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164 collaborateurs regroupés sur un site unique à « AuxR_Parc » : ENEDIS fait rimer transversalité à efficacité
juin 28, 2022Seraient-ils chanceux les 164 collaborateurs de l’entreprise de service public, qui assure la gestion du réseau de distribution d’électricité dans l’Yonne ? Fichtre, oui ! A la contemplation des deux mille mètres carrés du flambant neuf édifice qui regroupe les activités tertiaires de la structure, on se prendrait presque à rêver de pouvoir exercer son savoir-faire dans un cadre aussi fonctionnel qu’idyllique. Erigé au beau milieu de la zone « AuxR_Parc », le nouveau site ENEDIS rassemble en un même lieu équipes techniques et administratives…
APPOIGNY: Ergonomique. Moderniste. Pratique. Esthétique. On pourrait continuer ainsi la liste à profusion ! Tant le nouveau site auxerrois d’ENEDIS se révèle aux yeux de ses visiteurs sous ses meilleurs atours. Ceux de la fonctionnalité et du confort réunis. Ceux de l’optimisation des surfaces et d’un agencement bien maîtrisé. L’idéal pour travailler en somme dans de bonnes conditions !
Sur un espace où folâtraient il y a peu encore lapins de garenne, lièvres, renards et perdrix ! Un endroit qui a changé totalement d’affectation au grand dam des chasseurs du cru ! Mais, ainsi va la vie…
Bienvenue donc dans cette fameuse zone – non pas la « 51 » ! – mais bien celle d’activités « d’AuxR_Parc », à la surprenante calligraphie nominative !
Une zone économique qui ne demande qu’à prospérer après les installations d’YCARE et d’ENEDIS. D’ailleurs, Magloire SIOPATHIS, édile local et vice-président du Conseil communautaire de l’Auxerrois en charge de la mobilité et de la politique de transport, le confirme dès les premiers mots de son intervention : « sur les vingt-cinq lots qui découpent ce vaste secteur, onze d’entre eux sont déjà réservés pour accueillir de nouvelles entreprises… ».
D’ici deux à trois ans, on devrait y voir un peu plus clair dans le plan d’occupation de ce concept de développement économique, qui est implanté à quelques encablures seulement de la bretelle de l’autoroute A 6.
Un site implanté rue Jules Verne : un sacré clin d’œil !
Pour l’heure, tous les regards convergent vers ces nouveaux locaux, dorénavant occupés par l’un des spécialistes de la distribution d’électricité ENEDIS. Opérationnel depuis le 01er février, le site de 22 000 mètres carrés qui se décompose en plusieurs édifices (celui du stockage de matériels, le pôle des activités tertiaires, et celui des locaux techniques) est implanté rue Jules Verne.
Un sympathique clin d’œil, (est-il volontaire ? Sans doute pas !), pour rappeler que le célèbre auteur de « Vingt mille lieues sous les mers », de « L’Ile mystérieuse » ou de « Robur le Conquérant » considérait l’électricité comme l’avenir de l’énergie.
Il la qualifiait d’ailleurs dans ses œuvres futuristes « d’âme de l’univers », voire « d’âme du monde industriel » ; son exploitation à des fins fantastiques illustrant plusieurs de ses ouvrages. En mettant en vedette le fameux submersible « Nautilus », vaisseau de l’emblématique Capitaine Némo !
Un seul mot pour résumer l’ensemble : la transversalité !
En coupant le ruban tricolore de cette vitrine professionnelle, située à proximité des grands axes routiers de l’Yonne, on peut se demander à quoi pensait réellement Robert POGGI, le directeur régional d’ENEDIS en Bourgogne. De la fierté de voir ses collaborateurs disposer d’un tel univers ? Sans doute ! De bénéficier désormais d’une implantation optimale afin de pouvoir rayonner avec davantage d’efficacité sur le territoire ? Il va sans dire !
Regrouper en un même endroit les équipes techniques et administratives de la société offre ainsi une réelle harmonisation dans l’approche du travail et plus de confort dans l’exercice des activités. C’est indéniable.
Transversalité est donc le qualificatif le plus approprié afin de définir les attributions novatrices de ce site. Un endroit répondant aux critères favorables des enjeux environnementaux. Le bâtiment bénéficie en effet du label Haute Qualité Environnementale (HQE). Des panneaux photovoltaïques couvrent précisément une quarantaine de places de l’immense parking adjacent qui peut en contenir cent-trente-trois.
Notons, au passage, que les véhicules bleus à l’estampille d’ENEDIS s’électrisent et se rechargent avant chaque déambulation à l’aide d’une vingtaine de bornes implantées in situ.
Un projet structurel qui n’est pas isolé…
La construction d’autres infrastructures similaires se prépare en Bourgogne à moyenne échéance. Robert POGGI le précisera durant son discours introductif à la cérémonie inaugurale : « ENEDIS souhaite s’inscrire pleinement dans la prise en compte de l’écologie pour la réalisation de ses projets immobiliers ».
Le curseur de ces investissements est placé sur la conciliation de la performance industrielle et celle de l’approche durable au cœur des territoires.
Rappelons que sur le département de l’Yonne, ENEDIS figure physiquement sur trois zones : à Sens où l’entité génère toutes les interventions sur le secteur de la partie septentrionale, à Auxerre qui permet de couvrir la zone centre-ouest du territoire et enfin à Avallon, où est administré la zone méridionale.
En savoir plus :
Parmi les personnalités présentes, on remarquera Jean-Noël LOURY, président du Syndicat départemental d'Energies de l'Yonne, Christophe BONNEFOND, vice-président du Département de l'Yonne, Dominique CHAPUIS, président de l'Association des Maires Ruraux de l'Yonne, Mahfoud AOMAR, président de l'Association des Maires de l'Yonne, Magloire SIOPATHIS, vice-président du Département de l'Yonne et maire d'Appoigny, Arminda GUIBLAIN, conseillère départementale et maire de Monéteau, Jean-Luc LIVERNEAUX, maire de Gurgy, Dominique CHAMBENOIT, maire de Chevannes, etc.
Thierry BRET
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La qualité de l’eau et la biodiversité sont expliquées à plus de mille scolaires : des « Récid’Eau » extraordinaires !
juin 27, 2022Il est aux anges, Thierry CHANUSSOT ! Le directeur du territoire Nord Bourgogne Région Centre Est de VEOLIA Eau a apprécié l’expérience. Celle qu’il a vécue deux jours durant en sa qualité d’exposant dans le jardin de l’Octroi qui borde une zone aquatique. Lieu d’accueil de la seconde édition des « Récid’Eau », évènementiel porté par le Syndicat Mixte du Bassin Versant de l’Armançon, le SMBVA. A destination des scolaires…
SAINT-FLORENTIN : Il y a des notions pédagogiques dans l’air ! A mi-chemin entre le discours éducatif pur jus et l’apport de démonstrations plus ludiques où le jeune public peut mieux appréhender les enjeux environnementaux de demain.
C’est là, toute la magie des « RécidEau » !
Sa deuxième édition a été concoctée ce week-end entre Yonne et Armançon par le SMBVA : le Syndicat Mixte du Bassin Versant de l’Armançon.
Fruit d’un partenariat avec l’Agence de l’eau Seine-Normandie – la structure est à l’initiative de ces manifestations populaires et citoyennes organisées avec le concours des acteurs de la gestion de l’eau afin de sensibiliser le grand public -, l’animation vise aussi les scolaires afin de mieux les informer aux enjeux des ressources en eau sur un territoire traversé par la Seine et tous ses affluents. En l’occurrence, l’Yonne.
Entre spectacle et conférence : il y en avait pour tous les goûts…
Sur ce salon, auxquels ont pris une vingtaine de partenaires directement concernés par la gestion de l’eau (à l’exemple de VEOLIA), on y aura parlé de la préservation des milieux aquatiques et humides, de la sauvegarde de la biodiversité, et naturellement de l’adaptation au changement climatique. Des sujets en nombre qui interpellent les enfants.
Le Syndicat Mixte du Bassin Versant de l’Armançon avait bien fait les choses, il est vrai. Proposant des ateliers pour approfondir toutes les thématiques traitées lors de ce second rendez-vous, mais aussi quatre représentations d’un spectacle poétique, baptisé « Le Voyage de la Goutte d'Eau » et enfin, des rencontres privilégiées avec les entreprises et institutions qui maîtrisent le sujet.
Plus de mille scolaires ont reçu des réponses à leurs interrogations…
In fine, plus de 1 107 personnes, élèves de cours préparatoire à la 5ème, issus d’une cinquantaine de classes, accompagnés de leurs enseignants, assistaient à cette grande fête de l’eau.
On suppose que tous les « garnements en culotte courte » sont repartis avec une somme de réponses à leurs innombrables interrogations se rapportant aux grenouilles, poissons, végétations, zones humides, biotope, etc.
Les adultes eurent l’heureuse opportunité d’écouter l’excellente Emma HAZIZA en conférence le jeudi soir. L’hydrologue, fondatrice d’un centre de recherches appliquées, dédié à l’adaptation au changement climatique (MAYANE), abordera lors de sa causerie un item ô combien crucial pour le devenir de l’humain : son adaptation face aux bouleversements inhérents au climat…
En savoir plus :
Parmi les partenaires de ce salon, on notera la présence de l’Observatoire de la Faune Sauvage de Bourgogne, la Fédération départementale de la pêche, l’Office Français de la Biodiversité, la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) de l’Yonne, la Fédération départementale des Chasseurs, le Syndicat Mixte Yonne Médian, la CIE d’Othe et d’Armance, Voies Navigables de France, Syndicat du Bassin du Serein, Maison de la Nature, l’Office National des Forêts, le Syndicat des Déchets du Centre Yonne, VEOLIA Eau, Agence de l’eau Seine-Normandie, etc.
Ce deuxième salon a été inauguré par Yves DELOT, président de la Communauté de communes Serein et Armance et maire de Saint-Florentin, Patrice BAILLET, président du Syndicat Mixte du Bassin Versant de l’Armançon, et Francis SCHNEIDER, directeur territorial Seine amont de l’Agence de l’eau Seine-Normandie.
Thierry BRET
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L’Aile ou la Cuisse : à quand le fait maison au « Relais » de Perceneige pour lui rendre son âme culinaire ?
juin 25, 2022Perceneige est sûrement l'une des communes les plus septentrionales de l'Yonne. Au loin, on aperçoit les imposantes cheminées fumantes de la centrale de Nogent. L'Aube, depuis ce village agricole, n'est qu'à quelques kilomètres de là…Installons-nous au « Relais ».
PERCENEIGE : C'est avec plaisir que l'on pousse de nouveau la porte de ce restaurant-bar, qui était fermé depuis quelques temps déjà. La souriante Isabelle et sa brocante sont parties du côté de Thorigny-sur-Oreuse, m'a-t-on dit !
La décoration est un peu allégée depuis lors. Mais, l'imposant comptoir demeure, autour duquel les paysans (noble mot s'il en est !) discutent tracteur et rendement. Le mini-golf, sûrement moins à la mode qu'antan, est toujours là dans le jardin.
Un patron débonnaire propose l'apéritif. Il explique ensuite qu'entrée et dessert sont en libre-service. En général, le buffet d'entrées est bien rarement fabriqué maison, sauf au relais de Courtemaux, proche de Courtenay !
Hélas, c'est le cas ici. Toutes ces entrées se ressemblent avec leur assaisonnement « gélatino-acide » si caractéristique : salade de betteraves, salade piémontaise...
Plutôt qu'un choix de six entrées industrielles, ne vaudrait-il pas mieux trois entrées seulement, mais faites maison ?
Où sont les oignons qui rissolent, les lentilles qui glougloutent ?
Avec la raréfaction constatée actuellement du beau métier de cuisinier, on peut malheureusement craindre que de plus en plus de « restaurants » procèdent de la sorte, désormais. A l'instar des trop nombreuses chaînes qui enlaidissent nos entrées de ville. L'honnête cuisine faite maison (l'oignon qui rissole, la daube qui mijote, les lentilles qui glougloutent…) aurait-elle pris du plomb dans l'aile ? On peut hélas le craindre.... Ce serait dommage pour la réputation culinaire de la France, mais hélas, les faits sont là.
La tomate farcie et son riz nappé d'une sauce industrielle sont du même acabit. On mange sans se régaler. Quant aux desserts, installés dans l'armoire réfrigérée, la pâle imitation d'un gâteau basque à la crème incertaine (de surcroît le froid n'arrange rien...), et l'entremet nappé d'un sirop chocolaté à l’origine industrielle ne sont vraiment pas terribles.
Une empreinte culinaire à reconstruire…
Alors qu'à cinquante mètres de là, dehors, un cerisier attend qu'on le soulage de ses fruits rougeoyants. Un clafoutis tout simple (beurre, lait, œuf, farine, sucre) serait quand même bien meilleur que tous ces « machins industriels »....
C'est triste ! On a l'impression de se retrouver dans un restaurant sans aucune âme culinaire. Sans cuisinière ou cuisinier, tout simplement....
Félicitations aux repreneurs des établissements ! Ils sont bien souvent courageux. Mais, là, « Au Relais », il ne manque plus désormais que de la cuisine-maison. Comme au restaurant du canal à Migennes avec une gamme tarifaire identique…
En savoir plus :
Les - : absence de cuisine faite maison.
Les + : le service est aimable et souriant.
Contact :
Le Relais
27, Rue des Coquelicots
89260 PERCENEIGE
Tel : 03.86.88.93.66.
Fermeture le mercredi
Menu à 15 euros.
Gauthier PAJONA
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La mobilité durable sensibilise Crescent MARAULT : le futur de l’Auxerrois sera intermodal…
juin 25, 2022Le covoiturage, il en connaît un rayon, Crescent MARAULT ?! Lors de la séance inaugurale de la 68ème Convention nationale de la Jeune Chambre Economique – celle-ci est accueillie quatre jours dans la capitale de l’Yonne avec plus de cinq cents représentants – le président de la Communauté de l’Auxerrois s’est épanché sur sa vision personnelle de la mobilité durable. Auxerre n’y coupera pas : l’intermodalité s’annonce comme le futur de la mobilité sur ce territoire !
AUXERRE : Il cite le nom des start-ups qui ont trouvé un mix entre technologies et communautés. Il se réfère parmi ses exemples à ces structures (KAOS,…) qui se positionnent sur le développement durable en matière de mobilité. Interpellé par quelques membres de la JCE, face à lui dans la grande salle de l’Abbaye Saint-Germain, Crescent MARAULT se livre à un exercice oratoire qu’il a savamment préparé autour de la mobilité de demain. L’un de ces sujets inspirants où l’élu veut améliorer les usages et les besoins tout en respectant le devenir de la planète. Pas soucieux de la protection environnementale, le maire d’Auxerre ?
Un nouveau schéma de déplacements à l’échelle du territoire…
Entre modèle économique où l’utilisateur du véhicule sera rétribué et le passager qui devra s’acquitter d’un titre de transport, et le nécessaire relais à mettre en symbiose avec les différentes communautés, le maire d’Auxerre expose sa vision des choses automobiles. Un covoiturage dont il défend bec et ongles les avantages, qui commencerait, selon lui, à porter ses fruits sur l’agglomération auxerroise.
« Il y a des expérimentations qui sont en train de se lancer, souligne-t-il, et dès la rentrée, nous allons essayer de trouver de nouveaux axes d’améliorations et des solutions concrètes ».
Des initiatives qui n’auraient d’autres valeurs ajoutées que de rendre du pouvoir d’achat aux Auxerrois tout en réduisant l’impact carbone. Autre point du propos qui aura capté l’attention de l’auditoire : la mise en place d’un nouveau schéma de déplacements à l’échelle du territoire. En le priorisant sur l’usage du cycle. Mais, pour cela, il est indispensable de sécuriser les voies réservées à cet effet.
« Si on ne le fait pas, précise un Crescent MARAULT pédagogue, cela ne peut pas marcher car les utilisateurs des vélos ne se sentent pas en sécurité… ».
Des « vélibs » et autant de stations qu’il y a de communes dans l’Auxerrois…
Puis, l’édile a évoqué 2023. Un déploiement de « vélibs » électriques à l’échelle de l’agglomération y sera programmé dans les vingt-neuf communes qui accueilleront des stations. Il n’est pas exclu de développer, en parallèle de cette future offre, des vélos cargo, des triporteurs qui compléteraient les usages et les besoins des citoyens.
Quant à la mobilité urbaine – celle qui concerne les bus -, l’Agglomération va se pencher davantage sur le sujet, en retravaillant l’offre. Sans doute en revoyant la copie.
De l’aveu de Crescent MARAULT, « nous n’avons pas été assez optimal en essayant de faire plaisir à toute le monde, avoue-t-il, ce qui a été fait en matière de cadencement n’incite pas à emprunter le réseau de bus car il n’emmène pas forcément les passagers là où il y a de grands mouvements pendulaires… ».
Moyennant quoi, le chantier de la mobilité urbaine va être ouvert afin de repenser aux solutions de ces problématiques.
« Nous devons arrêter de faire croire aux utilisateurs du réseau de bus que tout le monde va bénéficier d’une ligne ! Ce n’est pas possible car nous n’en avons pas les moyens ! ». Clair, net et sans bavure comme constatation !
L’intermodalité : l’unique credo pour optimiser les transports à l’avenir…
Autre schéma tactique qui va se déployer dans les mois à venir alors que le dispositif connaît un réel essor dans l’Hexagone : le concept de la voiture partagée.
Explications de texte du maire-président : « On va mettre à disposition des véhicules dans les villages de l’agglomération, facilitant ainsi les déplacements planifiés. Les personnes s’inscrivent avant chaque déplacement. Le véhicule est ainsi mutualisé… ».
Quant à la clé de voûte de cette évolution en termes de mobilité dans les territoires, elle s’identifie autour de l’intermodalité.
« Il faut créer un pôle d’échange multimodal, constate Crescent MARAULT, c’est vraiment une nécessité. On n’a pas encore cela à Auxerre pour justement pouvoir connecter tous les modes de déplacements, le vélo, le bus ou le véhicule partagé… ».
Un projet qui devrait prendre corps du côté de la gare SNCF. Avec le rachat des terrains qui accueillaient jadis les locaux de la SERNAM, de les démolir, avant de construire le grand pôle d’échanges intermodal qui fait cruellement défaut à l’agglomération auxerroise.
Une manière de repenser l’histoire où les innovations technologiques et les solutions économiques devraient être profitables à terme au bassin auxerrois tant au niveau environnemental que sur celui de l’emploi.
Thierry BRET
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Le Pôle Son Vibration Acoustique clôt sa première levée de fonds : une mise en orbite réussie avant des prolongations
juin 24, 2022Un peu haut « perché », le cadre de cette assemblée générale extraordinaire ? Celle devant accueillir la totalité ou presque des associés qui constituent le premier cercle financier de la SAS Pôle Son Vibration Acoustique. L’atypisme de l’esthétique théâtre de Brienon-sur-Armançon collait à merveille avec l’ambitieux concept, dévoilé par les instigateurs de ce rendez-vous entrepreneurial faisant appel à une levée de fonds. Prometteuse, en vérité, puisque la récolte s’est montrée in fine alléchante, avec 135 000 euros à la clé…
BRIENON-SUR-ARMANCON : Pas mal, pas mal, la première levée de fonds proposée par les porteurs du projet, déjà bien avancé, de la future SAS Pôle Son Vibration Acoustique ! Il n’aura suffi que de quelques semaines pour récupérer la coquette somme de 135 000 euros auprès de potentiels investisseurs du cru, entrant au capital social de la future entité, afin de mettre de l’eau dans les rouages de ce qui devrait être à terme une aventure entrepreneuriale très surprenante.
Une déclinaison professionnelle aux réelles opportunités de développement, tant sur l’Hexagone, qu’à l’international. Plutôt rare comme expérience à vivre dans le landerneau icaunais…
Une enveloppe financière qui, ajoutée aux investissements initiaux injectés par les irréductibles supporters du projet, porte les fonds à 150 000 euros. Une levée de fonds qui en appelle désormais une autre puisque les porteurs du projet souhaitent atteindre le chiffre tout rond de 200 000 euros figurant au capital social. Celle-ci devrait se mettre en place dans les prochains jours et se clore vraisemblablement fin septembre.
Des prolongations dont auront évoqué longuement les contours les participants de cette assemblée générale. Ecoutant très attentif les recommandations expertes fournies par Me Harold FORESTIER, du cabinet FIDAL, qui, en bon pédagogue, en expliquera le moindre détail.
Déjà une vingtaine d’associés dans cette aventure insolite de l’entrepreneuriat…
A date, une vingtaine de personnes ont apporté leur contribution financière participative à ce projet. De tout âge (de 22 à 78 ans selon la formule consacrée qui n’aurait pas déplu à HERGE !) et de toutes orientations professionnelles.
Désormais, comme le rappela le président temporaire de la SAS Pôle Son Vibration Acoustique Serge GARCIA (le président de l’association DEFI SON devrait passer la main dès le mois d’octobre conformément à ses désirs), le dépôt de demande d’aides publiques va se concrétiser dans les prochains jours auprès des services ad hoc de la Région Bourgogne Franche-Comté. Objectif : un abondement à montant équivalent de la part de l’organisme régional. La Caisse des Dépôts, via sa filiale, la Banque des Territoires, pourrait être amené à faire de même. Ce serait un sérieux coup de pouce envers le lancement de cette fusée porteuse d’espérance pour l’attractivité économique du territoire et l’employabilité locale.
Les associés de cette nouvelle aventure devaient recevoir au cours de cette rencontre leurs attestations officielles, un document faisant foi de leur investissement financier dans le concept.
Le Pôle Son Vibration Acoustique devrait être opérationnel dès septembre, avec la nomination de trois cadres qui en piloteront la destinée : un directeur exécutif, un directeur en charge de la stratégie, de la communication et de la médiatisation et enfin, un encadrant devant gérer la cellule recherche et développement.
Quant aux perspectives, elles sont bonnes : les premiers contrats avec une dizaine de partenaires industriels déjà en liste d’attente devraient se signer dès le début de l’automne.
Thierry BRET
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