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Le Département et le SDIS à la manœuvre pour encourager l’altruisme des sapeurs-pompiers volontaires…
février 16, 2020La principale collectivité territoriale du département offre la possibilité à vingt-cinq de ses collaborateurs de pouvoir exercer dans des conditions optimales leur engagement de sapeurs-pompiers volontaires. Un accord-cadre existe entre le Département et le SDIS 89 afin de simplifier ces disponibilités. Il sera reconduit ce vendredi de manière officielle…
AUXERRE : Agir en qualité de citoyen investi au service d’autrui ! Telle est la devise des SPV, ces sapeurs-pompiers volontaires généreux et altruistes dans l’approche de leur mission.
Ce vendredi 21 février, au Cellier de la Préfecture de l’Yonne, sera paraphé le renouvellement de la convention-cadre leur permettant de bénéficier des meilleures conditions possibles afin d’exercer leur travail de secouristes émérites.
Depuis 2008, date à laquelle les premières contributions humaines ont été mises en œuvre, le Conseil départemental de l’Yonne procède à la reconduction de cet accord, élaboré avec le Service départemental d’incendie et de secours.
Vingt-cinq collaborateurs issus des services de l’institution départementale offrent ainsi leur précieux concours au SDIS. Ces sapeurs-pompiers volontaires profitent ainsi de conventions individuelles. Elles prévoient les conditions dans lesquelles ces derniers peuvent bénéficier d’autorisations d’absence sur le temps de travail.
Celles-ci sont accordées par l’organisme employeur pour les activités opérationnelles et les actions de formations réglementaires que les employés du Département doivent assurer pour le compte du SDIS.
La convention-cadre sera validée par Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne et Christophe BONNEFOND, président du Conseil d’administration du SDIS. Ce dernier est également l’un des vice-présidents du Département.
La cérémonie devrait voir aussi la participation du directeur du centre opérationnel des sapeurs-pompiers de l’Yonne, le colonel Jérôme COSTE et de son adjoint, le colonel Pierre BEPOIX.
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Homme affable et engageant, ce professionnel de l’hôtellerie est particulièrement apprécié dans le sérail Icaunais. Mais, sa relative discrétion n’a d’égale que son implication sans borne qu’il voue au milieu du football (sport qu’il vénère) depuis tant d’années. Pourtant, le président de l’Association AJA Football a été, ces dernières semaines, l’une des chevilles ouvrières incontournables des négociations menées avec les représentants de la société AJA. Celle-ci, présidée par Francis GRAILLE, comprend dans ses rangs, un actionnaire de poids qui n’est autre que l’entrepreneur Chinois, le milliardaire James ZHOU, dirigeant de la société ORG…Il a fallu composer pour obtenir des résultats tangibles !
AUXERRE : Les nuages qui s’étaient amoncelées au-dessus de l’Abbé Deschamps depuis une période interminable ont disparu. Totalement. Comme par magie et par enchantement !
Les tensions qui avaient cours et qui étaient sous-jacentes, voire palpables, dans le cénacle de ce temple du football, sacré pour les Icaunais, n’ont plus lieu d’être. Elles se sont estompées après moult efforts et de fructueuses tractations entre les différentes parties prenantes.
Désormais, l’aube d’une ère nouvelle se dessine. Et cela sied à ravir à l’interlocuteur du jour, l’une des clés de voûte de cet univers footballistique régional, le président de l’association AJA Football, Alain GEHIN.
L’homme, même s’il intègre le club restreint des personnalités emblématiques de cette discipline, aime la discrétion. Rares sont ses paroles dans la presse. Mais, là, satisfait de la configuration des choses, il a choisi de s’épancher davantage. Sans doute pour montrer sa soif de nouvelles espérances. Montrant aussi que les atermoiements et les doutes ne se marient pas avec les réussites des relations humaines.
Obtenant l’aval du conseil d’administration d’une structure associative vieille de plus de cent ans, Alain GEHIN prit soin alors d’entamer un cycle de négociations avec le président Francis GRAILLE il y plus de douze mois. Celui-ci représentait également les intérêts de l’actionnaire majoritaire du club, James ZHOU.
« Lorsque nous avons débuté ces rencontres de concertation, explique-t-il, il figurait sur la feuille de route plusieurs éléments à négocier… ».
Obtenir des garanties avant de prendre des décisions positives…
La première des choses à pérenniser demeurait l’association : une institution inaliénable à l’existence du club. Encaisser le loyer, payé d’ordinaire par le club professionnel à l'association afin de pouvoir jouir d’une visibilité à cinq ans sur ses actions, a ainsi été accepté. De même, la vente de terrains placés sous les tribunes et les lieux d’entraînement fut autorisée.
« On a accepté cela à condition que le rectangle vert (la pelouse) qui est notre propriété ne soit pas cédée. Autre condition : il nous fallait également l’assurance que le terrain où figure l’entrée de l’école de football, appartenant à la Ville, ne soit pas vendu. Nous avons obtenu des garanties écrites du maire, Guy FEREZ, en ce sens… ».
In fine, ce sont trois hectares de terrain sur un total de treize hectares qui changeront ainsi de main et reviendront au bénéfice de la SAS, au sortir de ces négociations.
Conséquence : les travaux de sécurisation des tribunes et l’accès aux personnes en situation de handicap, exigés par la préfecture, purent être pris en charge par la SAS. Cette dernière était partante à leurs conceptions à la seule condition d’être propriétaire desdits terrains sur lesquels avaient été construits ces édifices.
« En fait, révèle Alain GEHIN, comme je souhaitai une décision unanime de la part du conseil d’administration de l’association, cela fut plus nettement compliqué que prévu à obtenir… ».
Il aura fallu tout le sens relationnel, l’imaginaire et le tact du président associatif pour que le légendaire coach de l’AJA, Guy ROUX, et Francis GRAILLE terminent ce qui avait été commencé dans le petit bureau professionnel de l’hôtelier, au bout de près d’une heure et demie de palabres constructives !
Un ballon de baudruche qui se dégonfle
Rasséréné, Alain GEHIN compare cet état de fait à un « ballon de baudruche à plat qui se serait dégonflé d’un seul coup » !
Mais, un bonheur ne venant jamais seul, et à la période des vœux, Francis GRAILLE a pris l’initiative, après l’avoir proposé au président GEHIN, de baptiser la tribune principale du stade, au nom de l’incontournable entraîneur au célèbre bonnet. Seul l’intéressé ne fut pas au courant de la chose !
Aujourd’hui, le retour au calme s’annonce prolixe pour mettre en exergue de nouveaux projets.
« Je souhaite travailler davantage avec la SAS, explique Alain GEHIN, avoir des liens plus étroits avec la gouvernance du club. Nous jouons pour le même maillot et apporter notre aide au devenir de ce club sportif qui nous est cher est plus que naturel… ».
Ainsi, prochainement, devait voir le jour un comité organisationnel regroupant des membres de l’association et ceux de la SAS en vue d’harmoniser idées et suggestions dans l’intérêt commun. Le ciel est au beau fixe au-dessus du complexe sportif auxerrois…
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Les DAB/GAB disparaissent progressivement de nos territoires : vers une société « zéro cash » à court terme ?
février 15, 2020Aujourd’hui en France sont fonctionnels moins de 52 000 distributeurs automatiques de billets pour moins de 37 000 agences bancaires. Sans compter, les 8 000 bureaux de La Poste. GAB ou DAB ? Le DAB permet le retrait d’espèces alors que le GAB (Guichet automatique de banque) autorise des retraits, la consultation des comptes et d’effectuer des virements. Les espèces ne représentent plus que 5 % des transactions en valeur. Il est vrai que les cartes bancaires sont devenues le moyen de paiement préféré des français. Quant au fameux « sans contact » : la progression du paiement par carte s’accélère depuis la possibilité d’effectuer des achats de moins de trente euros sans taper son code…
TRIBUNE : La France de la monétisation évolue. S’il y a moins de paiements en espèces, cela entraîne par ricochet qu’il y ait moins de retraits dans les DAB. Hors, s’il y a moins de DAB, cela devrait diminuer le nombre d’agences bancaires, voire réduire le personnel…
Les guichetiers d’accueil (encore appelé, avec les administratifs, « les manœuvres à col blanc ») qui œuvraient autrefois dans les agences bancaires ont disparu depuis des lustres !
Les études de rentabilité menées par les établissements financiers pointent du doigt tout ce qui n’est pas rentable : DAB, GAB, agences bancaires, services, produits proposés… Tout ce qui ne rapporte rien doit disparaître !
Pour calculer la rentabilité, on fait appel dorénavant à la comptabilité analytique. Nous verrons dans un prochain article comment ce système d’informations, largement utilisé par le pouvoir politique et les grandes entreprises, pipe les dés en manipulant citoyens et salariés ! Une justification partiale de la suppression des postes !
Les pouvoirs publics espèrent l’avènement du zéro cash dès 2022
Quelles conséquences ? Pour les habitants des zones rurales, la suppression des DAB est encore plus problématique. D’autant que de nombreux commerçants refusent le paiement par carte car il est trop coûteux en matériel et facturation de commissions.
Il faut parfois parcourir de longues distances pour trouver un distributeur de billets. La monnaie fiduciaire, c’est aussi la liberté de donner et de recevoir… Adieu, à titre d’exemple, aux étrennes vertueuses faites aux petits enfants. Rangez vos tirelires et ouvrez des comptes !
Adieu également aux « petites souris » qui déposent une pièce afin de récupérer la dent de lait du gamin le lendemain sous l’oreiller !
Adieu les boites à sel ou à sucre des grand-mères qui thésaurisaient patiemment pour prévoir le règlement de leurs impôts…
Le système bancaire vous accordera, peut-être, un découvert et vous grossirez les rangs des possibles surendettés !
Une société « zéro cash » met en exergue une atteinte aux libertés. C’est une société sous contrôle avec la mainmise absolue sur nos comptes. D’ailleurs, en cas de faillites d’un établissement, hormis les cent mille euros de garanties (pour combien de temps encore ?) l’Etat n’aura plus qu’à se servir.
Plus de possibilité de passer outre dans ses règlements directs avec les artisans et les commerçants : on estime à plus de 20 milliards d’euros les montants réglés en espèces de la main à la main !
L’absence de liquidité pourrait s’avérer préjudiciable pour les plus pauvres de nos travailleurs indépendants. C’est factuel.
Même les multinationales et les grands trusts seraient pénalisés sur certains marchés « exotiques » où le bakchich est une pratique rendue obligatoire dans de nombreux cas pour décrocher les affaires.
Du côté de l’argent qui circule via la drogue, les revendeurs se sont déjà organisés. Les gros cartels pourront toujours inonder le monde avec leurs narcodollars - on est rassuré !
Vers un développement de nouvelles pratiques financières ?
Toutefois, pour celles et ceux qui se trouvent dans une situation d’interdit bancaire, il n’y aura pas de changement. Le compte bancaire reste obligatoire. Les personnes « interdits bancaires » recevront toujours une carte de paiement restreinte avec la possibilité d’un règlement chez tous les commerçants jusqu’au solde zéro du compte. L’usage de cette carte est très limité : pas de paiement envisageable sur les autoroutes ou les dépôts de garanties chez les loueurs de voitures.
Une suggestion à l’adresse de Bercy : offrir aux SDF un terminal de paiement afin qu’ils reçoivent l’aumône du passant.
Pour la quête du dimanche ? C’est déjà organisé dans bon nombre de pays : les quêteurs passent dans les rangs avec leur terminal et grâce au « sans contact », le bon chrétien fait un geste de charité et gagne ainsi sa place au paradis…
EINSTEIN avait raison sur notre évolution : « Je ne sais pas avec quoi on fera la troisième guerre mondiale, mais la quatrième je peux vous prédire qu’on la fera avec des cailloux et des bâtons ! ».
Quant à nos règlements financiers de demain ? Peut-être, qu’ils s’effectueront avec des coquillages, des lingots de thé, voire des échanges entre collectionneurs à l’instar de deux vieilles cartes bleues contre une ancienne « Mastercard ».
Vive l’aire du troc, qui nous reviendra bientôt, c’est certain !
Jean-Paul ALLOU
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La France fragmentée inspire le Cercle Condorcet : un spécialiste de l’IFOP en conférence pour en parler…
février 15, 2020Analyste politique et expert en géographie électorale, le conférencier d’un soir, Jérôme FOURQUET, brossera le portrait de ce pays dans lequel nous vivons, un véritable « archipel », né d’une nation multiple et divisée. Pour mieux comprendre la crise politique dans laquelle nous nous trouvons…
SENS: Directeur du département Opinion à l’IFOP (Institut français d’opinion publique), l’orateur invité par le Cercle Condorcet apportera un éclairage aiguisé sur la situation complexe que rencontre notre pays au niveau de ses organes politiques et institutionnels.
Au cours de cette conférence-débat, articulée autour de la naissance de « l’archipel français » (référence aux divisions multiples qui secouent notre nation depuis fort longtemps), l’intervenant évoquera le désir de vivre ensemble dans l’Hexagone en 2020 et de ce qu’il en reste.
D’ailleurs, si la question est posée et qu’on en parle tant aujourd’hui autour de soi ou dans les médias, ne serait-ce pas justement pour masquer par l’incantation sa disparition ?
Il est vrai qu’en un laps de temps relativement court, quelques décennies à peine, beaucoup de choses ont changé dans notre pays. Morcelé, notre état providence est devenu au fil des années un archipel d’îles qui s’ignorent les unes des autres parmi les strates hétéroclites de notre société.
Jérôme FOURQUET apportera des explications concrètes sur la dislocation progressive de cette France ainsi que les incidences qui vont en résulter tant au plan sociologique que culturel.
Un constat s’amorce en évidence : cette France nouvelle qui s’effrite en une noria d’archipels laisse la place à la sécession des élites, à l’autonomisation des catégories populaires, à la formation d’un réduit catholique, à l’instauration d’une société multiculturelle de fait et bien sûr, à la dislocation progressive des références culturelles communes.
Autant d’explications tangibles et d’exemples concrets à ce bouleversement anthropologique qui permet de mieux appréhender le contexte actuel dans lequel se meut notre nation. Avec comme la conséquence naturelle suivante : face à toutes ces fragmentations, l’agrégation des intérêts particuliers au sein de coalitions larges, au plan politique, est devenue tout bonnement impossible à envisager…
Mardi 18 février 2020 à 19h
Salle plénière du complexe Roger Breton face à la piscine
78 ter rue René Binet à Sens
Participation : 3 € pour les non adhérents au CCS (pas CB) – gratuit pour les adhérents au CCS.
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Département : Maurice PIANON abandonne le poste de premier vice-président mais gagne en sérénité…
février 13, 2020L’effet de surprise est de taille. Il ébranle l’institution jusqu’à ses soubassements. Le premier vice-président du Département tire sa révérence et abandonne sa fonction. Un choix dûment réfléchi, construit, qu’il n’a pas arrêté à l’emporte-pièce. Cela faisait un moment que l’idée, loin d’être saugrenue à ses yeux, couvait dans sa tête. Lui, l’homme si tranquille, posé et toujours affable. Spécialiste du cénacle et de son arrière-ban. Fidèle d’entre les fidèles de l’actuel président qui, humainement, doit se sentir bien seul après le départ de l’un de ses bras droits. Une tour de contrôle qui intervenait pugnace et efficiente dans bon nombre de dossiers. Des orientations personnelles expliquent ce geste. Mais, quelles sont-elles véritablement ?
AUXERRE : Personne n’a rien vu venir. Ni par le biais de son attitude. Ni dans ses propos. Ceux que l’élu d’Yrouerre tenait encore vendredi 07 février lors de la session plénière de l’assemblée départementale où furent évoquées dans l’hémicycle les orientations budgétaires 2020.
Pourtant, quarante-huit heures plus tard, les faits sont là. Maurice PIANON sort du jeu. Une décision mûrement réfléchie, qui lui est propre et surtout pas imposée par quiconque.
Désormais, il siègera parmi les rangs de la majorité au beau milieu de l’hémicycle, abandonnant sa fonction ô combien stratégique de premier vice-président. Dont acte.
Oui mais pourquoi un tel revirement de situation ? Le représentant du Tonnerrois connaît les rouages de l’outil institutionnel comme le fond de sa poche. Elu depuis 2001, il en a petit à petit gravi les échelons dans de successives vice-présidences abouties.
Sous l’égide d’André VILLIERS, l’ancien président de l’entité départementale, aujourd’hui député UDI de la seconde circonscription. Aujourd’hui, aux côtés de son successeur, le Républicain Patrick GENDRAUD.
Certes, Maurice PIANON ne briguera pas un nouveau mandat aux cantonales de 2021. C’est l’une des premières raisons qui justifie son choix.
« Il est préférable que le président d’une institution aussi importante que peut l’être le Département et qui souhaite poursuivre son travail s’appuie un an avant l’échéance sur des vice-présidents qui serviront de socle à sa politique… ».
Logique, on appelle cela l’art de l’anticipation. Mais, est-ce que pour autant cela suppose que l’on doit avancer son départ ?
Ne plus être pollué par le climat délétère ambiant…
Les véritables raisons de ce retrait pour le moins caractéristique de l’élu de l’Yonne sont à rechercher ailleurs. Au sein de l’environnement délétère qui secoue depuis plusieurs mois l’hémicycle.
Maurice PIANON, et il le précise sans rechigner, ne supporte plus d’être « pollué » à chaque séance par les atermoiements et les chicayas de certains de ses collègues.
« Je n’ai pas choisi de vivre un mandat politique au service de mes concitoyens et dans l’intérêt de l’attractivité de mon territoire pour assister à ce genre de choses qui ne m’intéresse absolument pas. J’en ai marre de ces allégations, dénonciations, invectives, attitudes négatives qui peuvent être fondées ou pas, lorsque je me consacre à ma fonction. Je me considère comme un homme libre en politique, ce qui a toujours été et le restera jusqu’au terme de ce mandat au printemps 2021 ma marque de fabrique personnelle. C’est mon ADN vital, en quelque sorte… ».
Toutefois, l’ex-premier vice-président n’incrimine personne en particulier. La lassitude a gagné du terrain et désormais, il est profondément désabusé devant de tels faits qui ne lui correspondent pas.
Préserver la qualité de vie et sa sérénité…
Les enjeux bassement politiciens et l’actualité inhérente aux municipales, avant que ne s’enclenchent dès l’année prochaine les autres échéances électorales lui font craindre le pire côté climat et ambiance !
« Je souhaite demeurer serein et en retrait face à tout ceci, ajoute Maurice PIANON, et garder ma confiance envers celles et ceux qui font de l’excellent travail et qui ne se plaignent jamais ! J’ai pris cette décision sans animosité aucune envers qui que ce soit. Mais, moi, je n’ai plus envie d’écouter les férus de ces manœuvres de déstabilisation ! Je préfère préserver ma qualité de vie loin de toute cette dérive humaine et non de l’institution en laquelle je crois et que je respecte profondément… ».
Prévenu, Patrick GENDRAUD a pris soin de valider la décision de son plus fidèle frère d’armes. En la regrettant dans son for intérieur, on s’en doute.
« Il faut se garder de tout clivage, ajoute le vice-président démissionnaire, et travailler ensemble en faisant face aux enjeux qui se présentent à nous. Il faut aussi s’abstenir de toutes convoitises et n’exercer son mandat que dans l’unique intérêt de celles et ceux que nous servons : c’est-à-dire nos concitoyens qui nous ont élus… ».
Des paroles emplies de sagesse, prononcées par celui qui aimerait une réelle prise de conscience profonde de la classe politique départementale après son acte fort et irrévocable.
Afin, l’espère-t-il, d’enrayer le phénomène de désagrégation constante qui pointe le bout de son nez à l’horizon…
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