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Le dispositif est-il vraiment vertueux ? Deux jeunes signent une convention dans le cadre du plan « 1 jeune 1 solution »
mars 30, 2021Deux jeunes femmes ont scellé une collaboration de plusieurs mois avec l’EHPAD Notre-Dame de la Providence. Elles ont signé une convention dans le cadre du plan « 1 jeune, 1 solution ». L’Etat présente ce dispositif comme une bouée de sauvetage exceptionnelle pendant la crise sanitaire. Mais permet-il réellement de lutter contre le chômage des jeunes ?
SENS : Le plan « 1 jeune, 1 solution » a été lancé par les pouvoirs publics en juillet 2020. Il vient en aide aux jeunes impactés par la crise sanitaire. Son terme est initialement programmé pour janvier 2021. Il avait ensuite été prolongé jusqu’au 31 mars.
A Sens, la Mission Locale annonce que depuis le début de l’année, 35 jeunes ont bénéficié de ces contrats aidés, d’une durée de 9 mois, renouvelables jusqu’à 24 mois. Dans l’Yonne, en 2020, plus de 3 600 jeunes ont profité des avantages de ce plan dont 1 559 d’entre eux au sein du Parcours d’Accompagnement Contractualisé vers l’Emploi et l’Autonomie (PACEA).
A quoi sert ce nouveau plan gouvernemental ?
En théorie, ce type de plan permet aux jeunes de se former, de combler des lacunes en termes de qualifications nécessaires pour trouver plus facilement un emploi.
Mais pour les deux jeunes sénonaises, Assia et Coline, toutes deux âgées de 20 ans, il s’agit davantage d’une passerelle.
Assia rêve de devenir infirmière depuis trois ans mais elle compte parmi les victimes de Parcoursup. Elle souhaitait donc enrichir son dossier par une expérience concrète avant de candidater de nouveau pour une école.
Coline, quant à elle, a abandonné ses études en économie et gestion pour se consacrer à une cause plus proche de l’humain. Elle souhaitait « être utile à la cause de la COVID ». Ce dispositif constitue également un bon tremplin pour sa réorientation vers le secteur médico-social dans lequel elle aimerait finalement faire carrière.
Entre l’alternance, les contrats traditionnels et les divers contrats aidés, les entreprises disposent aujourd’hui d’un choix plutôt riche de contrats à la carte. Une aubaine également en termes de main d’œuvre à moindre coût, surtout à l’heure où l’économie est au ralentie en raison des mesures restrictives liées à l’épidémie de SRAS CoV-2.
Dario RIGOLLET, directeur de l’EHPAD considère que « surtout en ce moment de crise COVID, ce sont des emplois utiles. Sinon au niveau financier, même si l’Etat nous aide énormément, c’est bien d’avoir aussi de l’aide de ce côté-là, au niveau des emplois ».
Le gouvernement offre une aide d’un montant pouvant s’élever jusqu’à 4 000 euros aux employeurs qui embauchent un jeune de moins de 26 ans. A noter que les entreprises accueillant un alternant (en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation) de moins de 18 ans reçoivent 5000 euros et 8 000 euros si celui-ci a plus de 18 ans.
Le directeur admet aussi que l’établissement embauche « continuellement » des jeunes stagiaires en temps normal, apprentis ou sous contrats aidés, qui ne restent pas la plupart du temps, « peut-être parce qu’à ce moment-là on n’avait pas de poste en CDI… » justifie-t-il. Les entrepreneurs ont effectivement la possibilité d’opter pour des contrats aidés depuis de nombreuses années.
L’aide aux jeunes sans qualification : une stratégie politique récurrente
Et pour cause, l’augmentation du nombre de demandeurs d’emploi, et plus particulièrement la paupérisation de la jeunesse française, n’est pas uniquement le fait de cette crise sanitaire.
Depuis plus de quarante ans, le chômage des moins de 26 ans est en constante augmentation, de 20,8 % en 2018 (contre 8,5 % pour les 25-49 ans). En 1975, ce taux n’était que de 6,9 %.
Les gouvernements successifs déploient régulièrement des plans massifs de sauvetages pour endiguer un taux de chômage et faciliter l’accès à l’emploi pour les moins de 15-24 ans pas ou peu qualifiés.
Cette cause est devenue l’un des slogans favoris de la classe politique, avec en vedette le CIE (Contrat Initiative Emploi) créé en 1995. On parle aujourd’hui du CUI-CIE pour le secteur marchand, qui fait d’ailleurs son grand retour, du CUI-CAE, qui s'adresse au secteur non marchand (transformés en PEC-Parcours Emploi Compétence), et du CIE-JEUNES dédié aux moins de 26 ans.
Ce dispositif fait l’objet d’une profonde réforme depuis ses débuts mais le principe est toujours resté le même : une aide financière à l’embauche pour les entreprises et la promesse d’un avenir aux chômeurs longue durée. Et bien que l’on constate son déclin depuis le début des années 2000 (de 600 000 contrats aidés en 2005 à 200 000 aujourd’hui), son utilisation demeure privilégiée. En 2016, 28,1 % des emplois occupés par les jeunes de moins de 26 ans étaient des contrats aidés.
Quelle est l’efficacité réelle du contrat aidé ?
Alors que ces mesures sont souvent critiquées depuis l’instauration des « Travaux d’utilité collective » (TUC) par Laurent FABIUS en 1987, l’Etat continue de les mettre en place. Cela signifie-t-il qu’elles répondent finalement aux objectifs fixés : soutenir l’emploi et favoriser l’insertion professionnelle ?
Dans un rapport de 2011, la Cour des Comptes signifiait que l’objectif était surtout « de lutter contre le chômage en période de basse conjoncture. Les contrats aidés, du secteur non marchand en particulier, permettent en effet de retirer temporairement des effectifs non négligeables des listes de demandeurs d’emploi ».
Une enquête de la DARES (Direction de l’Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques) réalisée en 2017 confirme cette tendance.
« A court terme, les contrats aidés, particulièrement ceux du secteur non marchand, permettent de soutenir efficacement l’emploi. À plus long terme, en revanche, les effets sur l’insertion professionnelle sont mitigés » en fonction du secteur et de la conjoncture économique.
Parmi les personnes ayant réalisé un contrat unique d’insertion dans le secteur marchand (CUI-CIE), 72 % déclaraient être en emploi six mois après et 25 % s’étaient réinscrit à Pôle Emploi.
Concernant ceux qui ont effectué ce même contrat dans le secteur non marchand (CUI-CAE), seulement 49 % étaient encore en poste dans le même délai et 43 % avaient réintégré les statistiques du chômage.
« La part de ceux qui s’orientent vers une formation ou sortent vers l’inactivité est inférieure à 5 % ».
Floriane BOIVIN
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Le Collectif citoyen de l’Yonne Marche pour le Climat veut faire entendre sa voix le 28 mars
mars 26, 2021Ce ne sera pas une journée dominicale ordinaire pour le Collectif citoyen de l’Yonne Marche pour le Climat. Les vingt-six organisations associatives ou syndicales composant cette structure invitent les Icaunais à converger Place de la République à Sens à partir de 14h45 afin d’exiger une réécriture du projet de loi Climat examiné le lendemain à l’Assemblée nationale…
SENS : Défendre les mesures préconisées par les cent-cinquante membres de la Convention citoyenne pour le Climat : tel est l’objectif du rassemblement populaire voulu par le Collectif citoyen de l’Yonne Marche pour le Climat ce dimanche 28 mars.
Une fois n’est pas coutume, la manifestation revendicative ne se déroulera pas dans la capitale de l’Yonne. Mais, elle sera accueillie dans la ville la plus économique et la plus proche de Paris. Où sera examiné dès le lendemain le projet de loi à l’Assemblée nationale. Peut-être pour mieux faire entendre sa voix ?
Dénonçant le manque d’ambition de ce texte, loin de ses intentions originelles, les vingt-six structures exigent une réécriture du projet afin de le rendre plus ambitieux qu’il n’est et qu’il soit en phase avec l’urgence écologique.
Les participants se retrouveront Place de la République à 14h45. Ils réclameront aussi des mesures concrètes à appliquer dans notre département pour engager enfin la transition écologique et solidaire dont beaucoup ne cessent d’évoquer le contenu mais qui tarde réellement à se traduire dans les faits.
Les organisations participantes :
ADENY. Alternatiba Yonne. ARPENT. ASAO. ATD Quart Monde Yonne. ATTAC 89. BioBourgogne. C3V maison citoyenne. CCFD-Terre solidaire de l’Yonne. Collectif 89 « A-C OGM Pesticides ». Collectif de l’Eau de Champignelles. Confédération Paysanne de l’Yonne. Coquelicots de l’Auxerrois. FSU 89. Intersyndicale de l’ONF de l’Yonne. Jour de la Terre à Auxerre. LDH Auxerre. LDH Yonne-Nord. LPO 89. Lucytoyens.RADD. Réseau Soutien Migrants 89. SOS 3 vallées. Traverses.Solidaires 89. Yonne Nature Environnement.
Thierry BRET
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Le collectif REINFOCOVID l’affirme : « Une autre politique sanitaire en France est possible… »
mars 25, 2021Porte-parole du Collectif REINFOCOVID, Louis Fouché, médecin-anesthésiste-réanimateur exerçant à Marseille éclaire notre lanterne dans un entretien filmé sur les dernières phases évolutives de la pandémie. Alors que la troisième vague semble s’abattre sans retenue sur une large frange de l’Hexagone et que le confinement gagne petit à petit les départements les uns après les autres… Nous sommes ce que nous attendions ?
TRIBUNE : Structure associative regroupant des soignants, médecins et scientifiques universitaires, réunis autour d’une idée fédératrice (le besoin d’une politique sanitaire juste et proportionnée pour la France), l’un des objectifs de REINFOCOVID est de tout mettre en œuvre pour se sortir de ce climat anxiogène et aller vers la prudence en allant questionner le réel sur ce qui se passe effectivement avec la COVID et autour de la COVID. En termes de suivis épidémique, souvent l’on parle du nombre de morts sans préciser si ces décès sont imputables à la maladie ou non. Les chiffres distillés chaque jour représentent juste un compteur qui empile des données brutes sans distinction. Dans l’expression « politique sanitaire », il y a sanitaire mais aussi politique ! S’il est important de questionner, non seulement les conséquences médicales de cette épidémie, encore faut-il ne pas oublier de s’intéresser aux effets collatéraux de celle-ci à travers ses conséquences sanitaires, sociétales, économiques, financières, culturelles, relationnelles et pédagogiques. C’est ce que nous invite à faire le docteur Louis Fouché dans cet exercice oratoire sous la forme d’une interview filmée…
A découvrir sur la référence :
Hadrien ACELA
Interview réalisée par Daniel BOUKEZ
//odysee.com/@Reinfocovid:2">https://odysee.com/@Reinfocovid:2
https://www.facebook.com/collectifreinfocovid
https://www.youtube.com/channel/UCe01AmJ3e7cUPIbRzPaDKfw
https://www.youtube.com/channel/UCljXEDaSZVZ4x5tRRkAH7WA
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Auxerre à l’heure des relations internationales : vivre les vertus de la francophonie grâce à un webinaire…
mars 24, 2021Un simple ordinateur sur lequel apparaît une multitude de petits écrans. A l’intérieur de ceux-ci : des visages. Dont ceux de l’ambassadeur de Roumanie et du secrétaire d’Etat en charge du tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE. C’est la magie du numérique. Elle a permis aux représentants de la Maison de la Francophonie de Bourgogne de prendre part aux échanges nourris, alimentés par le RIMF, le Réseau international des Maisons de la Francophonie…
AUXERRE : Ironie du sort ! Alors que l’Yonne n’a jamais été aussi proche de revivre un épisode de confinement dur du fait de la croissance exponentielle du taux d’incidence de la COVID-19, c’est un exercice de pure aération intellectuelle, propice à faire vagabonder la pensée autour de la planète auquel se sont livrés il y a quelques jours trois des chevilles ouvrières de la Maison de la Francophonie régionale depuis Auxerre. Une bouffée d’air pur relayée vers le monde extérieur…via la magie du numérique !
Les yeux rivés sur l’écran d’un ordinateur qui assurait la retransmission d’un webinaire, la présidente de la Francophonie de Bourgogne Franche-Comté Marité CATHERIN ne perdait pas une miette de ces échanges fructueux organisés dans le cadre de la Semaine de la Francophonie.
A ses côtés, son vice-président Prudence ADJANOHOUN et la déléguée en charge de la communication Chantal ROBERT suivaient tout aussi studieusement les conversations qui allaient bon train entre les différents locuteurs.
D’autant que cette session digitalisée ne manquait pas d’intervenants de poids. A commencer par le secrétaire d’Etat en charge du Tourisme, des Français de l’étranger et de la Francophonie, Jean-Baptiste LEMOYNE.
Invité par l’antenne régionale de la Maison de la Francophonie, le représentant du gouvernement aurait dû être à l’origine physiquement présent à Auxerre pour satisfaire au besoin de cet exercice de communication. Mais, un agenda quelque peu serré chamboula son programme en dernier ressort, privant les organisateurs Auxerrois de sa venue.
Un réseau international qui fédère une vingtaine de pays…
Qu’à cela ne tienne, l’élu du Conseil départemental de l’Yonne eut tout de même l’opportunité de s’exprimer face aux représentants des Maisons des Francophonies des dix-neuf pays, membres du RIMF.
Nouvellement porté sur les fonts baptismaux, le Réseau International des Maisons des Francophonies accueille une vingtaine de pays originaires d’Afrique, d’Asie, des Amériques et de l’Europe. Son seul credo : promouvoir les valeurs de la francophonie dans les dimensions culturelles, environnementales et économiques.
Lors de cette intervention, Jean-Baptiste LEMOYNE évoqua les enjeux formidables que représentent la francophonie et son essor à travers le globe.
Il fit en aparté une allusion sur les attentes de la France avant le XVIIIème Sommet de la Francophonie qui se déroulera les 20 et 21 novembre 2021 sur l’île de Djerba en Tunisie.
Le réseau international a choisi la capitale des Gaules (Lyon) pour y installer sa base arrière. Jusqu’en juin, le RIMF est codirigé par le Français Christian PHILIP, président de la Maison de la Francophonie du Rhône et le Canadien Michel ROBITAILLE, président du conseil d’administration du Centre de la francophonie des Amériques basé à Québec.
A l’automne dernier, le réseau international avait lancé avec succès une première initiative baptisée « Ma Minute Francophone ». Ce concours ouvert à tous permettait aux francophiles de pouvoir s’exprimer par le biais d’une courte vidéo retraçant leur perception personnelle de la francophonie.
Thierry BRET
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Elle se pratique différemment dans les amphithéâtres : la laïcité est-elle mise à l’épreuve à l’université ?
mars 23, 2021La France étant un pays laïc, les établissements scolaires se doivent d’en respecter ses grands principes. A la suite des récents évènements qui sont survenus dans l’Hexagone et qui ont fait la une de l’actualité, la laïcité est devenue bien malgré elle un véritable sujet de discussion dans les amphithéâtres des universités.
TRIBUNE: Selon le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales (CNRTL), la laïcité est un « principe de séparation dans l’État de la société civile et de la société religieuse. »
Dans l’enseignement primaire et secondaire, les écoles sont laïques. Mais, les élèves n’ont pas le droit de porter des objets de façon ostentatoire en rapport avec leur religion. Au sein de l’enseignement supérieur, la laïcité est quelque peu différente. Il est autorisé pour les étudiants de porter une croix, la kippa ou encore le voile, par exemple.
L’article L141-6 du Code de l’Education stipule que : « Le service public de l’enseignement supérieur et de la recherche est laïc et indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique. Il tend à l’objectivité́ du savoir ; il respecte la diversité́ des opinions. Il doit garantir à l’enseignement et à la recherche leurs possibilités de libre développement scientifique, créateur et critique ».
Toutefois, les questions de faits religieux ont été relevées dès les années 2000 par la Conférence des présidents d’universités. Ces remarques ont fait l’objet d’une actualisation du guide « La laïcité dans l’enseignement supérieur » en 2015. Ce fascicule a pour objectif de répondre à toutes les interrogations en rapport avec la laïcité à la fois pour les étudiants, pour les enseignants ou encore les institutions.
La laïcité est-elle à revoir ?
L’assassinat de Samuel PATY a remis en jeu les cartes des règlements des institutions d’enseignement. Ce n’est pas seulement les collèges qui ont été touchés par ce drame mais tout le corps enseignant dont les universités.
Quelques mois plus tard, l’enquête demandée au CNRS par la ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique VIDAL a aussi touché les rapports entre le monde estudiantin et les aspects religieux.
Pour rappel, elle a déclaré le 14 février 2021 : « L’islamo-gauchisme gangrène la société dans son ensemble et l’université n’est pas imperméable ».
Ces deux évènements touchent de manière très profonde la question de la laïcité. A en croire l’assassinat de Samuel PATY ou encore les propos de la ministre Frédérique VIDAL, la laïcité n’est plus respectée dans le monde de l’enseignement.
Plusieurs enseignants ont depuis été accusés d’avoir tenu des « propos islamophobes ». Deux professeurs de Science Po Grenoble ont vu leurs noms affichés sur les murs de l’IEP.
C’est le jeudi 04 mars à l’université de Saint-Martin-d’Hères en Isère que les noms ont été divulgués. Le procureur de Grenoble Eric VAILLANT a indiqué deux jours plus tard qu’une enquête avait été ouverte.
Celle-ci avait pour objet les « injures publiques » et la « dégradation légère » après le signalement de Science Po Grenoble au sujet des affiches. Au final, cette enquête a été classée sans suite.
Depuis l’intervention de la ministre Frédérique VIDAL à propos de l’islamo-gauchisme dans les universités, le débat entre étudiants, enseignants et syndicats est devenu quelque peu tendu.
Par conséquent, la sénatrice (RDSE) de Gironde Nathalie DELATTRE appelle à la création d‘une « commission d’enquête ou une mission d’information sur le sujet » de la laïcité sur Public Sénat.
A l’initial, des visites d’université étaient prévues avant la COVID-19 ; aujourd’hui, selon elle, « il faut que l’on arrive à retrouver un dialogue apaisé… ». Un dossier à suivre dans la sphère estudiantine.
Jordane DESCHAMPS
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