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L’édition reste une galère pour les impétrants écrivains ou les écrivains putatifs : des conseils à compte d’auteur !
octobre 26, 2021Tout le monde veut écrire, c’est sans doute une bonne chose. Mais, nous sommes de moins en moins nombreux à lire des livres. Les librairies diminuent à cause des tablettes. La concurrence des ventes par correspondance s’est accélérée avec la pandémie. L’e-book progresse : en 2019, le livre numérique intéressait 5 % des Français avec 2,3 millions d’exemplaires vendus contre 29 millions de livres papier. Les maisons d’édition souffrent : librairies temporairement fermées, séances de dédicaces en berne et pas d’aide particulière de l’Etat…
TRIBUNE : Nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir raconter notre histoire (conséquences d’une société narcissique ?). Pour ceux qui souhaitent faire appel à un « porte-plume », donc utiliser une main d’œuvre extérieure, il faut compter sur un budget de 60 euros de l’heure ou en moyenne sur une somme de 3 000 euros. La volonté de transmettre l’histoire familiale n’intéressera que la famille des personnes concernées…Mais pourquoi pas ?
Pour les écrivains en mal d’éditeur, on peut conseiller de cibler, lorsque c’est possible, les spécialités de la société d’édition : policier, histoire, poésie…
Face à la pléthore d’éditeurs possibles, souvent les novices procèdent au hasard en utilisant un moteur de recherches sur Internet. Conforme à la moyenne européenne, la France compte près de 10 000 éditeurs. Dans le trio des plus importantes citons : Gallimard, Flammarion et Milan.
Si la plus ancienne maison d’édition est « Hachette » (1826) pour la France, soulignons que l’une des plus vieilles de la planète, c’est la « Cambridge University Press » née en 1534 en Angleterre ! Il n’est guère étonnant que Cambridge soit l’une des meilleures universités de la planète !
Le parcours du combattant selon les différentes éditions…
Il existe trois types d'éditions en France : l'édition à compte d'éditeur est la plus connue et la plus sollicitée. L’éditeur accepte votre manuscrit et prend à sa charge tous les frais. Parfois, il peut même verser une avance avant même d’avoir reçu le manuscrit ! C’est le nirvana pour un auteur…
Publié chez « Michel Lafon », mon ouvrage « Tous les banquiers ne finissent pas en prison…Moi c’était dans la rue » a pu bénéficier de cette situation avantageuse. Pour la promotion de l’ouvrage trois attachées de presse : une pour le plan média national, une pour le régional et une autre qui partait à la recherche d’un producteur de cinéma ! Résultat après de nombreuses télés, radios nationales, journaux quotidiens, magasines, dédicaces rencontres dans de grandes librairies : plus de 6 000 exemplaires se sont vendus.
Sans médiatisation, les ventes vont être difficiles. Dans ce cas, il faut viser les médias régionaux, journaux, radios locales…
L'autoédition se répand à vitesse grand V. L’auteur s’occupe de tout (impression, diffusion, promotion…). C’est la certitude d’être édité mais les contraintes découragent souvent les velléitaires de l’écriture !
Et enfin, l'édition à compte d'auteur/ Elle est souvent confondue à tort avec la première, pour le plus grand désarroi des jeunes auteurs. L'édition à compte d'auteur consiste pour un auteur, à faire éditer ses ouvrages par un éditeur qui assure seulement la partie technique de l'édition et de la diffusion, en dehors du choix éditorial proprement dit.
C'est donc l'auteur qui paie les frais d'impression et de publicité de son livre. Certains éditeurs proposent de prendre en charge l’impression : on imprime qu’à la demande et de fait, l’auteur ne fait aucune avance. On peut donc aujourd’hui éditer sans bourse déliée. Attention aux éditeurs peu scrupuleux, aux annonces alléchantes « éditer gratuitement votre ouvrage, réponse assurée sous quinze jours ». Retenez que certains éditeurs ne répondent jamais, que d’autres demandent une participation de 800 ou 1 000 euros pour la correction des textes, en arguant du fait que la diffusion est impossible sans la participation d’un correcteur agréé. Argument fallacieux à plus d’un titre : il n’existe pas de correcteurs agréés, pas plus que d’impossibilité de diffusion, si ledit correcteur n’intervient pas. Restez vigilant, si c’est gratuit cela doit l’être jusqu’au bout !
Censure et chausse-trappes à tous les étages…
Au cours de ma carrière d’écrivain, j’ai eu le privilège d’éditer deux autobiographies à compte d’éditeur, un recueil de poésies comme auto éditeur et une dizaine de recueils de poésie à compte d’auteur chez quelques sociétés d’édition.
Lorsque je souhaite une couverture personnalisée, je règle aujourd’hui une centaine d’euros, mais ce n’est pas imposé par mon éditeur. Tous les autres services proposés par l’éditeur, et payants, sont souvent inutiles : référencement sur des sites, invitation dans des « salons du livre ». Les « salons du livre » sont à votre charge (emplacement, hébergement, transport…) et ne concernent que les vedettes locales.
La majorité des auteurs présents ne sont que les faire-valoir des invités vedettes ! Pour la promotion, notons l’intérêt des réseaux sociaux, les contacts directs avec les correspondants de presse des journaux locaux, les radios locales.
Depuis plus de dix ans, Radio Avallon m’a toujours accordé des interviews lors de la publication de mes ouvrages ! Il est important de rédiger un texte de présentation et un CV personnalisé qui montre vos motivations pour sortir le livre. Une dernière précision : très récemment, je me suis vu refusé mon dernier manuscrit par quelques maisons d’éditions.
Mes poèmes constituent des pamphlets tournés contre le pouvoir, les ministres et notre président. Rien de méchant mais une forme de journal traitant nos élus à la manière des « chansonniers » d’hier. Souhaitant quelques précisions j’ai obtenu les précisions suivantes : « impossible d’éditer ce texte, trop engagé », « nous ne voulons pas de problèmes », « cela peut choquer certains de nos auteurs ou de nos lecteurs »…
Cerise sur le gâteau : « Il n’y a plus de liberté d’opinion aujourd’hui » et « allez chez Amazon, ils éditent n’importe qui » ! C’est sans doute cela la gloire du poète, se faire rejeter comme Eric ZEMMOUR et ultime consécration, le poète embastillé pour propos inconvenants !
Madame « Anastasie », bonjour ! On pourrait dire anesthésie ! Retenons que l’origine grecque d’« Anastasie », c’est « résurrection » : la liberté ne meurt jamais. Pour les plus jeunes d’entre nous, « Anastasie », c’est le nom donné à la censure en France dès 1914 !
Tout le monde peut écrire et se faire publier à peu de frais, mais restons prudents, si la poésie et la dramaturgie font partie des arts majeurs, tout le monde ne pourra pas signer es qualité « artiste ».
La publication à la portée de chacun de nous, c’est sans nul doute une bonne chose offerte par le monde moderne. Attention, il faut beaucoup de travail : écrire, réécrire, corriger au moins cinq ou fois le texte, se faire corriger par un ou plusieurs amis ou membres de la famille.
Mon expérience : je me relis au moins une fois oralement, cela me permet de relever certaines erreurs, et lorsque je trouve que mon travail ne vaut rien et que c’est à vomir, là, j’arrête tout et il est temps d’envoyer le manuscrit à un éditeur ! « Sans travail, le talent n’est qu’une sale manie ». Georges Brassens.
Jean-Paul ALLOU
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L’Aillantais va organiser sa première « donnerie », préalable logique à une future recyclerie ?
octobre 26, 2021Organisée avec le concours du Syndicat mixte des déchets Centre-Yonne et de l’association C3V Maison citoyenne, la première manifestation conçue autour du principe d’un don (une « donnerie ») sera proposée sur le canton d’Aillant-sur-Tholon le 06 novembre de 14 à 18 heures. Dans la perspective de créer prochainement une « ressourcerie » sur le territoire…
MONTHOLON : La Communauté de communes de l’Aillantais est à l’initiative de cette opération menée en partenariat avec le Syndicat des déchets du Centre-Yonne et l’association C3V Maison citoyenne.
Les visiteurs pourront apporter le jour « J » des objets qu’ils n’utilisent plus, en bon état, pour leur donner une seconde vie (CD, jeux, outils, etc.) tout en repartant, s’ils le désirent, avec ce dont ils ont besoin !
En parallèle, une intervention sous le format d’une table ronde sera assurée par les responsables de « La Californie », concept de « ressourcerie », implanté depuis plusieurs mois à Toucy et labellisé par France Relance en juillet dernier.
Car, au-delà du prétexte vertueux de ces échanges standard entre personnes de bonne volonté sous l’égide d’un don, l’organisme institutionnel et ses partenaires réfléchissent à la création d’un futur lieu permettant de donner une seconde chance aux objets. A l’instar de ce qui pratique déjà dans la capitale de la Puisaye !
En savoir plus :
Organisation de la « donnerie » à la salle de la mairie de SENAN le 06 novembre, de 14h à 18h.
Une table ronde avec la présence des responsables de La Ressourcerie de Toucy est également prévue de 16h30 à 17h15.
Contact :
Tel 03 66 25 72 61 ou par mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Thierry BRET
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Un maestro en cuisine pour un repas d’exception chez METRO !
octobre 25, 2021La sixième édition de la Journée des Restaurateurs et des Commerçants Indépendants a été organisée chez METRO. Plusieurs personnalités dont la députée Michèle CROUZET y participaient. Répondant ainsi à l’invitation de Philippe BULANT, le directeur de l’enseigne, qui proposa un rendez-vous placé sous le signe de la fête des papilles et de l'enchantement…
AUXERRE : Ce fut un déjeuner de partenariat servi au restaurant éphémère, installé de toute pièce chez METRO. Et quel déjeuner ! Un vrai menu gastronomique, confectionné par l’un des maîtres étoilés du Michelin dans l’Yonne : Franco BOWANEE.
Le chef du Château de Vault-de-Lugny a su faire rayonner au fond des assiettes des produits de saison, agrémentés à ses recettes culinaires.
« C'était une très belle journée, une très belle initiative », commenta ravie Michèle CROUZET, députée de la troisième circonscription, présente en ce rendez-vous des plus agréables.
METRO et toute son équipe avaient mis en effet les petits plats dans les grands pour faire de cet instant exceptionnel, un moment inoubliable placé sous l'entente chaleureuse, conviviale et constructive.
L’enseigne a honoré les restaurateurs et commerçants de l’Yonne qui ont su se mobiliser durant les périodes difficiles de ces confinements successifs imputables à la crise sanitaire. Ce sont ces mêmes restaurateurs qui se sont démenés, en essayant d'innover, de construire des stratégies économiques pour ne pas perdre courage face aux aléas conjoncturels. Ils ont eu la volonté de continuer à distribuer des repas, sans pour autant rentrer en concurrence avec les producteurs locaux.
De son côté, le directeur de METRO Auxerre, Philippe BULANT, a mis en place une stratégie s’appuyant sur la création d'un marché d'intérêt local en vue de favoriser la présentation et l'essor des produits de saison. Le but étant de redynamiser la filière des producteurs locaux, agriculteurs, céréaliers, maraîchers certifiés bio...
Cette vitrine locale est encouragée par des centres de formation professionnelle à l’instar du CIFA ou de l'IFAG, d’organisations patronales dont le MEDEF, des établissements spécialisés dans la confection de produits alimentaires du cru comme « Le BORVO » ou les « FESTINS » de Bourgogne.
On notait aussi la présence de Géraldine HERQIX, de la gérante de la pizzéria « SHACKNP (La Cabane à pizza) à Vincelles où ses produits sont concoctées avec du fromage de chèvre venant de la chèvrerie de Saint-Bris-le-Vineux ou des légumes de la Ferme de Saint-Georges.
Acteur économique incontestable au cœur de la filière des métiers de bouche, METRO se positionne sur cette dynamique de valorisation des produits de saison, prenant en compte la qualité nutritionnelle de notre alimentation. Un item qui titille positivement aux oreilles de Michèle CROUZET puisque la parlementaire a présenté différents travaux sur cet item dans le cadre de la commission d’enquête sur l’alimentation au Palais Bourbon.
Merouan MOKADDEM
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Le millésime 2021 auréolé : la coupe est pleine pour Eugénie DORANGE, Sandrine BONNAIRE et Nelson MONFORT !
octobre 24, 2021Dame Nature n’aura pas rendu l’accouchement très facile. Mais, le millésime 2021 est enfin là et les vignerons du Chablisien peuvent bien faire la fête le temps d’un week-end. Comme de tradition, c’est dans le village choisi pour accueillir la prochaine Saint-Vincent de l’appellation que s’est déroulé ce samedi à Fleys le baptême du millésime de l’année. Porté sur les fonts baptismaux par deux parrains de renom : l’icaunaise et athlète internationale Eugénie DORANGE ainsi que le charismatique journaliste et présentateur sportif Nelson MONFORT.
FLEYS : Comme l’a rappelé dans son introduction le président de l’Office de Chablis, Patrice VOCORET, s’adressant aux parrains du jour : « Votre tâche sera difficile, la gestation de votre filleul fut éprouvante ! ».
Pour preuve la succession d’aléas climatiques qui ont émaillé l’année écoulée, des gelées noires d’avril aux épisodes pluvieux propices aux maladies, pour en arriver à un calendrier de vendanges rendu plus compliqué encore par la météo de septembre.
Prenant la parole à son tour, le maire de Fleys, Stéphane AUFRERE, a profité de la circonstance pour rappeler ce qu’était la réalité de la commune : « Ce n’est pas la peine de vérifier que votre téléphone fonctionne, c’est simplement qu’il ne passe pas ! Pour Internet, ce n’est guère mieux. Par contre, nous sommes admirablement bien desservis par la D 965 qui coupe le village en deux ! ».
La coupe était pleine au moment de l’intronisation !
Mais ce samedi matin, l’heure était à la fête et à la traditionnelle séance de mise en bouteille du millésime. Une tâche à laquelle se sont prêtés de bonne grâce et avec le sourire la championne de canoë-kayak et l’icône polyglotte des commentaires sportifs. Et pour ceux qui jugeraient l’exercice trop facile, vous pouvez toujours vous entraîner, rendez-vous dans un an !
Après l’effort, place aux récompenses ! La matinée s’est poursuivie par l’intronisation dans la confrérie des « Piliers Chablisiens » de la marraine et du parrain, élevés tous les deux au rang de stylobate.
Un exercice, là aussi périlleux, si l’on en juge par la réplique de Nelson MONFORT : « Ils m’ont servi une demi-bouteille ! ». N’hésitant pas à verser le trop plein servi, dans le réceptacle de sa voisine, qui en sa qualité de Bourguignonne de l’étape, a assuré… La coupe était pleine !
Un ban bourguignon de haute tenue a ponctué la cérémonie, suivi de l’hymne de bon aloi, « Joyeux enfants de la Bourgogne », repris en chœur par la centaine de personnes présentes.
Au premier rang desquelles, figurait la présidente de cette 73ème Fête des vins chablisiens, la comédienne Sandrine BONNAIRE…
Dominique BERNERD
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Le club enregistre une progression de 10 % de ses sponsors : partenaires au cœur fidèle au RCA !
octobre 23, 2021Pas de désaffection à observer parmi les partenaires qui soutiennent avec un réel enthousiasme le club icaunais. Celui-ci évolue en Fédérale 3 cette saison. Bien au contraire ! Le président David PARIZOT s’est même félicité du renchérissement des aides financières de la part de certains majors historiques. Et de l’adhésion de dix pour cent de partenaires supplémentaires !
AUXERRE: Oubliées les affres de la COVID et ce goût d’inachevé, voire de profonde amertume, pour les aficionados du Rugby Club Auxerrois. Avant que le terme de la saison 2020/2021 ne s’achève aussi brutalement du fait de la crise sanitaire, le club pointait à une prometteuse quatrième place, révélatrice de talents et de belles espérances pour la montée en division supérieure.
Le sport a donc repris ses droits cet automne. A la grande satisfaction des dirigeants de la structure sportive et surtout du saint des saints de ces fidèles : les partenaires.
Ils étaient récemment une centaine de ces précieux auxiliaires de la réussite collective à se retrouver dans l’un des salons de la nouvelle infrastructure.
Au programme, la découverte d’une séance d’échauffement de l’équipe A qui occupe la cinquième place d’un championnat âpre et difficile, emmené par le club d’Issoudun.
De réelles ambitions d’accéder à la division supérieure…
L’occasion était donnée à David PARIZOT de rencontrer les nouveaux adhérents de ce club business où échanges et convivialité vont de pair.
« Les partenaires doivent s’imprégner de l’atmosphère sympa qui règne au sein du club, confiait-il enthousiaste, assister à des séances d’entraînement permet aussi de côtoyer les joueurs qui nous rejoignent après coup et que ces derniers puissent aussi constater que leurs efforts sont suivis et encouragés par beaucoup… ».
D’ailleurs, l’exercice au-delà des rendez-vous plus festifs autour d’un déjeuner ou d’un dîner se réitèrera au fil de la saison. Histoire d’accroître cette complémentarité naturelle entre les faiseurs de roi (les partenaires) et les esthètes de l’ovalie (les joueurs et leurs entraîneurs).
D’autant que les ambitions avouées par David PARIZOT sont simples pour cette saison : poursuivre sur la dynamique de la saison dernière et accéder aux play-offs. Soit être classé parmi les quatre prétendants à l’accession !
« On a tout misé pour y parvenir, lâche le président du club, confiant envers ses protégés.
Autre motif de satisfaction : la fidélisation de ses partenaires. Non seulement, la plupart des sponsors historiques du club (EIFFAGE, SUEZ, EUROVIA, LECLERC…) ont rajouté de l’eau au moulin de la source financière cette saison. Mais, en outre, le nombre de nouveaux partenaires a grossi de 10 % !
L’épisode de la COVID semble donc loin derrière au RCA : personne ne s’en plaindra manifestement !
Thierry BRET
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