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Au-delà de la crise médicale, le coronavirus entraîne le monde dans un étau économique…
février 11, 2020Retranchée depuis le 04 décembre dans une grève syndicale stérile, l’économie française a pris de l’avance sur sa mise en quarantaine. Nous ne parlons pas là, de savoir ce que nous serons à l’âge pivot, mais de ce qui va se passer dans l’année des deux vingt…
TRIBUNE : Fils de paysan et d’ouvrier, c’est avant tout mon expérience d’entrepreneur qui guide ma plume. Ayant été expatrié en « Terre du dragon » (le Vietnam), il m’est possible, sous base de pragmatisme, de constater l’incroyable.
Tout d’abord la mise en quarantaine de la France par une minorité syndicale a eu pour effet de rayer de la carte économique le pavillon Français à l’international.
En effet, depuis le 04 décembre, les navires maritimes n’escalent que très rarement en France. Le risque syndical minoritaire a poussé la majorité des compagnies maritimes mondiales à ne plus venir sur notre vielle terre sociale. Résultat pour nos ports de l’Hexagone : ce sont plus de 500 000 conteneurs perdus en l’espace de deux mois.
Il y a des choses bonnes à savoir. Par exemple, mille conteneurs, c’est l’équivalent d’un emploi de docker… Ainsi l’acharnement à sauver la tête d’un secrétaire général syndicaliste français aura coûté plus de 500 emplois de dockers ! Une goutte d’eau très mal venue en ces temps d’arrêté comptable au 31 décembre 2019…
La grande crue est à venir…
Avec ces deux mois syndical d’avance, le gros de la paralysie économique est à notre porte. Avril ne te découvre pas d’un fil…Nous n’allons une fois de plus par ignorance, ne pas respecter le dicton de nos anciens. Pourtant, notre malaise ne sera que le préambule des premiers signes de notre état grippal.
Après la grève (d’ailleurs on ne sait plus si il y a encore grève ou pas tellement il y en a !) vient le « BLANK SAILLING » : exit l’import, terminé l’export, car l’économie Chinoise est paralysée. Elle est prise dans un étau et nous en sommes la manivelle.
La non-confiance du peuple Chinois vis-à-vis de ses gouvernants et la surmédiatisation occidentale d’une grippe ont pour effet que les travailleurs Chinois préfèrent rester en campagne, auprès de leurs proches plutôt que de se soigner dans des usines urbaines surpeuplées.
Mois de mai, fais ce qu’il te plaît ! Mais sache, en cette année des deux vingt, que ton barbecue ou ton salon de jardin t’en coûtera cher…
Dans une société de surconsommation qui fait honneur à la TVA, première recette fiscale d’état, ce printemps, faute d’approvisionnements, sera triste : les rayons des grands magasins risquent d’être appauvris.
Réindustrialiser le pays : une priorité…
Les antis-mondialistes peuvent se réjouirent, la production sera relocalisée en France.
Snif ! Second symptôme d’un état grippal : vu la politique de désindustrialisation qui a été menée dans notre pays pendant plus de trente ans, il va nous falloir du temps pour reconstruire la pyramide des âges de compétences de ces anciens, partis trop tôt à la retraite sans pouvoir transmettre leurs savoir-faire à une jeunesse qui n’attendait que cela.
Courbons la tête, la tempête de février n’est que l’effet de « Mère nature »…
Didier MERCEY
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En nommant depuis peu au poste de responsable RSE, Jean-Charles HAMELIN, le numéro un national des ingrédients et auxiliaires technologiques de la filière blé, farine et pain confirme son engagement sociétal envers la sauvegarde de l’environnement. Un geste fort qui étaye sa démarche déjà orientée vers ce domaine depuis les certifications qui ont été obtenues ces années antérieures…
DIJON: La nomination vient d’être signifiée à la presse depuis peu. C’est désormais officiel : EUROGERM dispose dorénavant parmi son organigramme d’un spécialiste de la RSE, Jean-Charles HAMELIN.
Le dirigeant possède une expertise transversale de la fonction : il est passé successivement dans l’équipe commerciale meunerie, puis aux achats, avant de prendre la responsabilité du centre d’expertises du groupe (ARPEGES).
Autant dire que le nouveau directeur déploiera sa stratégie avec une parfaite latitude pour répondre à la volonté d’engagement du groupe qui officie dans la filière de l’agro-alimentaire.
Ainsi, deux volets seront abordés dans cette mission au fil de ces prochaines semaines : l’application de la politique RSE à l’ensemble du groupe EUROGERM et ses filières à l’international (une douzaine de pays) et la mise en œuvre d’un plan d’actions qui prendra en ligne de mire toutes les parties prenantes qui travaillent avec la structure industrielle : depuis les fournisseurs jusqu’aux partenaires sans omettre les clients et les collaborateurs.
Rappelons que le groupe de Côte d’Or pèse plus de cent millions d’euros de chiffre d’affaires. IL est aujourd’hui devenu un acteur clé à l’international où il réalise plus de 60 % de ses résultats.
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La Saint-Valentin, une fête, une tradition, une légende…La célébration des amoureux est planétaire. On ne récolte pas moins à cette occasion 200 millions de roses (rouges si c’est la passion, blanches pour un amour pur et sans tâche). Et pourquoi ne pas annoncer un divorce en douceur : en lui offrant des roses jaunes ! Bref, un jour de petits cadeaux : ce sont des kyrielles de bijoux, fleurs, chocolats et le fameux dîner aux chandelles qui se profilent devant vous ! In fine, c’est douze 12 milliards de dépenses sur la planète !
TRIBUNE : Il existe une différence entre créer un besoin pour faire du business, comme avec Halloween (on a voulu relancer la fête mais ça ne mord pas), et répondre au désir de fêter la Saint-Valentin. C’est une tradition plusieurs fois séculaire ! Il y eu plusieurs saints appelés Valentins. Celui qui nous intéresse s’appelle Valentin de Terni, prêtre au Vème siècle (certains disent même IIIème siècle…). Ce cher curé brave l’interdit de célébrer des mariages. Il fut emprisonné puis tué un 14 février.
Dès qu’un bon chrétien meurt, Rome saute sur sa dépouille et lui colle une auréole ! Le gentil Saint-Valentin, tombé amoureux de la fille aveugle de son geôlier, lui décrit l’environnement, les couleurs du temps…
On raconte que grâce à Valentin la jeune fille retrouva la vue. Un pape décida de célébrer chaque 14 février la fête des amoureux, chastement bien sûr…
Cependant, on fêtait aussi le 14 février comme jour où les oiseaux commencent à s’accoupler ! Toujours en avance sur leur temps, les Anglais seraient les précurseurs de « mariés au premier regard » !
Au XIVème siècle (XVIème pour d’autres), ils décident de former des couples choisis complètement au hasard. Une tradition qui est née dans le milieu aristocratique.
Durant une journée entière, un « Valentin » et une « Valentine » doivent obligatoirement se faire de petits cadeaux, des galanteries, se dire des mots doux...
Condamner celles et ceux qui se détestent à s’adresser des mots doux…
Cette journée, appelée « Valentinage », se déroule tous les 14 février ! Dès le XVIIIème siècle, la coutume se généralise dans toute l’Angleterre. Fleurissent alors les fameuses cartes de la Saint-Valentin.
Les Britanniques partagent la tradition en Amérique du Nord qui célèbre dans la foulée le « Valentin Day » ! A partir de 1945, les G.I. répandirent, avec le chewing-gum, la fête de la Saint-Valentin.
Aujourd’hui, 64 % des Français font un geste chaque 14 février. On peut noter qu’une femme sur sept s’achète des fleurs ! Alors serait-ce la Saint-Valentin, du business dites-vous ?
Bien sûr qu’il s’agit de dépenses, comme pour n’importe quelle fête. Mais une journée pour dire « je t’aime » c’est plutôt salutaire pour renforcer le système immunitaire !
Une journée pour célébrer l’amour, c’est finalement peu de chose.
Je suggère la reprise du « Valentinage » de nos amis Anglais : choisir au hasard ceux qui sur terre se détestent cordialement et les « condamner à s’envoyer des mots doux.
Au hasard, on pourrait y trouver Palestiniens et Israéliens, Gilets Jaunes et l’Elysée, Turques et Kurdes, Russes et Ukrainiens, Hégésippe SIMON et Paul BIRAULT…
Vous voyez, en fait, que du pur hasard dans ce choix cornélien…
Jean-Paul ALLOU
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L’INAO recule sur son projet : les élus bourguignons vent debout contre l’adoption d’une nouvelle aire géographique
février 08, 2020La mobilisation générale de la classe politique bourguignonne aura finalement porté ses fruits. A l’instar de la manifestation pacifiste organisée devant les grilles de l’Institut national de l’origine et la qualité (INAO) à Montreuil-sous-Bois où se pressaient ce jeudi 06 février près de cinq cents viticulteurs opposés au projet de révision de la zone géographique pour l’AOC Bourgogne. Si plusieurs avancées ont été obtenues au terme d’une rencontre avec les responsables de l’organisme, la vigilance reste de mise. Plus que jamais, la défense du patrimoine viticole et de ses professionnels demeurent d’actualité dans les esprits…
MONTREUIL-SOUS-BOIS: Bourgogne : un. INAO : zéro. A l’issue de la rencontre d’une délégation d’élus régionaux durant près d’une heure ce jeudi 06 février au siège de l’INAO, les dirigeants de l’institution administrative, organe sous l’égide du ministère de l’agriculture, ont confirmé la suspension sine die du projet de nouvelle aire géographique pour l’AOC Bourgogne. Un état de fait qui avait été déjà acté la veille.
Conséquence immédiate : la présentation analytique du dossier a été retirée de l’ordre du jour du comité national de l’organisme présidé par Christian PALY. Si la décision a satisfaite les élus bourguignons dans un premier temps, ces derniers l’ont jugé encore trop insuffisante, compte tenu du désaccord grandissant qui s’est installé depuis le début de cette crise avec les vignerons de Bourgogne.
Accompagnés des représentants de la filière viticole, les élus bourguignons ont pu exposer en toute liberté leurs arguments face au président du Comité national des appellations d’origine relatives au vin, Christian PALY.
La délégation était composée de François PATRIAT, sénateur de Côte d’Or, Marie-Guite DUFAY, présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, Didier PARIS, député de Côte d’Or, du sénateur Jérôme DURAIN, de la Saône-et-Loire, d’Alain JOYANDET, sénateur de Haute-Saône, Rémy REBEYROTTE, député de Saône-et-Loire ou encore de Yolaine de COURSON, députée de Côte d’Or.
Quant au département de l’Yonne, il avait pour porte-étendards la sénatrice Noëlle RAUSCENT, Michèle CROUZET, députée de la troisième circonscription et Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental, ancien maire de Chablis dont le vignoble est menacé par cette décision pour le moins insolite. On notait aussi la présence de Guillaume LARRIVE, député de la première circonscription de l'Yonne.
Précisons qu'avant d'avoir été reçus par la direction de l'INAO, la sénatrice de l’Yonne, Dominique VERIEN, le député André VILLIERS et le conseiller régional et président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, battaient le pavé aux côtés des manifestants devant les grilles de l’INAO. Dans une ambiance bon enfant sans qu’il y ait eu le moindre heurt.
Des premières garanties significatives mais…
Première certitude : aucune des soixante-quatre communes de Bourgogne ne perdra son appellation AOC.
C’est un véritable soulagement pour les viticulteurs des terroirs hétéroclites comme ceux de l’Auxerrois, du Tonnerrois, du Châtillonnais, du Mâconnais, de Dijon ou de Chablis.
Deuxièmement, aspect plus regrettable pour les élus de la délégation : une nouvelle commission d’enquête ne sera pas mise en place avec le renouvellement de ses membres. Un point d’achoppement qui pourrait être compensé grâce à l’implication personnelle de Christian PALY dans les futurs travaux de ladite commission.
Ce dernier a fait savoir par un communiqué de presse publié dès jeudi soir que « le Comité national n’aurait jamais entériné la sortie de secteurs aussi emblématiques que le Chablisien, le Châtillonnais et le Dijonnais de la zone Bourgogne ».
Toutefois, les élus bourguignons souhaitent désormais une meilleure concertation de la commission de l’INAO avec l’Organisme de défense et de gestion de Bourgogne (ODG), « jusqu’alors inexistante ».
« Tant que nous n’aurons pas obtenu des avancées claires de la part de l’INAO, explique le texte officiel de la délégation bourguignonne, adressé aux médias, la mobilisation professionnelle, territoriale et politique demeure totale dans notre région au nom de notre histoire, nos terroirs et l’identité de notre appellation d’origine contrôlée Bourgogne… ».
Une décision qui discrédite le principe même des appellations d’origine…
Reste que la remise à plat de cette décision de délimiter les aires géographiques de Bourgogne et du Beaujolais requiert un travail de fond et pas seulement approximatif, compte tenu des enjeux importants qu’elle engendre.
En effet, un quelconque rapprochement entre les deux vignobles pourrait induire les consommateurs en erreur quant aux caractéristiques, qualités et origine du produit. Historiquement distinctes, ces deux régions viticoles possèdent leurs propres savoir-faire ancestraux. Ce qui discrédite le dispositif même des appellations d’origine.
Enfin, sur un plan purement économique, le risque de surproduction est à craindre. Cela pourrait alors créer un déséquilibre entre l’offre et la demande des vins sous appellations bourguignonnes. Et permettre ainsi des productions massives en Beaujolais du fait de la délocalisation de la production vers cette contrée. Ce qui aurait un effet destructeur sur l’identité même des vins de Bourgogne.
On le voit, face à de tels arguments, la vigilance devient plus que jamais le mot d’ordre prioritaire dans la gestion de cet épineux dossier…
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« Ignorer l’Intelligence Artificielle, c’est prendre le risque de la subir… » : Vanessa DEPRET-BIOUT l’affirme…
février 07, 2020L'intelligence artificielle ne remplacera pas les managers mais les managers qui l'utilisent remplaceront ceux qui ne l'utilisent pas. Résolument optimiste, cette jeune femme a été élevée à la culture de l'utopisme. Débutée dans le domaine de l'événementiel, sa brillante carrière se poursuit aujourd'hui dans celui de la communication. Lorsque le groupe BNP PARIBAS l'encourage à nourrir son potentiel d'innovation, Vanessa saisit l'opportunité de s'immerger au CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas. Avec l'idéalisme et la modestie qui la caractérise, elle revient vers notre contributeur, Philippe CARPENTIER (16h44) sur ce voyage décisif.
TRIBUNE : Ce voyage modifie-t-il votre vision du management. Comment ?
En effet, certaines présomptions que j'avais sont devenues des certitudes pour moi. D'abord, j'ai vraiment compris à quel point les innovations vont vite, et que ce monde-là n'attend pas. La délégation chinoise présente à Las Vegas était la quatrième en termes de représentativité. Signe de la place prépondérante qu'elle a acquise. Airbnb est devenu le premier provider de chambres sans hôtel et Uber le premier transporteur sans voiture. La capitalisation des NATU (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber), inexistants il y a quelques années, est aujourd'hui supérieure au PIB de la France. BlackBerry, premier sur le créneau des smartphones professionnels il y a quelques années, a quasiment disparu de la scène.
Tout le monde peut être disruptif. Innover est une nécessité pour survivre sur le marché. Nous n'avons pas conscience de la façon dont les choses évoluent, en termes de direction comme de rapidité.
Je croyais savoir, je connaissais par exemple la loi de Moore selon laquelle la puissance des ordinateurs double chaque année, tandis que leur coût diminue. Mais comme dans la légende de « Sissa », on n'appréhende pas assez le caractère exponentiel des choses. Selon cette légende, Sissa aurait demandé au Roi des Indes, pour le récompenser d'avoir inventé le jeu d'échecs, d'être payé un grain de riz pour la première case, deux pour la deuxième, quatre pour la troisième, etc. Le roi aurait accepté sans mesurer l'importance de la récompense, ruinant ainsi son royaume, la 64ème case valant plus de 9 milliards de milliards de grains de riz !
Des perspectives d’innovation incroyables se sont-elles faites jour lors de ce salon international ?
Oui. IBM, par exemple, travaille sur Watson, un logiciel auto-apprenant impressionnant. Son premier ordinateur quantique réalise en une seconde ce que nos ordinateurs font en 10 000 ans ! Et que nous réserve la puce quantique d'Intel ? Face à Huawei, inexistant il y a quatre ans, l'Iphone va-t-il subir le même sort que BlackBerry ? S'installer dans une voiture électrique et autonome fait prendre conscience que des évolutions qui semblent hypothétiques font en fait déjà partie de notre monde.
Dans le domaine médical, l'évolution en termes de prédiction des pathologies pourrait constituer un progrès majeur. Une start-up vient d'inventer des chaussettes dont les capteurs préviennent le diabète !
Enfin, j'ai compris que l'intelligence artificielle est inéluctable.
Justement, qu’est-ce que cela va changer dans notre quotidien ?
Son potentiel est immense. L'ignorer, c'est prendre le risque de la subir, alors que bien contrôlée, elle favorise l'intelligence, libère du temps pour créer, pour imaginer, pour écouter les autres... Elle sera positive. Elle peut être à notre service et ne pas servir qu'à nous remplacer. C'est notre responsabilité de nous y intéresser. Elle est inéluctable mais ne peut pas tout : l'Homme n'est-il pas le plus doué pour émouvoir ou donner des frissons ?
Quels sont les souvenirs marquants de ton passage au CES ?
Il y a eu la rencontre avec le patron de NISSAN, qui explique comment la data va modifier la communication. Il est persuadé que la capacité à faire ressentir et à projeter le client dans les usages à venir est une clé de réussite. Quand tu peux faire vivre et ressentir ce que sera la voiture dans deux ans, tu as pris une avance, décisive. Et celle avec un manager de Google qui a montré comment la data sera reliée aux émotions. Voir une start-up expliquer comment, à partir d'un simple fichier Excel de cinquante noms, elle peut créer en quelques minutes cinquante vidéos personnalisées. Est-ce effrayant ou génial ?
J'ai été étonnée de la place majeure de la France, malgré la taille modeste de son marché, et enfin, impressionnée par la qualité des présentations, par l'usage systématique de la vidéo et par le talent des orateurs lors des présentations. À importer chez nous !
L'Application
Programmer son benchmark personnel : inscrire dans son agenda deux heures par mois pour aller voir ce qui se passe ailleurs (association professionnelle, TedX, Internet...).
Mobiliser tout ce qui est à portée de clic :
- Copier, adapter avec un œil critique.
- Découvrir de nouveaux modes de management.
Philippe CARPENTIER
www.deciderjuste.com
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