Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
ESCALIA déploie ses ailes : l’organisme de conseil et formation ajoute la gestion des paies à son savoir-faire…
septembre 12, 2019A compter du 01er janvier, l’entité offrira une nouvelle mais ô combien importante prestation supplémentaire à sa clientèle. La toujours délicate et complexe gestion des salaires. Une diversification stratégique qui traduit la volonté de déploiement de cette structure opérationnelle depuis novembre 2011 sur le territoire de l’Yonne. Elle supposera la création d’outils de communication…
AUXERRE : On connaissait jusque-là les diverses orientations professionnelles de la société. Depuis sa création, ESCALIA combinait astucieusement conseil en entreprise, b to b, management, organisation et optimisation budgétaire.
Au 01er janvier 2020, il sera de bon ton de rajouter une ligne complémentaire à ce panel déjà très éclectique de services et prestations, destinés à répondre aux besoins de sa clientèle.
Positionnée également en qualité de référent sur l’évaluation interne/externe et la formation au sein des EHPAD et autres établissements médicaux, ESCALIA développera d’ici peu l’activité de la gestion des paies.
Un conglomérat de possibilités supplémentaires qui englobera les démarches de ressources humaines simples et complexes, les procédures administratives dédiées, depuis l’embauche d’un collaborateur jusqu’à son départ de l’entreprise. En sus, la structure icaunaise apportera une cerise sur le gâteau, sous la forme de la gestion des carrières.
L’élargissement de ces appétences figure dans la logique des choses pour la directrice de la société, Sonia MOUFFOK. ESCALIA souhaite ainsi englober toutes les facettes de ce vaste kaléidoscope que représentent les métiers de la filière des R.H. De fait, la gestion de la paie s’inscrit parmi les évidences les plus naturelles qu’il soit.
« Nous voulons être un auxiliaire à l’aide décisionnelle aux entreprises, commente Sonia MOUFFOK, tout secteur confondu. L’objectif serait de débuter la prochaine année avec un portefeuille assez conséquent. Nous sommes capables de faire le pont entre l’analyse du risque entreprise et l’apport d’éléments indispensables à l’optimisation de la gestion interne… ».
Une première présence aux RIDY, assortie d’une campagne de communication…
Locataire d’un siège social au cœur du centre-ville, ESCALIA a eu recours à deux inconditionnels de la communication auxerroise pour moderniser le site multimédia et maîtriser sa future campagne publicitaire.
PROXILOG s’est penché sur la création d’un site évolutif dont la fonctionnalité sera opérante avant la fin septembre.
« Ce site contiendra un vrai contenu informatif transcris sous la forme d’un blog à terme, précise Sonia MOUFFOK, y seront édités des articles de fonds sur les ressources humaines et les éléments clés que doivent savoir les chefs d’entreprise, bref que de l’utile en vérité… ».
De son côté, l’agence BEES COM a peaufiné le plan média qui découlera de différentes actions de marketing qui seront à déployer afin d’élargir le champ des possibles de l’entreprise de service en matière de visibilité.
En outre, ESCALIA a fait le choix de participer cette année, et ce pour la première fois, aux Rencontres régionales de l’Industrie (RIDY), portées par la Chambre de Commerce le 03 octobre à Auxerre.
L’absorption de cette charge de travail supplémentaire se concrétiserait peut-être par l’embauche d’une personne en contrat à durée déterminée au cours du premier semestre 2020. Une première expérience dans l’entreprise avant de transformer l’essai ?
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Yonne : les exportations vers l’Asie s’envolent au second trimestre…
septembre 12, 2019L’un des élus de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Pascal MINET, l’a confirmé publiquement : les résultats enregistrés à l’export par l’économie icaunaise vers le continent asiatique progressent davantage cette année…
SENS : Déjà, ce mouvement haussier avait été constaté au terme de l’exercice antérieur. En particulier durant le quatrième trimestre 2018. L’augmentation des échanges commerciaux vers l’ensemble des destinations internationales s’était appréciée à hauteur de 14 %.
Mais, depuis, les exportations, et tout spécifiquement vers l’Asie, ne cessent de croître, provoquant le satisfecit de l’élu de la chambre consulaire, Pascal MINET.
L’expédition de produits icaunais vers les pays du Sud-Est asiatique équivaut à 32 millions d’euros de chiffre d’affaires réalisés. La moitié de ces échanges sont par ailleurs imputables à l’agriculture, notamment les orges de brasserie produites par la coopérative YCAUNAE.
Elles permettent de concevoir le malt, matière indispensable à la fabrication du breuvage national dans la plupart des pays de la région, la bière.
La sylviculture dont les essences en bois sont très recherchées en Extrême-Orient représente aussi une valeur sûre à l’international pour notre territoire. Le développement de la nouvelle ligne conteneurisée, entre la zone portuaire de GRON et le port de la capitale économique du Vietnam, Ho Chi Minh, inaugurée par LOGI YONNE et sa filiale asiatique, LOGI VIETFRANCE, ce jeudi 12 septembre, devrait à très court terme booster ces chiffres vers les sommets au vu des perspectives conjoncturelles.
Jusque-là déficitaires vers l’Asie, les velléités à l’international de l’économie icaunaise pourrait inverser très vite la tendance.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Pierre GOHAR : « Il existe de belles opportunités pour les entreprises ouvertes à l’innovation et à l’international… »
septembre 10, 2019A quoi bon investir des trésors d’ingéniosité et de technologie, si ce n’est pour servir le progrès ? Expert à la réputation de renommée internationale, exerçant ses activités professionnelles auprès des institutions, notre personnage possède une intime conviction. Il faut faire évoluer le contexte de production d’innovations. Dirigeant de www.deciderjuste.com, notre contributeur Philippe CARPENTIER qui accompagne les entrepreneurs lors de moments clés de leur existence a rencontré Pierre GOHAR. Extraite de son blog « 16h44 », son interview nous procure des éléments de réponse pour mieux comprendre cet expert de l’innovation…
TRIBUNE : Après avoir créé une start-up technologique et dirigé l’innovation dans les institutions de recherche les plus prestigieuses, Pierre GOHAR est devenu un expert réputé et incontournable dans ce domaine. Au CEA, en tant que directeur-adjoint de l’innovation au CNRS et à l’Université Paris-Saclay comme directeur de l’innovation, Pierre GOHAR a accumulé des connaissances précieuses de ce monde. Il a acquis des convictions qu'il met aujourd'hui au service de son entreprise WISIM (www.wisim.tech - Wisdom In Motion). La réflexion qu'il développe aujourd'hui est le fruit d'une longue expérience et d'une analyse méticuleuse du champ de l'innovation.
Pierre, pour choisir il faut qu'il y ait du choix. Mais le néophyte que je suis, a plutôt l'impression que l'innovation est rare, qu'en est-il ?
En fait, elle est pléthorique. Plus de 2,9 millions de brevets ont été déposés (dont 30 % chinois) en 2015. Au CNRS, on recense 4 500 familles de brevets. Mais la transition entre celui qui crée et celui qui exploite ne se produit que dans un cas sur cinq. Par ailleurs, souvent l'innovation naît là où les marchés ne sont pas les plus mûrs : elle émerge en France alors que son marché se situe en Asie, aux États-Unis, ou en Afrique...De plus, contrairement à ce que l'on peut croire, le potentiel d'innovation est immense au sein des PME traditionnelles, mais il faut bien connaître la PME, son métier, son histoire, ses équipes.
Justement, comment repérer les innovations à fort potentiel d'un développement durable ?
Pour être synthétique, je vous livre trois axes qui, une fois combinés, permettent de clarifier cet exercice apparemment complexe. Appréhender les innovations à partir de ces critères permet assez aisément de distinguer celles qui seront réellement porteuses, sur les plans économique, éthique et sociétal.
- Le premier axe tient à la notion de progrès.
Le progrès n’est pas l’innovation. Il y a des innovations qui ne servent pas le progrès. Une innovation qui s’inscrit dans le progrès respecte l’individu, la collectivité et l’environnement. Et ceci de façon durable. Les jeunes générations sont sensibles à cette notion du progrès car elles portent en elles-mêmes celle du sens. Or, aujourd’hui, le sens est devenu une valeur qui détermine l’engagement et qui met en perspective le besoin de réalisation de soi à travers des réalisations extérieures à soi. Dans certains pays, on voit actuellement apparaître, et même se substituer à la notion d’innovation, cette notion de progrès ou même de sagesse.
- Le second axe relève du marché, plus particulièrement de la compréhension des comportements des utilisateurs.
Nombre d’innovations ont échoué et échouent car les équipes en charge de la conception de celles-ci ne se sont pas intéressées aux comportements des utilisateurs. La difficulté de cet exercice est que les comportements varient selon les cultures. Donc, dès que l’on pense à l’international, il faut avoir une compréhension très spécifique des comportements des utilisateurs dans un contexte culturel différent. Cette compréhension s’inscrit aussi dans le progrès car elle replace l’individu au cœur du processus de conception d’une innovation. Et là, dans cette approche, nous ne sommes pas égaux sur l’échiquier international. En effet, on voit aujourd’hui que les pays qui sont performants en innovation ont des systèmes éducatifs qui intègrent une dimension collaborative dès les plus jeunes âges. Il est clair, dans ce cadre, que le système éducatif français, basé sur la compétition, n’est plus en phase avec l’émergence de ce monde nouveau.
- Le troisième axe, enfin, appartient au registre des valeurs.
Si les valeurs de l’entreprise, qui reflètent les valeurs du ou des dirigeants, sont basées sur des notions d’écoute, de respect, de bienveillance, qui sont toutes des piliers d’une intelligence collaborative féconde en créativité et production d’innovations, alors nous avons une base solide pour réussir dans ce monde nouveau dont nous ne percevons aujourd’hui que les prémices. Des enquêtes ont montré que les entreprises qui avaient intégré ces valeurs dans leur ADN avaient un indice élevé de sentiment de bonheur au travail de leurs salariés. Et également des performances supérieures à la moyenne. Une entreprise qui intègre ces trois axes dispose d’un fort potentiel de productions d’innovations durables. Elle est également prédisposée à développer une stratégie d’innovation collaborative que l’on appelle aujourd’hui « l’innovation ouverte » ou « open innovation ». L’open innovation est une des sources de productions d’innovations les plus performantes et elle est appelée à s’amplifier dans les prochaines années. Dans cette perspective, le rôle d’éco-systèmes, où peuvent se croiser des entreprises qui se situent dans des métiers différents, est particulièrement important.
Finalement, êtes-vous plutôt optimiste par rapport au contexte actuel ?
Je le suis complètement. J'entrevois aujourd'hui de très belles opportunités pour les entreprises qui s'engagent dans une dynamique de coopération et d’ouverture à l'international. Et en France, spécifiquement, ces approches peuvent se nourrir du riche potentiel de créativité des femmes et des hommes - pour l’entreprise, ses salariés - pourvu que les valeurs normatives qui stérilisent en permanence les visions rebelles - que ce soit au niveau de l’individu, de la collectivité, ou de la nation - soient réduites au silence.
L’application :
Considérez que chaque collaborateur peut porter un autre regard sur votre entreprise et booster le processus de création de valeur.
Réunissez votre équipe autour de ce sujet et emmenez-la à la découverte d'autres territoires.
Portez-vous volontaire pour un projet de mentorat de start-up.
Rencontrez l'incubateur le plus proche de chez vous.
Enfin, en tant que manager, impulsez une dynamique d’innovation ouverte !
Philippe CARPENTIER
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
La zone d’influence s’élargie pour PACK SECURITE : la société vise le développement optimal de ses marchés…
septembre 05, 2019Pourvu depuis peu d’une nouvelle agence fonctionnelle à La Chapelle Saint-Luc (Aube), ce leader régional de la gestion et de la prévention des risques pour assurer la sécurité des biens et des personnes étend un peu plus chaque jour sa zone de chalandise. Hormis la Bourgogne où la SARL possède déjà un solide ancrage depuis 2005, la structure pilotée par les frères BOUCHROU croît aussi en Ile de France où ses perspectives de développement apparaissent comme exponentielles…
APPOIGNY : L’effervescence est constante lorsque l’on s’immerge au beau milieu de cette entreprise qui assure des prestations de service bien au-delà de sa zone originelle. Un axe naturel qui englobe l’Aube (le secteur de Troyes vit une belle mutation économique) et l’Yonne. Mais pas seulement.
PACK SECURITE n’a jamais hésité à bousculer les codes du professionnalisme et de la performance ainsi que les frontières géographiques pour réussir, selon la volonté opiniâtre et affichée de son principal chef de file, le toujours dynamique Karim BOUCHROU malgré quinze années d’entrepreneuriat.
Aujourd’hui, la Côte d’Or et la Saône-et-Loire (avec des interventions estivales récentes déclinées autour de la célèbre manifestation des arts dans la rue à Chalon-sur-Saône) constituent l’un des terreaux privilégiés de l’entité sur le territoire bourguignon. Pour autant, la SARL où travaillent également en étroite osmose les deux frères du dirigeant, Nordine et Hafid, n’occulte jamais l’étude de nouvelles possibilités où son savoir-faire serait mis en exergue.
La nouvelle saison qui débute ne devrait en rien déroger à cette règle élémentaire : celle d’une croissance obtenue dès que possible.
« Nous sommes positionnés sur plusieurs segments d’activité, explique Karim BOUCHROU, notre objectif est de les conforter en y développant les services associés… ».
Dans la besace de ses prestations et services, PACK SECURITE déploie une véritable panoplie d’opportunités destinées à répondre aux desiderata des professionnels.
L’une des rares structures indépendantes de ce secteur d’activités…
Surveillance, gardiennage, alarme, sécurité incendie, sécurisation des évènements, y compris ceux du domaine sportif (les rencontres importantes de football disputées dans le quart Grand-Est) représentent le panégyrique hétéroclite de cette société très discrète qui n’occupe pas la tête de gondole des médias. C’est un tort !
Dans ce long inventaire à la Prévert, PACK SECURITE se développe aussi sur des secteurs où on ne l’attendait pas, à l’instar de la conciergerie ou des espaces verts. Et ce depuis près de deux ans maintenant. Là aussi, les idées se bousculent pour aller encore plus loin…
« Notre philosophie est simple, résume Karim BOUCHROU, la meilleure protection à apporter à nos partenaires passe par la prévention des situations dites de crise et surtout par la souplesse des interventions plutôt que par le déploiement d’un excès de force aveugle et qui, in fine, se révèle impuissante… ».
Membre à part entière du SNES, le Syndicat national des entreprises de sécurité privée, l’enseigne se targue d’être l’une des rares entreprises indépendantes de l’Hexagone à ne pas avoir à subir l’influence d’autres groupes dans le choix de ses orientations. Un positionnement qui sied très bien à la stratégie mise en place par Karim et ses frères en vue de faire perdurer longtemps une affaire à fort potentiel.
Eclectique, la clientèle de la société comprend des entreprises issues de l’aéronautique, de l’assurance, de l’automobile, des banques, des collectivités, du secteur de l’évènementiel et de la communication. Auxquelles il est indispensable d’ajouter le secteur industriel, la distribution, l’immobilier, le numérique, la logistique et la filière pharmaceutique.
Bref : un champ d’actions qui frise l’indécence tant les possibilités sont nombreuses !
Signalons enfin que la structure a aussi déployé un pôle audit, conseils et formations en parallèle de son panel de vastes prétentions.
Le groupe emploie au bas mot plus de trois cents salariés. Une force de frappe indéniable qui lui a permis de gravir progressivement les échelons conduisant au succès et de présenter un prometteur chiffre d’affaires de cinq millions d’euros au terme du dernier exercice.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Le Département procédera à un énième vote sur Bienvenu-Martin, ce collège qui n’en finit pas de fermer…
septembre 04, 2019Septembre revenu, la plupart des observateurs pensaient que la saga inhérente à la fermeture de l’établissement auxerrois était à ranger parmi les histoires closes de la saison écoulée. Que nenni ! Même si les 380 élèves de ce collège antépénultième érigé à la sauce Pailleron (vétusté et amiante garanties) ont été répartis depuis sur différents sites éducatifs de la capitale de l’Yonne, Bienvenu-Martin n’a pas encore mis la clé sous le paillasson. Mais, sa survie n’est qu’illusoire et dépendante de nouvelles décisions…
AUXERRE : On l’imaginait totalement fermé, il n’en est rien. On le savait perdu à brève échéance, mais il sera nécessaire de procéder encore à de nouveaux conciliabules, assortis d’un scrutin, pour condamner sine die le collège d’Auxerre de type Pailleron à clore ses portes. Sans doute, cette fois-ci, de manière définitive. Quoique !
Pourtant, Bienvenu-Martin n’accueille plus ses élèves ni ses enseignants et son corps administratif depuis quelques temps. Plusieurs mois, déjà après une série de mésaventures imputables à la vétusté des lieux. Cela a nécessité la suspension de son usage.
Ce gros navire sans âme ni personnel à son bord conserve néanmoins un capitaine qui essaie de garder le cap en vue de l’adoption de la meilleure des solutions. Surtout dans l’intérêt de ses élèves. « Ils demeurent ma priorité », concède le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD.
Tenant une conférence de presse, en préambule de la tournée des collèges de l’Yonne qui allait le conduire aux quatre coins du territoire, le chef de l’exécutif départemental ne pouvait occulter sciemment ce sujet si passionnel et passionnant sur le devenir de l’établissement du secondaire.
Or, devait-il rappeler tout de go à une assistance d’élus et de journalistes, « la fermeture de Bienvenu-Martin n’est pas de la compétence du président du Département… ».
Un dossier examiné lors de la session de reprise du Département le 27 septembre…
C’est au représentant de l’Etat, en l’occurrence le préfet de l’Yonne, d’entériner ou pas la décision via un arrêté spécifique. Il s’avère que ce dernier, Patrice LATRON, ne l’a pas paraphé. Conformément à une déclaration, datant du 06 mars 2018, où il s’était opposé à cette option.
Présente lors de la prise de parole du président GENDRAUD, l’inspectrice d’Académie, Annie PARTOUCHE, a pu fournir des explications complémentaires sur le cheminement de ce dossier. Celui-ci fera l’objet d’un vote le 16 septembre du Conseil départemental de l’Education nationale, le CDEN. Le résultat de ce scrutin sera ensuite transmis au Département. Ce qui génèrera de nouvelles discussions parmi les 42 élus de l’hémicycle. L’avis du CDEN à analyser constituera l’un des éléments attractifs de l’ordre du jour de la session de rentrée, le 27 septembre à la Pyramide d’Auxerre.
L’objet de ces discussions devant nourrir un nouveau vote où les élus de l’Yonne auront à prendre position entre le choix de fermer ou de maintenir le collège. Une nouvelle fois, devrait-on ajouter.
Et à l’issue de ce scrutin, ce sera au préfet Patrice LATRON, comme sur un air de déjà vu, de prendre ou non la décision de condamner les portes de l’établissement.
On n’ose à peine imaginer ce qu’il adviendrait de la gestion de ce dossier épineux en cas de refus du représentant de l’Etat…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99