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Clin d’œil : la « matheuse » Eve GILLES (Miss France 2024) découvre Sens et sa foire exposition, le compte est bon !
mai 02, 2024Décidément, on se souviendra longtemps de cette 95ème édition de la Foire de Sens ! Une manifestation qui ne ressemble déjà pas à une autre en temps ordinaire mais qui là, à attirer davantage de public et de médias dans ses travées lors de la visite de cortèges VIP bien distincts et inédits ! On ne reviendra pas sur la venue du président du RN Jordan BARDELLA qui avait biffé sur son agenda l’ancienne capitale des Sénons pour tester sa popularité à un mois des européennes. Autre registre, autre figure avec la ravissante Miss France 2024, Eve GILLES, qui s’est prêtée au jeu des arrêts sur stands en compagnie de l’édile Paul-Antoine de CARVILLE…
SENS : La foire de Sens vire au people, c’est certain ! Et ce, de toutes tendances confondues ! Après le personnage politique – Jordan BARDELLA qui s’est greffé sur la manifestation l’une des plus populaires de France en termes de fréquentation, du fait de sa configuration géographique, tout autour de la ville – c’était au tour de la vedette cathodique et des magazines glamour, la Miss France 2024, de venir faire le petit tour dominical qui va bien à la rencontre de ses fans et de son public, un tantinet féminin de surcroît.
La nouvelle ambassadrice des mathématiques en France – si, si, c’est du sérieux ce titre honorifique lui a été décerné par le Premier ministre car la jeune femme de vingt ans possède une licence dans la discipline – découvrait pour la première fois de sa jeune existence la traditionnelle foire expo sénonaise, ses exposants, ses us et coutumes, son sens de la fête.
Souriante et affable, ce sont les premières des qualités que l’on exige de ces belles personnes qui incarnent la dimension tricolore à l’international mais aussi dans l’Hexagone, Eve GILLES n’a pas boudé son plaisir de se retrouver en compagnie d’un guide lui narrant tous les explicatifs sur sa ville, Paul-Antoine de CARVILLE, en se promenant dans les belles allées gorgées de professionnels de l’artisanat, du commerce et des services. Le public lui a bien rendu en multipliant selfies et séances d’autographes avec finalement la « première dame de France », côté représentativité !
Une foire qui se « peoplise », quoi de plus naturel en somme pour ce type d’évènementiel accueillant du public. Forcément, il y aura eu aussi des retombées économiques pour les 300 exposants et les professionnels de la ville. Elle n’est pas belle la vie ? Si, comme le sourire éclatant d’une Miss France !
Thierry BRET
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Le chiffre, véritable marqueur référentiel, correspond déjà à une première étape symbolique, venant d’être franchie. 2 500 ! C’est le nombre de systèmes de télé-relève (et non pas de simple « compteur » d’eau comme le rappellera fort judicieusement le directeur de l’agence SUEZ Bourgogne-Champagne Fabrice LABALME) qui vient d’être installé dans l’Auxerrois. Un déploiement technologique devant s’étendre jusqu’à fin 2025 sur les vingt-huit communes de l’agglomération. Avec in fine, un double objectif : préserver la ressource en eau et surtout apporter des services novateurs aux usagers…
LINDRY : « On ne touche pas à l’existant, mais on vient se greffer sur le compteur déjà existant… ». Il n’est pas avare en commentaires techniques lors de sa présentation, le patron du groupe SUEZ Bourgogne-Champagne Fabrice LABALME. Invité à expliquer les objectifs et enjeux de ce déploiement de systèmes de télé-relève à tout crin (37 000 foyers seront à terme équipés de cet appareil connecté en l’espace de deux ans sur l’Auxerrois), le responsable de l’opérateur régional devait rappeler lors d’une présentation officielle du dispositif technologique que celui-ci correspondait à une engagement fort, pris par SUEZ, lors de la signature de la nouvelle délégation de service public, signé en 2023. Un contrat baptisé « AuxR_Eau ». Un engagement qualifié de « visible » pour les usagers.
« D’ordinaire, on ne voit pas toujours ce que réalise SUEZ au bénéfice des usagers dans la lutte contre les fuites d’eau ou l’entretien des installations, précisa Fabrice LABALME, mais aujourd’hui, c’est différent avec ce nouveau système connecté dont bénéficient déjà les habitants des communes de Lindry, Villefargeau et Saint-Georges-sur-Baulche. Et ce depuis mars 2024… ».
Une économie de 100 000 m3 d’eau sur le secteur
Il est vrai qu’avec l’apport de ce nouvel appareillage, les usagers ont désormais la faculté de pouvoir être maîtres de leur consommation d’eau. Le suivi de cette consommation est possible. En cas de déperdition ou de surconsommation, des alertes sont ainsi lancées auprès des utilisateurs de ce dispositif performant.
« On a également prévu d’envoyer à l’usager des informations lui permettant d’optimiser sa consommation d’eau, ajoute l’orateur, quant à la facturation, elle ne sera plus établie sur de l’estimation mais bel et bien à partir de la consommation réelle… ».
Un avantage précieux, dans la gestion de son budget. Concrètement, près de 100 000 m3 d’eau seraient économisés annuellement grâce à ce système. Une télé-relève qui offre aussi des avantages pour la partie exploitation du réseau.
« Nous pourrons connaître à l’aide de cet outil le rendement de notre réseau, commune par commune, souligne Fabrice LABALME, et ce au quotidien et non plus une fois par an ! ».
Réduire et optimiser son usage de l’eau
Un déploiement tous azimuts sur l’Auxerrois qui se veut vertueux et solidaire, en compagnie de la société d’insertion « IDEES 89 ». Celle-ci assure la pose gratuite de ces systèmes chez l’habitant, comme à l’heure actuelle sur la localité de Perrigny.
« Tout ce que l’on fait là, c’est dans le cadre de la préservation de la ressource, insiste Fabrice LABALME, c’est important car malgré les pluies abondantes actuelles, il ne faut pas oublier qu’en octobre dernier nous étions encore en période de sécheresse avec des arrêtés préfectoraux restreignant la consommation…. ».
D’où le fameux slogan, « je réduis, je décale », adaptable à l’électricité qui s’applique également pour la consommation d’eau, dans la version suivante : « je réduis, je réutilise et j’optimise mon usage de l’eau »…
Thierry BRET
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Dominique LAUGIER narre la vie de Charles BAUDELAIRE : quand « Les Fleurs du Mal » procurent du bien à l’âme !
avril 30, 2024Elle fut bien trop courte, cette heure et demie consacrée à l’œuvre de Charles BAUDELAIRE ! Une conférence qui était proposée par un esthète en la matière, Dominique LAUGIER, agrégé de lettres, fin érudit et féru de littérature, passionné de surcroît par l’auteur de ces poésies écrites entre crépuscule et lumière, entre fantasmes et moments de spleen. Relatant la vie et l’œuvre du poète, Dominique LAUGIER récita en les interprétants quelques joyaux de l’auteur à l’instar de « Ma pauvre muse » ou des sulfureux « Bijoux », teintés d’érotisme qui firent scandales à l’époque…
AUXERRE : Tel père, telle fille ! Dans la famille LAUGIER, on a la passion des lettres, de celles qui font rêver à la nuit tombée près de l’âtre de la cheminée les âmes des romantiques. Et de celles et de ceux qui se pâment devant tant de grâce et de subtilité linguistique à l’écoute des mots qui enchantent les cœurs. Si la fille, Anne-Charlotte, journaliste qui a jeté son dévolu depuis des lustres sur les belles mécaniques de la chose automobile réserve ses commentaires acidulés dans son blog ne manquant pas de piquant, a parmi ses préférences littéraires les correspondances enflammées de Simone de BEAUVOIR à l’adresse de Nelson ALGREN – elle en apprécie tout autant les écrits d’Albert CAMUS et de Maria CASARES ! - ; le père, Dominique, est en fin lettré et agrégé un aficionado des grandes plumes poétiques d’antan.
Dont un certain Charles BAUDELAIRE, encensé le plus souvent par les plus grands des interprètes de la chanson française dite à texte. On pense notamment à Serge REGGIANI. Mais, surtout à Léo FERRE qui en fit l’une de ses sources d’inspiration poétique préférée. Quand ce n’est pas le regretté Jean-Roger CAUSSIMON !
Ah, le grand Léo ! Il aurait apprécié au centuple cette soirée conférence, intimiste, initiatique, surannée certes mais de belle facture intellectuelle, accueillie dans un cadre s’y prêtant merveilleusement bien. Une boutique de la petite rue Fécauderie. Oui, oui, celle qui a déjà reçu les faveurs artistiques de la brillante plasticienne, Catherine RYMARSKI qui en a coloré les pavés ces jours-ci. A la grande joie de tous les Auxerrois ou presque !
Une collégienne découvre le « Dante d’une époque déchue »…
Dans le cas présent, autre configuration que celle-là, avec cette causerie consacrée à ce personnage si ténébreux que fut Charles BAUDELAIRE. « Unis Vers l’Art » : c’est le nom de ce commerce de proximité qui a su se distinguer en organisant une telle soirée ouverte à la poésie. Plutôt rare pour un magasin proposant de la vente de fournitures en loisirs créatifs pour petits et grands ! On en redemande !
Des petits, malheureusement, il n’y en avait point lors de ce rendez-vous à la rencontre du créateur des « Fleurs du Mal ». On relèvera toutefois une adolescente, collégienne de surcroît, qui accompagnée de sa mère, souhaitait en savoir plus sur le « Dante d’une époque déchue » comme le surnomma un jour, BARBEY D’AUREVILLY. Un sésame de plus pour obtenir le brevet des collèges, jeune fille ?!
Pour le reste, des passionnés. Des amateurs de belles lettres, des poètes sans doute et fiers de l’être comme le chantait si bien Léo FERRE : « Poètes, vos papiers ! », extrait de l’album culte, « Amour Anarchie 1970 ! ». Pour les puristes, le grand Léo l’enregistra avec un groupe hexagonal de pop-rock, les ZOO. Même le célèbre groupe britannique des MOODY BLUES (« Night in white satin ») – des nuits en satin blanc que n’aurait pas renié le BAUDELAIRE en question - vinrent assister aux sessions d’enregistrement !
Le destin d’un poète maudit, rongé par la syphilis
Mais, revenons au personnage central de cette soirée intemporelle. Charles BAUDELAIRE ? Que nenni ! Dominique LAUGIER ! A 79 ans, le conteur à la mémoire d’éléphant clame des vers et des poésies en les mimant, les jouant, leur prêtant vie, leur conférant de la substance, donnant l’envie d’en savoir davantage sur l’œuvre et son auteur. Y mettant le fond et la forme ! Et surtout la juste tonalité !
Son supplément d’âme ! Du grand art, à la limite de la scène théâtrale, comme sait si bien le pratiquer sa fille.
BAUDELAIRE dans son intimité, dans sa relation avec Jeanne DUVAL – « Jeanne, la longue », précisera en docte érudit l’orateur du soir -, on suit son parcours en 1842, ses premiers pas dans la presse parisienne – il y effectuera des piges -, dans sa vie de bohème en parfait dandy de l’inconstance. Dans ses dérives lorsqu’il dilapide son argent.
« Je vais donner la parole à BAUDELAIRE lui-même, souligne un Dominique LAUGIER qui se trémousse sur son siège, en faisant tonner sa voix de stentor lorsqu’il intègre la peau du personnage. On vibre, on sourit, on se prend au jeu. Une citation (tiens, celle-là est de Victor HUGO) retient l’intérêt : « on pleure sur des berceaux, on rit dans des tombes… ». Le « spirite » de Jersey et de Guernesey – il y organisera moult soirées de spiritisme, espérant ainsi entrer en contact avec sa fille Adèle – s’invite à la séance. Le temps semble suspendu même si l’horloge égrène inexorablement les minutes qui nous rapprochent du terme de la soirée. Dommage.
Des gravures de Pauline SABATIER, l’amante d’une nuit, circulent parmi l’assistance. Le conférencier évoque encore l’opium, le romantisme, l’érotisme, les diableries qui poursuivent ce poète maudit : il disparaîtra à la fleur de l’âge, à 46 ans…rongé par la syphilis. Le 31 août 1867.
Clin d’œil du destin, cent ans plus tard, en 1967 va éclore sur la côte Ouest des Etats-Unis l’aura d’un autre poète maudit au destin aussi chaotique et crépusculaire : un certain Jim MORRISON, le chanteur des DOORS, qui se reconnaissait en RIMBAUD et en BAUDELAIRE…Mort mystérieusement dans sa baignoire en juillet 1971 à Paris et enterré au Père-Lachaise, pas si loin du cimetière du Montparnasse où repose le grand BAUDELAIRE. « The End »…
Thierry BRET
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Un renouvellement de partenariat, c’est le plus souvent une simple formalité, certes. Mais, il est toujours bon de le graver dans le marbre mémoriel via une séance photographique à la clé ! C’est ce qu’a cru bon de faire (et il a eu raison !) le nouveau responsable de la CPME de l’Yonne, Didier BARJOT, qui séance tenante a pris soin d’organiser avec la chargée des relations partenariales du groupe VYV, Christelle GOURDIN, cet instant immortalisé par l’objectif…
AUXERRE : Cela fait déjà une décennie que la relation partenariale entre la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME) et le groupe assurantiel VYV existe. Pas étonnant, donc, que les sourires s’affichaient sur les visages radieux des signataires de ce document, paraphé à Auxerre, lors d’une réunion de travail à laquelle participaient Didier BARJOT, le nouveau président de la CPME 89 depuis quelques semaines – il a succédé à Baptiste CLERIN qui est en charge aujourd’hui de la cellule Artisanat au sein de l’institution patronale -, la nouvelle secrétaire, Peggy PRINCE et la chargée des relations partenariales du groupe VYV, Christelle GOURDIN.
Protégeant aujourd’hui près de 11 millions de personnes en France, VYV est un partenaire de poids pour l’entité patronale de l’Yonne en matière de protection sociale. C’est ce qu’est venue rappeler la représentante du groupe de prévoyance et de protection lors de ce déplacement en terre de l’Yonne.
Thierry BRET
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Une esplanade est dédiée à l’évènement : le Conseil départemental de l’Yonne déclare sa flamme à l’olympisme
avril 25, 2024Il reste moins de cent jours avant l’évènement planétaire ! Le compte à rebours est désormais enclenché et le Département de l’Yonne ne veut pas manquer une occasion pour rappeler à notre bon souvenir ce rendez-vous qui ne revient dans l’Hexagone qu’une fois par siècle, dans sa version estivale il va de soi. Dans les faits, cela s’est traduit il y a peu par l’inauguration de l’esplanade olympique, agrémentée d’une imposante statue de la flamme, œuvre du sculpteur Yvan BAUDOIN. Il n’y a pas de doute, le territoire est bel et bien dans les starting-blocks !
AUXERRE : Sur le petit promontoire, situé à l’entrée du « 89 », le siège du Conseil départemental de l’Yonne, une forme bizarroïde est encore recouverte d’une bâche plastifiée de couleur bleu sombre. Deux sangles de cuir entourent la curieuse et massive figure qui s’érige vers le ciel. Sans que l’on sache de quoi il s’agit précisément en termes de représentation. La fameuse flamme olympique, qui sera dévoilée un peu plus tard dans la soirée...
Non loin de là, le site institutionnel présente une effervescence inhabituelle. Ici, un mini stand de handball en fauteuil est fonctionnel. Là, un panneau de basket et quelques ballons sont installés par des moniteurs. Un peu plus loin, des tables qui accueilleront dans quelques instants des pongistes en herbe. Il est vrai que depuis l’émergence médiatique des frères LEBRUN, promis à de belles aventures olympiques à Paris, le tennis de table possède une cote royale auprès des plus jeunes dans l’Hexagone !
On est loin de l’affectation habituelle du lieu, constituant le parvis de l’imposant édifice, une zone de stationnement ! C’est un grand jour, du moins une belle fin d’après-midi pour les organisateurs de cette manifestation : la célébration du seuil des cent jours avant les Jeux de Paris. Avec un Conseil départemental plus que jamais mobilisé et engagé avec ses partenaires – ils sont à date plus de 120 artisans de ce succès à être rassemblés au sein du club éponyme -, en premier lieu le CDOS 89, le Comité départemental Olympique et Sportif de l’Yonne.
Une cérémonie d’ouverture sur la Seine ou…sur l’Yonne ?!
A l’intérieur, ça bouge également dans tous les sens ! Franck CHAUFOURNAIS, dirigeant du Centre E.LECLERC de Sens, est soumis à la question sur le stand improvisé de nos confrères de France Bleu. Celles posées par l’infatigable Nathalie RIVAUD que l’on aperçoit désormais partout ! Ici et là, y compris du côté de l’AJA !
On s’essaie à la prise de vue aux côtés des mascottes officielles des JO de Paris, on admire dans le hall d’entrée de l’autre espace menant vers l’auditorium les œuvres de l’artiste JACOBLEU – il nous avait déjà gratifié la saison dernière d’une très belle exposition à Auxerre dans une galerie sise près de l’Abbaye Saint-Germain – ou la fresque murale extérieure de CRAZYPRAY, haute en couleurs. Les convives se serrent comme des sardines vers un petit pupitre avant que ne débutent les prises de parole. Celle, notamment, très attendue, du « boss » du CD 89, à savoir Patrick GENDRAUD.
« C’est une bonne thérapie que de sentir du bien-être autour de soi, plaisante l’orateur dès le préambule de son intervention, nous sommes à cent jours d’un moment historique que nous attendons avec impatience. Nous sommes à cent jours de la cérémonie d’ouverture qui sera accueillie sur…l’Yonne, car comme j’aime à le rappeler, c’est bien l’Yonne qui coule à Paris et non la Seine ! ».
Une affirmation qui lancera sans doute maintes polémiques chez les puristes de la chose géographique mais qui fera éclater de rires une assistance attentive aux propos tenus.
Taïwan, Ouzbékistan, Canada…l’Yonne s’ouvre à l’international avec les Jeux
Très tôt, dès le mois de mai 2022, le Conseil départemental de l’Yonne s’était positionné sur l’accueil de la flamme olympique sur le territoire. Une procédure qui s’était soldée par la signature officielle d’un partenariat avec le Comité national organisateur de l’évènement à Paris, entre Patrick GENDRAUD et le triple champion olympique de canoë-kayak, Tony ESTANGUET, président de ladite institution.
« Tous, élus, partenaires et agents jouent le jeu des Jeux, poursuivit l’orateur, dans le cadre du concept « Yonne 2024 », piloté par Philippe LALA et son équipe… ».
S’en suivirent des applaudissements nourris pour cette structure organisationnelle des animations autour des Jeux, qualifiée de « soudée ».
Porteur de bonnes nouvelles, Patrick GENDRAUD annonça qu’en plus d’une délégation de sportifs canadiens (rugby à VII), une sélection en provenance de Taïwan (tir sportif) sera accueillie dans l’Yonne, très prochainement. Une autre délégation, en para-athlétisme, et en provenance de l’Ouzbékistan fera de même.
Des informations prouvant que l’Yonne possèdera bien cette dimension internationale avec la réception de ces athlètes de haut niveau à l’été prochain.
Un vrai défi pour l’Yonne, qui se définit depuis toujours dixit l’élu départemental comme une « terre d’exploits » (architecturaux, gastronomiques, patrimoniaux, artistiques) et qui veut véhiculer le message de paix et de fraternité à l’ensemble du monde, le 11 juillet prochain.
« Gageons que ce message fraternel et unitaire se propage dans toutes les zones de conflits, souligna Patrick GENDRAUD moins optimiste, il est vrai qu’il y en a beaucoup qui secouent le monde actuellement… ».
Le 11 juillet dans tous les viseurs !
Se retournant vers son voisin de droite, le sculpteur Yvan BAUDOIN, le président du Conseil départemental parla ensuite de cette pierre de Massangis avec laquelle a été travaillée la magnifique flamme, encore cachée quelques instants des regards des invités.
« Cette flamme va perdurer dans le temps, ajouta Patrick GENDRAUD, on sera tous morts que elle, elle sera encore là ! ». De l’humour, toujours et encore.
Un président, fier et content d’être là, faisant sourire l’auditoire, avant, un peu plus ému de saluer le travail émérite de l’artiste icaunais, « vous avez fait éloge de très belle manière de notre département grâce à vos publications numériques et de cela je vous en remercie… ».
Evoquant le passage de la flamme le 11 juillet, Patrick GENDRAUD invita le public à prendre encore son mal en patience, et ce jusqu’au 04 mai, pour connaître tous les détails de ce périple dans l’Yonne. Notamment dans les sept villes traversées.
« La flamme n’est pas encore là, mais ça brûle déjà au niveau de l’enthousiasme, insista l’ancien maire de Chablis, d’ailleurs, ce 11 juillet, il faudra vibrer à Avallon, partager à Vézelay, embraser Sens, fêter Saint-Fargeau, applaudir à Migennes, adorer Chablis et célébrer Auxerre… ».
Prenant le temps d’apprécier la fresque olympique, peinte par CRAZYPRAY sur l’un des murs de l’édifice départemental, le public fut convié ensuite au dévoilement de la flamme à l’extérieur, près de l’entrée principale du « 89 ».
Avant de participer aux mini-épreuves concoctées par de nombreuses associations sportives, réunies par Patrice HENNEQUIN, le président du CDOS 89. Les porteurs de la flamme posèrent également pour la séance photographique aux côtés de François BOUCHER, vice-président du CD 89 et du président GENDRAUD.
« Merci de tout cœur pour tout ce que vous faites, clôturera ce dernier sobrement, le sourire aux lèvres. Belle image que celle-ci…
Thierry BRET
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