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L’espoir et l’inquiétude se chevauchent chez les étudiants : se sentir utile auprès d'autrui, seul besoin de l’instant…
février 20, 2021En cette période de crise sanitaire imputable à la COVID-19, la jeunesse se sent oubliée. Un sentiment de solitude qui pousse certains à trouver un nouveau sens à leur vie. En faisant preuve d’altruisme et en allant aider les autres. Cette génération sacrifiée tente de faire face à cette conjoncture en ne prévoyant rien de concret malgré un avenir incertain bien présent devant eux...
TRIBUNE : L’engagement des jeunes auprès des associations s’est considérablement accru depuis le début de la crise. La réserve civique voulue par le gouvernement français a été mis en place via le site Internet www.jeveuxaider.gouv.fr Grâce à lui, les jeunes s’engagent dans le bénévolat pour aider les autres citoyens durant cette crise sanitaire sans précédent.
On compte à ce jour plus de 330 000 bénévoles. En s’investissant dans cette voie, ces jeunes gens vont, par exemple, distribuer des repas et des produits de première nécessité aux personnes les plus démunies vivant dans la rue ou dans des établissements d’accueil.
Ils ont également la possibilité de venir en aide aux personnes âgées, à celles en situation de handicap ou de pauvreté tout en entretenant un lien social avec celles-ci.
Avec la fermeture des écoles ou la perte d’un travail pour les parents, certains enfants éprouvent de sérieuses difficultés à suivre leurs cours à distance. Une école qui n’est pas assez à l’écoute des difficultés de l’enfant avec son lot de professeurs absents. Pour y remédier, les bénévoles se proposent alors pour apporter un soutien scolaire à ces enfants.
L’UNESCO a mis en place la campagne « Mon Histoire COVID-19 » pour mettre en lumière la manière dont la jeune génération a créé de nouvelles idées pour faire face à ces temps difficiles.
Certains prennent soin des personnes âgées en faisant leurs courses alimentaires. D’autres améliorent la qualité de vie des « LGBTQAI+ ». D’autres encore se mobilisent pour réunir de la nourriture et aider les secteurs les plus touchés. Le besoin, aujourd’hui, est surtout de se sentir utile…
Un nouveau sens à leur vie mais que se passe-t-il après ?
Cette crise de la COVID-19 engendre beaucoup de stress au quotidien lorsque cette génération oubliée se projette vers l’avenir.
Ce sentiment est présent au quotidien. Que va-t-il se passer après ? Ces étudiants obtiendront-ils leur un diplôme ? Peuvent-ils envisager de trouver du travail ?
Des manifestations se multiplient. A partir de témoignages, d’appels à l’aide, de hashtags tel que la référence « #etudiantsfantomes » qui attestent de ce besoin grandissant de se faire entendre.
Il est devenu très difficile pour ces étudiants de rester positif dans cette période délicate lorsque les cours sont proposés pour la plupart à distance.
Les inquiétudes concernant l’après ne sont pas les moindres. Des diplômes obtenus, certes, mais une offre sur le marché du travail qui est en baisse dans bon nombre de secteurs économiques.
Des concours s’annulent. Conséquence : les étudiants sont non préparés à la poursuite de leurs études alors que le nombre de places disponibles dans les écoles lui est minime.
« Pour ce qui est de l’emploi, je sens une grande précarité arriver. Je me focalise sur le présent avec mes études parce que mon avenir dans le monde du travail est flou et pas rassurant… nous livre en guise de commentaire Kody DOUANGSITHY, étudiant en troisième année d’Information et Communication à l’Université Lumière de Lyon 2.
On est loin, très loin de l’avenir radieux promis à la jeunesse de notre Hexagone…
Jordane DESCHAMPS
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Humaniser la crise en faisant abstraction de la peur : REINFOCOVID opte pour une autre politique sanitaire…
février 19, 2021La peur n’est jamais bonne conseillère. Chacun le sait. Or, elle nous est devenue si familière dans ce contexte très particulier de crise sanitaire. Un peur qui a envahi petit à petit, et à grand renfort de messages anxiogènes et de déclarations parfois disparates, notre espace vital. Jusqu’à nous rendre parano ! Médecin anesthésiste réanimateur à Marseille, porte-parole du Collectif REINFOCOVID, Louis FOUCHÉ se livre dans une interview vidéo-filmée à un entretien empli de bon sens et d’humanité sur la transformation de la colère froide en réel courage pour surmonter nos peurs…
TRIBUNE: Regroupant des médecins, des soignants mais aussi des chercheurs, des entrepreneurs, des parents, des hauts-fonctionnaires, des citoyens, des artistes…le Collectif REINFOCOVID souhaite dans sa démarche déontologique apporter de la beauté et de la culture autour de lui.
Ce groupement travaille à l’heure actuelle sur quatre points clés pour essayer de sortir les gens de cette peur chronique qui transpire en nous par tous les pores de notre épiderme.
Combattre la peur, toutes les peurs, que ce soit la peur du virus, de perdre son travail, de fermer boutique, des effets de la crise économique suppose obtenir des réponses objectives sur la question.
Pour Louis FOUCHÉ, le témoin de cette tribune, c’est clair : « il s’agit de tâter le réel, de revenir à la réalité et surtout de s’approcher du vrai sans être coincé dans une panique irrationnelle que les peurs savent si bien mettre en place... ».
Le second point de cet exposé est d’ouvrir l’espace du débat démocratique et scientifique pour chercher ce qui nous semble le plus juste, le vrai. Le troisième de ces éléments est de tenter d’infléchir la politique sanitaire actuelle en optant pour une politique sanitaire qui soit plus juste et plus proportionnée. Enfin, il sera judicieux de (re)faire la société dans une posture de non-violence.
Au nom du bon sens, de la raison et de l’humanité.
En savoir plus :
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Retrouver l’intervention de Louis FOUCHÉ sur :
Hadrien ACELA
Interview vidéo réalisée par Daniel BOUKEZ
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Changement de décor pour un nouveau départ : la « Franck Pineau » est fin prête pour son édition du 12 juin !
février 18, 2021Si les conditions sanitaires le permettent, on ne peut que croiser les doigts en vue de cette éventualité pour retrouver les plaisirs offerts par la pratique du cyclotourisme, la 23ème édition de la « Franck Pineau » prendra son envol en ce joli mois de juin depuis le stade de l’Abbé Deschamps cette année. Un partenariat concocté avec l’AJ Auxerre favorise en effet ce changement de décor…
AUXERRE : La date est à biffer dans les agendas de tous les aficionados de la fameuse randonnée cyclotouriste qui fait converger chaque année des férus de la petite reine. Certains effectuant parfois un très long déplacement pour y participer comme ces inconditionnels de l’animation en provenance du nord de l’Hexagone !
Après une année blanche, les amateurs de sensation forte sur deux roues retrouveront leur rendez-vous convivial et physique, non pas dans le cadre jusque-là habituel du parc des expositions d’Auxerre mais bel et bien depuis le complexe sportif de l’AJA : le stade de l’Abbé Deschamps.
C’est l’enceinte sportive du club pensionnaire de Ligue 2 qui accueillera le samedi 12 juin celles et ceux qui oseront braver les différents parcours allant de 16 à 254 kilomètres pour les cyclotouristes auxquels il sera judicieux d’ajouter les quatre possibilités offertes aux adeptes du VTT sur des itinéraires de 22 à 40 kilomètres. Un panel plutôt éclectique pour toutes les appétences physiques !
Pour couronner le tout, trois randonnées pédestres de 6 à 22 kilomètres seront également proposées pour les marcheurs désireux de relever le challenge au cœur des jolis paysages de l’Yonne.
Thierry BRET
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Coup de pouce de 200 millions pour rendre plus vertes les forêts : priorité est faite à l’économie et à la biodiversité
février 16, 2021Le Centre régional de la propriété forestière (CRPF) prodiguera conseils techniques et expertises dans le cadre du plan de relance mis en place par l’Etat pour rendre plus vertes nos forêts. Si la biodiversité est l’un des enjeux majeurs de cette intervention, en injectant 200 millions d’euros dans ce plan, l’Etat souhaite aussi redynamiser le volet économique de la filière…
DIJON (Côte d’Or) : Dans le cadre du dispositif visant à relancer les secteurs économiques du pays après l’atonie observée avec le prolongement de la crise sanitaire, le secteur forestier n’a pas été oublié des enjeux.
Bien au contraire, puisque c’est une manne financière de deux cents millions d’euros qui lui sera consacrée en Bourgogne Franche-Comté.
Si l’ambition de ces mesures est avant tout d’ordre économique, le volet de la biodiversité et de sa préservation ne seront pas omis des critères de référence pour leurs attributions.
Etablissement public au service de la forêt et des propriétaires privés, le CRPF (Centre régional de la Propriété Forestière) sera mobilisé. Comme devait le préciser récemment son directeur François JANEX pour accompagner les bénéficiaires de ces aides en leur donnant des conseils techniques et de judicieuses expertises.
Le plan se rapporte au remplacement des épicéas plantés à basse altitude.
Depuis trois saisons, ces arbres souffrent d’attaques régulières d’insectes qui prolifèrent et provoquent la mortalité de ces résineux affaiblis par la sécheresse et les températures caniculaires de la période estivale.
Ce sont des essences de provenance locale, voire plus adaptées au sol et au climat qui permettront ce nécessaire reboisement.
Il est prévu que 60 % de la surface aidée soit recouverte avec des végétaux à objectif de production de bois. Le reliquat de ces plantations pourrait s’agrémenter d’un ensemble de variétés destiné au gainage et à l’accompagnement des arbres à objectif bois, mais aussi à la diversification du peuplement afin d’enrichir l’écosystème et améliorer ainsi son fonctionnement.
Le mélange de ces différentes essences sera rendu obligatoire pour les surfaces excédant les dix hectares. Précisons qu’en cas de génération naturelle d’essences adaptées, sur des zones considérées à forte potentialité environnementale, ces végétaux pourraient être conservés.
Thierry BRET
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100 000 bornes équiperont les aires d’autoroutes et routes nationales d’ici 2022 : le défi de Jean-Baptiste DJEBBARI
février 16, 2021L’enveloppe budgétaire s’élève à plus de cent millions d’euros. Débloquée par l’Etat, cette somme permettra à la France de rattraper le retard vis-à-vis de certains de nos partenaires européens. D’ici 2022, les réseaux autoroutier et routier devrait être pourvus suffisamment de bornes de recharge pour les véhicules électriques qui empruntent ces axes rapides pour faire le plein d’énergie sur n’importe quelle aire. De quoi enlever une sacrée épine du pied des automobilistes…
PARIS : La photographie actuelle est simple. A date, l’Hexagone dispose de 440 aires de service pour permettre d’étancher la soif de ses conducteurs qui en éprouveraient l’envie ou profiter d’un espace de détente sur l’imposant réseau routier qui constelle les quatre coins de notre territoire.
Oui, mais en y regardant de plus près, seuls 140 de ces endroits à privilégier si vous roulez avec des enfants en pleine canicule sont équipés avec de quoi alimenter un véhicule électrique !
Autant dire que les heureux possesseurs de ces modèles dont on nous vante tant les qualités émérites s’y reprennent à deux fois avant de se lancer dans la folle aventure des parcours de longue distance par crainte de ne jamais arriver au bout du chemin. Sic !
Or, un communiqué qui émane du ministre délégué en charge des Transports Jean-Baptiste DJEBBARI, publié le 14 février, devrait changer la donne, notamment sur les autoroutes au cours de ces prochains mois. Cela concerne le développement des bornes de recharge électrique sur ces voies rapides, une nécessité dont tout le monde en convient et qui se mue enfin en priorité !
Si l’on suit la pensée du membre du gouvernement, d’ici 2022, la pose de ces appareillages si précieux pour les automobilistes roulant à l’électrique devrait être achevée.
Les aides de l’Etat qui injecte cent millions pour y parvenir seront versées aux entreprises qui réaliseront un investissement de la sorte à la fois sur le domaine public autoroutier et sur le réseau routier national.
Jean-Baptiste DJEBBARI, lors d’un point presse national, a déclaré qu’il souhaitait que toutes les aires d’autoroute bénéficient de ces équipements avant la fin de 2022. C’est-à-dire de bornes de recharge électrique de 150kW. Ces dernières garantissent la rapidité de la manœuvre, au maximum une vingtaine de minutes selon les modèles, lors du plein effectué par un automobiliste.
Cette accélération de la part de la gouvernance pourrait se concrétiser par l’apport de 100 000 points de recharge sur l’ensemble du territoire dans les prochains mois. Vivement demain !
Thierry BRET
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