent au projet.
Une sélection entre deux prestataires basée sur le coût et les options…
Selon Hélène DECULTOT, directrice du CFA agricole, le choix entre les deux prestataires français (ACREOS et TENSTAR) n’est pas encore définitivement entériné. L’heure est toujours à la phase des essais entre les deux concepts.
Si tout se déroule comme prévu dans le cahier des charges, ces simulateurs de conduite d’engins pourraient être opérationnels au printemps 2022.
Juste avant les futures portes ouvertes du site où ils deviendront les vedettes américaines de ce rendez-vous. Près de 450 élèves ainsi que des personnes en formation continue y auraient accès par la suite.
La décision définitive sera prise en septembre quant au prestataire retenu. Le coût ne sera pas le seul critère de sélection ; l’établissement aura une préférence pour le concept le plus éclectique en termes de possibilités d’options.
La filière de l’enseignement agricole s’inscrit désormais sous le sceau de la modernité avec l’apport de ces outils numériques. A l’instar du lycée viticole de Beaune qui dispose déjà de ce dispositif d’enseignement virtuel dans ses locaux.
Thierry BRET
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Ils ne veulent pas perdre leurs emplois : les 270 salariés de MBF Aluminium en appellent à la mobilisation citoyenne
juin 27, 2021A ce jour, il ne manque que deux cents signatures. L’objectif de la pétition, mise en ligne sur « Change.org », est d’atteindre à minima la barre des mille cinq cents paraphes. Un chiffre symbolique, selon la plateforme, pour que les médias daignent s’emparer largement de l’affaire en la relayant le plus possible dans leurs colonnes. Un ultime recours, pour que les salariés de MBF Aluminium (Jura) puissent sauver leurs têtes après la liquidation judiciaire de leur entreprise ?
SAINT-CLAUDE (Jura) : Triste nouvelle qui s’est abattue sur les épaules des 270 salariés de la fonderie jurassienne, ce mardi 22 juin. Le tribunal de commerce de Dijon a rendu son verdict sur un dossier dont la décision semblait irrévocable : la liquidation de MBF Aluminium, fleuron de la sphère industrielle de la contrée franc-comtoise dans les grandes années.
Un constat jugé « inacceptable » pour celles et ceux qui y travaillent. Parfois en famille. L’information ne pouvait pas plus mal tomber, au plan calendaire, juste dans l’entre-deux tours des échéances régionales où l’emploi et le développement économique tiennent pourtant le haut du pavé des arguments politiques de la plupart des candidats.
Depuis mardi, une pétition de soutien a été mise en ligne. L’initiative émane des salariés de l’entreprise mais aussi de la population de Saint-Claude qui voit d’un très mauvais œil la possible fermeture de ce site industriel. Une catastrophe aux retombées économiques multiples et certaines pour la localité et son bassin qui n’ont pas besoin de cela.
Dépasser la barre des 1 500 signataires pour médiatiser le plus possible…
Dans les faits, en l’espace de quelques heures, le compteur de signatures de la plateforme « Change.org » qui accueille ladite pétition s’est emballé. A date, 1 294 personnes ont déjà apposé leurs griffes dans le rectangle spécifique à cette consultation de soutien populaire à la préservation d’une entreprise.
Il en faudrait deux cents de mieux, selon les spécialistes de l’intermédiaire numérique, afin de dépasser la barre des 1 500 signataires pour que les relais vers la presse régionale et nationale se fassent naturellement. Histoire de médiatiser sans relâche ce dossier dont bon nombre de représentants de la presse se sont déjà fait l’écho, y compris au niveau de l’Hexagone.
L’inadmissible de la décision tient en quelques arguments dans cette épineuse affaire. D’une part, parce que le pays ne peut se passer d’une industrie aussi stratégique que peut l’être la fonderie. A l’heure où bon nombre de politiques parlent de réindustrialiser la France après les pénuries flagrantes liées à l’absence manufacturière durant la pandémie de la COVID. Sans omettre notre dépendance à la production industrielle asiatique.
D’autre part, parce qu’un projet de reprise, soutenu par la Région, a bel et bien été proposé pour sortir de ce marasme pesant sur les 270 salariés que compte la structure, très inquiets pour leur avenir.
Enfin, parce que des transferts suspects de fonds auraient eu lieu vers une holding britannique malgré une alerte faite auprès des services de l’Etat. Celle-ci est demeurée sans suite quant aux réactions.
Exiger la suspension immédiate du processus liquidateur…
Dès lors, les instigateurs de cette pétition digitalisée exigent la suspension sine die de ce processus liquidateur. La décision de justice peut être prise soit par le président de la Cour d’appel. Soit par le procureur de la République. Au nom de la responsabilité gouvernementale.
Parmi les explicatifs, ceux-ci ne manquent pas d’interpeller : « Le gouvernement a accordé plusieurs milliards d’euros à RENAULT tout en étant actionnaire de la société à 15 % pour l’empêcher de délocaliser sa production et ses approvisionnements. Or, cet argent pourrait servir à l’emploi et à la consolidation de la filière automobile en proie à de sérieuses difficultés en France… ».
Enfin, il est précisé que « les millions d’euros nécessaires pour relancer MBF Aluminium doivent être fournis par la Banque Publique d’Investissement (BPI) et du crédit bancaire pour consolider la proposition de reprise avancée par la Région ».
Apparue au sortir du second conflit mondial, MBF Aluminium, véritable institution industrielle dans le Jura, conçoit des carters de moteurs et pièces de boîte de vitesse pour le secteur automobile. La PME avait été placée en redressement judiciaire en novembre 2020, ne pouvant rembourser ses dettes. Le tribunal de commerce de Dijon a statué en refusant l’offre de reprise proposée par un entrepreneur français. Les premiers licenciements seront prononcés d’ici deux à trois semaines. Les salariés ont la ferme intention de déposer leur recours pour faire appel de la décision de liquidation de leur entreprise avant le 04 juillet. Ils s’en remettent, en attendant, au soutien populaire par le prisme de cette pétition…seule arme disponible pour faire entendre leurs voix.
Thierry BRET
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Une initiative née de la Chambre des Métiers BFC : le numérique dévoile tous ses secrets aux artisans
juin 21, 2021Sur le papier, le programme se veut éclectique. Voire plutôt copieux à ingurgiter. Mais, au sortir de ces cinq journées d’immersion, prévues du 28 juin au 02 juillet, parmi les technologies virtuelles de la communication, nul ne pourra désormais ignorer le poids des e-mailings dans la relation clientèle, l’importance de Facebook en qualité de réseau social indispensable ou la pertinence des outils de cyber sécurité pour contrecarrer les plans machiavéliques des indélicats. Bienvenue à la Semaine du NUMERIC par webinaires interposés !
DIJON (Côte d’Or) : Le contenu de l’évènement est alléchant. Celles et ceux des entrepreneurs qui ne maîtrisaient pas encore toutes les subtilités du numérique ne seront pas déçus par tant de possibilités informatives.
Concoctée du 28 juin au 02 juillet par la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté, la Semaine du NUMERIC, déclinée par une série de webinaires, captera très certainement les intérêts. Notamment ceux des artisans qui en sont prioritairement la cible.
Ainsi, ces derniers pourront s’inscrire à loisir sur ces différentes plateformes informatives qui les inviteront à découvrir le paiement digital, les outils spécifiques aux professionnels de l’artisanat, le e-mailing et ses vertus relationnelles, les réseaux sociaux, Facebook et Instagram ou encore les outils protecteurs de cyber sécurité.
Cerise sur le gâteau : il y aura même un rendez-vous tout particulier auprès des artisans de l’automobile et de la moto. Ainsi qu’un focus apporté aux appels d’offres.
Bref, on peut retrouver l’intégralité de la programmation avant de s’inscrire à ces nombreux rendez-vous virtuels sur www.artisanat-bfc.fr/numeric.
Une semaine d’infos à consommer sans modération !
Thierry BRET
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