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Une première dans l’Yonne : une signature optimise la coopération autour de la sécurité…
avril 09, 2019Inédite dans le département de l’Yonne, la convention locale de coopération de sécurité n’a d’autres objectifs que de conjuguer les efforts de tous en matière de lutte contre toutes les formes de délinquance et de malveillance. Sa première concrétisation est applicable depuis mardi à Avallon où le directeur du centre commercial du groupe AUCHAN, Régis BRESILLION, s’est décidé à faire montre d’exemplarité en adoptant ce dispositif mutuel. La signature de ce document officiel réunissait en outre le sous-préfet d’Avallon, Abdelmajid TKOUB, le capitaine Yannick CHAMBIET, commandant en second de la compagnie de gendarmerie locale et l’édile d’Avallon, Jean-Yves CAULLET…
AVALLON : Eradiquer toutes les formes de délinquance et de malveillance sur une zone sectorielle définie suppose d’unir ses forces dans le cadre d’une directive commune afin de mener cette lutte de front avec efficience.
Or, c’est précisément ce qu’ont validé ensemble et en signant un document officiel les représentants de l’Etat, de la Ville d’Avallon et le directeur du centre commercial du groupe AUCHAN lors d’une cérémonie protocolaire ce mardi en fin de matinée sur le site professionnel.
S’inscrire dans le principe applicatif d’une convention locale de coopération de sécurité engage les signataires durablement. La démarche, celle-ci n’avait jusqu’alors pas encore été appliquée sur le territoire de l’Yonne, se traduit pas dans les faits par la mise en exergue de modalités de coopération entre les services de la gendarmerie d’Avallon, la police municipale et le spécialiste de la grande distribution.
Via notamment, ses agents de sécurité privée qui interviennent au quotidien sur le site pour en assurer la sécurité.
On peut raisonnablement supposé que d’autres conventions de la sorte seront signées d’ici les prochaines semaines dans le département le plus septentrional de la Bourgogne Franche-Comté.
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Le regard sur l’apprentissage et l’alternance doit évoluer : c’est vital pour Jean-François LEMAITRE (CMA)
avril 09, 2019Le Salon de l’apprentissage et de l’alternance, quatrième du nom qui a été proposé samedi à Auxerre, a séduit une large frange de la population de notre territoire. Des jeunes gens, le plus souvent accompagnés de leurs parents, qui ont eu la chance de pouvoir découvrir les multiples facettes de ce type de formation, parfois honnie de l’intelligentsia du fait de nombreux préjugés. Pourtant, à terme, l’emploi est garanti pour celles et ceux qui empruntent volontiers cette voie pédagogique. C’est un parcours essentiel de l’enseignement qu’il est bon de promouvoir comme le rappelle le président de la délégation de l’Yonne de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat interdépartementale Côte d’Or, Nièvre, Saône-et-Loire et Yonne, Jean-François LEMAITRE, lui-même artisan…
AUXERRE : La Bourgogne a été précurseur dans le domaine de la formation en alternance. En cela, l’appui de la Région a été capital au démarrage de salons événementiels ayant pour objectif de valoriser une formation pédagogique parfois « oubliée » par quelques strates bien pensantes de l’Education nationale. Il en était ainsi autrefois. Fort heureusement, les choses évoluent vers le positif aujourd’hui.
« Fiers d’être apprentis » a donc rempli ses objectifs. Ceux de démontrer à l’ensemble des visiteurs ayant une certaine appétence qu’il existait des alternatives sérieuses aux filières longues et généralistes en matière d’enseignement. La fréquentation s’invitant au rendez-vous : elle a satisfait le président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, Jean-François LEMAITRE.
« Via ce salon de l’apprentissage, porté conjointement avec les autres chambres consulaires, la CCI et la Chambre d’Agriculture, nous rappelons ainsi combien la formation en alternance représente une formation d’excellence au service des jeunes et des entreprises de notre territoire… ».
Sauvegarder la qualité de la formation et la place des consulaires…
Déjà testé depuis plusieurs saisons en Bourgogne, le modèle a plu. Il essaime désormais en Franche-Comté depuis 2018 avec les encouragements appuyés de la Région.
« Organiser un tel salon ne répond en fait qu’à une seule vocation, explique le président de la chambre consulaire, il se doit d’être au service des jeunes. C’est un outil que nous voulons qu’ils saisissent afin de construire leur future vie professionnelle… ».
Optimiste, Jean-François LEMAITRE l’est malgré tout. Même si la vigilance prévaut compte tenu d’un environnement sociétal encore incertain.
« Il nous faut préserver la qualité de la formation et la place des chambres consulaires dans la nouvelle organisation à l’étude, ajoute-t-il, les réformes en cours, dont celle de la formation, possèdent des impacts considérables sur la gouvernance et les financements de l’apprentissage. Une chose est sûre : les entreprises ont une grande attente par rapport à cette libéralisation… ».
Ne plus considérer l’apprentissage comme une voie au rabais…
Le président souhaite, par ailleurs, que son organisme puisse apporter toute son expertise en qualité d’opérateur de compétence, concernant le dispositif de financement.
Convaincu que l’apprentissage et l’alternance s’inscrivent parmi les meilleures formules pour réussir l’insertion dans la vie professionnelle de la jeunesse française, Jean-François LEMAITRE estime que l’on doit cesser de considérer cette voie d’enseignement comme une voie de rabais, réservée aux seuls élèves en difficulté scolaire.
« C’est vrai, concède-t-il, que l’apprentissage peut s’apparenter parfois à une bouée de sauvetage pour de jeunes gens en situation d’échec. Au-delà de la fierté que nous éprouvons car nous sommes en mesure de les accueillir et de leur apprendre un métier, je ne voudrais pas à l’inverse décourager un collégien ou un lycéen brillant qui aurait projeté de devenir tôt ou tard apprenti. Là aussi, notre mission est de le recevoir avec bienveillance en ouvrant grandes nos portes… ».
Bref, l’intervention du chef de file déontologique de ce salon aura eu tôt fait de balayer les doutes. Et de laisser entrevoir de bien belles espérances. Que les partenaires associés au concept (l’Etat, le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, la Communauté de l’Auxerrois…) auront su partager également à travers leurs propos.
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Changement de décor en vue pour Yonne Tourisme à l'automne…
avril 09, 2019L’agence de développement touristique et relais territorial des offices du tourisme et des syndicats d’initiative de l’Yonne rejoindra dès la rentrée le bâtiment du « 89 », l’imposante infrastructure du Conseil départemental, pour y installer ses bureaux. Un choix stratégique qui a été dûment réfléchi en amont de cette décision. Elle permettra à l’organisme de faciliter son mode opératoire tout en se dotant de moyens supplémentaires pour la saison 2020…
AUXERRE : Annoncé le jour de l’assemblée générale, le déménagement de l’agence de développement Yonne Tourisme dans les locaux du « 89 » ne représente plus qu’une affaire de quelques mois.
Si tout se présente sous de meilleurs auspices, les collaborateurs de l’entité qui gèrent la politique évènementielle et communicative de l’instance touristique de notre territoire occuperont leurs nouveaux bureaux à compter du 01er octobre.
Plusieurs services du Conseil départemental, opérationnels en ce lieu, travaillent déjà étroitement avec l’agence icaunaise. Ce rapprochement géographique n’en est que plus pertinent pour son efficacité. Dans l’optique de réaliser une première action de mutualisation des savoirs et compétences.
Soucieux de faciliter le travail de ses équipes et d’optimiser ainsi la qualité de ses prestations, les dirigeants de l’agence Yonne Tourisme feront grâce à ce choix l’économie des bureaux actuels. Dégageant ainsi, par ricochet, des subsides financiers supplémentaires qui pourraient servir à embellir à l’estampille de l’agence le vaste hall d’entrée du bâtiment institutionnel, boulevard de la Marne.
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Partage et mutualisation : quatre réseaux économiques de l’Yonne pourraient travailler à des projets communs…
avril 08, 2019Conscients que le partage de bonnes idées peut être la source d’une nouvelle dynamique opérationnelle sur le terrain, la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, la Jeune Chambre Economique, le Centre des Jeunes Dirigeants et la BGE Nièvre Yonne ont pris soin de se consulter lors d’une rencontre informelle ce lundi 08 avril. Objectif : assurer une harmonisation de leurs calendriers événementiels tout en travaillant à la mutualisation de projets communs. Une première dans le landerneau départemental…
AUXERRE : L’union fait la force, précise la maxime. Surtout en matière d’animations événementielles sous le prisme de l’économie. Quatre représentants de réseaux entrepreneuriaux de notre territoire, le syndicat patronal de la CPME, le CJD, la JCE et la BGE se sont retrouvés de manière non officielle pour étudier les premiers jalons d’une convergence d’intérêt autour d’un double dénominateur commun : l’harmonisation d’un agenda annuel et la possibilité de créer des rencontres officielles.
Profitant d’un déjeuner, Amandine BENOIST (BGE Nièvre Yonne), Adrien BAILLY (Jeune Chambre Economique), Emmanuelle MIREDIN (CPME) et Philippe HERVE (Centre des Jeunes Dirigeants) ont échafaudé différentes hypothèses stratégiques leur permettant d’envisager une collaboration active entre leurs différentes structures. Celle-ci pourrait prendre forme de manière très aboutie dès la rentrée.
L’harmonie des agendas aurait pour première conséquence de ne plus brouiller les pistes entre ces quatre acteurs de la chose économique. En évitant un télescopage de manifestations arrêtées à des dates similaires.
Quant à la conception de projets communs (conférences, création d’un club des réseaux, opportunité de se doter d’un guichet unique…), l’idée n’est pas pour déplaire aux quatre interlocuteurs qui vont analyser avec grand intérêt cette opportunité à saisir.
Pour l’heure, le temps est à la réflexion. Les délégués territoriaux de la CPME, JCE, CJD et BGE ont décidé de maintenir les liens et de se retrouver très prochainement pour une extrapolation plus tangible de ces futurs projets en commun…
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Le coût abusif de nos élites est un plat devenu indigeste dans lequel les citoyens ne veulent plus se sustenter…
avril 08, 2019Nos concitoyens ont appris que Tom ENDERS, président d’Airbus, venait de percevoir un parachute doré de 36 millions d’euros. Simultanément, le procès de Bernard TAPIE fait du bruit. Logique : le bouillant homme d’affaires, même amoindri par la maladie, a encaissé 450 millions d’euros d’indemnités dont 45 millions d’euros au titre du « préjudice moral ». Il fallait oser ! Mais, l’ancien patron de l’Olympique de Marseille ne s’est pas privé de le faire. Au même moment, et à l’issue de la mini-révolte des « Gilets jaunes », une substantielle augmentation de 100 euros a été chichement accordée à celles et ceux qui connaissent des difficultés à finir le mois. Ubuesque ! Déjà à une certaine époque, le regretté COLUCHE s’en inspirait : « Nous avions du mal à finir le mois. Chez nous, la fin du mois commençait le 02… ». Sans commentaire !
TRIBUNE : La liste de ces aberrations est loin d’être exhaustive. Deux ans plus tôt, Georges PLASSAT, président déchu de Carrefour, recevait un joli pécule de 14 millions d’euros alors qu’il mit en danger l’équilibre financier de ce leader de la grande distribution mondiale.
Il existe une étrange et triste similitude dans ces gifles données généreusement aux Français comme à des freluquets de cinq ans. La fin de mandat de Tom ENDERS coïncide avec la mise au chômage de 2 500 employés du groupe aéronautique. Induisant de facto que probablement dix mille personnes, voire davantage, vont rejoindre les rangs déjà bien garnis du Pôle Emploi, si l’on y inclut les sous-traitants de l’avionneur.
Quant au départ de Georges PLASSAT, il coïncidait également avec le licenciement irréversible de 2 500 collaborateurs du groupe Carrefour. On peut qualifier de scandaleuse ces deux affaires à l’inconstante similitude. Un mot convient mieux : c’est une insulte faite aux Français et à leurs voisins allemands. Airbus est une société franco-germanique dont on se glorifie, à juste titre, comme un succès de la coopération entre deux des pays les plus puissants du Vieux continent. Mais, le parachute doré perçu de manière amorale par Tom ENDERS est versé après un échec ruineux. Celui de l’Airbus 380, qui va coûter des milliards d’euros aux contribuables des deux cousins germains !
La défiance croissante envers les élites…
Or, ces sommes astronomiques étaient inscrites dans leur contrat. Donc, vous diront tous les juristes, il n’y a rien à dire, on ne peut rien faire. Mais qui a signé ces contrats en amont ?
Et, l’affaire Bernard TAPIE ? Qui a décidé de lui verser cette somme colossale de 450 millions d’euros ? On cherche et on trouve un comité d’arbitrage où siégeaient trois personnes : deux avocats marron, il n’y a pas d’autres qualificatif, et … un ancien président du Conseil constitutionnel, Jacques MAZEAUD.
Combien ces messieurs de bonne moralité et à la haute vertu ont-ils empoché pour rendre cet arbitrage ? 300 000 euros chacun ! Il ne faut donc plus s’étonner du fait que les Français n’aient plus confiance dans ce qu’on appelle abusivement leurs élites.
Puisque nous plongeons les mains avec dégoût dans la fosse d’aisance nationale, continuons d’en tirer quelques vils extraits. Lorsque le Grand Débat national a été lancé, on a proposé à un membre de cette caste élitiste d’en assurer la coordination.
Il s’agissait de Chantal JOUANNO. Pour cela, elle devait toucher 180 000 euros environ. Or, on a découvert qu’elle percevait déjà une somme à peu près équivalente pour diriger le Comité national du Débat Public, organisme dont personne ne sait à quoi il sert. A part, évidemment, rémunérer ladite présidente !
Parallèlement, on découvrit que Jacques TOUBON, ancienne gloire de la Chiraquie percevait près de 200 000 euros pour diriger le Comité de défense des droits. Bien entendu, tout cela s’ajoute à ses nombreux revenus de retraite pour les noms moins nombreuses fonctions qu’il a occupées : député, ministre, conseiller d’État, et j’en passe et des meilleures…
Une longue litanie de faits insupportables pour les citoyens…
Mais ce n’est pas fini dans cette longue litanie de choses qui fâchent de plus en plus les citoyens de ce pays : Alain JUPPE vient d’être nommé au Conseil constitutionnel avec une rémunération de 160 000 euros annuels auxquels s’additionnent diverses indemnités.
Cette rémunération s’empile, comme dans le cas de Jacques TOUBON, à de multiples revenus et avantages copieux : retraite d’ancien Premier ministre, ministre tout court, inspecteur des Finances, maire de Bordeaux, maire adjoint de Paris…Circulez, il n’y a rien à voir comme l’a écrit le trublion de l’humour, COLUCHE.
Enfin, devant cette avalanche de subsides mirobolants que quelques nantis de la société perçoivent avec des félicitations, il est bon de rappeler que le salaire médian en France s’élève à 1 797 euros par mois !
« L’argent n’a pas d’odeur » disait l’empereur Vespasien ! Et deux mille ans après cette maxime, Joseph STIGLIZT, prix Nobel d’économie, s’est fendu d’un ouvrage dont le titre résume toute la sournoiserie de notre monde : « Le triomphe de la cupidité… ».
« Il y a en France quelqu’un qui est plus intelligent que Diderot, plus spirituel que Voltaire, plus vif que d’Alembert, c’est personne, c’est-à-dire tout le monde, c’est l’opinion publique... ». Une phrase dite par TALLEYRAND, l’un des hommes les plus subtils et les plus perspicaces de notre Histoire.
Comment tout cela va-t-il finir ? Nous devrions le savoir bientôt. Dès que le président de la République Emmanuel MACRON aura égrené mi-avril la liste des potentielles préconisations qu’il souhaite mettre en œuvre pour soutenir le pouvoir d’achat des Français et ainsi redistribuer l’argent qu’il leur revient. On peut toujours espérer : cela, c’est sûr, ne coûte rien…
Emmanuel RACINE
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