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Les artisans pleurent la disparition du président des Chambres de Métiers : Bernard STALTER, ce passionné…
avril 14, 2020On le savait atteint de coronavirus depuis quelques semaines déjà. Placé sous l’étroite surveillance des équipes médicales dans une chambre du Nouvel hôpital civil de Strasbourg. Mais, en ce funeste lundi de Pâques, cet homme chaleureux à la moustache si emblématique et au franc parler nous a quittés. A l’âge de 63 ans alors qu’il occupait encore de nombreux mandats dont ceux de présidents de l’Union nationale des entreprises de la Coiffure (UNEC) et de la Confédération nationale des métiers et des services (CNAMS). En août dernier, il était subjugué par sa visite au CIFA de l’Yonne dont il découvrait l’univers pédagogique orienté vers le modernisme et les valeurs de l’excellence…Hommage.
AUXERRE : Profondément humain et maîtrisant à la perfection son sujet, celui de la défense des intérêts des artisans. Voilà ce qui ressortait des premiers échanges que l’on pouvait établir avec ce personnage de la vie entrepreneuriale et politique français, conseiller régional LR de son Alsace natale.
A la fin de l’été dernier, Bernard STALTER, sommité dans l’univers de l’artisanat et de la coiffure, effectua l’un de ses premiers déplacements de la rentrée dans la capitale de l’Yonne pour s’immerger au CIFA.
Depuis le temps que son ami Pierre MARTIN, ancien président de l’UPA et de l’UNEC, ayant à son actif plusieurs mandats présidentiels à la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, le taraudait avec ce site pédagogique d’exception à découvrir coûte que coûte !
La chose fut rendue possible grâce au travail collaboratif fourni par toutes les instances en présence qui virent dans ce déplacement l’opportunité de faire le point sur une situation conjoncturelle qui était à l’époque pour le moins alambiquée avec le mouvement persistant des Gilets jaunes.
Et surtout, pour le milieu de l’apprentissage, face à la grande effervescence qui régnait à l’amorce de ce mois de septembre. D’autant que depuis la promulgation d’un texte de loi (05 septembre 2018), les pistes du pragmatisme en matière de formation étaient quelque peu embrouillées. Notamment, au sujet du financement des CFA où les enjeux sont d’importance.
Ardent promoteur de l’apprentissage…
Le président de la CNAMS (Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et fabrication) Bernard STALTER n’avait pas manqué de s’entretenir de cet item essentiel en marge de sa visite au centre de formation de l’apprentissage de l’Yonne.
Porte-parole des artisans, pourvu de multiples cartes de visite corporatistes dans sa poche, Bernard STALTER avait pris soin ce jour-là de faire savoir sa stratégie juste avant l’amorce d’un automne chaud bouillant au plan social.
« Je travaille à la mobilisation générale de l’ensemble des métiers de service que je représente pour que le nombre d’apprentis augmente dans des filières qui en manquent cruellement : les métiers de bouche, le bâtiment, la coiffure. Certes, il y a eu par le passé quelques ersatz de mesures distillées par l’Etat pour tenter de remédier à la situation (des aides destinées aux petites entreprises qui s’octroyaient les services d’apprentis âgés de moins de 18 ans) mais cela n’aura guère eu d’effets à terme... ».
Réaliste et lucide, Bernard STALTER ! Le sémillant personnage avait même poussé avec bonhommie ses réflexions intellectuelles un peu plus loin dans les discussions. Appelant la France et les Français à lutter de toutes leurs forces contre la morosité ambiante dans laquelle le pays s’empêtrait. Du petit lait pour son auditoire d’un jour : Michel TONNELLIER, président du CIFA, Marcel FONTBONNE, son directeur, Christophe DESMEDT, président régional de l’U2P Bourgogne Franche-Comté (Union des entreprises de proximité), Jean-François LEMAITRE, président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne ou encore David MARTIN, président départemental de l’U2P.
Supprimer les faits divers pour valoriser l’entrepreneuriat !
Cette figure nationale au charisme incontestable souhaitait même à la surprise générale que les médias se mobilisent en ce sens en supprimant de leurs supports de diffusion la rubrique des faits divers trop anxiogène à son goût pour se consacrer à la valorisation de celles et ceux qui entreprenaient dans ce pays !
« Croyez-moi, concluait-il, on peut vivre heureux en France. Si tous les acteurs économiques et institutionnels collaborent ensemble à l’amélioration de notre pays, chacun y trouvera son compte… ».
Malheureusement, alors que l’on parle de changer les paradigmes de notre société après les affres de cette pandémie sans nom, Bernard STALTER n’aura pas eu le temps d’en apprécier les premiers effets. Son départ est un vide abyssal.
La voix des artisans de France s’est donc tue, définitivement. C’est sûr : elle va nous manquer…
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Une armada de mesures vitales pour l’économie : la Région débloque 68 millions dans un premier plan d’urgence…
avril 04, 2020L’effort est de taille. Mais, existait-il pour autant d’autres alternatives pour ne pas voir sombrer des pans entiers de l’économie régionale d’un seul tenant ? A l’issue d’une consultation numérique des élus de Bourgogne Franche-Comté, qu’elle souhaitait démocratique et unanime, la présidente de l’exécutif régional, Marie-Guite DUFAY, a présenté lors d’une conférence de presse ce vendredi en fin d’après-midi un premier train de mesures destinées à soutenir les milieux économiques fortement éprouvés. Avec à la clé une enveloppe de 68 millions d’euros…
DIJON : Dès le début de la crise sanitaire imputable à la propagation du coronavirus dans l’Hexagone, la Région Bourgogne Franche-Comté s’est engagée aux côtés de l’Etat pour préserver le tissu économique fortement impacté. Une série de mesures, prises en collaboration avec les partenaires nationaux et régionaux, a été décidée pour assurer la continuité des services régionaux, ceux de la formation, ainsi que le soutien indéfectible aux acteurs de la vie économique et associative qui sont perturbés par les effets néfastes de la pandémie. Evidemment, parmi cette série de dispositions, celles et ceux qui contribuent avec pugnacité et courage à lutter contre la pandémie ne furent pas oubliés.
Soucieuse de ne pas interrompre le champ démocratique propre à l’institution, la présidente de la Région, la socialiste Marie-Guite DUFAY, provoqua une consultation des élus régionaux par voie numérique ce vendredi afin d’informer, de concerter et de prendre les mesures d’urgence qui s’imposaient. Elle salua par ailleurs l’état d’esprit constructif qui régna durant cette assemblée un peu particulière tant au niveau de sa majorité que de son opposition. L’ensemble des élus lui donnant un quitus unanime pour que les mesures d’urgence proposées par la Région puissent rapidement se décliner sur le terrain.
Une commande de 4 millions de masques en deux temps…
Avant de détailler ce dispositif important qui constitue une véritable armada offensive pour répondre au plus pressé, Marie-Guite DUFAY évoqua la commande de quatre millions de masques protecteurs de type chirurgicaux et FFP2, en moindre quantité.
Une première livraison de deux millions d’unités sera livrée prioritairement aux EHPAD, aux personnels de soins à domicile et aux structures d’accueil de personnes handicapées. Et ce, dès lundi.
La seconde commande, effectuée de manière groupée avec les villes de Besançon et de Dijon, arrivera ultérieurement. Au total, ce sont trois millions d’euros de crédits régionaux qui ont été mobilisés pour ces achats.
Vint le temps ensuite d’aborder le gros de la conférence de presse : les mesures économiques prioritaires.
Un Fonds de solidarité nationale a été mis en place au bénéfice des très petites entreprises (TPE), indépendants et micro entrepreneurs. Considérant que ces derniers sont moins bien lotis que les PME pour solliciter le chômage partiel, les reports et obtenir des prêts garantis, la présidente de la Région a décidé de s’associer au projet de l’Etat (il est doté d’un milliard d’euros au plan national) en apportant sa contribution à hauteur de 8,5 millions d’euros pour le mois de mars. Ce fonds apportera 1 500 euros à leurs bénéficiaires, c’est-à-dire celles et ceux des entrepreneurs qui ont perdu au moins 50 % de leur chiffre d’affaires et qui ne sont pas soutenus par leur banque.
En outre, un fonds de solidarité territoriale est également apparu pour soutenir les entrepreneurs et indépendants qui ne sont pas éligibles au fonds de solidarité nationale. Dans l’absolu, la Région propose aux intercommunalités d’y prendre part financièrement. Le dispositif apporterait là-aussi 1 500 euros à leurs bénéficiaires aux mêmes conditions que citées précédemment.
On le sait les secteurs du tourisme et de l’évènementiel sont les principaux perdants de cette crise majeure. Fragilisées, leurs entreprises sont aujourd’hui exsangues. La Région a décidé de se doter d’un fonds d’urgence permettant, en plus des aides allouées par l’Etat et BPI France, de pourvoir leurs bénéficiaires d’une aide complémentaire afin de subvenir à leurs besoins de trésorerie et participer à la sauvegarde de leurs entreprises.
Concrètement, 2,5 millions d’euros seront destinés aux entreprises qui évoluent dans le secteur de l’évènementiel. Il en sera de même pour les hébergements touristiques. Cette aide forfaitaire s’élèvera à 5 000 euros.
Un prêt « Rebond » destiné à la trésorerie des professionnels…
S’adressant aux TPE et PME qui ont plus d’un an d’activité, ce prêt possède la caractéristique de pouvoir soutenir la trésorerie des structures entrepreneuriales dont l’activité est affectée par la pandémie actuelle.
D’un montant de 10 000 à 200 000 euros (dans la limite des fonds propres de l’entreprise), ce prêt à taux zéro d’une durée de sept ans bénéficie d’un différé de remboursement de deux ans. Il est mis en place avec le concours de BPI France.
La dotation de la Région de 4,5 millions d’euros permettra d’injecter directement et durablement près de 24 millions d’euros dans la trésorerie des entreprises. Cette mesure pourrait être abondée avec des fonds FEDER à hauteur de dix millions d’euros. Ce dispositif est complémentaire aux prêts garantis par l’Etat, accordés par les banques.
Le monde agricole bénéficiera d’un diagnostic filière par filière réalisé conjointement avec la DRAAF et la Chambre régionale de l’agriculture. Quant aux associations, dont les activités ont été stoppées nettes du fait de l’expansion de la pandémie, elles profiteront de deux mesures de soutien pour une enveloppe de 5,6 millions d’euros. Nous y reviendrons dans un futur article explicatif.
La Région a par ailleurs acté qu’elle soutiendrait en leur apportant des aides financières les élèves infirmiers, les kinésithérapeutes, les aides-soignants et les ambulanciers en stage.
Soucieuse de revaloriser leurs indemnités de stage, l’entité régionale leur attribuera une aide exceptionnelle allant jusqu’à 1 200 euros par mois complet de stage et à 300 euros par semaine, soit 35 heures de travail, si la durée du stage est inférieur à un mois. Près de 3 580 étudiants et élèves pourraient potentiellement profiter de ces subsides exceptionnels.
Les actions en faveur des lycéens et de leur famille, ainsi que les mesures prises dans le cadre de la formation professionnelle, abordée ce vendredi, feront l’objet d’un article spécifique. Afin de détailler les aides existantes.
Première chose tangible toutefois : la dotation gracieuse de 650 ordinateurs et tablettes informatiques qui sont destinés à équiper les lycéens qui n’en possédaient pas encore.
Quant au dossier « transport », signalons parmi les gestes forts de la Région : la suspension du prélèvement des abonnés annuels opéré fin mars pour les usagers du TER, la gratuité pour les personnels soignants (TER, lignes routières, MOBIGO), l’organisation des transports pour les enfants des personnels soignants et ceux des forces de sécurité intérieure, l’adaptation, enfin, des plans de transport.
Reste l’Europe qui peut offrir des mannes financières si précieuses. Marie-Guite DUFAY a demandé, au titre d’une aide d’urgence, une enveloppe globale de 20 millions d’euros de fonds européen. Dix millions se destineraient aux infrastructures, équipements et investissements dans les systèmes de santé pour faire face à la crise. Le reliquat concernerait les PME et leurs besoins en fonds de roulement si durement impactés aujourd’hui.
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Etat des lieux dans l’Yonne : le coronavirus a emporté 29 personnes depuis le début de la pandémie
avril 04, 2020Le point complet de la situation sanitaire, voulu ce vendredi en fin d’après-midi par le préfet de l’Yonne Henri PREVOST avec la presse, permet d’y voir nettement plus clair, chiffres à l’appui, sur la progression du COVID 19 et son impact réel sur notre territoire. L’infection virale a tué à ce jour 29 personnes dont dix-neuf pensionnaires d’EHPAD. L’accélération virologique est observée depuis le milieu de la semaine dernière ce qui fait dire au représentant de l’Etat qu’il ne faut relâcher en aucune manière la pression. Notamment sur le sacro-saint respect des mesures de confinement…
AUXERRE : Faut-il prendre du recul en relativisant quelque peu sur la « faible » mortalité observée dans notre département malgré le degré dramatique de la situation ou faire profil bas en attendant le summum de l’infection qui pourrait survenir avec force d’ici quelques jours ?
Pour l’heure, le coronavirus a presque « épargné » la zone septentrionale de la Bourgogne. A l’instar de la Nièvre voisine, où seulement (et fort heureusement) quatre décès sont à déplorer.
Les données statistiques communiquées par la représentante départementale de l’Agence régionale de santé, Eve ROBERT, plongent les observateurs dans une certaine expectative.
C’est sûr : la situation de l’Yonne n’est pas comparable à celle vécue par d’autres secteurs géographiques de la Bourgogne Franche-Comté comme la Côte d’Or, la Saône-et-Loire, le Doubs ou le Jura.
Mais, attention : pas de réjouissances intempestives à avoir. L’heure est d’une gravité extrême, y compris sur les deux départements les moins impactés à l’heure actuelle par l’épidémie.
D’ailleurs, Henri PREVOST, comme le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD invité à cette conférence de presse participative, l’ont fermement rappelé : « il n’y aura aucune tolérance au relâchement des efforts en matière de protection… ».
Une vision chiffrée servie avec exactitude…
Où en sommes-nous exactement à ce jour ? Du côté des centres hospitaliers, Eve ROBERT précisa dans le détail que 42 personnes atteintes de la pathologie avaient été admises depuis le début de la crise sanitaire à Auxerre. Douze d’entre elles étaient soignées de manière intensive en service réanimation. Cinq décès ont été malheureusement constatés.
Dans le nord de l’Yonne, à Sens, ce sont 41 malades infectés par le coronavirus qui ont été traités au centre hospitalier. Huit patients se sont retrouvés en réanimation. Le nombre de décès est égal à celui enregistré à Auxerre (5). D’autres malades ont été placés dans les hôpitaux de Tonnerre (5), de Joigny (9) et d’Avallon (5).
Pour la première fois, la physionomie de la situation sanitaire en EHPAD a pu être abordée avec certitude. Sur les 69 établissements que compte le territoire de l’Yonne, quarante d’entre eux sont directement concernés par la propagation de la pandémie. Cent-quatre vingt cas suspects de coronavirus y ont été dénombrés aussi bien parmi les résidents que le personnel soignant. L’infection a, quant à elle, condamné dix-neuf personnes.
Note positive, enfin : 211 volontaires sont venus renforcer les équipes sanitaires dans ce combat quotidien. La plupart sont des généralistes ayant déjà fait valoir leurs droits à la retraite.
Preuve que la mobilisation des compétences et des bonnes volontés se présente comme une alliée utile pour éradiquer la maladie.
D’autres thèmes ont été évoqués lors de cette conférence de presse virtuelle : nous y reviendrons dans un prochain article…
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Malgré le contexte inédit imputable à cette crise sanitaire et économique hors normes, l’organe institutionnel régional continue de fonctionner. Et de respecter ainsi les valeurs citoyennes qui lui sont inhérentes. Une consultation entre élus régionaux est programmée ce vendredi après-midi par voie numérique. Ainsi va la vie démocratique…
DIJON : Les travaux de l’assemblée régionale doivent se poursuivre : il en va de la pérennité de la démocratie et de ses institutions. Face à une situation sans précédent, l’adaptabilité reste donc la meilleure des réponses pour que puissent s’effectuer des débats démocratiques.
En ces moments de crise majeure, la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, propose de conserver ce fil ténu de la communication et du dialogue avec les élus de notre territoire lors d’une consultation. Celle-ci est prévue ce vendredi 03 avril et réalisable par le biais de l’outil multimédia.
Il s’en suivra, par ailleurs, une conférence de presse tout aussi virtuelle. Un temps d’échange avec la presse afin de faire le point sur les derniers développements d’une actualité sanitaire et économique intense.
Cet échange interactif s’effectuera en présence de Bernard STREIT, directeur de la Place financière de Bourgogne Franche-Comté et de Charles-Eric BALTOGLU, directeur régional de BPI France.
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Une star du ballon rond version audiovisuelle à l’AJA Association : Hervé MATHOUX retrouve ses amis !
mars 31, 2020A l’instar de ceux dont ils vantent les prouesses sportives, il ne maîtrise pas les subtilités techniques du ballon rond sur le terrain. Pourtant, le fait de narrer les péripéties de ce sport universel dont il est accro depuis plusieurs années en a fait une incontournable figure cathodique sur la chaîne cryptée. Auteur d’un documentaire très fouillé, notre confrère de l’audiovisuel aura pu tester sa cote de popularité auprès d’inconditionnels personnalités de la discipline, membres de l’AJA Association…
AUXERRE : C’est presque en pays conquis telle une visite rendue à des amis que l’animateur vedette de « Canal + » Hervé MATHOUX est venu projeter sa première réalisation audiovisuelle, un documentaire d’une cinquantaine de minutes, véritable introspection réalisée dans les coulisses du football dans la capitale de l’Yonne.
L’évènement s’est déroulé, il va sans dire, quelques jours avant les mesures de confinement prises par le président de la République dans la lutte contre la propagation du coronavirus.
Répondant par l’affirmative à l’invitation du président de l’AJA Association, le toujours dynamique et truculent Alain GEHIN, le journaliste vedette du « Canal Football Club » aura clos l’assemblée générale de la structure associative, réunie à cet effet dans l’une des salles de cours du lycée des métiers Vauban (voire article paru à ce sujet).
Après la diffusion de ce moyen métrage, que bon nombre d’abonnés de la chaîne cryptée ont eu l’occasion de visionner, Hervé MATHOUX était invité à prendre la parole et à engager le débat avec en face de lui des spécialistes émérites de la pelouse rectangulaire.
Un auditoire de choix puisque figuraient parmi ce public de qualité supérieure au sens footballistique du terme, l’inoxydable Guy ROUX, l’ancien international Jean-Alain BOUMSONG, le président de l’AJA Francis GRAILLE, son directeur sportif Cédric DAURY, Baptiste MALHERBE, directeur du club ou encore Yves BIRON, l’élu Auxerrois en charge des sports, dont c’était l’ultime apparition officielle avant le premier tour des échéances municipales.
« On refait le match » pendant plus d’une heure…
Bref du beau linge pour argumenter, réfléchir, comparer, évoquer, disserter et parler du football près d’une heure durant. Un débat qui avait pour maître de cérémonie Alain GEHIN qui assurait le contrôle du temps, aidé par Christophe REMY, de la société PROXILOG, aux manettes techniques pour assurer la fluidité des opérations.
Naturellement, Hervé MATHOUX fit aussi allusion avant de conclure aux droits télévisuels de la future saison 2020/2021 et de la nouvelle configuration médiatique pour la couverture du championnat de Ligue 1.
Avec une restriction de l’offre manifeste pour les abonnés de la chaîne cryptée qui connaissaient jusqu’alors une large amplitude de matches à suivre à chaque week-end et une répartition de ces derniers en tranches horaires quelque peu différentes de la formule usitée depuis tant d’années. C’est un vrai coup de semonce qui se profile dans le monde du football et de la télévision. Mais, que les suiveurs se consolent : ce sera toujours mieux que rien à côté de la disette sportive de l’instant…
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