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Un léger mieux en trompe l’œil dans la crise sanitaire : les indicateurs de l’Yonne se situent au-delà de la moyenne nationale…
novembre 21, 2020Le constat se vérifie après trois semaines de confinement : une légère accalmie se précise enfin sur le front de la propagation du virus dans l’Yonne. Pour autant, les derniers indicateurs fournis par l’Agence régionale de Santé (ARS) n’autorisent encore pas une baisse inappropriée de la garde. La vigilance reste l’unique préoccupation de la préfecture de l’Yonne qui procédait à un nouveau point informatif sur la crise sanitaire vendredi soir…
AUXERRE : Indéniablement, le virus de la COVID-19 circule toujours avec une certaine virulence dans notre département. Même si de facto les premiers effets positifs de la seconde période de confinement se font ressentir à l’énumération des dernières tendances statistiques par l’Agence régionale de Santé.
Lors du nouveau point avec la presse accordé vendredi soir depuis son bureau de la préfecture, Henri PREVOST a observé ce léger frémissement, porteur d’espérance. Même si la plus grande prudence doit demeurer le leitmotiv prioritaire de chacun, notamment sur le respect des normes de protection.
« Dans l’ensemble, devait confier le représentant de l’Etat, l’attention de nos concitoyens est plus soutenue sur l’application des gestes barrières… ».
Des motifs de satisfaction sur le comportement des Icaunais, certes, même si quelques réfractaires tentent avec la même pugnacité de jouer les filles de l’air en se déplaçant sans les attestations autorisées. Ils s’exposent ainsi à des sanctions qui si elles restent limitées dans les faits et financièrement peuvent conduire à la récidive et au pénal. Pour mémoire, 19 000 contrôles ont été procédés depuis le 30 octobre pour 400 verbalisations.
Des taux observés au-dessus de la moyenne nationale
Alors que la France est suspendue à la prochaine prise de parole du résident de l’Elysée prévue au soir du mardi 24 novembre, la Bourgogne Franche-Comté, à l’instar de sa voisine Auvergne Rhône Alpes, ne présente pas un bilan des plus optimistes côté chiffres.
Le Doubs, le Jura, la Saône-et-Loire et la Côte d’Or figurent encore parmi les mauvais élèves dans la gestion de cette crise sanitaire exceptionnelle. Et le département de l’Yonne, dans tout ça ?
C’est Eve ROBERT, directrice départementale de l’ARS pour notre secteur géographique, qui apporte comme à l’accoutumée les réponses appropriées. Les indicateurs de circulation virale présentent une substantielle embellie, avec un taux d’incidence qui s’élève à 350 pour mille habitants à date, au lieu de 450 constaté la semaine dernière.
Un léger mieux démontrant un ralentissement de l’épidémie, mais de manière très lente. Le taux de positivé, évalué à 21 % il y a huit jours, décroit et se situe au 20 novembre à 18 %.
Toutefois, ramenés dans leur véritable contexte, ces chiffres, comparés à la moyenne hexagonale, ne sont pas bons. Le taux d’incidence est en France de 220 avec un taux de positivité établi à 15,5 %.
Conséquence, l’Yonne reste un territoire où la propagation de la COVID-19 est bien réelle, n’en déplaise aux empêcheurs de tourner en rond !
Des décès qui ne frappent pas seulement les seniors et les personnes à risque
Ces signes d’extrême fragilité s’observent sur la population âgée de plus de 65 ans ou celle qui présente des facteurs de risque importants. Le taux d’incidence, apprécié à 360, baisse nettement moins vite que parmi les autres strates de la population.
Quant aux disparités sectorielles, elles démontrent que l’Auxerrois reste de loin la zone la plus perturbée par les effets pernicieux de l’épidémie. Même s’il n’existe pas de réelle disparité sur le département.
La décrue s’amorce avec lenteur dans les centres hospitaliers soumis à de réelles tensions à cause de nouvelles entrées régulières des patients.
A ce jour, 197 personnes ont été admises dans les unités de soin au titre du coronavirus dont quatorze vivent des moments très délicats de leur existence, alités dans les services de réanimation.
Leur taux d’occupation explose, atteignant 117 % au lieu de 92 % au plan national. Ce qui aura induit le fait de déprogrammer des opérations chirurgicales et de les reporter à plus tard. Pour l’heure, rien n’est encore venu inverser cette stratégie.
Les décès (139 sont à dénombrer) s’accélèrent dans l’Yonne : vingt-quatre personnes sont passées de vie à trépas au cours de ces deux dernières semaines. Cependant, Santé Publique France met en garde contre les idées surfaites : 10 % des personnes décédées depuis le début de cette crise ne présentaient aucun facteur de comorbidité. Un tiers se situait en dessous de 65 ans.
Dans les EHPAD, un établissement sur deux dans l’Yonne (32 y sont recensés) doit affronter avec détermination les effets dangereux de la crise. Dont trois sites où l’infection virale provoque des ravages avec plus de 50 % de malades. Ce sont 86 seniors qui sont disparus depuis le mois de mars dont vingt-cinq issus de la seconde vague.
La diffusion des tests antigéniques dans les officines pharmaceutiques, les cabinets médicaux ou auprès des infirmières libérales offre cependant la capacité de détecter avec une relative efficience et rapidité le nombre de personnes contaminées.
Ils complètent la palette de tests existants dont les PCR réservés pour les cas contact. Une réduction de temps appréciable pour les services sanitaires puisque les résultats obtenus au bout d’une quinzaine de minutes offrent des éléments intéressants dans ces analyses. Toutefois, leur fiabilité est moindre et en deçà des tests PCR.
Thierry BRET
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Il faut sauver Noël : coup de pouce numérique pour les artisans de Bourgogne Franche-Comté...
novembre 19, 2020Malgré le contexte inédit qui ont vu s’annuler les unes après les autres les manifestations déclinables autour des fêtes de fin d’année, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de notre territoire a concocté un référent virtuel afin de soutenir les entrepreneurs. Une vitrine de Noël numérique qui identifie les artisans se prêtant à cette judicieuse initiative…
AUXERRE : Marchés de Noël, salons, foires…la liste des évènementiels qui sont passés par la trappe des pertes et profits ne cesse de s’allonger chaque jour depuis le retour du confinement.
Or, les fêtes de fin d’année se profilent à l’horizon, sources de chiffre d’affaires pour les artisans et commerçants.
Face à cette situation inéluctable, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté a décidé de proposer une visibilité supplémentaire aux entreprises afin de booster le flux d’internautes sur leurs sites marchands.
Trois webinaires ont permis de réunir virtuellement 250 professionnels dont une centaine s’est déjà positionnée en faveur de ce projet.
Concrètement, la vitrine virtuelle de Noël prend la forme d’une carte interactive et d’un annuaire où sont répertoriés les artisans de la région, préalablement préinscrits.
Seule condition d’accès à cette vitrine : les professionnels doivent obligatoirement être immatriculés au répertoire des métiers de la région BFC. Et s’engager à vendre des travaux de leur fabrication réalisés selon les techniques et savoir-faire du métier.
A ce jour, on dénombre parmi les produits proposés des objets de décoration, de la maroquinerie, des vêtements et accessoires, des gourmandises locales…
Les artisans peuvent s’inscrire directement sur cet outil, baptisé ARTIZONE, depuis le site suivant : www.artizone-bfc.fr
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La Caisse Epargne BFC gagne la première bataille du « Valmy » : la structure bois est achevée…
novembre 19, 2020Le futur siège social de l’établissement bancaire régional au Parc Valmy se veut unique en France. De par sa structure constructive qui privilégie la savante alliance très esthétique entre le béton et le bois. Livré fin 2021, l’édifice accueillera les collaborateurs au terme du premier semestre de l’année suivante. Une vraie prouesse technique que l’on doit à la quarantaine d’entreprises du cru intervenant sur ce projet…
DIJON (Côte d’Or): Modernisation et ergonomie, les maîtres mots de ce chantier débuté il y a plusieurs mois occupent les esprits des nombreux artisans retenus sur ce projet d’envergure.
Immanquablement, le futur siège social de la Caisse d’Epargne de Bourgogne-Franche-Comté va faire peau neuve dans l’un des quartiers de la capitale des ducs les plus attractifs : le Parc Valmy.
Grâce à sa carapace protectrice et rassurante, faite de béton et de bois telle qu’elle a été imaginée par les malicieux créatifs de l’agence francilienne GRAAM Architecture.
L’achèvement de la première phase de cette œuvre singulière l’atteste : la structure bois crée l’originalité de ce bâtiment de six étages qui aura pour vocation de regrouper in fine l’ensemble des collaborateurs du groupe bancaire répartis jusque-là sur plusieurs sites administratifs.
Le 12 novembre dernier, le président du directoire Jean-Pierre DERAMECOURT et le président du Conseil d’Orientation et de Surveillance (COS) Eric FOUGERE ont pu constater de visu les faits aux côtés de François REBSAMEN, édile de Dijon : le premier chapitre menant à l’édification définitive de ce nouveau siège social se clôturait. De manière plutôt brillante au vu du résultat !
Dès lors, les habillages intérieurs et l’aménagement des espaces bureaux, tels qu’ils ont été suggérés à la suite de l’implication des collaborateurs concertés à ce sujet, peuvent commencer. L’objectif étant d’accueillir les futurs occupants des lieux, quatre cents collaborateurs, avant l’été 2022.
Un projet qui s’inscrit dans les valeurs de la RSE…
D’une surface de 9 500 mètres carrés, long de soixante-dix mètres et haut de vingt-deux mètres, la construction en impose. Sa finalité est de faciliter le travail collaboratif et la transversalité des services en favorisant l’adaptabilité des organisations propres à l’établissement.
Passif, l’édifice qui a été érigé dans le respect des valeurs de la RSE (responsabilité sociétale des entreprises) dont la CEB BFC se fait le porte-étendard, ne consommera pas plus de 40 kwh par mètre carré et par an. Mais, l’audace de ses concepteurs réside en l’utilisation harmonieuse du bois qui offre des avantages thermiques et énergétiques appréciables.
Sise sur une dalle de béton (il en aura fallu 3 032 mètres cubes), la structure bois et son exosquelette sont visibles sur l’ensemble du bâtiment selon un processus constructif à colombages. Une enveloppe de verre agrafé assure un confort thermique et protège la matière noble qui trouve de plus en plus sa place en milieu urbain grâce à un effet « double peau ». Le résultat est saisissant. D’autant que l’usage du bois, 2 500 mètres cubes utilisés, permet de générer le stockage de 2 500 tonnes de CO2.
Un projet mûrement réfléchi qui offre l’opportunité à la banque régionale de participer au dynamisme du territoire en valorisant les filières d’activité développement durable comme le bois.
Piloté par FORESTARIUS en tant qu’entreprise générale, le projet s’est également appuyé sur les compétences pour la maîtrise d’ouvrage du promoteur LCDP, la SEM ainsi que de trente-neuf entreprises régionales pour la plupart reconnues pour leur savoir-faire.
Thierry BRET
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L’an 1 de la mutualisation : des noces de coton qui augurent de belles réussites pour CERFRANCE BFC
novembre 18, 2020Dans quarante-huit heures, l’association de gestion et de comptabilité procèdera à sa première assemblée générale post-regroupement. Officialisé le 01er janvier dernier, le mariage entre les entités de Bourgogne et de Franche-Comté (quatre départements au total), voulu dans le cadre d’une stratégie de mutualisation réfléchie, se traduit par des engagements forts au niveau du déploiement opérationnel. Les assemblées de territoire dont celle de l’Yonne qui s’est tenue récemment permettent de cerner les enjeux d’une fusion, profitable à tous…
AUXERRE : Celles de la Côte d’Or et de la Haute-Saône purent se dérouler en présentiel. C’était sans compter sur le rebond de l’épidémie de coronavirus qui aura contraint les dirigeants de la structure régionale de revoir leur copie, en l’adaptant au contexte conjoncturel du moment.
Les assemblées de territoire, prélude à la future assemblée générale prévue le 20 novembre, n’ont donc pas eu le même traitement de faveur au plan logistique et organisationnel d’un secteur géographique à l’autre.
Dans l’Yonne, il aura fallu toute la sagacité et la concentration des suiveurs pour y prendre part derrière un écran d’ordinateur ; ce qui n’est jamais facile. La visioconférence est devenue le lot commun désormais de bon nombre d’entreprises et d’institutions qui poursuivent ainsi leur travail.
Dans ce registre, l’animation déclinée par CERFRANCE n’aura pas démérité. Loin s’en faut, avec en maîtresse de cérémonie la vice-présidente Aurélie CALMUS qui aura assuré la transition entre les intervenants du jour, qui pour certains, slides à l’appui, déroulèrent leur sabir en étayant leur propos de chiffres clés.
Directeur délégué pour le département de l’Yonne, il revenait à Franck NEZET d’ouvrir le bal. Celui-ci brossa méthodiquement la physionomie de ce territoire où le spécialiste du conseil et de l’expertise comptable (surtout auprès des acteurs du monde agricole) intervient.
Un éclectisme à bon escient dans la sphère professionnelle…
Grâce à ses huit agences et ses 220 collaborateurs (le groupe en compte plus de trois mille à l’échelle de son implantation régionale sur la Côte d’Or, la Haute-Saône, le Territoire de Belfort et l’Yonne), CERFRANCE gère les problématiques quotidiennes de milliers de clients. Dont 6 700 sont issus des filières agricoles de la grande culture et de l’élevage.
Toutefois, contrairement à une idée reçue, le milieu de l’agriculture ne constitue pas le seul périmètre d’action de la structure. Sa présence auprès des entrepreneurs de l’artisanat et du commerce (environ 1 700 adhérents) n’est pas négligeable ; tout comme l’est le suivi auprès de clients issus des professions libérales, des services ou du BTP. Un rappel tactique judicieux de la part de Franck NEZET qui démontre ainsi l’éclectisme de cet acteur, membre de la filière des métiers des chiffres et du droit.
Mais, l’un des éléments moteurs de cette puissante armada qui possède une vingtaine de vitrines administratives et commerciales sur sa zone de chalandise, reste bien évidemment la gestion des paies. Rien que dans l’Yonne, ce sont aujourd’hui 1 800 entreprises qui ont recours à ses services. Sans omettre par capillarité le suivi des embauches et des fins de contrat.
Une entité qui pèse 28,2 millions d’euros après la fusion…
Objectivement, ce mariage entre les quatre départements bourguignons et franc-comtois aura donné naissance à un groupe qui présente de solides atouts. Il suffit de se plonger dans la lecture de l’organigramme pour mieux en saisir toutes les subtilités.
Sur cette seule zone d’influence, CERFRANCE possède parmi ses troupes 14 experts comptables, 245 comptables et assimilés, 23 juristes, 51 conseillers en entreprise, 28 collaborateurs spécialisés dans les ressources humaines et 22 interlocuteurs qui possèdent la bosse du commerce !
Un effectif bien rôdé à la gestion des entreprises qui a de quoi satisfaire le directeur général Laurent BEURIENNE.
Adepte de la formation continue, le groupe aux 420 salariés est friand d’apprentis de niveau bac + 2 à bac + 5 (des juristes, des ingénieurs agronomes, des experts) qu’il aura tôt fait ensuite d’incorporer au sein de ses diverses strates professionnelles.
Du côté investissements, signalons l’ouverture récente (le 16 octobre) d’un nouveau point d’ancrage en Côte d’Or, précisément à Pouilly en Auxois. Le numérique prend une place particulière pour accompagner le télétravail, en vigueur avec la seconde période de confinement, et la mobilité. Les agences accueillent toujours leur public sur simple rendez-vous avec une jauge de personnel ramenée à 50 %.
Membre de l’Ordre régional des experts comptables, CERFRANCE BFC a réalisé un premier exercice après fusion évalué à 28,2 millions d’euros de chiffre d’affaires. Une excellente tendance même si une légère érosion du carnet de commandes imputable à la présence de la COVID-19 aura fait chuté de 160 000 euros en l’espace de deux mois ces bons résultats.
Le mot de la fin revint au président Eric COQUILLE. Ce dernier s’attarda longuement sur la fonction de délégué de territoire et leurs différentes missions au sein du conseil d’administration.
Rendez-vous est désormais fixé ce jeudi 20 novembre pour l’assemblée générale ordinaire d’une entité qui rayonne à la fois en terre de Bourgogne et de Franche-Comté. Avec de belles perspectives devant elle…
Thierry BRET
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La Région vote un abondement de 5,6 millions d’euros en faveur des petits commerçants
novembre 18, 2020De nouvelles mesures viennent d’être statuées par l’institution régionale lors de son assemblée plénière ce lundi 16 novembre. Avec cette décision, la prise en charge des loyers des TPE/PME de moins de dix salariés ayant subi une fermeture administrative durant la seconde vague de confinement est actée…
DIJON (Côte d’Or) : Construites en bonne intelligence avec l’ensemble des intercommunalités partenaires du Pacte régional pour l’économie de proximité, ces nouvelles mesures apportent une bouffée d’oxygène salvatrice aux petits commerçants.
En choisissant de faire évoluer ledit pacte adopté en juin dernier, la présidente de l’exécutif régional Marie-Guite DUFAY donne un coup de pouce supplémentaire aux entrepreneurs qui éprouvent de réelles difficultés avec le retour du confinement. Et la fermeture de leur outil de travail.
Comme devait le préciser l’élue avant le vote de cet abondement de 5,6 millions d’euros, « un commerce qui disparaît, c’est dramatique ; c’est toute la vitalité d’un territoire qui est remise en question… ».
Adoptée, cette mesure s’agrège avec les dispositifs de l’Etat afin de limiter la faillite des petits commerces, principalement en zone rurale.
Concrètement, les intercommunalités sont invitées à cofinancer ce nouveau processus solidaire à parité avec la Région. Selon le schéma opérationnel qui est le suivant : pour un euro versé par l’entité régionale, l’EPCI contribue à hauteur équivalente.
Un pacte spécifique adopté par 92 des 113 intercommunalités du territoire…
Toutefois, afin de préserver les capacités financières des plus petites collectivités, les communautés de communes verront leur contrepartie abaissée à deux euros pour la Région et seulement à un euro pour les EPCI concernés.
Rappelons que le Pacte régional pour l’économie de proximité a été adoubé par 92 des 113 intercommunalités de la Bourgogne-Franche-Comté au 10 novembre. Mobilisant initialement 27 millions d’euros, il repose sur deux piliers : un fonds régional d’avances remboursables mutualisé et solidaire.
A date, 645 demandes ont déjà été déposées et 123 dossiers instruits et payés pour un montant de 1,6 million d’euros, sécurisant ou créant 347 emplois sur le territoire. Le second volet de ce dispositif se rapporte à un fonds régional des territoires, destiné à accorder des subventions. Il est opéré par les EPCI auquel la Région contribue par un versement à hauteur de cinq euros par habitant dans chacune des intercommunalités.
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