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La dette de la COVID pourrait courir au-delà de 2060 et plomber les futures générations : faut-il la rembourser ou purement l’annuler ?
février 27, 2021Le débat est lancé. Avec ses partisans et ses détracteurs. Dans la langue de GOETHE, le mot dette se traduit par la locution : « die schuld ». Cela signifie aussi la faute ! Alors faute ou pas faute de s’être endetté à un tel niveau pour résoudre cette crise sanitaire ? Faute ou pas faute de rembourser nos dettes dans un avenir aussi lointain ? Au-delà de l’avis des experts en économie, la décision finale ne peut être que purement politique…
TRIBUNE : Le débat, souvent musclé, enflamme la toile. Mais aussi, les médias, avec des discours très techniques du côté des économistes. Les spécialistes, plutôt de gauche, proposent l’annulation pure et simple de la dette. Citons Gaël GIRAUD, Jézabel COUPPEY-SOUBEYRAN et le fameux Thomas PIKETTY, pour les plus connus.
En face de ces fervents adeptes de l’annulation, on trouve des « conservateurs » respectueux des règles européennes en matière de crédits accordés aux états.
Leurs partisans sont Olivier BLANCHARD (ex-économiste du FMI) et surtout Eric BERR, chantre des « économistes atterrés ». Ils s’opposent à l’idéologie néolibérale.
Partisans et détracteurs sont pourtant d’accord sur un point : si les taux augmentent, la charge des emprunts deviendra insupportable pour les états. Donc, nous ne pourrons que recourir à l’annulation.
Pour les autres, annuler c’est aussi prendre le risque d’une création monétaire de contrepartie. Soit un risque inflationniste avec une augmentation des taux ! La quadrature du cercle, voire même une solution digne du « mouton à cinq pattes » !
Des chiffres astronomiques et de sacrés enjeux…
A date, notre dette nationale représente plus de 120 % du PIB avec 2 700 milliards d’euros. Important, certes, mais pas incongru. Ne mélangeons pas le stock de la dette avec le flux des ressources de l’Etat (PIB). Aucun banquier ne sera choqué par notre prêt immobilier de 300 000 euros si nous avons un revenu annuel de 30 000 euros.
Les actifs de l’Etat sont peau de chagrin. On préfère vendre que réduire les dépenses ! Ces actifs représentent 1 400 milliards d’actifs financiers (actions) et 700 milliards d’actifs non financiers.
Précisons que le volume des dettes est multiplié par deux quand on intègre les dépenses futures de l’exercice en cours et les engagements pris sur les retraites dues (les fameux engagements « hors bilan »).
Il faut aussi ajouter les cautions données comme les récents « Prêts garantis par l’Etat ». Les chiffres donnent tout de même le vertige : en 2020, on emprunte un milliard d’euros par jour, soit 700 000 euros chaque minute !
En 2021, nous sommes au moins sur le même rythme. Disons tout de suite que l’Etat rembourse ses emprunts chaque jour. De quelle manière : on fait « rouler » nos dettes en se faisant refinancer le capital sur les marchés financiers.
Donc, plus j’ai de crédits et plus je m’endette… Ce qui fait dire que dans ce cas, on ne rembourse pas. C’est aussi la solution technique des partisans du remboursement de nos dettes : « le fameux roulement ». L’exposition à une possible augmentation des taux constitue une véritable épée de Damoclès pour les états européens et particulièrement pour la France. La dette représente le pilier du fonctionnement de l’Etat et non l’investissement. Hélas !
Rembourser, c’est aussi faire des économies…
Pour la dette imputable à la COVID, c’est la BCE qui a ouvert tout grand les robinets. Les juristes affirment que la BCE n’a pas le droit d’effacer la dette des états. Pour les autres emprunts, la moitié est détenue par des investisseurs étrangers. De facto, ils doivent être prioritaires pour un remboursement. Ne pas honorer cet engagement, c’est se couper de dettes futures.
Parmi les solutions de remboursement les moins toniques mais déjà engagées, on trouve la vente des actifs. Si pour l’heure, on s’interdit de vendre la Joconde (deux milliards) le château de Versailles (au moins 4 milliards), la tour Eiffel (3 milliards), le musée du Louvre hors ce qu’il contient (8 milliards), on brade des sociétés comme la Française des Jeux.
Sans doute la vieille mentalité des traditionnalistes de la terre et de l’immobilier et des réfractaires de la bourse. En attendant, on s’appauvrit au détriment de l’emploi au lieu de s’enrichir efficacement afin de réinvestir dans l’économie.
Rembourser, c’est aussi faire des économies. Car il ne faut pas confondre les charges conjoncturelles et les charges structurelles.
Diminuer les charges conjoncturelles, en fait diminue le budget de l’Etat à travers les dépenses annuelles et récurrentes. Cela ne sert à rien. A défaut, on contraint des fournisseurs à licencier du personnel. Parmi les coupes sombres à envisager, aussi stupides qu’inutiles : pourquoi ne pas supprimer les petits fours servis en abondance le 14 juillet à l’Elysée, la vente d’une partie de la cave du palais présidentiel, diminuer les frais du parc automobile des ministères, limiter les charges de téléphone et du numérique des élus, etc.
Pour les charges structurelles, qui ont un caractère quasi permanent, on pointe surtout les charges de personnel. Des suppressions de postes sont-elles possibles et où en l’état ? La santé, la police, la justice, les prisons, l’armée, l’éducation ?
Bien sûr que non ! Nous parlons ici de secteurs qui doivent au contraire recruter. Si nous évoquons l’Education nationale : il faut une meilleure répartition des postes. Mais, on n’économisera pas grand-chose. Si, en fait, on y gagnera à coup sûr une belle grève pérenne…
Les charges de personnel, depuis quelques années ont explosé dans les municipalités et autres collectivités publiques. Il existe un véritable malaise dans les embauches de ce secteur. Toutefois, elles ont eu aussi le mérite de limiter la casse locale dans les emplois du secteur privé.
Parmi la diminution des charges structurelles qu’il faudra bien aborder un jour : c’est celle relative à la fraude sociale qui devra faire surface !
Tout le monde connaît depuis des lustres la gabegie des escroqueries en matière de fraude aux Caisses de retraite et à la Sécurité Sociale.
Dans son rapport officiel, le magistrat Charles PRATS estime à près de 50 milliards la fraude sociale !
Pour des raisons certainement démagogiques, aucun gouvernement n’a encore souhaité s’attaquer de front à ce serpent de mer ! Pourquoi ?
Nous touchons là un point très sensible de notre société, impliquant notamment des ressortissants étrangers où certaines aides qui sont attribuées concernent des personnes âgés de plus de 130 ou 140 ans afin de permettre aux familles de toucher la retraite !
Pire encore : on manipule les chiffres. Le sénateur Jean-Marie VANLERENBERGHE (LRM), rapporteur de la commission des Affaires sociales du Sénat, estime à « au moins » 100 millions d’euros la fraude sociale en France.
Le « au moins » n’est en fait qu’un doux euphémisme !
Quand à augmenter les impôts, mieux vaut ne pas y penser. Au contraire, l’urgence est de diminuer l’impôt sur les sociétés afin d’attirer les capitaux étrangers et surtout, à l’instar de l’Italie, de réduire voir de supprimer l’impôt sur les successions d’entreprises, les TPE, les commerces, l’artisanat,…
Trop souvent, pour ces activités professionnelles, la succession des entreprises débouche sine die à leur fermeture et à des licenciements.
Des pistes de réflexion vertueuses pour sortir de ce cercle infernal…
Ne pas rembourser la dette nous expose à la fermeture du robinet des crédits. C’est la perte de la crédibilité de la signature de l’Etat français. La fin de la restructuration progressive de nos emprunts vers un allongement de leur maturité. Cette solution semble avoir le vent en poupe.
Nous nous endettons sur des durées de cinquante ans et nous envisageons des remboursements étalés sur un siècle ! Qui peut bien être intéressé ?
Les fonds de pensions de retraites américains. Cette ouverture permet à ces fonds nationaux de se développer en investissant dans la dette. En matière de dettes, il ne faut surtout pas se préoccuper de la position allemande. Angela MERKEL est trop soumise à l’Euro. Un retour au Mark ruinerait l’Allemagne à cause d’une monnaie trop forte pour pouvoir vendre d’une manière concurrentielle !
Alors, rêvons un peu ! Trouvons une solution pertinente pour sortir de ce cercle infernal. Trouver un cercle vertueux : c’est-à-dire investir dans l’appareil productif industriel. Cela augmentera notre indépendance industrielle en créant des emplois et en améliorant notre niveau de vie. Donc, la richesse nationale, le PIB et la capacité de pouvoir rembourser aisément les dettes…
Nous l’avons vu pour la découverte de l’hypothétique vaccin français. Un échec synonyme de carence pour l’Etat en ce qui concerne les fonds injectés vers la recherche.
Au final, rembourser ou ne pas apurer nos dettes ne peut être qu’une décision politique. C’est une armoire à tiroirs multiples mais surtout cela traduit la volonté affirmée de l’Etat d’être sans complaisance et sans démagogie.
N’oublions pas ce vieil adage, ode à la prudence (un dicton issu de la culture populaire de l’Ancien régime) : « Qui paye ses dettes s’enrichit ». A méditer plus que tout en cette période si délicate pour nos finances !
Jean-Paul ALLOU
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Les régionales dans le viseur de Debout La France : le parti souverainiste peaufine une liste composée d’élus…
février 25, 2021C’est dans le fief de la nouvelle tête de file du parti souverainiste que les éléments moteurs de Debout la France 89 se réuniront ce samedi 27 février à l’initiative de leur délégué régional Pascal LEPETIT. Le départ de plusieurs personnalités de ce mouvement vers d’autres cieux politiques ne semble pas affecté celles et ceux qui conservent leur confiance dans leur leader historique. Ce rendez-vous permettra de se tourner vers l’avenir. Il a pour objectif les régionales 2021…
VEZELAY : Président de la Communauté de communes Yonne Nord, le maire de Villeblevin Thierry SPAHN n’honorera pas ce rendez-vous concocté en début de week-end.
Excusé de cette rencontre placée sous le sceau de la reconstruction, sa présence sera pourtant évoquée par ses coreligionnaires car son patronyme devrait bel et bien figurer sur la future liste candidatant pour les prochaines régionales.
C’est là l’un des points essentiels de cette séance de travail qui se déroulera ce samedi dans le Vézelien. Plus précisément dans le fief du nouveau secrétaire départemental de l’antenne icaunaise, Patrick MOREAU.
L’élu de Foissy-les-Vézelay a été adoubé il y a quelques jours par le bureau national pour succéder à Pascal BLAISE. Ce dernier a choisi de quitter la formation de Nicolas DUPONT-AIGNANT pour rallier le futur projet initié par Jean-Philippe TANGUY, l’ancien bras droit de l’ex-candidat à la présidentielle 2017 (voir article publié à ce sujet).
Le maire du Vézelien se portera également candidat sur la liste qui prend tournure et s’alignera aux régionales des 13 et 20 juin.
Debout la France aura la particularité de présenter sur les huit départements de Bourgogne Franche-Comté bon nombre de maires, d’élus municipaux et de conseillers régionaux. En jouant sa propre partition.
Vers un retour au bercail de celles et ceux qui sont indécis…
Interrogé sur ce point, Pascal LEPETIT, délégué régional de la formation politique, insiste sur l’importance de la construction de cette liste qui ne compte pas faire de la figuration selon ses dires.
Il profite de sa prise de parole téléphonique pour tacler celles et ceux qui se disent « gaullistes et indépendants qui ont choisi de faire allégeance au Rassemblement National en sortant des rangs de la manière la plus brutale qu’il soit… ».
D’ailleurs, il n’exclut pas un retour au bercail d’une majorité de celles et ceux qui se sont égarés, aujourd’hui indécis ou demeurent dans la plus grande circonspection après ce geste fort. C’est-à-dire environ 30 % de militants en indélicatesse avec le parti. On serait donc très loin des 90 % annoncés sur l’Yonne…
Magnanime, le délégué régional de Bourgogne Franche-Comté tend la main à celles et ceux qui désireraient revenir à la maison mère.
Toujours est-il que cette rencontre planifiée dans le sud de l’Yonne tombe à pic pour l’élu de la Nièvre. Il y parlera avenir et de recomposition du nouvel organigramme devant agir sur notre département.
Certes, les échéances régionales arrivent à grand pas. Mais, se préfigurent déjà à l’horizon les présidentielles où le poulain légitime de DLF, Nicolas DUPONT-AIGNANT, crédité à date de 8 % des intentions de vote au premier tour, aimerait bien jouer les trouble-fêtes en se qualifiant pour la phase finale…
Thierry BRET
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Joigny candidate à des expérimentations culturelles : Nicolas SORET se porte volontaire auprès de Matignon !
février 25, 2021La réouverture des lieux culturels serait un signal fort adressé aux filières économiques, synonymes d’attractivité territoriale. A commencer par le tourisme. Un secteur qui, au même titre que l’hôtellerie-restauration, broie du noir depuis plusieurs mois. Expérimenter ce retour de la vie artistique taraude les esprits de moult élus. Nicolas SORET est l’un d’entre eux. Il a décidé de soutenir cette initiative en sollicitant le chef du gouvernement…
JOIGNY: Si cela voyait le jour, ce serait avec sagesse et responsabilité. En filigrane avec le concours des services de la préfecture. Mais, l’expérimentation culturelle que souhaite porter dès que possible le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et édile de Joigny ferait immanquablement des émules dans d’autres localités de notre territoire.
Après l’envoi de cette missive officielle ce 24 février, la balle est désormais dans le camp de son destinataire, le Premier ministre Jean CASTEX en personne !
Arguant que seules des mesures territorialisées pourraient s’adapter convenablement à la réouverture des sites artistiques et culturels en fonction du contexte sanitaire, le Conseiller départemental de l’Yonne en appelle à la responsabilité de l’Etat. Et de l’une de ses figures emblématiques : le locataire de Matignon !
Le signataire de cette lettre propose donc de candidater pour rouvrir les lieux culturels dans sa ville, s’appuyant sur des expériences déjà menées chez certains de nos voisins comme la Belgique, l’Italie ou l’Espagne.
A l’aide de systèmes de jauges et de protocoles santé renforcés, les sites culturels de ces pays européens accueillent du public depuis plusieurs semaines. Sans qu’il n’y ait eu la moindre difficulté. Il en est de même au Québec où une procédure de prise de rendez-vous a rendu possible la visite des musées.
La démarche de Nicolas SORET s’adosse à celle de la présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, qui a également exprimé un avis favorable en ce sens.
Le maire de Joigny souhaite avec cette action, si elle obtenait gain de cause in fine, maintenir l’espoir et accompagner ses administrés dans la traversée de la tempête qui les prive depuis de longs mois de toute activité culturelle.
Thierry BRET
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Abder EL BADAOUI diffère son départ au 15 mai : ce n’est que partie remise pour l'exploit !
février 24, 2021Déception pour le sportif de l’extrême de l’Yonne ! Le sympathique coureur auxerrois ne s’élancera pas, comme il était convenu initialement, dans sa nouvelle aventure le mercredi 03 mars. Celle qui doit le mener de Paris à Dubaï au terme d’un long périple de 6 800 kilomètres à travers une dizaine de pays…
AUXERRE : Les conditions sanitaires actuelles n’étaient pas optimales pour relever ce nouveau défi. Celui que s’est lancé le spécialiste de l’endurance, Abderrazzack EL BADAOUI.
La fermeture de certaines frontières européennes, notamment avec l’Allemagne pour cause de recrudescence de la pandémie en Moselle, occasionnait un réel souci en termes de logistique pour ce perfectionniste dans l’âme.
Ne pouvant laisser sa part aux doutes et à l’incertitude, l’Icaunais a donc choisi de reporter de quelques semaines son départ depuis le parvis de l’hôtel de ville à Auxerre.
La date du samedi 15 mai a donc été retenue par le coureur qui effectuera ce voyage insolite à bicyclette, une fois n’est pas coutume. Un revers, certes temporel, qui n’entame pas l’enthousiasme et le moral de l’athlète qui profitera de ce délai supplémentaire pour peaufiner sa condition physique.
Thierry BRET
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Sens veut renforcer le commerce de proximité : la Banque des Territoires partenaire idoine de cette stratégie…
février 22, 2021Bras armé de la solidarité économique impulsée par l’Etat envers les zones géographiques de l’Hexagone désireuses de gagner en attractivité, la Banque des Territoires va s’investir davantage sur le Sénonais. L’organisme, marque à part entière de la Caisse des Dépôts, paraphera ce mardi 23 février une convention de partenariat avec l’édile de la Ville de Sens. Un document profitable au développement du commerce de proximité…
SENS : C’est en présence du directeur général de la Caisse des Dépôts Eric LOMBARD que la présidente de la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais Marie-Louise FORT apposera en début de matinée de ce mardi 23 février sa griffe au bas du document signé avec la Banque des Territoires de Bourgogne Franche-Comté.
Organisme qui décline un ensemble de solutions d’accompagnement et de financement au service des projets initiés par les collectivités, la Banque des Territoires fait figure depuis sa création en mai 2018 de maillon pertinent de la dynamique économique en termes de cohésion des territoires.
La marque de la Caisse des Dépôts a eu depuis moult opportunités de se distinguer sur le terrain, compte tenu du contexte sanitaire qui prévaut dans l’Hexagone depuis plusieurs mois.
A l’origine de sa création, Eric LOMBARD avait d’ailleurs précisé que « la Banque des Territoires était née de la volonté d’apporter encore plus aux territoires de la République et de répondre à leurs nombreux besoins ».
Bref, l’organisme incarne le nouveau visage de la Caisse des Dépôts, celui d’une caisse de l’égalité des territoires…
Concrètement, il sera question de l’essor du commerce de proximité et de son animation à travers les lignes rédigées dans cette convention. Le texte sera également adoubé par le sous-préfet de l’arrondissement de Sens, Rachid KACI et Antoine BREHARD, directeur régional de la Banque des Territoires en Bourgogne Franche-Comté.
En filigrane, l’organisme régional apporte son soutien financier à la Ville de Sens qui lui aura permis de créer au premier janvier un poste de manager de commerce. Un pôle économique capital pour le développement de l’attractivité territoriale.
Thierry BRET
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