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Le Centre d’examens de santé de la CPAM fête ses cinquante ans : s’il n’existait pas, il faudrait l’inventer !
octobre 30, 2019L’infrastructure médicale, prolongement logique des activités de la Caisse Primaire d’Assurance maladie de l’Yonne, détient un joli record, démontrant l’excellence de son efficacité. Avec près de 8 500 bilans réalisés par an, le CES dépasse de deux mille consultations ce qui se pratique d’ordinaire dans d’autres établissements de l’Hexagone. Un chiffre significatif de la dynamique dans laquelle s’inscrit l’action de ce centre qui requiert un budget de fonctionnement annuel de l’ordre de 2,5 millions d’euros…
AUXERRE : Cinq décades après ses débuts, on ne peut que constater l’évidence : l’efficience de cette structure médicale tournée pour l’essentiel vers les personnes en situation de précarité. Le Centre d’examens de santé (CES) incarne à lui seul le symbole abouti de politiques nationales en matière de prévention et de soins qui répondent aux réels besoins de la société.
A commencer par celles et ceux qui n’y avaient pas droit ou s’en étaient trop éloignés du fait de leur situation personnelle au fil des années. Bénéficiant d’une gestion saine et rigoureuse, au cordeau comme le stipuleraient certains économistes aguerris, l’établissement piloté par la CPAM de l’Yonne réalise un important travail préventif ; bien en amont de la découverte des pathologies. Une anticipation salutaire pour l’humain qui y est pris en charge, une anticipation salvatrice pour l’institution sanitaire qui peut ainsi concevoir une économie de plusieurs millions d’euros chaque année dont profite la collectivité.
Un établissement qui bénéficie des ultimes technologies préventives…
Bref : on l’aura compris l’outil est bénéfique à moult égards dans notre paysage social actuel. Chaque bilan de santé ne revient qu’à un coût modique de 226 euros par personne/assuré/consultant selon les ultimes évaluations datant de 2018.
Chaque campagne de sensibilisation assure, au-delà des soins que l’établissement peut prodiguer, un suivi de la bonne santé sur un territoire dont le quotient économique n’est pas orienté résolument vers l’optimisme du fait de ses lacunes structurelles. Mais, qu’importe, le Centre d’examens de santé de l’Yonne agit en tout état de cause pour le bien de son prochain, avec altruisme, pugnacité et enthousiasme.
Il suffit de s’intéresser de près aux résultats des récurrentes campagnes de sensibilisation, propres au « rattrapage vaccinal », pour s’en convaincre. Un succès auprès des assurés ? Non, plutôt un plébiscite tant l’opération a été couronnée de réussite auprès des personnes qui en avaient le plus besoin.
Illustration sociétale de sa légitimité, le CES de la CPAM avance au quotidien en s’adaptant aux attentes de la société, proposant une adaptabilité technologique toujours plus grande, gérant un système d’information numérique de plus en plus spécifique et pointu dans ses exigences.
Son rôle n’est pas de se substituer à la médecine générale en pleine phase évolutive, elle-aussi. Complémentaire au travail des praticiens, le Centre d’examens de santé de l’Yonne représente un sas, une véritable porte d’entrée utile et facilitatrice dans l’orientation du patient vers un généraliste ou un spécialiste si le besoin médical s’en fait ressentir.
Plus de 700 000 bilans de santé en cinq décennies !
L’une de ses spécificités n’est-elle pas, par ailleurs, de disposer d’un laboratoire intégré. Un gain de temps appréciable pour la patientèle qui en apprécie la réactivité, l’efficacité et surtout l’ensemble des normes de qualité qui en découlent.
Dans cet édifice où la place de l’humain demeure primordiale et la relation à l’autre ne se départit jamais d’un sourire, la confiance règne. La CPAM qui en détermine l’évolution stratégique, lui a intégré de nouveaux publics, en particulier les étudiants cette année, avant que prochainement ne viennent s’ajouter les travailleurs indépendants à horizon 2020.
On est d’ailleurs passé progressivement de l’axiome suivant : du bilan de santé, le CES de l’Yonne opte désormais dans sa ligne déontologique de conduite vers « l’examen de prévention de santé ». Une approche bien différente et qui augure de cette volonté implicative d’intervenir bien en amont de la déclaration d’une pathologie.
En cinquante ans de bons et loyaux services envers la population icaunaise qui le lui rend bien par sa fréquentation exponentielle , le personnel, hautement qualifié de la structure, aura réalisé la bagatelle de 700 000 bilans médicaux !
Ne se coupant pas de sa proximité avec le territoire, le centre sanitaire a développé un système d’équipe mobile qui rayonne à Avallon, Sens et Tonnerre.
La création d’ateliers spécifiques (ceux consacrés à certaines pathologies comme le diabète sous la responsabilité du docteur Corinne MAURICE) représente un point d’ancrage fondamental auprès de la population affectée par cette maladie. D’autres items sont apparus depuis dans cet état d’esprit similaire dans sa phase d’appréhension : les maladies cardio-vasculaires et l’éducation en santé.
Rappelons, enfin, que le Centre d’examens de santé auxerrois est largement impliqué dans la mise en place du DMP, le fameux « Dossier médical partagé », l’une des articulations pédagogiques primordiales qui est déclinée par la Caisse Primaire d’Assurance maladie envers nos concitoyens.
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Cécile RACKETTE initie des soirées débat sur la sécurité routière : pour que cesse enfin l’hécatombe...
octobre 30, 2019Samedi 02 novembre à 17 heures sera la première soirée débat de ce type proposé à l’initiative de la représentante de l’Etat sur le secteur de l’Avallonnais et du Tonnerrois. D’autres rendez-vous similaires sont d’ores et déjà prévus à compter du 20 novembre. Mobilisée à 100 % en faveur de la cause sécuritaire sur les routes de notre territoire, la sous-préfète Cécile RACKETTE entend bien faire bouger les lignes et surtout les consciences de ces automobilistes irrespectueux du Code de la route. Pour que l’irréversible ne se produise plus et ne se traduise plus en nouveaux drames…
AVALLON: L’Yonne conserve malheureusement toujours son atypisme peu glorieux. Celui de se distinguer par le mauvais bout de la lorgnette sur un sujet très préoccupant ; celui de l’accidentologie qui ne cesse de faire de nouvelles victimes chaque année au détour d’une nationale ou d’une départementale. Le secteur de l’Avallonnais et du Tonnerrois ne déroge pas à la tendance meurtrière qui caractérise la circulation sur nos routes depuis de longues années.
Si la qualité de nos axes de communication n’est pas remise en cause, il existe néanmoins une vraie problématique sur ce territoire de la Bourgogne septentrionale.
A l’automne 2019, la barre des trente décès survenus tragiquement dans ces accidents de la circulation était déjà dépassée ; au grand dam des représentants de la Préfecture, des forces de l’ordre et du SDIS, le Service départemental d’incendie et des secours.
A l’analyse de ces raisons, ce sont les sempiternels constats : l’alcool au volant, assorti à l’excessivité de la vitesse, et à la prise de stupéfiants provoquent nécessairement le cocktail explosif de trop. Mais, ces faits révèlent une autre problématique beaucoup plus pernicieuse qui se joue au quotidien sur les douze mille kilomètres de routes de notre territoire : les déviances comportementales de l’humain.
Mobilisation de l’ensemble des acteurs de la sécurité pour faire de la pédagogie…
En parfaite connaissance de cause et dans l’irrespect absolu du Code de la route et des précautions d’usage à prendre lorsqu’il s’agit de se déplacer au volant d’une automobile. Le hasard n’est donc pas imputable à toutes ces catastrophes. Seule subsiste la responsabilité de conducteurs qui circulent parfois sans assurance ni permis de conduire, et qui pour certains, ont une profonde méconnaissance de la moindre signalétique aux abords des routes.
Fustigeant cette situation inqualifiable à l’éthique de notre société, Cécile RACKETTE a donc décidé de reprendre le flambeau de la sensibilisation et de la communication pour tenter de stopper l’hémorragie ; à défaut essayer de faire prendre conscience de la réalité à ses concitoyens.
En présence de plusieurs représentants des forces de l’ordre (le commandant Tristan MATOREZ, l’adjudant-chef Bruno DELCROIX qui dirige le peloton motorisé d’Avallon, l’adjudant Stéphane PLOTTON (adjoint de la brigade de proximité de Tonnerre) et la maréchale des logis chef de la commune de Villon, Marine JACQUES, la sous-préfète qui espère aussi la participation des sapeurs-pompiers de ce secteur géographique, passe à l’offensive. A Villon, de prime abord, où la municipalité, favorable à ce genre d’initiative citoyenne, a même réalisé l’affiche de la manifestation.
Le combat contre l’obscurantisme des excès de la route ne fait que commencer. Gageons qu’il puisse infléchir les comportements irresponsables de certains d’entre nous qui confondent la route et ses principes vertueux (la mobilité offerte à chacun en toute sécurité sur le papier) en un véritable exutoire implacable où certains se défoulent sciemment derrière le volant, sans aucun respect pour la vie d’autrui. Ni pour la leur, par effet gigogne. Pitoyable…
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La vitalité de la Maison de l’Entreprise s’inscrit parmi ses axes prioritaires : Florence POULAIN en mode optimal !
octobre 29, 2019Près de sept ans après son intégration au sein de l’institution icaunaise, cette spécialiste du marketing et de la communication s’offre un bain de jouvence en changeant de poste au sein de la structure. Même si les relations avec la presse resteront à son apanage, la professionnelle entend bien donner un sérieux coup de boutoir à la présence patronale (UIMM, MEDEF) sur notre territoire. Au service des entreprises industrielles. Un défi relevé avec l’absolution de son délégué général, Claude VAUCOULOUX…
AUXERRE : De toute évidence, le poste semblait être taillé à sa mesure. En l’espace de trois petites semaines, l’ex-responsable de la communication de la structure icaunaise a su déjà y trouver ses premières marques.
Motivée, pleine d’une énergie revigorante à revendre, Florence POULAIN espère y apporter sa griffe personnelle. C’est vrai : on ne s’improvise peu ou prou responsable des relations extérieures d’une entité aussi fondamentale dans la sphère économique que peut l’être la Maison de l’entreprise du jour au lendemain. Mais, posséder un vécu de près de sept années dans cet organisme confère, convenez-en, de réelles dispositions à relever le challenge.
Au-delà de la satisfaction personnelle, somme toute légitime qu’elle peut éprouver après sa désignation à ce poste clé dans l’organigramme décisionnel, Florence POULAIN endosse une nouvelle parure dans sa fructueuse carrière. Vingt ans après avoir foulé le sol de ce territoire icaunais qui lui aura permis de progresser autour de son savoir-faire. Au contact des autres, aime-t-elle à préciser.
« J’aime l’Humain dans le sens noble du terme et travailler au service des entreprises, souligne-t-elle en guise de préambule, je m’attache aux valeurs de celles et de ceux qui entreprennent dans l’objectif de faire croître le territoire. D’ailleurs, il ne faut jamais omettre que derrière toute entreprise qui réussit, il y a des femmes et des hommes qui s’investissent… ».
Un mot, investissement, qu’elle connaît par cœur cette ancienne chargée de marketing et de communication d’un groupe mutualiste (Mutualité Française) comme automobile (Peugeot NOMBLOT). Elle sait l’appliquer aussi à son quotidien.
Dans une vie antérieure, Florence POULAIN vivra aussi de trépidantes aventures scripturales, relevant un temps le défi d’être correspondante pour le compte de deux titres de la presse régionale, Le Progrès et l’Yonne Républicaine.
Une surdouée, Florence POULAIN ? Mieux que cela, à vrai dire, une passionnée qui va s’employer à utiliser tous les moyens de communication traditionnels comme numériques pour conférer une tonalité nouvelle à cette institution qui abrite l’UIMM et le MEDEF de l’Yonne, ainsi que le Pôle de formation technologique de l’industrie.
Détecteur de talents, son boss, Claude VAUCOULOUX, délégué général de la structure, ne l’a pas placée là par hasard sur cette nouvelle orbite qui n’aura rien de géostationnaire.
Pour atteindre la ligne d’horizon souhaitée en 2020, celle couronnée de succès, l’encadrante dynamique n’aura qu’un seul leitmotiv à faire valoir : promouvoir la vitalité de l’organisme !
Ne plus rien s’interdire en termes de communication et de partenariats !
Dès l’année prochaine, la Maison de l’Entreprise multipliera les actions en termes de visibilité et d’image. Poursuite du workshop (un atelier déjà opérationnel et bien rodé permettant aux entrepreneurs de pouvoir échanger librement autour d’une thématique avec le concours d’un intervenant), rencontres trimestrielles dont les sujets seraient des problématiques transverses qui rythment la vie des entreprises (RSE, juridique, investissements…), accroissement de la proximité avec les adhérents (en délocalisant les réunions sur des sites industriels) composeraient le copieux volume de cet opus qui favoriserait la communication dans toute sa splendeur.
« Nous allons aussi relayer plus largement autour de nous ce que nos adhérents vivent et réalisent dans leur quotidien… ».
En terme clair, Florence POULAIN veut mettre les bouchées doubles dans sa stratégie en déclinant avec les moyens existants le faire-savoir des industriels icaunais.
Même si la communication au plan organisationnel serait dorénavant placée sous la responsabilité de Claude VAUCOULOUX, cette accro de l’info conserverait toujours la main dans le domaine des relations avec la presse. On ne se refait pas quand on aime le milieu médiatique !
Preuve que la Maison de l’Entreprise est bien vivante, le désir est fort de ne pas se complaire dans un doux ronronnement de facilité, un tantinet trop confortable.
« Il nous faut être à l’affût de tout en faisant montre de réactivité, ajoute la future promue.
Le renforcement de la présence patronale sur les réseaux sociaux sera l’une des clés préférentielles choisies pour conforter ce dynamisme relationnel vers les autres.
« Aujourd’hui, la Maison de l’Entreprise tisse des partenariats construits avec des entreprises locales, précise Florence POULAIN, dès 2020, nous irons plus loin en créant des évènements spécifiques lors de la semaine de l’industrie en imaginant un salon de la mobilité électrique durant cette manifestation en mars… ».
Bref, il semblerait que tous les feux soient passés au vert à la Maison de l’Entreprise où l’on ne s’interdit plus rien et où l’on désire collaborer avec tout le monde.
La nouvelle mission pilotée par Florence POULAIN se présente donc sous de bons augures. La dirigeante ne sera pas seule à vivre cet épanouissement en pratiquant l’art et la méthode d’un co-développement judicieux aux côtés de compétences positionnées autour d’elles (des satellites), voire externalisées en cas de valeur ajoutée supplémentaire.
« Nous allons travailler en mode projet, conclut-elle, cela nous permettra d’optimiser l’ensemble de nos capacités… ».
Un excellent terrain de jeu pour s’exprimer et faire éclore de nouveaux talents : tout ce qu’encourage précisément depuis son arrivée dans le landerneau icaunais, Claude VAUCOULOUX, dans son approche managériale. Florence POULAIN devient de facto la digne héritière…
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Biodiversité et handicap s’invitent aux petits déjeuners : le Grand-Sénonais sensibilise le milieu industriel…
octobre 29, 2019Existerait-il un dénominateur commun entre la biodiversité vécue dans l’univers industriel et le développement du travail en faveur des personnes en situation de handicap ? A bien des égards, oui, si l’on consulte le calendrier qui est posé en cette période automnale. Du 18 au 24 novembre se déroulera en effet sur notre continent, la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées. C’est cette thématique précise qui a retenu l’intérêt de la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais dans le cadre de ses rencontres proposées aux entreprises de son bassin géographique. En invitant ces dernières à découvrir le monde du handicap, l’organisme institutionnel souhaite pointer le curseur là où les choses doivent évoluer en France…
SENS : Entre sensibilisation et pédagogie, le Grand-Sénonais avance à fleuret moucheté dans sa relation privilégiée qu’il entretient avec le milieu de l’entrepreneuriat. S’octroyant le droit, au passage, d’apporter un fin éclairage sur la réalité professionnelle, vécue au quotidien, par des personnes victimes de handicap physique et mental.
Aussi, dans le cadre de son cycle régulier de rendez-vous distillés auprès des chefs d’entreprise du secteur, l’institution n’a pas hésité à faire un focus tout particulier sur cette thématique, souvent omise des préoccupations essentielles du grand public, pour s’y engouffrer bille en tête.
Le 21 novembre, en étroite osmose avec les services de LADAPT Bourgogne Franche-Comté, la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais apportera des éclaircissements concrets sur les attentes de ces personnes qui évoluent parmi la sphère industrielle de surcroît.
L’édile de Sens, et présidente de la vénérable collectivité intercommunale, Marie-Louise FORT convie les acteurs économiques à se rendre dans les locaux de la société ROSLER, implantée à Saint-Clément.
Les participants de cette rencontre y seront accueillis par le directeur général de la structure, Jean-Jacques ANDREU, en présence du maire de la commune, Gilles PIRMAN.
Le fournisseur mondial sur le segment du traitement de surface (grenaillage en combinaison avec des installations de lavage industriel) expliquera sa politique en matière de ressources humaines ; et la place accordée aux collaborateurs issus du handicap. Rappelons, pour mémoire, que 80 % des handicaps ne sont pas visibles…
Sensibiliser aussi à la protection de la biodiversité en milieu industriel…
Quelques jours auparavant, soit le jeudi 14 novembre, un premier petit déjeuner en entreprise aura été organisé chez un autre fleuron de l’industrie germanique sur le sol de l’Yonne, BASF CHEMETALL.
Le directeur du site sénonais, Patrick GRUBERT, recevra les entrepreneurs qui le désirent autour d’un thème nourri par la richesse de l’actualité : la biodiversité dans le monde industriel.
Un item qui parle à ce spécialiste du traitement de surfaces. Le site de Sens est très attentif à son environnement naturel. Une démarche en vue de protéger la biodiversité a même été statuée avec le concours précieux de l’association LPO (Ligue de protection des oiseaux). Employant une centaine de collaborateurs, BASF CHEMETALL Sens produit environ 90 000 tonnes de produits chaque année. Ils sont utilisés dans de nombreux secteurs industriels.
Ces deux dates, ainsi programmées sur le mois de novembre, demeurent libres d’accès, mais sur réservation, auprès de la direction du développement économique, commercial et de l’emploi du Grand-Sénonais.
Contacts utiles pour y prendre part : le 03.86.65.86.42., référence téléphonique de Paula LACOSTE.
Un article réalisé en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens.
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Le Pôle SVA national se fait attendre : défiSON rayonne pourtant tous azimuts auprès des industriels…
octobre 28, 2019La reconnaissance d’un futur Pôle de référence SVA (Son, vibration, acoustique) au niveau national correspond au Nirvana vers lequel la structure associative de l’Yonne, porteuse du concept depuis 2013, veut aboutir vaille que vaille. Seule la création de ce pôle se traduira en termes d’emplois en charge d’initier, de mettre en lien, d’accompagner et de suivre les projets de recherche et développement d’entreprises et organismes à vocation industrielle. En attendant ce résultat, les instigateurs du projet usent toujours de leur bâton de pèlerin à travers l’Hexagone pour y prêcher la bonne parole…
AUXERRE : Pour le collectif « défiSON », le quotidien se gère toujours avec un caractère d’urgence pour faire évoluer le concept et le mener à son terme. Plus que tout, la proclamation officielle d’un Pôle de référence SVA s’apparente à une inéluctable nécessité.
Surtout qu’à ce jour, vingt-deux projets R&D d’entreprises et un projet de territoire attendent dans les starting-blocks prêts à bondir et à démarrer ! Certains le sont depuis bientôt vingt-quatre mois !
Mais, pour générer les emplois indispensables au bien-fondé de ce concept, porté dans l’Yonne par la structure associative pilotée par Serge GARCIA, il n’existe aucune autre alternative que celle-ci préalablement citée ci-dessus.
Pour autant, le collectif ne reste pas les deux mains dans les poches en attendant que les choses se concrétisent.
Le mois d’octobre qui arrive bientôt à son terme aura été le théâtre d’heureuses initiatives. En particulier, la présence de défiSON au Salon Automotive Connection de Saint-Quentin-en-Yvelines, où la présentation du futur pôle national Son, vibration et acoustique s’est mué en véritable plébiscite.
Une douzaine d’entreprises industrielles enthousiasmées par le concept…
Invité à venir s’exprimer dans le cadre d’une conférence sur les innovations apportées en matière d’acoustique et de vibration pour l’industrie automobile, Serge GARCIA a pu recueillir le ressenti d’une douzaine de structures entrepreneuriales présentes sur ce rendez-vous. Et non des moindres, avec des références telles que FAURECIA ou TESA.
Ces entreprises ont initié des contacts directs et certains processus concrets pourraient être développés d’ici l’hiver. Un très bel encouragement à persister.
Autre moment clé de ce mois d’octobre : l’intervention sur l’acoustique assuré par l’universitaire Jean-François FONTAINE (plateforme O3PI) déclinée à l’occasion de la journée de speed business orchestrée par les plateformes technologiques du rectorat de Dijon.
Une entreprise, la société SAVOYE, présente lors de cette causerie du 17 octobre à Dijon, s’est dite intéressée par une résolution acoustique assurée par la plateforme technologique de Sens-Auxerre.
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