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Ukraine : le syndrome de « Dantzig » demeure, sommes-nous prêts à « mourir pour Kiev » ?
mars 01, 2023Un an déjà, un an seulement… Après des mois de tension entre les deux pays, Ukraine et Russie, le monde sidéré assistait à l’envahissement de l’Ukraine par son voisin russe aux premières heures d’un 24 février gravé dans les mémoires. Premières images d’un « président courage » en treillis kaki dans la nuit de Kiev sous les bombes et du visage dur d’un autocrate enfermé dans son palais du Kremlin, annonçant le début d’une « opération militaire spéciale ». Premières frappes, premiers morts dans les rues, premiers massacres…
TRIBUNE : Et l’heure pour certaines figures de l’échiquier politique hexagonal à l’âme russophile, d’acheter en urgence une veste réversible pour tenter de faire oublier le passé et la complaisance manifestée jusqu’alors envers le « tovaritch » Vladimir !
Trois cent soixante-cinq jours après, alors que les combats font toujours rage et qu’une sortie de crise diplomatique apparaît de plus en plus improbable, l’on se dit que cette invasion de l’Ukraine était tout sauf une surprise. Point d’orgue d’une guerre déclenchée en 2014 avec l’annexion de la Crimée, et la mise sous tutelle de la région du Donbass, auxquelles la communauté internationale n’a pas réagi assez fermement, laissant toutes latitudes à Vladimir POUTINE pour parachever son œuvre mortifère. Boutcha, Marioupol, Kramatorsk, Kherson…, autant de villes martyres dont le nom résonne douloureusement, qui ne sont pas sans rappeler les crimes de guerre commis en Syrie par le maître du Kremlin, sept ans auparavant, en soutien au régime de son ami Bachar Al-ASSAD.
Une politique différentialiste de l’Etat entre réfugiés afghans et réfugiés ukrainiens…
Depuis le début du conflit, 115 000 Ukrainiens ont trouvé refuge en France, dont 630 pour le seul département de l’Yonne. Une population composée majoritairement de femmes et enfants, accueillis avec un aval populaire sans précédent, pas toujours couronné de succès au demeurant. On se souvient de ces familles prévues séjourner à Saint-Georges-sur-Baulche qui, moins d’une heure après leur arrivée, reprirent leur route, direction les Pays-Bas, au grand dam du collectif local d’aide aux réfugiés.
Un élan de solidarité nationale salutaire et réconfortant, qui résonne toutefois cruellement avec le traitement manifesté quelques mois plus tôt à l’égard des réfugiés Afghans fuyant les talibans après la chute de Kaboul. D’un côté, un dispositif d’aides sans précédents, de l’autre, un discours axé sur la « gestion des flux migratoires » et le « contrôle des frontières ». Une politique différentialiste de l’Etat révélatrice d’une règle bien connue du monde journalistique, appelée « loi de proximité » : moins la distance culturelle est importante, plus grande est l’empathie. Le fait de voir la guerre revenir à nos portes réveille les traumatismes de l’Histoire, nous conduisant à nous identifier chaque jour davantage au peuple Ukrainien.
Même l’expression « guerre nucléaire » n’est plus taboue…
Ce que Moscou imaginait être une guerre éclair ressemble plus au fil des semaines au siège de Verdun ou de Stalingrad et les bombardements restent quotidiens. Une guerre des positions dont le sinistre compteur totalise plus de 100 000 morts dans chacun des deux camps et à l’avenir incertain. Comment y mettre fin ? Les risques d’escalade sont-ils réels ? Se dirige-t-on vers une Troisième Guerre mondiale… ? Une équation à plusieurs inconnues dont personne n’a la clé et aujourd’hui, plus rien n’est tabou, même la formule de « guerre nucléaire » ! Qu’en sera-t-il dans un an, dans deux ans, dans cinq ans, si le conflit perdurait ? Le formidable élan de solidarité manifesté jusqu’alors vis-à-vis de l’Ukraine sera-t-il encore de mise ? Sommes-nous prêts longtemps encore à affronter une inflation annuelle à deux chiffres qui plombe le moral des Français et à voir le prix de l’énergie s’envoler chaque jour un peu plus… ?
On le dit « fou », « esseulé », « parano », « malade », mais comment dessiner, l’après-POUTINE ? Et surtout, par qui le remplacer, tant la liste des prétendants fait froid dans le dos, à commencer par le fondateur du groupe Wagner, Evgueny PRIGOJINE, auprès de qui, POUTINE fait office de « Bisounours » !
Faudra-t-il, pour déloger l’actuel président russe, aller « le buter jusque dans les chiottes », pour reprendre les mots qu’il utilisait à l’encontre des Tchétchènes en 2003 ? A peine plus de 1 500 kilomètres séparent Kiev de Dantzig (aujourd’hui Gdansk), ville polonaise rattachée symboliquement au début de la Seconde Guerre mondiale. C’est à la fois si loin et tellement près…
Dominique BERNERD
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Coopération : Didier MERCEY (LOGI Yonne) favorise les échanges entre futurs ingénieurs de France et du Vietnam
février 18, 2023C’est le fruit de cinq années d’âpres négociations. Cinq longues années qui furent passablement perturbées par l’omniprésence de la COVID ; ce qui devait entraîner son lot de retards intempestifs et parfois de légitimes frustrations. Mais, cette fois-ci, le dirigeant de la filiale asiatique de LOGI Yonne, Didier MERCEY, n’aura pas effectué le voyage en terre vietnamienne pour rien. La convention de partenariat a pu être enfin paraphée entre les signataires ce 15 février. Et concrétiser ainsi les futurs échanges estudiantins tels que le souhaitait l’entrepreneur du Sénonais…
DANANG (Vietnam) : Cette fois, la chose est entendue entre l’Université du Havre-Normandie et l’Institut polytechnique de Danang. La convention de partenariat unissant désormais ces deux entités a bel et bien été ratifiée par ses signataires à l’autre bout de la planète, aux antipodes du territoire de l’Yonne, alors que l’un des participants à cette cérémonie protocolaire inhabituelle n’était autre que Didier MERCEY, la figure de proue du Port de GRON et de la société exploitante locale, LOGI YONNE.
Il aura donc fallu cinq années de lentes négociations, perturbées par les soubresauts épidermiques d’une pandémie sanitaire internationale, la crise de la COVID 19, pour que le projet né de l’imaginaire fécond du chef d’entreprise de l’Yonne n’aboutisse concrètement. Un entrepreneur qui connaît particulièrement bien le Vietnam puisqu’il y a érigé sur le sens vertueux des affaires et avec le concours de son partenaire local, la société commissionnaire de transport ASIA TRANS, sa filiale locale, implantée à Danang, LOGI VIET France.
Un rôle d’ambassadeur privilégié de la Chambre de Commerce et d’Industrie à l’international…
L’adhésion de la structure au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie française présente au Vietnam a permis à Didier MERCEY de jouer le rôle d’ambassadeur privilégié de l’Hexagone au développement de l’économie et de ses dérivés, dont la formation et l’enseignement supérieur, dans le pays du Dragon.
S’appuyant, par ailleurs, sur des compétences intellectuelles vietnamiennes au sein de sa jeune filiale asiatique qui rayonne sur les pays du Sud-Est de ce continent, le patron de LOGI Yonne a toujours souhaité dans le cadre de ce partage de culture initier des ponts pédagogiques entre les deux pays, la France et le Vietnam où il réside désormais plusieurs mois de l’année en compagnie de son épouse et de ses enfants.
Un atout majeur pour ces jeunes diplômés qui peuvent ainsi maîtriser à la perfection les deux langues que sont l’anglais et le français, entre des séjours d’immersion d’un continent à l’autre.
Dans l’absolu, la convention de partenariat qui lie désormais l’Université du Havre-Normandie à l’Institut polytechnique de Danang favorisera les échanges de ces étudiants en soif de découverte pédagogique et d’aventures dans le domaine de logistique dans les prochaines semaines. Du pain bénit pour ces ingénieurs qui vont ainsi renforcer leurs connaissances intellectuelles. Avant de rejoindre, pourquoi pas, l’équipe de LOGI VIET France ou celle de LOGI Yonne ?
Thierry BRET
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L’ambassadeur de Chine en France Lu SHAYE à Auxerre : « la diplomatie du football peut améliorer nos relations »
janvier 30, 2023Présent ce dimanche au stade Abbé Deschamps, l’ambassadeur plénipotentiaire de la République populaire de Chine, Lu SHAYE, a répondu favorablement à une invitation lancée par le propriétaire de l’AJ Auxerre, James ZHOU. Une manière symbolique de célébrer le nouvel an chinois, placé sous le signe du lapin…
AUXERRE : Selon vous, pourquoi le football de haut niveau ne parvient-il pas à percer en Chine ?
C’est difficile à dire, mais l’histoire du football en Chine est beaucoup plus récente qu’en France. A peine une trentaine d’années pour les matchs professionnels contre plus d’un siècle en France. La culture du foot existe en Chine, mais n’y est pas aussi solide qu’ici, que ce soit au niveau de la formation des joueurs ou du système d’organisation. Personnellement, j’en suis désolé, même si je ne suis pas expert en la matière, mais j’espère que les échanges sur ce plan entre nos deux pays, ne feront qu’améliorer les choses et un club comme l’AJA a un rôle à jouer bien sur…
Sport et politique ont toujours été étroitement liés. On se souvient de la première visite du président américain Richard NIXON en 1972 et de ce qu’on appelait alors la « diplomatie du ping-pong »…
Oui, je crois que la diplomatie du foot peut exister à son tour. Et si la France nous aidait à améliorer notre niveau concernant ce sport, ce serait un grand succès de la diplomatie et cela pourrait même avoir une signification politique…
En ce début de nouvelle année, que souhaitez-vous pour votre pays ?
Bien sûr, le bonheur, le succès et la prospérité…
Et pour le reste du monde ?
La même chose ! (rires). Mais aussi la stabilité, le développement et la paix. Il y a la guerre dans le monde aujourd’hui.Et on espère qu’elle prendra fin au plus tôt. La Chine et la France peuvent ensemble faire des efforts en ce sens…
Pour en revenir au sujet du jour, quel est votre pronostic pour ce match de l’AJA contre Montpellier ?
Je prévois 2 à 1… En faveur de l’AJA bien sûr ! (rires).
Propos recueillis par Dominique BERNERD
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Religion : Joseph RATZINGER/ Benoît XVI même combat, celui de la rigueur théologique…
janvier 05, 2023Benoît XVI, un pape peu ou mal aimé. Benoît XVI fut loin d’avoir fait l’unanimité durant son pontificat. Deux raisons à cela. La première, c’est qu’il était difficile de succéder à Jean-Paul II, pape adulé par toutes les générations et surtout par la jeunesse. La seconde raison a pour nom Jorge-Mario BERGOGLIO, le pape François. En effet, lors de l’élection pour la succession de Jean-Paul II, c’est Mgr BERGOGLIO qui fait l’unanimité autour de son nom. Mais, il est dans l’impossibilité d’accepter tout de suite et demande un report. On connaît la suite…
TRIBUNE: Le cardinal RATZINGER, conseiller de Jean-Paul II, accepte la transition en sachant que son successeur, déjà désigné, est déjà âgé. Benoît XVI démissionnera pour des raisons logiques dans un esprit germanique : extrême fatigue, mauvaise santé et impossibilité d’assurer pleinement sa mission.
Depuis l’an 230, Benoit XVI fut le dixième pape à renoncer au pouvoir. Le pape est non seulement le guide spirituel de plus d’un milliard de catholiques dans le monde, mais aussi le chef d’un Etat : le Vatican.
Une histoire controversée et très critiquée…
Né en 1927 dans une famille modeste, avec un père gendarme et une mère cuisinière dans les hôtels, Joseph RATZINGER est inscrit d’office, à l’âge de 14 ans, sur le registre des « Jeunesses hitlériennes ». Ce sujet fut l’objet de nombreuses polémiques, surtout en France, chez les partisans de la laïcité. Joseph RATZINGER n’a jamais réalisé un acte volontaire en militant pour le nazisme. Son père, en tant que gendarme, avait le choix entre servir le pouvoir et Dachau. Benoît XVI a souvent répondu aux journalistes pour répondre de cet épisode. Les nombreuses enquêtes menées en Allemagne ont démontré la sincérité du pape émérite…
Prêtre, puis archevêque nommé par Paul VI, il est « conseiller expert » durant les rencontres de « Vatican II ». « Vatican II » fut un concile débuté en 1962 par Jean XXIII et achevé en 1965 par Paul VI dans le but de réformer l’Eglise.
Le retour du latin dans la liturgie…
A l’époque de « Vatican II », RATZINGER encore prêtre, s’inscrit dans les réformes avec des positions pleines de nuances : ce sera toujours sa marque. Il prône le langage vernaculaire tout en affirmant l’intérêt du latin dans la liturgie. Il apprécie l’œcuménisme tout en mettant en garde contre une trop grande rapidité aux rapprochements avec les autres Eglises…
Cette herméneutique de la continuité de Benoît XVI sera incomprise autant par les progressistes que par les intégristes ! Dans les années 1980, l’Eglise d’Allemagne demande aux Francs-maçons la remise des rituels maçonniques pour étude. Parmi le groupe de cardinaux allemands, il y a un certain Joseph RATZINGER. Considérant que lesdits rituels contiennent des propos et symboles hostiles à l’Eglise, Rome décide de maintenir son éviction des Francs-maçons : « on ne peut pas être chrétien et Franc-maçon ».
N’oublions pas que Joseph RATZINGER fut le préfet de « la Congrégation de la Doctrine de la Foi », l’ancienne « Sainte Inquisition », qui conduisit au bûcher bon nombre d’hérétiques ! Il devint également président de la Commission pontificale biblique et de la Commission théologique internationale.
Des positions qui n’ont jamais ébranlé sa foi…
Avant son élection sur la chaire de Pierre, il fut membre du Conseil de la IIème Section de la Secrétairerie d'Etat ; des Congrégations pour les Eglises orientales, pour le Culte divin et la Discipline des Sacrements, pour les Evêques, pour l'Evangélisation des peuples, pour l'Education catholique, du Conseil pontifical pour la Promotion de l'Unité des Chrétiens, de la Commission pontificale pour l'Amérique latine et de la Commission pontificale « Ecclesia Dei ». Une reconnaissance de son immense savoir théologique et de son expérience d’expert.
En 2008, il fut le premier pape à exprimer sa honte pour les victimes des crimes de pédophilie commis par des prêtres.
Le Père RATZINGER, prêtre avant tout, fut un homme de prières et de positions théologiques qui ont marqué toute sa vie, sans jamais ébranler sa conviction d’homme de foi.
La somme d’homélies, de publications diverses et d’ouvrages peuvent certainement l’élever au rang de docteur de l’Eglise. Ils sont déjà trente-cinq reconnus pour tel, comme Sainte Thérèse de Lisieux ou Saint-Thomas d’Aquin… Joseph RATZINGER pourrait le dire lui-même : « laissons le temps au temps, d’apprécier et de juger »…
Comme le pape est un chef d’Etat, c’est à ce titre que la France a envoyé un représentant, le ministre de l’Intérieur Gérald DARMANIN lors de ses obsèques, présidées par François ce jeudi.
Comme on le dit dans tous les milieux, pour Benoît XVI, « Paix à son âme ». « La vraie liberté se réalise en se mettant au service des autres… » Benoît XVI.
Jean-Paul ALLOU
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Pelé, dieu du football, s’en est allé juste après le Mondial, un dernier penalty face à l’éternité…
décembre 31, 2022Un dieu. Un prodige. Un mythe…A lui seul, il sera au fil des deux décennies de carrière l’incarnation du football et du beau jeu dans toute sa splendeur et technicité, tels que les férus de cette discipline sportive, la plus populaire au monde, aiment la vivre à chaque rencontre disputée sur une pelouse. A 82 ans, le roi Pelé tire donc sa révérence, emmenant avec lui son aura légendaire et ses 1 283 buts que nul amateur de ce sport ne peut décemment ignorer. Respect envers cette figure iconique…
BILLET ; A croire qu’il ne voulait pas gâcher la fête du ballon rond, symbolisé par cette Coupe du monde au suivi planétaire. Son objet fétiche qui lui a apporté fortune et célébrité. Avec pudeur et humilité, celui que les spécialistes qualifiaient de plus grand footballeur de tous les temps s’en est donc allé, presque sur la pointe des pieds, entouré des siens dans une chambre d’hôpital, soigné pour une maladie incurable. Quelques jours après la victoire de l’Argentine, mettant un terme définitif à ce Mondial 2022. Rideau…
Lui qui se voulait encore rassurant auprès de ses admirateurs du monde entier se fendait d’un communiqué de presse aux intonations rassurantes sur son état de santé pour le moins déclinant en pleine Coupe du Monde disputée au Qatar.
C’est vrai, une légende ne meurt jamais, c’est bien connu.
Pourtant, les avis des médecins à son chevet ne prêtaient guère à l’optimisme ces dernières semaines. Mais, de là à imaginer que le triple champion du monde brésilien laisserait tout un peuple orphelin juste après Noël et avant la passation de pouvoir du nouveau président LULA le 01er janvier n’était guère concevable dans l’esprit de ces millions de Brésiliens, fidèles d’entre les fidèles avec celui qui leur ramena par trois fois la coupe Jules-Rimet à la maison.
A l’instar d’un Diego MARADONA du côté de Buenos-Aires, le pays des favelas et du carnaval vit donc un deuil de trois jours avant les funérailles de la star, tel qu’il a été décrété par la présidence de la République. Une situation impensable à vivre avec notre regard d’Européen et de Français de l’autre côté de l’Atlantique. Preuve qu’en Amérique du Sud, le football place ses idoles sur un piédestal faisant office parfois de religion.
Les plus anciens d’entre nous se souviennent encore des dribbles et des passements de jambes quasi célestes réalisés par ce personnage si sympathique au large sourire. De ses exploits avec des buts inscrits de nulle part au Mexique en 1970 comme de sa fin de carrière, auréolée d’un pont de dollars, dans le prestigieux club new yorkais du Cosmos en 1977.
Les plus jeunes de nos lecteurs, adeptes de football, auront sans doute entendu un jour prononcer ce nom mythique de Pelé sans savoir de quoi il en retournait précisément. Il était donc naturel de leur rafraîchir quelque peu la mémoire. C’est une page de l’histoire qui vient de se tourner. Un chapitre, que dis-je, un livre complet qui se termine avec le départ de Pelé qui va rejoindre la feuille de match de ces grands noms de la discipline aujourd’hui dans les nuages à l’instar d’un Johan CRUYFF, Diego MARADONA, Raymond KOPA ou Alfredo Di STEFANO. Pour y disputer, peut-être, une rencontre extraordinaire avec les anges ?
Thierry BRET
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