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« Coke en stock » dans l’Hexagone : la drogue en vrai fléau de la démocratie, stupéfiant, non ?!
février 17, 2023Pierre PALMADE défraie tristement la chronique aujourd’hui. De nombreux membres du show-biz ont tenu à afficher leur soutien à leur collègue, dès l’annonce de l’accident. Puis, devant l’ampleur du drame, la mise en cause de l’humoriste et la révolte des réseaux sociaux, qui s’indignaient à juste titre, les édiles du spectacle nous ont joués un remake de « courage fuyons », en retirant leurs tweets… Journalistes, politiques et anonymes sur la toile se sont ensuite acharnés sur celui qui hier, ressemblait plus à une idole, qu’à un épouvantail ! Le cas « PALMADE » ou la complaisance des artistes, des politiques et du monde, pour l’intérêt de la drogue dans le cadre de la création artistique !
TRIBUNE : On pense souvent, à tort, que l’argent et la gloire font le bonheur. Pourtant, le milieu artistique est reconnu comme étant l’un des domaines où l’on retrouve le plus de personnes dépendantes aux drogues. Tous ont hélas admis que la prise de drogue est nécessaire à la création artistique. Opium, mescaline, cocaïne, alcool… autant de substances aux effets plus ou moins recherchés, que certains artistes se sont empressés d’essayer à des fins pas toujours médicamenteuses.
Flirtant entre hallucinations et folie, les drogues et leurs effets en ont inspiré plus d’un, à l’instar de Francis PICABIA, les opiacés à l’œuvre, punk avant l’heure, dandy dada puis surréaliste. C’était un provocateur inventif, adepte de drogue en tout genre. Henri MICHAUX, peintre, écrivain et poète de son état, cultivait un faible pour la mescaline ! La substance hallucinogène aux effets synesthésiques.
Un moyen éthéré de trouver sa source d’inspiration…
Antonin ARTAUD connut la drogue à la folie. Le grand dramaturge du théâtre a noué tout au long de sa vie une addiction profonde pour l’opium et ses déclinaisons exotiques, héritée d’une méningite précoce qu’il combattit en s’oubliant dans les univers parallèles de la chimie. Explorateur infatigable au royaume des substances, Antonin ARTAUD découvre au Mexique une drogue nouvelle, le peyotl, à laquelle des chamanes l’initient. Jeanne SUSPLUGAS ou la pharmacopée inspirée : on trouve chez elle de « Lexomil », des médicaments à revendre, des boules à facettes moulées à la forme de la structure chimique d’anxiolytiques ou d’anesthésiques, ou des néons à la gloire du « Doliprane »…
Johnny HALLYDAY entre dysfonction érectile et spectacles à gogo, il se gave de cocaïne, d’anabolisants… Johnny n’a jamais caché son addiction à la cocaïne, sans parler de l’alcool !
« Mais comment aurai-je mon opium ?» se serait exclamé Jean COCTEAU en apprenant l'ordre de mobilisation générale de septembre 1939. Écrivain, dramaturge, poète reconnu, cet homme de cinquante ans est aussi un opiomane patenté, qui entretient depuis 1924 avec la drogue un flirt aussi poussé que douloureux.
De grands auteurs ont été tentés par l’opium. Cette drogue qui leur offrirait un monde nouveau. Le génie apparaît là où le talent rencontre la folie. Cette extase emporte l’auteur dans une dimension étrange aux possibilités infinies. Plus de limites au monde ni à la création ! Plus de limites aux mots ou aux images ! Parmi les « addicts » de l’héroïne et du hachich, on peut citer : Baudelaire, Rimbaud, Gérard de Nerval, Verlaine, Théophile Gauthier, Françoise Sagan et bien d’autres…
Le mix substances illicites et alcool du meilleur effet…destructeur !
Pour beaucoup, c’est l’addiction à l’alcool qui les gouverne : le chanteur François DEGUELT (« Il y a le ciel, le soleil et la mer ») reconnaît publiquement son penchant pour l’alcool en justifiant son attitude et préciser qu’il ne connaissait pas d’artiste qui ne buvait pas. Pour Gérard DEPARDIEU, c’est aussi un vice qui traduit son mal-être. Que dire d’un Serge GAINSBOURG qui au final n’est invité sur les plateaux TV que parce qu’il est ivre… Une grande question : est-ce que la prise de drogue amoindrit la performance artistique ? A chacun de répondre en son âme et conscience…
Et les politiques dans tout ça ? On se doute que certains hommes politiques ont recours à des substances illicites. Pascal PRAUD affirme sur CNEWS, le 14 février au soir : « Les hommes politiques se droguent aussi ». Telle quelle, cette affirmation est inadmissible, Monsieur PRAUD ! Votre annonce n’est plus de l’information : pas de nom (et pour cause), aucune preuve ou témoignage d’expérience ! Le plus grave, c’est que tout le monde peut aisément l’admettre mais vous jetez l’opprobre sur un groupe qui n’a pas besoin de ça pour l’instant … On notera au passage que nos braves élus mettent en place des contrôles de plus en plus drastiques pour l’alcool mais restent assez timides en ce qui concerne les drogues en tout genre.
Chez les sportifs, il existe une certaine indignation du public pour le dopage. Il aura fallu la mort du cycliste britannique Tom SIMPSON, filmée en directe sur les pentes du mont Ventoux, pour que le cyclisme prenne des mesures drastiques concernant le contrôle antidopage. On pourrait suivre l’exemple du football américain : beaucoup se droguent, aucun contrôle, car cette activité n’est pas cataloguée comme « sport » mais comme « spectacle ». Ce qui induit que les artistes peuvent se droguer…Pour les artistes, les sportifs et les hommes politiques, beaucoup admettent sa dimension incontournable. Certains la tolèrent mais peu la combattent.
Le trafic de drogue un risque pour notre démocratie…
Quelles sont les conséquences des drogues dans la société ? D’abord des risques sociaux avec la marginalisation, les violences commises sous l'effet d'un produit. En cas d'usage répété de substances, les sensations agréables initialement recherchées font place à de l'angoisse, voire à des sentiments de panique et de perte de contrôle de sa consommation. Ce sont aussi des risques sanitaires : les adeptes des drogues en tout genre, et on peut inclure le tabac, ont des effets extrêmement nocifs sur la santé et la prise en charge médicale à un coût non négligeable.
Des risques financiers : aujourd’hui ce sont 4,2 milliards d’euros, selon les derniers calculs de l'INSEE, qui ont été dépensé par les Français en 2020 pour s'approvisionner en cannabis, cocaïne, héroïne, crack et autres produits stupéfiants.
En décembre 2020, le ministère de l'Intérieur dénombrait 4 000 supermarchés de la drogue, ou « fours » dans le jargon des trafiquants. Selon l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives, le nombre d'amateurs réguliers, s'adonnant en moyenne dix fois par mois à leur goût du cannabis, s'élèverait à 1,4 million. Les adeptes plus occasionnels seraient, eux, 5 millions. Près de la moitié des adultes y auraient déjà goûté. Ces chiffres placent l'Hexagone en tête du classement européen des pays consommateurs, devant le Danemark et l'Espagne.
Les trafiquants aujourd’hui, imposent leur loi et les pouvoirs publics semblent impuissants, et pour le moins limités dans leurs actions possibles !
Des zones de non-droit gangrènent peu à peu le territoire national et des enfants délaissent l’école pour épauler les trafiquants (des guetteurs). Les jeunes adultes préfèrent l’argent facile de la drogue au travail…
Plus inquiétant : l’INSEE intègre le poids de la drogue dans le calcul PIB ! La drogue dope le PIB avec 2,7 milliards engrangés et 0,1 % de la richesse nationale. Sidérant et stupéfiant, sur le plan de l’éthique en politique, mais significatif de la mentalité ambiante. Dans ces conditions, on se demande bien pourquoi l’INSEE refuse d’intégrer la prostitution dans les chiffres officiels !
En définitive, le cas « Pierre PALMADE » va permettre de remettre sur la table les problèmes de la drogue dans sa globalité et de ses interactions. N’oublions pas que dans notre système, on juge des hommes qui ont commis des actes. Si on ne jugeait que des actes, il serait alors plus simple d’engager dans l’ordinateur, la fiche du délit commis, et la sanction tomberait automatiquement.
Heureusement nous n’en sommes pas là ! Alors, que pour Pierre PALMADE, la justice passe, toute la justice, rien que la justice mais pas la vengeance !
En France, tout commence et tout finit par une chanson, alors je ne résiste pas à l’irrépressible envie de plagier une célèbre chanson de SHEILA : « Comme les rois mages en narguilé, fumaient un joint avant d’aller snifer… » !
Jean-Paul ALLOU
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Un dernier SRO avant le grand saut dans la fibre optique pour le Conseil départemental à Courtois-sur-Yonne
février 17, 2023La fibre arrive chez vous ! Enfin, dirons les plus pressés d’entre nous qui en perdent presque patience ! Tant mieux, rétorquerons les autres qui y voient un maximum d’avantages à y gagner à terme ! Toujours est-il que le Département de l’Yonne a décidé de passer à la vitesse supérieure depuis le début de la saison, faisant de 2023 LA grande année de déploiement permettant à tous d’accéder à la technologie numérique…
COURTOIS-SUR-YONNE : Forcément, les sourires s’affichent sur les visages ravis des élus qui posent pour la postérité sur la photographie du jour ! Le déploiement de la fibre optique se poursuit sur le territoire de l’Yonne. Preuve nous en a été donnée, jeudi, avec l’inauguration du dernier SRO – l’acronyme se convertit en sous répartiteur optique – dans la commune de Courtois-sur-Yonne.
Au-delà des secteurs couverts par l'initiative privée, deux réseaux complémentaires dits d'initiative publique (BFC Numérique et YCONIK by Altitude Infra) sont construits pour servir l'ensemble des communes du département et leurs habitants.
Hier, dans le Sénonais, le dernier nœud intermédiaire de la boucle locale en aval duquel chaque usager est desservi par une fibre optique (le fameux SRO) a été posé dans la commune. Un dispositif qui permet d’alimenter jusqu’à 500 foyers. Une opération réalisée dans le cadre du programme de déploiement du réseau d’initiative publique BFC Numérique. A terme, cet équipement raccordera environ 330 foyers mais également des entreprises et des sites publics.
On notera la présence de Pascal HENRIAT, vice-président du Département de l'Yonne en charge du numérique, Eric BERTHAULT, premier élu de Courtois-sur-Yonne et Lionel TERRASSON, conseiller départemental du canton de Villeneuve-sur-Yonne.
Thierry BRET
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Le plus beau des métaux pour Jonathan GUYOU : du pur bonheur à partager en famille à la CAPEB
février 16, 2023Concourant dans la catégorie « maçonnerie » à « l’Un des Meilleurs apprentis de France » (MAF) lors de la dernière promotion, dont la remise des prix a eu lieu à l’Abbaye Saint-Germain à Auxerre, le jeune Icaunais, Jonathan GUYOU a réussi la passe de deux, en empochant deux médailles d’or, tant au niveau départemental que régional…
AUXERRE : Il affiche le sourire radieux des grands jours, le jeune Jonathan GUYOU, tout auréolé de ses titres obtenus lors de la remise des prix, médailles et trophées, à la cérémonie protocolaire de « l’Un des Meilleurs apprentis de France », dans la catégorie de la maçonnerie.
Un jeune homme qui poursuit ses gammes professionnelles en sa qualité de Compagnon du Devoir, qui se doit d’effectuer le fameux tour de France, propre au rituel formatif de la structure associative.
Nonobstant, le garçon satisfait de son excellent double résultat devait le fêter aux côtés de son paternel, le chef d’entreprise Eric GUYOU, vice-président de la CAPEB de l’Yonne, la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment. Une affaire de famille, en somme, puisque le jeune apprenti exerce ses talents au sein de l’entreprise éponyme familiale…
Thierry BRET
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Son média « PANENK’AJA » progresse sur la toile : et si Léo AGOPIAN devenait le «Léo MESSI » du journalisme sportif ?
février 16, 2023Il a de la suite derrière les idées, le « gamin » ! Agé de 17 ans, élève d’une classe de terminale au lycée Jacques Amyot à Auxerre – son penchant pour l’histoire/géo lui a fait choisir cette option si spécifique -, le voilà déjà propulsé dans l’univers médiatique, en étant régulièrement convié à l’émission sportive de France Bleu (« 100 % AJA »). De la pure logique pour ce jeune homme qui souhaite embrasser la carrière de journaliste et qui est à la tête d’un média en format « You Tube », consacré à l’AJ Auxerre…
AUXERRE : Personnage principal du « Cid », Rodrigue grâce à la plume imaginative de son créateur, Pierre CORNEILLE, livrera dans l’une des scènes cette formule devenue célèbre : « Je suis jeune, il est vrai, mais aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années ! ».
Une phrase que devrait reprendre à son compte, Léo AGOPIAN, un Auxerrois de 17 ans, préparant d’ici le terme de ce printemps son baccalauréat, et qui ne rêve que d’une seule chose lorsqu’il se projette dans l’avenir : posséder en bon journaliste qui se respecte sa carte de presse ! Catégorie sportive car telle est sa préférence.
Léo, comme le célèbre surnom de Lionel MESSI, est un inconditionnel de l’AJ Auxerre. Un de ces fervents supporters qui a des choses à dire et qui sait les exprimer lorsqu’il est l’un des invités de nos amis et confrères de France Bleu, dans le cadre de la fameuse émission du lundi soir, « 100 % AJA ».
Là, pas du tout gêné par son âge encore juvénile, et aux côtés de quelques poids lourds rompus à cet exercice radiophonique de longue date (André TRUFFAUT, Alain GEHIN, Fabien COOL, Lucien DENIS…), le jeune homme, à peine sorti de son adolescence fugace, livre ses commentaires et argumente à qui mieux mieux sur l’état de fraîcheur des troupes auxerroises, la tactique du coach, les espoirs et désillusions entretenus de l’après-match.
De l’audace et de la fougue, la jeunesse de Léo plaide pour lui…
Le garçon est brillant. A l’oral car, le verbe suit devant le micro. Mais aussi dans la réalisation d’images. Celles qu’il capte au détour d’une interview, d’une rencontre, d’un prétexte pour illustrer l’une de ces courtes vidéos de trois minutes – le format presque idéal d’un reportage télé – qu’il diffuse ensuite sur sa chaîne créée sur « You Tube » et opérationnelle depuis septembre 2020. A date, plus de 850 aficionados qui suivent les péripéties de la future pépite de la presse en redemandent.
On y retrouve des interviews, des portraits de joueurs et de dirigeants, des story de vieilles gloires que la nouvelle génération de suiveurs aurait presque oubliée, des débriefings, des commentaires, des analyses, des statistiques, etc.
Et pour ce faire, le jeune Léo ne manque ni de culot ni de pugnacité pour récolter les impressions d’un Fabien COOL, d’un Lucien DENIS, de « monsieur » Guy ROUX, le pape des coaches français toujours consulté par la presse pour la qualité de ses bons mots et son sens de l’analyse pertinente. Léo AGOPIAN apprend petit à petit ses gammes de futur journaliste qu’il est déjà à la manière d’un « Monsieur Jourdain », pratiquant la prose sans trop le savoir avec les tirades épistolaires de MOLIERE ! Et il n’a que 17 ans !
Un hommage à Marian SZEJA diffusé pour l’anniversaire de sa disparition…
D’ailleurs, que l’on ne s’y méprenne pas : le garçon possède lui aussi le sens de la formule. Car, nommer son média web digital en référence au célèbre buteur tchèque Antonin PANENKA (« PANENK’AJA ») qui réussissait les pénaltys avec sa technique qui lui était bien particulière, en y ajoutant l’acronyme du club auxerrois est déjà une prouesse de la sémantique en soi ! Bravo, à l’originalité !
Un support qui propose avec exigence des contenus vidéos consacrés au club fétiche, avec des zooms et de l'histoire, une affaire humaine, en quelque sorte dévoilée par autant de témoignages…
Léo y met de l’huile de coude pour y parvenir avec brio : le pilotage de la ligne éditoriale, la réalisation des vidéos, la partie montage, mais aussi l’approche démarchage et sponsoring !
Sa prochaine publication, à découvrir dès le 25 février sur « You Tube », retrace la carrière d’une figure quasi oubliée du club bourguignon, le gardien polonais Marian SZEJA, détenteur de l’or olympique obtenu aux Jeux de Munich en 1972, et international une quinzaine de fois en qualité de portier de la grande Pologne des années 70.
Un athlète qui évoluera au FC Metz, avant de rejoindre les rives de l’Yonne, enrôlé au sein de l’AJA. Il y sera finaliste de la Coupe de France 1979, et quittera le club l’année suivante alors que les Auxerrois accèdent enfin à la première division.
Pour l’anecdote, le visage de Marian SZEJA est connu de tous mais dans le plus strict anonymat puisqu’il a interprété le rôle d’un gardien de but dans le fameux film « Coup de Tête », de l’immense Jean-Jacques ANNAUD (« Notre-Dame », « L’Ours ») dont la vedette n’est autre que l’acteur écorché vif, le regretté Patrick DEWAERE.
La diffusion de ce document signé par Léo, à ne manquer sous aucun prétexte, coïncide avec la date de la disparition du joueur, son décès étant survenu le 25 février 2015…
Un clin d’œil de Léo AGOPIAN qui ne doit rien au hasard. La marque évidente d’un futur grand professionnel de la presse, respectueux de ces hommes qui ont fait l’histoire…
En savoir plus :
« PANENK’AJA »
Média consacré à la vie de l’AJ Auxerre et diffusé sur la chaîne « You Tube »
Réalisé par Léo AGOPIAN
A voir le 25 février, le court métrage sur l’ex-international polonais Marian SZEJA.
Thierry BRET
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La « Rebelle » intègre le dispositif Femmes Entrepreneuses : Sabrina HOHENGARTEN séduit le jury…
février 16, 2023Le premier réseau social communal à mission citoyenne, dédié au bien-être des personnes âgées et isolées, est prêt à jaillir des starting-blocks afin de rentrer dans la compétition des projets à vocation entrepreneuriale, pérenne et viable économiquement. Il est créé sur l’Yonne. Sa créatrice à l’imaginaire fécond, Sabrina HOHENGARTEN, bénéficiera du dispositif initié par ORANGE, « Femmes Entrepreneuses » profitant d’un judicieux accompagnement pour l’amener à bon port…
AUXERRE: « J’ai pris conscience du chemin parcouru, ce sont des émotions assez folles… ». La jeune Icaunaise, Sabrina HOHENGARTEN, n’en finit pas de découvrir le monde de l’entrepreneuriat, avec ses multiples doutes et chausse-trappes mais aussi ses joies profondes.
La conceptrice du futur réseau social communal (Les Rebelles France), synonyme de sérieuse plus-value afin de sortir les seniors et les personnes handicapées de leur isolement, avance à petits pas vers l’officialisation de ce modèle économique auquel elle croit tant.
Nouvelle étape importante de ce parcours du combattant complexe et chronophage qui mène tout droit au portage d’un projet : la promotion de celui-ci auprès de spécialistes afin de les convaincre du bien-fondé et de la pertinence du dossier.
La cible idéale de ces influenceurs de la chose économique se composait de représentants de la French Tech Lille, French Tech Est, Hauts-de-France Innovation, BFC Numérique, Femmes et Numériques BFC et Grand E-NOV +. Autant dire du très lourd face à soi pour dévoiler sur une courte vidéo et une évaluation orale l’essence même de son projet.
Rejoindre le groupe de « super woman » de l’entrepreneuriat régional…
Il faut croire que la jeune femme a su trouver les mots justes et les arguments nécessaires pour séduire ce jury invité par ORANGE, dans le cadre de la cinquième saison du dispositif d’accompagnement « Femmes Entrepreneuses » en Bourgogne Franche-Comté, promu par l’opérateur.
Résultat des courses : Sabrina HOHENGARTEN se retrouve ainsi en première ligne pour rejoindre ledit programme initié par l’opérateur des télécommunications visant à soutenir durant dix mois un projet d’entrepreneuriat de la région.
La future cheffe d’entreprise y sera intégrée en compagnie d’une vingtaine de « super woman » de la décision économique qui, comme elle, bénéficieront de ce soutien personnalisé pour faire progresser leur concept. Moralité : la persévérance et la pugnacité paient toujours en bout de course !
Thierry BRET
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