Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
L’autre manière d’aborder la politique : Florence LOURY, l’atout citoyen et rassembleur d’Auxerre Ecologie…
janvier 30, 2020Elle incarne le renouveau politique sur l’Auxerrois. N’étant inféodée à aucune coterie traditionnelle. Sans appartenance enracinée de longue date au sein d’un parti, ni affublée d’une quelconque étiquette à lui coller dans le dos. Bref : c’est éprise d’une liberté totale tant dans la parole donnée que dans les actes à accomplir que Florence LOURY, digne ambassadrice des valeurs véhiculées par la société civile, souhaite donner du grain à moudre à toutes celles et ceux qui se retrouvent en elle. Pour la prise de responsabilités à l’aide des suffrages qui soient favorables au mieux-être des citoyens…
AUXERRE : Déterminée. Mais, aussi consciente de l’enjeu des responsabilités qui l’attendent si le chemin l’amène à bon port. Florence LOURY ne fera en aucun cas machine arrière.
Sa décision est mûrie de longue date. Depuis le mois de juin, période où elle décide de s’engager davantage sur cette voie constructive après avoir collaboré avec Denis ROYCOURT à la réussite des RADD, les Rencontres Auxerroises du développement durable.
Sa connaissance avec la figure emblématique (et historique) de l’écologie locale remonte aux Marches pour le climat. Un évènement qui l’a profondément marqué.
Ensemble, ils ont impulsé la création de cette liste « Auxerre Ecologie » qui nourrit de réels espoirs quant au résultat final. Pourtant, de sensibilité écologiste et sociale, cette professeur d’éducation physique et sportive au collège Paul Bert ne sort pas d’un écrin purement politique.
« Je n’ai pas d’étiquette de parti, concède-t-elle, je ne revendique qu’une seule chose : ma liberté ! ».
Sa substance intellectuelle, elle s’en nourrit parmi les strates de la société civile dont elle se réclame. Même si l’attachement à la sauvegarde environnementale lui est chevillée au corps.
« J’ai conscience de la fracture sociale. Au quotidien, dans ma vie, autour de moi, dans mon travail. J’en suis témoin. Je constate également que la crise environnementale a atteint un degré de gravité inéluctable. Chaque jour, je pratique l’inclusion de tous qu’il s’agisse d’enfants issus de tous les milieux sociaux, mais aussi de jeunes en situation de handicap, en difficulté, exilés. Je dialogue avec les parents et je les entends… ».
Porteuse d’un programme qui suscite de l’espoir et du changement…
Son engagement dans cette bataille électorale, elle le doit à cette jeunesse en déshérence qui interpelle. Mère et citoyenne, avant toute autre chose. Révoltée par ce qui nous environne. Florence LOURY n’a eu d’autres choix que de prendre ses responsabilités en s’impliquant localement pour l’avenir de ces enfants. De nos enfants…
« Candidate à la fonction de maire de ma ville est une très lourde charge mais ma détermination est totale. Notre liste, « Auxerre Ecologie », doit mettre en place des solutions pour lutter contre la crise sociale et environnementale qui nous menace… ».
Son credo : proposer aux Auxerrois un programme synonyme d’espoir. En le partageant, avec ses colistiers, mais aussi avec Denis ROYCOURT qui s’est effacé de la conquête légitime du fauteuil de maire pour mieux se consacrer à la présidence de l’Agglomération en cas de victoire de la liste.
Une dualité qui fait mouche auprès des partisans de la liste écologique et qui la distingue des autres prétendants au sésame suprême.
Chez « Auxerre Ecologie », volontairement, on a pris soin de ne pas courir après deux lièvres à la fois !
Un argument qui pourrait renforcer le sérieux et la crédibilité de cette double candidature sur le même ticket. Et si c’était cela la « botte de Nevers » redoutable pour contrecarrer les pronostics actuels qui circulent dans le microcosme auxerrois ?
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Isolation à un euro : la CAPEB dénonce un dispositif peu scrupuleux qui favorise la médiocrité des travaux…
janvier 29, 2020La Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment est vent debout depuis plusieurs mois ! Et pas uniquement sur un champ d’action national ! Le programme d’isolation à un euro voulu par l’Etat, appliqué dans le cadre d’un coup de pouce consenti aux ménages pour qu’ils réalisent des économies d’énergie, correspond manifestement à une pilule amère qui ne se digère pas pour ses adhérents. Outre les fraudes financières déjà constatées çà et là sur certains dossiers, la CAPEB déplore surtout l’absence de qualité dans la réalisation de ces travaux et des malfaçons induites qui ne cessent de ternir le tableau…
AUXERRE: Il n’y a pas que la Direction départementale de protection des populations (DDPP) qui s’inquiète de la tournure des évènements à la suite de la mise en œuvre de ce dispositif. La CAPEB fait figure, elle aussi, d’observateur avisé pour dénoncer ce qui représente déjà à ses yeux un véritable scandale.
Si la déclinaison de ce processus partait sur de bons sentiments (l’accès au plus grand nombre de moyens techniques afin de réaliser des économies d’énergie en isolant son habitat à moindre coût), les résultats semblent le plus souvent catastrophiques.
Rappelons que l’isolation des combles à un euro n’est en fait qu’une offre commerciale, aux arguments juteux pour ses bénéficiaires, proposée par des entreprises signataires d’une charte avec le ministère de la Transition écologique.
Or, il est évident et au fil de l’eau que certaines de ces structures artisanales n’ont guère eu d’appétence à concevoir leur intervention en respectant les règles de l’art du métier. En occultant, par exemple, les notions de qualité élémentaires !
Des travaux exercés par des sociétés aux vertus douteuses…
Si la CAPEB a eu la sagesse d’attendre un peu avant de s’exprimer sur ce qui résulterait de ce dispositif, cette fois-ci, elle n’y tient plus en posant les deux pieds dans le plat.
Trop, c’est trop pour ses responsables, tant à l’échelle de l’Hexagone, que dans les délégations départementales. La qualité du travail exécuté n’étant pas au rendez-vous (ce qui porte un sérieux préjudice sur la crédibilité et le sérieux de toute la filière), le syndicat patronal a choisi d’aller plus loin en dénonçant ouvertement ce dispositif.
« Des millions d’euros en travaux ont été engloutis dans ces améliorations énergétiques, confie le secrétaire général de la CAPEB de l’Yonne, Christophe BERTEAU, alors que les réalisations sont défectueuses. Leurs auteurs ne sont pas des artisans de qualité qui respectent nos codes déontologiques en vigueur… ».
Alors qui sont-ils dans la plupart des cas ? Réponse sans ambages de la CABEB : des travailleurs détachés, en provenance des pays de l’Est, voire des gens mal intentionnés qui font payer au noir leur labeur peu honorifique.
Afin de préserver l’intérêt de la clientèle qui n’est pas toujours consciente des risques encourus, l’organisme patronal a décidé de créer une plateforme téléphonique spécifique pouvant collecter l’ensemble des plaintes qui affluent de manière officielle.
« Les chantiers de la honte » : un document qui collecte les plaintes…
Les textes d’application de ce dispositif sont pourtant très stricts : les entreprises qui interviennent sur ce registre précis doivent impérativement bénéficier d’une homologation qui émane des services de l’Etat. Or, aucune de celles qui réalisent ces travaux dans l’Yonne ne l’aurait en sa possession !
La CAPEB de Bourgogne Franche-Comté a pris le dossier à bras le corps. Elle assure dorénavant une prise de contact direct avec les clients bernés et forts mécontents de la situation.
Un document, baptisé « Les Chantiers de la honte », répertorie l’ensemble des témoignages accablants. Les instances nationales ont également réagi auprès des pouvoirs publics. En vain, puisqu’il n’y a eu pour l’heure aucune réaction catégorique pour endiguer ce fléau. Devenu le symbole d’une véritable nuisance vécue par l’artisanat.
L’Yonne n’est pas épargnée par ce phénomène qui se propage. La CAPEB cite l’exemple d’une jeune entreprise qui a engrangé à la suite de ces travaux un bénéfice record de seize millions d’euros. Sachant que son dirigeant n’est ni un spécialiste du bâtiment ni titulaire du moindre diplôme le qualifiant dans la profession. Il s’avère même que ce dernier pratiquerait l’art de l’esquive, ayant recours de manière systématique à la sous-traitance…
Excédée, la CAPEB tire la sonnette d’alarme et affirme à qui veut l’entendre que ce dispositif ne tient pas la route et qu’il s’avère encore plus dangereux pour la pérennité de la filière que l’essor exponentiel de la micro entreprise. C’est tout dire !
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Malgré sa digitalisation, l’agence du Crédit agricole à Aillant privilégie toujours les relations humaines…
janvier 29, 2020Six mois de travaux auront été nécessaires pour réaménager cette agence locale de la banque verte en respectant le schéma d’uniformisation de ses points de vente régionaux. Vice-président du Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne, entité qui regroupe les vitrines commerciales de l’Yonne, de Côte d’Or, de Haute-Marne et de l’Aube, Thierry BIERNE devait présenter les contours de cette stratégie lors de sa phase inaugurale ce mardi 28 janvier…
AILLANT-SUR-THOLON : Le mix est simple à retenir pour les esprits curieux ! 100 % digital, 100 % humain. Sans ambiguïté aucune, la relation humaine que souhaite distillée le Crédit agricole Champagne-Bourgogne auprès de sa clientèle, fait toujours la part belle aux échanges directs, construits sous le sceau de la confiance et de l’écoute. Et l’apport bénéfique de la digitalisation n’y change rien !
En 2019, dix-neuf agences ont vu le jour sur ce vaste territoire qui s’étale sur une partie de la Champagne et de la Bourgogne, limitrophe. Ces différentes structures ont été relookées dans le respect de trois grandes valeurs essentielles véhiculées par l’entreprise : la proximité, l’engagement et la responsabilité.
Cet aménagement a, entre autres, permis la mise en place d’un libre-service bancaire. Où l’on peut déposer immédiatement sur son compte, chèques et espèces, sans avoir à attendre l’ouverture de l’agence. Un sérieux plus puisque la clientèle a la garantie que le dépôt effectué, même un jour dominical, soit crédité sur le compte dans un delta minimal de deux heures après l’opération.
Quant aux travaux, ils sont l’œuvre d’entreprises locales. Un choix volontariste de solliciter les artisans du cru afin de dynamiser le territoire.
A ce jour, l’établissement financier compte 144 agences auxquelles il faut ajouter quatre agences identifiées en leur qualité de centre entreprise, quatre pôles viticoles et trois sites de gestion.
Une structure plus accueillante qui s’intègre dans la stratégie du groupe…
Directeur général-adjoint du Crédit agricole Champagne-Bourgogne, Renaud CHAUMIER s’est dit satisfait de la compréhension de la clientèle en les remerciant de leur patience durant les travaux. Il rappela que le groupe comptabilisait 1 800 collaborateurs (ce qui en fait l’une des structures professionnelles les plus importantes de notre territoire) et mille administrateurs.
Jean-Michel LENOBLE, président de la Caisse locale d’Aillant-sur-Tholon, salua la pugnacité du personnel qui a continué d’accueillir les clients malgré les nuisances sonores et les contraintes imputables à cette rénovation.
En mai 2017, lorsque l’agence avait fermé ses portes les après-midi pour ne recevoir la clientèle que sur rendez-vous, beaucoup s’imaginait alors que les signes précurseurs d’une clôture définitive s’amorçaient. Il n’en fut rien dans la stratégie de développement du groupe.
Aujourd’hui, l’infrastructure se veut plus accueillante, accessible, pourvue d’un espace sécurisé la nuit, tout en privilégiant la fonctionnalité et l’ergonomie dans le travail. Ce qui facilite grandement la tâche du personnel.
Julie GOUNOT, directrice d’agence, devait clore cette série de discours en présentant l’équipe qui l’entoure au quotidien, même si elle gère en parallèle le point commercial de MONETEAU.
Il ne restait, au terme de cette inauguration, plus qu’à se prêter à l’exercice habituel pour les officiels : la découpe du ruban…
Maryline GANDON
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
MICHOU, homme de la nuit, a tiré sa révérence au petit jour en laissant un projet de film derrière lui…
janvier 28, 2020« L’Homme en bleu », prince de la nuit, créateur de spectacles à la scénographie si inspirée (il a lancé la mode du transformisme dans les années 60) s’est donc éteint au petit matin blême de ce triste lundi de janvier. Au bel âge de 88 ans. Aimant la vie et le rire, Michel CATTY, alias « MICHOU », ne laissera que des souvenirs sympathiques pour celles et ceux qui l’ont côtoyé de près. Ce fut le cas d’un Icaunais, Cyril PARMENTIER. Aujourd’hui, propriétaire de l’hôtel/restaurant « Le Seignelay » à Auxerre, mais dans une vie professionnelle antérieure à la tête d’un média audiovisuel local (TV Diffusion), celui-ci a eu l’opportunité de réaliser plusieurs courts-métrages pour le célèbre directeur du cabaret parisien…
PARIS : Ses costumes bleus représentaient sa marque de fabrique. Une griffe raffinée et intemporelle qui a eu tôt fait d’être reconnaissable aux quatre coins de l’Hexagone, voire d’horizons plus lointains. Tant ce noctambule adorait l’existence. Chantre des nuits parisiennes, il était au faîte de la gloire depuis si longtemps.
Son cabaret à Montmartre accueillait une clientèle éclectique venue du monde entier. A l’instar du Lido, du Crazy Horse ou des Folies Bergères, on allait chez « Michou » pour y vivre une soirée endiablée et d’exception. Agrémentée, c’était le rituel, d’une coupe de champagne à la couleur maison. Le bleu !
La perte brutale de cet artiste laisse déjà un grand vide. D’autant que la fameuse maison devrait clore ses portes de manière irrémédiable afin de se conformer aux ultimes volontés de la vedette. Laissant orphelins une multitude d’amis et d’admirateurs.
Cyril PARMENTIER compte parmi ceux-ci. L’Icaunais avait eu l’opportunité de connaître le fameux personnage sur le tard de son parcours terrestre. Depuis 2013.
« C’est un autre géant du milieu artistique, l’inénarrable Michel GALABRU que je fréquentais à l’époque à titre professionnel qui m’a mis en relation avec MICHOU… ».
Un projet de long métrage pour fêter ses 90 ans…
Son départ qu’il a appris à la radio lui fait l’effet d’un vide abyssal. D’autant que Cyril PARMENTIER, aujourd’hui reconverti dans l’hôtellerie/restauration, gérait il y a peu un média audio local (TV Diffusion) avec lequel il concevait des vidéos autour du monde du show-biz.
MICHOU était devenu l’une de ses cibles préférées tant le fantasque personnage avait le sens de l’empathie et aimait se prêter au jeu devant une caméra.
« Nous nous étions revus au mois de novembre, confie le témoin de l’Yonne, nous avions évoqué la possibilité de réaliser un documentaire qui aurait retracé ses quatre-vingt-dix années d’existence… ».
Cultivant le sens du relationnel et de l’amitié, avec toujours en prime une petite coupe de champagne à déguster boisson effervescente dont il raffolait, MICHOU avait invité son ami de l’Yonne lors de la célébration de son 85ème anniversaire. Une manifestation célébrée en grandes pompes dans le cabaret de Montmartre en présence de Jean-Paul BELMONDO et d’Alain DELON.
« Il m’aura permis de connaître et d’approcher de grands artistes, ajoute avec un zeste de nostalgie, Cyril PARMENTIER.
Sa disparition marque la fin d’une époque. Faisant chanceler un nouveau pan de la culture à la française…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Le BIG DATA serait-il le parangon des manipulateurs ? Il représente le coup de grâce à nos libertés…
janvier 28, 2020Capturer des données, les rechercher et les analyser, exigent des outils de stockage et de gestion des informations recueillies, hyper sophistiqués. C’est ce que l’on nomme usuellement le BIG DATA. Ou littéralement : la récolte de données importantes, de données massives ou de méga-données. Ce procédé technologique condamne-t-il le principe même de la démocratie ? Celui de notre liberté de penser…
TRIBUNE : Chaque jour, nous générons plus de 2,5 trillions d’octets de données ! De quelles données parlons-nous ? Ce sont des messages envoyés, des vidéos publiées, ceux de nos interventions sur les réseaux sociaux. Auxquelles, il est nécessaire d’ajouter toutes les informations médiatisées, les signaux GPS, les transactions d’achats en ligne…
Mais, qui sont réellement les utilisateurs du BIG DATA ? Des informaticiens, des entreprises, des chercheurs. Mais, il y a aussi les spéculateurs qui influent sur les marchés financiers. Ils intègrent et gèrent des masses de données, qui leur permettent d’adresser des ordres de bourse toutes les nanosecondes. N’omettons pas de notre inventaire à la Prévert les décideurs politiques, les services marketing et de communication…
Le BIG DATA représente aujourd’hui une véritable révolution qui permet de manipuler l’information donnée et de gagner plus. En parts de marchés, mais aussi en nombre de clients, voire d’électeurs…
Le BIG DATA repose sur la règle sacro-sainte des cinq « V » : variété des informations, volume de ces mêmes infos, vélocité, véracité et enfin valeur des éléments collectés.
Tous ces « outils » permettent d’optimiser les arbitrages et actions stratégiques des décideurs. Chacun apprend à manipuler les infos stockées et analysées, afin de mieux impacter de leurs poids le commerce et la vie politique.
L’IA supplante petit à petit l’intelligence humaine…
Les systèmes issus du BIG DATA décident pour les hommes. Qu’il s’agisse de recrutement et de licenciement, de conception de produits « vendables », des techniques de marketing, des stratégies politiques pour séduire les électeurs.
L’imperfection humaine laisse la place à l’intelligence artificielle (IA). C’est en fait la fin de notre vie privée ! Quant à la décision soumise au BIG DATA, c’est le robot qui valide les choix et remplace l’homme.
En politique, historiquement, ce principe technologique est devenu un acteur important dans trois des récents scrutins : la dernière présidentielle aux Etats-Unis, le BREXIT en Grande-Bretagne, et l’élection d’Emmanuel MACRON en 2017. Le BIG DATA a ainsi permis d’inonder les internautes de contenus conformes à leurs a priori !
Ainsi, chaque citoyen reçoit un discours ciblé. Dans ces conditions, comment tendre la perche vers le dialogue ? On votera pour des intérêts personnels au détriment du collectif.
Aujourd’hui, les solutions humaines et imparfaites s’effacent progressivement devant la détermination froide de l’informatique.
Ce sont des remèdes sans émotion. Sans la volonté d’unité de la nation. Sans âme !
Bref, qu’on se le dise autour de nous : le BIG DATA sonne irrémédiablement le glas de nos démocraties…et de nos libertés individuelles.
Jean-Paul ALLOU
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99