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Son « paîs » n’est plus Toulouse mais Auxerre : Marion VERNHES vit de nouvelles aventures chez Yonne Tourisme
décembre 09, 2020Marion peut remercier le « Petit Futé » ! C’est sa collaboration, déjà lointaine, avec le célèbre guide aux mille-et-une astuces touristiques qui lui a donné envie de passer de l’autre côté de la barrière. D’abord, dans l’hôtellerie comme réceptionniste. Puis dans le saint des saints de la promotion de la filière : une agence de développement ayant pour nom Yonne Tourisme. A 26 ans, la jeune femme vit intensément sa passion en charge des relations presse…
AUXERRE : De l’Yonne, elle ne connaissait strictement rien. Ou si peu. Peut-être les vieux clichés usuels qui circulent toujours sans prendre une ride autour de l’AJA, de Guy ROUX et du chablis. Bref, des images surannées aux antipodes de ses aspirations personnelles.
Surtout quand on est originaire de Toulouse, patrie de l’inénarrable Claude NOUGARO et du succulent cassoulet !
Toutefois, l’idée d’en apprendre davantage sur les particularismes et typicités de son nouveau département de prédilection la taraude depuis qu’elle a pris ses fonctions. Celles de responsable des relations presse, entre autres, au sein de l’agence Yonne Tourisme. Un poste ô combien névralgique dans l’organigramme de cette structure qui multiplie les opérations auprès des médias de la presse nationale, régionale et spécialisée. Sans omettre les relais d’opinion à l’international.
L’enjeu est de taille. Marion VERNHES le sait très bien en son for intérieur. Car, elle succède à une tour d’ivoire qui aura tenu la fonction avec sérieux et professionnalisme durant dix-sept ans : Stéphanie WAHL. Aujourd’hui, cette dernière a entamé un parcours formatif lui permettant de se reconvertir vers une toute autre carrière plus artisanale et dans ses appétences autour de la céramique.
Avant de quitter sa fonction, celle qui fut la passerelle obligée pour obtenir la moindre information sur les nouveautés touristiques de l’Yonne aura pris le temps de préparer sa dauphine. Dans les règles de l’art de la transmission de savoir-faire, lui inculquant au passage les trucs et spécificités propres à ce poste d’importance.
Munie d’un bachelor de tourisme dans sa besace, la jeune Marion s’est immergée par le passé au cœur de cette filière. Travaillant dix-huit mois en qualité de réceptionniste dans un établissement hôtelier cinq étoiles place du Capitole au cœur de la ville rose.
Préparer les outils permettant de lancer la saison 2021…
Curieuse, avide de découvertes et de nouvelles expériences, la jeune femme n’hésite pas à postuler à une offre d’emploi. Celle qui mentionne le recrutement immédiat d’une chargée des relations presse dans l’Yonne. Un territoire septentrional, loin, très loin, de la métropole toulousaine, berceau de l’aéronautique.
On connaît la suite : Marion VERNHES débute sa nouvelle carrière le 24 août à Auxerre, dans la touffeur d’une atmosphère caniculaire. Au moins, elle n’est pas dépaysée avec les températures de l’Occitanie !
Passionnée de guitare et d’ukulélé (cela ne s’invente pas !), cette férue de photographie a eu un coup de cœur pour l’Avallonnais et la vallée du Cousin. Désireuse d’en savoir plus sur le produit vedette de notre territoire, elle va suivre une formation œnologique avec le concours du BIVB, le Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne. Une corde de plus à son arc qui va transformer ce bagage intellectuel en une harpe nettement plus harmonieuse, on l’imagine.
Malgré le contexte actuel, Marion ne chôme pas. Travaillant avec pugnacité sur un dossier de presse spécial loisirs qui devrait assurer la promotion de notre territoire lors du « DEP Tour 2021 », programmé à Paris les 18 et 19 janvier, si tout va bien. Un évènementiel réunissant la fine fleur des médias et professionnels interpellés par la future saison qui s’esquisse. L’Yonne aura bien besoin de la fougue et du savoir-faire de la jeune femme pour figurer en pôle-position parmi les carnets d’adresse des journalistes en quête de nouvelles découvertes..
Thierry BRET
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L’urgence pour une sortie de crise réussie : commerçants, osez l’inventivité à outrance !
décembre 08, 2020La crise sanitaire a ouvert la boîte de pandore ! Quid des activités des centres villes ? Comment endiguer la faillite des TPE ? Comment contrer la concurrence des géants de la distribution comme « Amazon » ? C’est quoi un commerce non essentiel ? Un journal télévisé nous informe qu’un armurier vend trois fois plus d’armes de défense qu’à l’habitude ! On peut donc conclure qu’il s’agit d’un commerce bien plus essentiel que les fleuristes ou les coiffeurs… Même si les règles de confinement semblent s’assouplir, mieux vaut anticiper le retour de confinements durs et contraignants…
TRIBUNE : Les fédérations de commerçants proposent des solutions pour rouvrir les boutiques et leur éviter le dépôt de bilan. Rouvrir les vitrines pour Noël, c’est éviter la multiplication des faillites ! Parmi les solutions avancées, la mise en place de rendez-vous dans les magasins, par plage horaire et en jauge réduite, a le vent en poupe. Une mesure qui s’ajouterait au protocole sanitaire et au système de « click and collect » déjà existant.
Pour les magasins, Noël c’est 60 % du chiffre d’affaires dont 40 % pour la seule maroquinerie ! Que dire des parfumeries, des fleuristes, des producteurs et distributeurs de sapins de Noël…
Les commerçants ont déjà fait énormément d’efforts pour la mise en place des mesures sanitaires. Mais pour rouvrir, « ils sont prêts à faire encore plus de concessions », assure le président de la CPME François ASSELIN. Les premières solutions proposées peuvent aussi se décliner dans la suite des activités, pandémies ou pas.
L’une des principales propositions des fédérations serait l’organisation de rendez-vous pour pouvoir aller chez les commerçants. « Un nombre limité de clients pourrait prendre rendez-vous sur un créneau horaire défini. Un peu comme chez le médecin. Une possibilité pour ceux qui ne veulent pas attendre ! ».
Le « click and collect » : une solution complémentaire…
Des solutions déjà structurées lors du premier confinement se développent allégrement. Dont le fameux « click & collect ». Le problème avec ce système, c’est qu’il n’est pas adapté à tous les commerces. D’abord, parce que certains n’ont même pas de site Internet ou de compte Facebook. Ou tout simplement parce que cela ne marche pas pour certains produits. Par exemple, lorsque vous achetez des chaussures, vous ne savez pas toujours quel modèle vous voulez à l’avance, vous devez les essayer. Toutefois, les commerçants peuvent certainement s’organiser collectivement ou individuellement en créant des sites Internet.
Une campagne de mise en place de sites Internet, individuels ou collectifs (association ou groupes de commerçants) est opportune. On peut mobiliser les étudiants pour la création des sites, demander des subventions locales afin de mettre en place lesdits sites, solliciter les journaux locaux pour en assurer la promotion…
Agir suppose sortir des a priori !
A la question : « pourquoi êtes-vous installé à cet endroit ? ». La réponse des commerces est trop souvent : « parce qu’il n’y avait personne ! » ou « parce que ce n’est pas cher ». S’il n’y a personne, c’est qu’il n’y a pas de marché ! Les grandes enseignes s’installent au beau milieu de marchés présupposés et après étude. L’étude de marché est l’une des grandes absentes de la ligne stratégique des petits commerces ! A la suite des confinements successifs, l’étude de marché devient vitale. Pour ce faire, mobilisons les chambres professionnelles, les INRA (Institut National de la Recherche Agronomique), les étudiants des écoles de commerce, ceux des filières « DUT Action Commerciale », en insistant sur la kyrielle de BTS commerciaux (commerce international, digitalisation de la relation commerciale, communication des entreprises, management commercial,…)…
Sortir du désir de vendre ou de produire ce que j’aime bien faire pour mieux s’attacher aux besoins des clients demeure la priorité. S’installer au cœur de la concurrence, là est le marché. Cela permet de rafler la mise avec un service et un savoir-faire différentiateur. Il faut aussi mobiliser les élus qui ne demandent qu’à servir la cité, contacter des journalistes locaux qui sont prêts à réaliser des reportages sur des sujets originaux. L’inventivité est un facteur clef de succès indispensable aujourd’hui comme hier.
Le prix ne fait pas tout eu égard aux nombreux atouts des petits commerces…
On doit contacter son expert-comptable. Il possède aussi des compétences en gestion. Il faut lui demander des prévisions qui sortent des référentiels habituels, avec le calcul du seuil de rentabilité et le moment où il sera atteint. Connaître le volume du chiffre d’affaires minimum qui, compte tenu des charges fixes, permet de réaliser le bénéfice égal à zéro est indispensable. Le plus : identifier le moment dans l’année à partir duquel je commence à gagner réellement de l’argent. Le petit commerce doit sauver sa peau, supplanter les géants du « retail » à plus long terme et autres GAFA !
« La grande distribution, c’est moins cher » ! Certes, pourtant, le prix ne fait pas tout. Le commerce de proximité possède aussi des atouts qui lui sont propres : le conseil, la proximité, le service, l’originalité de l’offre à défaut de sa profondeur, la compétence du personnel, la qualité de l’accueil, l’authenticité du cadre…
La normalisation des rapports humains avec plus d’humanité et de fraternité dans les contacts est un passage obligé. Ce lien humain suscite l’émotion et le plaisir d’acheter. Il reste l’atout numéro un du commerce de proximité : « l’homme est un animal social » nous disait Aristote. C’est la carte maîtresse du petit commerce de nos chers « centres villes ». Il est possible de mettre en place un système collectif de livraisons à domicile : des expériences positives sont déjà menées. En moins d’une heure, on peut se faire livrer fruits, légumes, côtes de bœuf… Des commerçants ont ainsi créé des emplois sans générer des coûts exorbitants. Dans cette course au temps, les petits commerces présentent un atout majeur : les courtes distances et la réactivité d’exécution permet des délais très courts à la demande avec des fenêtres extrêmement précises. La grande distribution n’est pas en mesure de fournir autant de possibilités en centre-ville, du « click & collect », en passant par le coup de téléphone ou l’e-mail, à la livraison « express ». Des situations de concurrence commerciale existent : elles offrent une ponctualité et une flexibilité sans égales et un suivi très précis de la distribution à des coûts réellement compétitifs.
Une réflexion autour des chèques-cadeaux…
Aujourd’hui, les services de livraison remettent ainsi les commerces de proximité en selle face à leurs grands concurrents. Nous connaissons l’adage : « no parking – no business ». Les communes sont dans l’obligation de poursuivre leurs efforts vers davantage de flexibilité dans l’amélioration des conditions de parkings gratuits lors des périodes « court terme » des courses. Les conditions de circulation et d’arrêts momentanés dans les zones piétonnes, voire la création de nouvelles aires de stationnement s’imposent…
La crise sanitaire fait naître la solidarité et la fraternité entre les commerçants, elle mobilise les énergies. Les chèques-cadeaux, distribués par les comités d’entreprises pourraient, par exemple sur une proposition de Bercy, voir leurs montants augmenter, assortis d’une incitation à les dépenser dans les petits commerces. Bercy réfléchit à ces mesures incitatives pour les entreprises distributrices de chèques cadeaux qui peuvent aussi s’orienter vers le commerce de proximité. On en est encore au stade de la réflexion…On peut aussi lui suggérer de supprimer (ou réduire) la TVA sur certains articles sur la durée des cadeaux de fin d’année…
Nous devons sortir impérativement de nos habitudes, du ronron quotidien, des solutions éculées et inopérantes du passé,…Même notre Premier ministre trouve des solutions originales qui sortent des sentiers battus : « On va pouvoir aller dans les stations de ski mais sans skier (sans remontées mécaniques, ni hôtels, ni restaurants, ni boîtes de nuit…) » ! Vous savez du genre : « Les salles de cinéma sont ouvertes mais sans projection de films… » ! Ce serait risible si ce n’était pas tragique !
Le petit commerce doit croire en son avenir : il en a un !
Le commerce de proximité se trouve à une époque charnière où, pour ne pas péricliter, il lui faut saisir les opportunités de la technologie et de l’évolution des modes de vie pour se réinventer. Cela ne réclame pas d’investissements énormes. Mais, il faut être prêt à se retrousser les manches et à faire le pari de l’innovation. Pour les commerçants, le moment est venu de croire en l’avenir. N’attendons pas que les solutions viennent de « l’Etat providence ». Développons notre propre créativité. Donnons une belle finalité aux solutions proposées : plus de solidarité et davantage de fraternité. Encore 17 dodos et c’est Noël ! Encore trois confinements et c’est l’été : que du bonheur !
Jean-Paul ALLOU
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L’urgence climatique se rappelle à notre bon souvenir : Citoyens pour le Climat et Auxerre Ecologie en appellent à la mobilisation...
décembre 07, 2020« Il faut remettre l’urgence climatique au cœur de l’actualité ! ». Il est vrai que les vagues successives qui déferlent en cascades depuis plusieurs mois sur notre quotidien (sanitaire, sécuritaire, économique…) en auraient presque fait oublier les grands enjeux sociétaux propres au réchauffement du climat. Pourtant, il y a cinq ans, 195 pays étaient signataires de l’« Accord de Paris ». Une promesse de limiter coûte que coûte la prolifération des gaz à effet de serre…
AUXERRE : Après les manifestations contre la loi « Sécurité globale » et son très décrié article 24, et les revendications professionnelles de plusieurs syndicats patronaux pour recouvrer le droit de travailler en rouvrant les établissements de l’hôtellerie/restauration, voilà le réchauffement climatique et ses conséquences apocalyptiques pour la planète Terre qui font un clin d’œil narquois à l’actualité ! Celle-ci n’en demandait pas tant, faute d’éléments informatifs à se mettre sous la dent à l’heure actuelle !
Rappel des faits : il y a cinq ans, le 12 décembre 2015, se signait dans la capitale de l’Hexagone le fameux « Accord de Paris » ! Ce texte ratifié par 195 pays dont les Etats-Unis qui depuis l’ont dénoncé sous l’ère de Donald TRUMP, visait à limiter le réchauffement climatique de la planète en diminuant la propagation des gaz à effet de serre, qualifiés de très dangereux pour notre équilibre.
Parmi les promesses faites, pleines de bons sentiments : la limite de ce réchauffement pour qu’il se situe nettement en dessous de 2° par rapport aux niveaux préindustriels d’ici 2100.
Cinq années plus tard, soit le week-end du 11 et 12 décembre prochain, de nombreuses associations se réuniront de par le globe pour célébrer le cinquième anniversaire de cet accord.
De belles pancartes écolos et une petite bougie…
Un accord qui malheureusement est très loin d’avoir atteint ses objectifs initiaux alors que le scénario catastrophe nous guette en permanence avec l’accélération de la fonte des glaces, la montée des eaux, la multiplication des phénomènes météo extrêmes (ouragans, pluies diluviennes, crues rapides, sécheresse et incendies…).
Aussi, des associations qui ont pour nom « Friday for Future », « Youth for Climat », « Unis pour le Climat », « Extinction Rébellion » ou encore « Citoyens pour le Climat » en appellent à la mobilisation générale lors d’une action planétaire en faveur de la sauvegarde de la planète.
Dans l’Yonne, à Auxerre, c’est le collectif « Citoyens pour le Climat » qui servira de structure coordinatrice à l’organisation de cet évènement devant se dérouler sur les quais de l'Yonne, à proximité de la passerelle, esplanade Irène Jolit-Curie.
Leurs responsables (Laura TOURNAND et Laurane BEGUINE, pour le collectif « Citoyens pour le Climat » et Florence LOURY et Denis ROYCOURT, pour Auxerre Ecologie) suggèrent aux Icaunais de venir à cette manifestation munis de leurs plus belles pancartes aux slogans écologistes évidents et d’une petite bougie.
Ces objets joueront un rôle prépondérant lors de ce rassemblement pacifique. Chacune d’elles sera disposée sur le sol afin d’y écrire dans la langue de Shakespeare la locution suivante (« fightfor 1point5 ») ; ce qui signifie après traduction, « se battre pour les 1,5 degrés ».
Une allusion toute en lumière et en finesse au fameux signe de ralliement de cet évènement mondial…
Thierry BRET
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Poussée de fièvre dans l’Yonne : cinq nouvelles villes adoptent le port du masque obligatoire contre le virus
décembre 07, 2020Auxerre et Sens ne sont plus les seules des agglomérations d’importance de l’Yonne à devoir adopter le port du masque rendu obligatoire dans leurs cœurs de ville. Un nouvel arrêté préfectoral en date du 04 décembre s’applique désormais à d’autres localités : Avallon, Joigny, Migennes, Saint-Florentin et Tonnerre. Preuve manifeste que l’épidémie connaît une surprenante recrudescence à quelques semaines de Noël…Inquiétant.
AUXERRE : Compte tenu des résultats négatifs observés à l’heure actuelle autour de la propagation de la COVID-19, le préfet de l’Yonne n’avait d’autres alternatives que de réagir. Vite et avec pragmatisme.
Un nouvel arrêté est entré en vigueur ce vendredi 04 décembre. Le texte préfectoral oblige désormais celles et ceux qui se déplacent dans les limites de l’acceptable eu égard aux conditions imposées par le confinement dans les cœurs de ville de se munir obligatoirement d’un masque.
Une mesure contraignante pour la qualité d’une saine respiration mais ô combien nécessaire dans le but de se protéger et de préserver les autres que les Auxerrois et les Sénonais connaissent bien.
Les habitants des deux agglomérations de l’Yonne pratiquent cet exercice de sauvegarde sécuritaire depuis plusieurs semaines dans la plupart des rues qui composent leur centre-ville.
Dorénavant, cinq autres localités devront s’y conformer. Il s’agit d’Avallon, de Joigny, de Migennes, de Saint-Florentin et de Tonnerre. Des villes qui enregistrent des hausses dans le nombre de cas de contamination.
Se référant aux derniers avis de l’Agence régionale de Santé (ARS), Henri PREVOST rappelle que le port du masque concerne toutes personnes âgées de onze ans et plus susceptibles de déambuler, avec des motifs circonstanciés et autorisation de sortie, dans les rues de ces villes.
Vécu pour beaucoup comme une contrainte, le port du masque n’en demeure pas moins l’élément névralgique majeur de ces gestes barrières qui empêchent le coronavirus de circuler librement autour de nous.
Leur acceptation et leur respect relèvent de la prise de conscience et de la responsabilité de chacun. Au nom de la citoyenneté et de l’esprit d’altruisme envers autrui.
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L’entité renforce son parc auto au service des demandeurs d’emploi : MOBIL ECO lance un appel à la générosité…
décembre 05, 2020L’idéal serait de posséder à brève échéance une quarantaine d’automobiles. De tout type et de toutes marques. Ne faisant pas la fine bouche, il n’y a pas réellement de préférence aux yeux des administrateurs de la structure associative. Une entité qui agit dans l’intérêt des demandeurs d’emploi et des personnes en réinsertion dans la vie active. Alors quoi de mieux qu’un appel aux dons et à la solidarité citoyenne avant la période de Noël pour voir ses vœux être exaucés ?
VILLENEUVE-SUR-YONNE : On ne présente plus l’association MOBIL ECO qui œuvre depuis sa création au service des demandeurs d’emploi et des personnes soucieuses de se réinsérer dans le monde du travail.
Sur une large frange de notre territoire, la structure a acquis ses lettres de noblesse depuis ses origines pour remettre au goût du jour en les accompagnants les velléités professionnelles de celles et ceux de ces personnes qui ne veulent plus rester inactives.
L’un de ces passages obligés se nomme la mobilité. Avec la réappropriation de la conduite automobile qui n’est pas une simple gageure dans un pays tel que la France. D’autant que la réflexion actuelle de son président, René CORNET, passe désormais au plan sectoriel sur une vraie dimension à l’échelle du département. Jusque-là, MOBIL ECO et ses équipes n’interviennent que sur la zone septentrionale de l’Yonne, et sa partie centrale. Mais, ceci est un tout autre débat !
Revenons à cette mobilité dans le cadre de l’emploi qui est devenue le cœur de cible des préoccupations de l’organisme mobilisateur de compétences. Aussi, ce dernier a un besoin exponentiel de véhicules de seconde main pour assurer les rouages de sa fonctionnalité. Comment ? En faisant appel aux dons et à la générosité de chacun !
La vente de véhicules d’occasion instaurée avec succès depuis 2017…
L’équation se veut simpliste. MOBIL ECO exprime le désir de posséder une quarantaine de véhicules servant à la fois à sa cellule locative mais aussi à la vente. En 2017, l’association procédait ainsi à la première cession tarifée d’un modèle d’occasion à une jeune femme qui avait été retenue pour la qualité de son projet professionnel.
Une opportunité vécue avec réel bonheur à l’époque qui depuis a fait son bonhomme de chemin auprès des responsables de la structure dont la directrice Patricia FLAVIEN. On l’oublie un peu trop souvent mais la mobilité géographique représente l’un des freins à l’emploi considérable sur notre territoire qui se paupérise davantage chaque jour.
Cette problématique polymorphe (les impacts concernant l’absence du permis de conduire pour une personne précaire sont très nombreux) représente le cheval de bataille de MOBIL ECO qui entend apporter des solutions concrètes vaille que vaille.
Location de véhicule, cours de conduite dispensés par ses soins, vente d’automobiles ont fait de cet organisme solidaire l’un des acteurs clés dans le paysage de l’Yonne sur ce segment.
Toutefois, pour que la mécanique ne se grippe pas et ne contraigne pas la cellule salvatrice à revoir sa copie, il faut à cette dernière sa dotation constante de véhicules.
Collectivités et entreprises peuvent également donner…
Des dons qui peuvent émaner de particuliers en délicatesse avec un modèle déjà ancien qui n’aurait plus de cotation à l’argus ! Voire les collectivités et les entreprises (la plupart des grosses sociétés disposent d’un parc auto bien fourni) qui peuvent également se montrer généreuses envers cette initiative faisant preuve de solidarité dans un esprit d’éco-citoyenneté. Eco équivaut à ce titre au mot, économie, il va de soi.
Outre le transport à la demande, la diversification des activités de MOBIL ECO lui est favorable aujourd’hui. Acteur essentiel de la mobilité solidaire auprès des publics fragilisés vivant à la ville comme à la campagne, l’organisme s’intéresse aussi à une frange de la population le plus souvent oubliée de la réalité économique : les personnes atteintes de handicap et les seniors.
C’est pour cela que l’association a cru bon de s’ancrer dans le maillage territorial en proposant des suggestions fortes comme l’auto-école solidaire ou la vente de véhicules à prix modérés (avec des tarifs qui n’excèdent jamais le seuil de trois mille euros).
Cerise sur le gâteau : la carte grise grâce à une autorisation préfectorale, le plein de carburant, le kit de sécurité et même un bidon d’huile, histoire de remettre le niveau du lubrifiant liquide sur sa bonne jauge, sont englobés dans ce prix.
En savoir plus :
Contact teléphonique au 03.86.83.03.58.
Thierry BRET
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