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La mobilité électrique en pole position au 3ème Salon de l’Eclairage Public et de l’Innovation du SDEY
septembre 30, 2020Connexion vélo, smartphone, scooter, borne de charge de véhicules…le rendez-vous décliné par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY) ce jeudi 01er octobre, troisième du nom, permettra de faire toute la lumière sur ce fameux mobilier urbain multifonction qui devrait révolutionner les moyens de locomotion de demain…
VENOY: Vingt-sept exposants ont répondu par l’affirmative à cette nouvelle édition du Salon de l’Eclairage Public et de l’Innovation, devant se dérouler ce jeudi 01er octobre sur le parvis de la salle des fêtes des JOINCHERES.
Pour son troisième évènementiel consécutif, le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY) proposera un sérieux coup de projecteur sur l’un de ses thèmes de prédilection : le mobilier urbain multifonction.
Dans l’air du temps, les bornes de charge électrique et leurs dérivatifs numériques se connectant aux cycles, scooters et autres smartphones feront l’objet de multiples démonstrations et présentations par les fabricants de ces concepts technologiques novateurs.
Il y a peu, le SDEY a participé au colloque de la mobilité énergétique aux côtés du MEDEF et de l’UIMM. L’organisme invite dès demain les élus et ses partenaires à découvrir lors de cette manifestation l’ensemble de ces nouveautés.
Il y sera aussi question de luminaires solaires autonomes, de gestion de l’éclairage public, de vidéo protection, etc. A ce jour, plus de deux cents visiteurs ont déjà confirmé leur présence.
En savoir plus :
Salon de l'Eclairage Public et de l'Innovation
Jeudi 01er octobre
De 14h à 19h salle des fêtes des JOINCHERES à VENOY
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Fabrice FILLEUR : « Donner du sens à son entreprise, c’est atteindre le phare que l’on voit à l’horizon… »
septembre 29, 2020« Les visages s’éclairent, chacun comprend mieux la démarche collective et son rôle à jouer. Pour le dirigeant, cela devient plus facile… ». L’expérience de Fabrice FILLEUR, acquise en tant que directeur général et administrateur indépendant au sein de grands groupes, l’a conduit à développer la conviction selon laquelle le sens est la clé de la performance. Au sein de son cabinet ALLASSO Conseil, il accompagne aujourd’hui dans cette voie des entreprises de toutes tailles. Interview de notre partenaire, le dirigeant de Décider Juste Philippe CARPENTIER (Blog 16h44)…
TRIBUNE : Passionné, énergique, il estime sa mission accomplie lorsqu’il perçoit une équipe soudée, cohérente et souriante. Comment donner du sens au travail ? Fabrice nous dévoile sa méthode, pleine de bon sens, qu’il ne cesse d’enrichir par sa grande curiosité à l’égard d’autres cultures.
Fabrice, d’où vous vient la conviction qu’il faut consacrer davantage d’énergie à se concentrer sur le sens ?
J’ai monté et accompagné de nombreux plans stratégiques dans des contextes différents : avec des PME, des grands groupes, dans le cadre de projets de reprise, etc... J’ai remarqué que l’on me parlait spontanément et longuement des chiffres, du métier, des aspects techniques mais finalement assez peu du sens. Si ce travers s’observe dans le cadre d’un projet stratégique, vous imaginez bien que pour des projets plus techniques, organisationnels ou informatiques, le risque de passer à côté de la question du sens est encore plus fort.
Et pourquoi est-ce si important de parler de sens ?
Pour qu’un projet voie le jour et devienne pérenne, le sens est primordial car c’est la meilleure façon d’embarquer une équipe. Savoir pourquoi nous faisons ce que nous faisons est gage de motivation, et permet de dépasser plus facilement les difficultés. Autrement dit, pour qu’il réussisse, un projet doit être incarné et ne pas être réduit à des considérations techniques.
Prenons au hasard, l'exemple d’un projet de digitalisation. On peut choisir de mobiliser son équipe ou son entreprise sur les méthodes et les technologies, avec des attentes en termes de productivité, d’efficience ou de service client. Mais si l’on fait l’économie d’une bonne communication sur les raisons de la démarche, si l’on oublie d’insuffler du sens, l’enthousiasme du début risque fort de se transformer en déception amère. L’équipe a besoin de comprendre en quoi la digitalisation contribue à la mission de l’entreprise, comment le projet est en accord avec ses valeurs essentielles. La finalité, c’est-à-dire le sens global du projet, doit être partagée clairement avec l’ensemble des collaborateurs. C’est seulement à ce prix que le projet devient un objectif d’entreprise, d’équipe. Il est chargé d’humanité.
Comment construit-on le sens ? Les exemples d’organisations non alignées ne sont pas exceptionnels.
Que vous soyez une entreprise privée, publique ou une association, il est important de bien définir trois choses, qui font l’identité de votre organisation et la rendent performante lorsqu’elles sont alignées. Il s’agit de ses valeurs, de sa mission, et enfin de sa vision.
Les valeurs de votre organisation sont ce qu’elle incarne. Si l’entreprise était une personne, l’ensemble de ses valeurs seraient son âme. Chaque membre de l’équipe diffère et apporte ses valeurs propres, mais celles de l’entreprise constituent un socle qui ne doit pas être remis en cause, même en cas de coup dur.
La mission de l’organisation, c’est sa raison d'être sur le marché. C’est ce qui justifie son existence. La mission d’une PME du bâtiment n’est pas de fabriquer des parpaings, ni même de construire des murs, mais d’abriter des gens. La définition claire de la mission est particulièrement importante pour les individus qui vont la porter, elle doit être signifiante pour donner envie d’y consacrer de l’énergie. La vision, enfin, c'est le rêve fou et plus lointain de l’entreprise, le phare à l’horizon que l’on souhaite atteindre.
Lorsque ces trois données sont alignées et cohérentes les unes avec les autres, elles favorisent la performance. Un collaborateur ne travaillera pas durablement s’il ne partage pas la mission ou les valeurs de l’entreprise. La vision donne ensuite un élan, une inspiration à long terme dans laquelle viennent s’inscrire les valeurs et la mission : il faut que chacun puisse se l’approprier pour se sentir investi. Le désalignement de ces trois éléments peut coûter cher à l’entreprise.
Des exemples ?
Il y en a beaucoup ! J’ai assisté par exemple au rachat par une entreprise d’un concurrent. L’entreprise avait des valeurs fortes de proximité et de respect des collaborateurs mais elle a racheté son concurrent sans aucun respect pour l’entreprise absorbée. Les équipes ne se sont évidemment pas laissées faire et sont entrées en conflit. Finalement, l’entreprise absorbée a été vidée de sa substance parce que les éléments clés sont partis. Cela s’est résumé à acheter une coquille vide et à fatiguer tout le monde. Être à contre-valeur se paie toujours.
Quelle est votre méthode lorsque vous intervenez auprès d’une entreprise ?
Je reprends assez simplement les trois points dont on vient de parler. Je commence par proposer une ou deux journées pour définir les valeurs de l’entreprise. L’idéal est de travailler en petits groupes. C’est un temps nécessaire pour expliquer la notion de valeur, identifier, intégrer les différences mais aussi désamorcer ce que j’appelle les zones d’allergies, c’est-à-dire les endroits où les valeurs ne sont pas partagées par tous. Si une entreprise a pour valeur l’écologie et recrute un ingénieur insensible à cette notion, des allergies vont apparaître, c'est systématique.
A l’issue de ce premier temps de travail, beaucoup de questions émergent. Ce que l’on fait est-il cohérent ? La communication est-elle raccord ? Est-ce que les clients sont conformes aux valeurs de l’entreprise ? Peu à peu, de la cohésion et de l’échange apparaissent, y compris entre gens qui n’ont pas l’habitude de se parler.
Il faut ensuite identifier la mission. Souvent, les gens confondent la mission avec le métier. Alors on élargit, on essaye de se placer au niveau supérieur. La mission d’Ikea n’est pas de fournir des meubles mais de permettre à un maximum de gens de disposer d’un logement équipé. Prendre ce recul permet bien souvent de repenser l’offre pour l’élargir.
Enfin, il faut un temps pour se projeter en dessinant des perspectives sur une dizaine d’années. La mission doit rester atteignable pour être mobilisatrice, mais rien n’empêche de rêver un peu. Contrairement aux valeurs et à la mission qui sont immuables, la vision peut être renouvelée, repensée. C’est même nécessaire dans le monde d’aujourd’hui.
Au terme de cet exercice, les visages s’éclairent, chacun comprend mieux la démarche collective et son rôle à jouer. Pour le dirigeant, cela devient plus facile.
L'Application
Dès maintenant, faites votre diagnostic !
Demandez-vous si votre équipe vient travailler avec le sourire. Est-ce que les gens prennent des initiatives ou émettent des idées pour améliorer leur environnement en lien avec les objectifs de l’entreprise ?
Si une majorité des collaborateurs sourit et s’engage, si une majorité prend déjà des initiatives, c’est bon signe mais pas encore suffisant. Il reste sans doute une part d’inertie qu’il faut dépasser. Les forces contraires s’annulent, alors il faut réussir à embarquer tout le monde ! Imaginez que chacun ait une nouvelle idée régulièrement : prenez conscience du potentiel de votre équipe.
Enfin, avez-vous parfois l’impression de devoir tirer tout le monde ?
Ressentez-vous la solitude du dirigeant ?
Si oui, tentez de mettre en pratique la méthode proposée. Au besoin, faites-vous accompagner par un expert…
Propos recueillis par Philippe CARPENTIER
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Le confort des résidents s’améliore aux Jardins de la Croisière : une salle de repos pour souffler un peu !
septembre 28, 2020L’association « Les Jardins de la Croisière » a inauguré ce vendredi 25 septembre une toute nouvelle pièce de détente dédiée aux jeunes en réinsertion professionnelle. Un bel exemple de projet solidaire qui a été réalisé dans le cadre du Plan de Développement de l’association. Un dossier mené en collaboration avec de nombreux partenaires dont les professionnels du bâtiment et de la formation...
SENS : Créée en 1995 par la Chambre d’Agriculture de l’Yonne et la FDSEA89 (Fédération Départementale des Syndicats d’Exploitants de l’Yonne), l’association « Les Jardins de la Croisière », représentée par son directeur Erik POLROT, accueille régulièrement de nombreux jeunes en difficultés socioprofessionnelles au sein de son « atelier chantier d’insertion ». Soit un équivalent de 60 à 70 personnes chaque année.
La culture de légumes bio sur trois hectares de terres maraîchères et vendus aux Halles de Sens, l’apprentissage de l’entretien des espaces verts, les « Chantiers verts » développés en 2009, sont autant d’activités nécessaires à la réinsertion de ces salariés en quête d’un avenir.
Aujourd’hui, elle emploie 32 salariés polyvalents et huit permanents. Chaque employé bénéficiant d’un suivi individualisé, tant social que professionnel.
« C’est au travers de ce genre d’actions que l’on peut ramener une personne vers le monde du travail, vers une sociabilisation et finalement à être un citoyen actif au sein de notre société » rappelle Anne-Noëlle HEITZ, directrice du SPIP (Service Pénitentiaire d'Insertion et de Probation) de l’Yonne. « Tout le travail réalisé avec « Les Jardins de la Croisière » est très important à nos yeux… ».
Réaménagement des locaux pour le bien-être de son personnel
Cette année, l’association s’est fixée pour objectif de créer un espace de vie commun. Il a été inauguré vendredi dernier ainsi que le réaménagement d’un espace sanitaire, en cours de réalisation.
La structure avait besoin d’un nouveau lieu susceptible « de créer et de renforcer le lien entre les différents acteurs de l’association », « un espace de rencontre, de partage et de convivialité ».
Deux anciens vestiaires ont été réunis en une salle de pause de 25 mètres carrés. Cet espace comporte une grande table qui servira également pour les réunions de l’association. Il est aussi constitué d’une cuisine aménagée réalisée avec des matériaux de récupération et équipée de divers autres matériels comme un four à micro-ondes, auparavant entreposé sur des étagères instables.
Les travaux d’aménagement, d’un montant de 9 817 euros, sont subventionnés par la Fondation de la Fédération Française du Bâtiment, la Fédération Française du Bâtiment des Yvelines et la Fédération Française du Bâtiment de l’Yonne, ainsi que par la cagnotte lancée sur Leetchi par les élèves de l’Ecole Supérieure des Jeunes Dirigeants du Bâtiment, pilote du projet. Ils ont été réalisés par des entreprises locales (3J BAT, BOURREAU SAS et GABRIELLI SARL).
Un organisme aux petits soins avec Les Jardins de la Croisière
L’Ecole Supérieure des Jeunes Dirigeants du Bâtiment (ESJDB) a été créée en 1994 à l’initiative de la FFB (Fédération Française du Bâtiment) pour les professionnels du secteur du bâtiment dans un contexte de crise.
Il y avait une nécessité de renforcer la compétence des chefs d’entreprise en place et à venir pour augmenter la performance des sociétés, notamment en termes de marges.
« La cause de cette association nous a particulièrement touché » explique Claire COJEAN, coordinatrice du projet au sein de la promotion IDF53 de l’école, et qui prendra la suite de son père, Pierre COJEAN, président de la Fédération Française du Bâtiment des Yvelines.
L’équipe a choisi « les Jardins de la Croisière » parmi huit autres projets pour la nature de ses activités à la fois portées sur le bio et l’aide aux jeunes en insertion professionnelle. Un type de projets qui manque cruellement dans le BTP selon elle.
Le travail des étudiants avait démarré en juin 2019 par la création des plans et la mise en contact avec les entrepreneurs, dont Claire COJEAN était la principale interlocutrice.
D’ailleurs, à l’origine, le projet s’étendait à d’autres ouvrages et s’élevait à 25 000 euros. Mais, il a été réduit à la réalisation de cet espace de repos en raison d’un manque de subventions.
La Fondation MACIF, qui s’était manifestée trop tard, participera finalement au second projet des Jardins de la Croisière, le réaménagement de l’espace sanitaire.
Floriane BOIVIN
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Anne-Charlotte LAUGIER s’invite à un débat sur LCI : le malus auto en fonction du poids, une fausse bonne idée !
septembre 25, 2020La journaliste/écrivaine de l’Yonne, férue de belles mécaniques et fondatrice du site « Charlotte au volant », n’a pas la langue dans sa poche. Il suffit de lire son dernier opus, « Le Journal d’une Pétasse au volant », pour extraire de l’ouvrage la substantifique moelle de sa plume incisive et admettre que ce « bel esprit » débridé n’est jamais à court d’arguments. Eric BRUNET, dans son émission sur LCI, a pu juger de la répartie et du savoir de cette spécialiste de l’automobile…
PARIS : L’émission vedette de la matinale sur LCI, « BRUNET Direct », a reçu par webcam interposée, la visite inattendue de la journaliste et romancière icaunaise Anne-Charlotte LAUGIER ce vendredi 25 septembre aux alentours de onze heures.
L’une des séquences de la programmation était fort judicieusement consacrée au malus automobile. Avec en filigrane, la probable hausse de la fiscalité qui pénalisera via une nouvelle taxe les conducteurs en 2021. Hausse qui serait applicable en fonction du poids des voitures, une idée défendue par la ministre de la Transition écologique, Barbara POMPILI.
Celle-ci, interrogée aux aurores sur une autre antenne (BFM TV), soutenait mordicus que le projet devant être initialement discuté à l’Assemblée nationale fin septembre était ajourné. Qu’à cela ne tienne, le membre du gouvernement concluait ses propos en évoquant un probable retour de la proposition dans l’hémicycle dès le printemps 2021.
Le sujet étant chaud brûlant, il était donc traité tout naturellement dans le talk-show du transfuge de RMC, Eric BRUNET, ce vendredi matin avec plusieurs invités sur le plateau.
Toutefois, l’une des oratrices qui devait se distinguer par ses propos n’était autre qu’Anne-Charlotte LAUGIER, que les Icaunais ont découvert par le biais de son site informatif, « Charlotte au Volant » et surtout, depuis cet été, en suivant les aventures rocambolesques de l’héroïne de son « Journal d’une Pétasse… ». Un livre qui a déjà dépassé les trois mille exemplaires.
Le malus auto à partir du poids : idée peu crédible ?
Si la spécialiste des essais automobiles préfère, et de loin, les berlines aux SUV, question de standing sans aucun doute, mais aussi de sensations ressenties derrière le volant du fait du centre de gravité du véhicule qui la positionne plus près du sol, elle n’aura pas manqué de tacler comme il se doit « la fausse bonne idée » gouvernementale du jour.
Catégorique sur le sujet, Anne-Charlotte LAUGIER en exégète de l’actualité automobile depuis la création de son premier support médiatique, « Eve Auto » en 2006, s’est montrée intarissable sur les comparatifs entre berlines et SUV, modèles dont les femmes sont pourtant très friandes. Mais, visiblement, cela n’est pas son cas.
Si la journaliste spécialisée pense qu’une hausse de la taxation est inéluctable du fait de la conception de véhicules de plus en plus gros et consommateurs en énergie de surcroît, elle pense a contrario que le gouvernement ne pourra pas inclure dans cette future mesure fiscale les véhicules électriques, hybrides et hybrides rechargeables.
Des arguments bien ciselés qui ont épaté les intervenants du plateau de LCI !
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VAOVERT sous les ailes des « anges des affaires » : la start-up a bénéficié du soutien du réseau BFC ANGELS
septembre 25, 2020Le projet a su séduire les investisseurs du réseau régional BFC ANGELS. Fondatrice d’une plateforme d’hébergements touristiques éco responsables unique dans l’Hexagone, Mélanie MAMBRE a apporté un témoignage réaliste sur la bienveillance de ces « business angels » qui lui ont permis de boucler le budget de deux cents mille euros dont elle avait besoin au lancement de sa start-up. Un accompagnement qui l’aura placée sur de bons rails : ceux de la réussite…
VENOY: Onze années de son existence vécues dans le domaine bancaire et financier, à sillonner le globe par monts et par vaux. Et puis un jour, le déclic ! Celui qui vous impose de ne pas regarder en arrière tellement la décision à prendre pour se construire un avenir est importante.
L’idée germait depuis longtemps sous les cheveux blonds de la jeune femme. Développer un concept novateur dans le secteur du tourisme. Mais, attention, pas n’importe lequel : celui issu de l’économie durable. Plus en phase avec ses convictions personnelles.
Invitée à venir s’exprimer jeudi soir lors d’une manifestation spécifique consacrée aux « business angels », la PDG fondatrice de VAOVERT n’aura pas eu assez de mots pour saluer la bienveillance et le professionnalisme de ses partenaires financiers qui l’ont accompagnée dans ce chantier devant la conduire à créer cette start-up.
Le concept nécessitait une levée de fonds évaluée à 200 000 euros. En suivant le protocole très bien ficelé du réseau d’investisseurs régional, la jeune entrepreneuse en obtiendra 80 000. Le reliquat étant complété par des fonds d’investissement.
Aujourd’hui, VAOVERT peut s’enorgueillir d’être le premier portail sur les hébergements touristiques éco responsables de France. Plaçant le tourisme durable sur une orbite haute d’où la structure n’est pas prête de retomber dans l’atmosphère. Elle met en relation des voyageurs soucieux de leur impact sur l’environnement avec des hébergeurs durables. Par le biais de gîtes pour une escapade familiale, des chambres d’hôtes pour un week-end complice, des lieux insolites pour prolonger le dépaysement, voire des campings où il est judicieux de s’évader en phase directe avec la nature.
La jeune dijonnaise développe son concept en s’inspirant de destinations authentiques de notre patrimoine. Sa structure porte plusieurs emplois qui l’entourent dans ses bureaux de Côte d’Or. A ce jour, une centaine d’hébergeurs inféodés au supplément d’âme de la société l’ont rejointe dans l’aventure.
Un témoignage qui aura suscité de longs applaudissements de la part de la soixantaine de chefs d’entreprise et investisseurs potentiels qui avaient été réunis par l’association économique INITIACTIVE 89 et sa présidente, Malika OUNES, pour mieux s’imprégner des valeurs de ces réseaux pouvant soutenir de jolis projets.
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