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Pascal MAUPOIS (GROUPAMA) : « L’effet Thibaut PINOT impacte sur notre notoriété… »
septembre 17, 2018Deux mois après son abandon sur le Tour d’Italie pour raisons de santé et son absence de la Grande Boucle, le leader de l’équipe cycliste GROUPAMA La Française des Jeux a refait surface de manière flamboyante en retrouvant ses jambes et la vista sur les routes du Tour d’Espagne. Une épreuve qui s’achève en apothéose pour lui. A deux semaines des championnats du Monde en Autriche, le grimpeur français possède un supporter inconditionnel en la personne de Pascal MAUPOIS, le président de la Fédération départementale des caisses de l’Yonne…
AUXERRE : Suiveur des exploits sportifs de l’équipe cycliste professionnelle GROUPAMA La Française des Jeux, le président de la Fédération départementale des caisses de l’Yonne ne cache pas sa satisfaction. Ni sa fierté devant les résultats de ce team qui arbore les couleurs de l’assureur mutualiste.
Alors qu’il vient d’annoncer le prolongement de son contrat pour deux saisons supplémentaires, Thibaut PINOT, accablé par les soucis de santé cette saison, conserve toute sa confiance auprès du président de l’Yonne.
« Je suis très satisfait de la prestation de notre coureur et de son équipe sur les routes de la VUELTA 2018. Le gain de deux étapes obtenues à la force des mollets lors de rendez-vous avec la montagne nous a permis de retrouver le sourire et de l’allant après une période de disette durant le Tour de France… ».
Un état de forme qui rassure Pascal MAUPOIS à quelques jours de l’épreuve sur route du championnat du monde. Celle-ci se disputera sur un parcours privilégiant les grimpeurs en Autriche, non loin d’Innsbruck.
Un sujet de discussion parmi les sociétaires…
« Globalement, avec la présence et les exploits de Thibaut PINOT et d’Arnaud DEMARE, au fil de la saison, nous avons enregistré un bond considérable en termes d’image et de notoriété dans nos vitrines commerciales auprès de notre clientèle. Le fait que le nom de l’entreprise soit présent sur le devant de la scène sportive offre des sujets de discussion supplémentaires lors de rencontres avec nos sociétaires. Quant aux retombées économiques, elles suivent nécessairement. Car, on sait ce que vaut le poids de la notoriété sportive sur les enseignes qui sponsorisent des équipes ou des compétitions à l’échelle nationale et internationale… ».
Sur un parcours qui a fait une nouvelle fois la part belle aux grimpeurs, Thibaut PINOT a rempli son contrat en atteignant ses objectifs. Il termine à la sixième place sur l’un des trois tours majeurs. Il intègre même le cercle restreint des vainqueurs d’étapes sur ces trois épreuves, après s’être déjà imposé sur le Tour de France et le Giro. De bon augure avant les Mondiaux que suivra derrière son écran de téléviseur le président MAUPOIS le 30 septembre prochain.
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Ford Focus : une quatrième génération fidèle à une antériorité patrimoniale de vingt ans
septembre 15, 2018Disponible en versions cinq portes à hayon, break et quatre portes sur certains marchés, la gamme Focus demeure la plus complète de tous les temps chez le constructeur américain. Elle est proposée avec des caractéristiques exclusives qui viennent enrichir la diversité des aspirations des clients de voitures de taille moyenne. Dont les élégantes Focus Trend et Titanium, la sympathique sportive Focus ST-Line et la Focus Vignale, positionnée vers le haut de gamme. Quant au rapport qualité/prix, il demeure très appréciable sur le marché…
PARIS : Eclose avec la chaleur caniculaire de l’été, la toute nouvelle Ford Focus reste fidèle à son héritage, un patrimoine vieux de vingt ans, grâce à une dynamique de conduite de premier ordre. Enrichie grâce à la première application sur une Focus de la technologie d’amortissement contrôlé continu (le fameux CCD cher à l’ingénierie de la marque) destinée aux systèmes de suspension avant et arrière, elle propose de nouveaux modes de conduite.
La quatrième génération de Focus évolue toute en douceur contenue. Mais, elle ne se prive pas de la technologie de dernier cri qui lui garantit une optimisation en matière de sécurité sur la route et de confort dans l’habitacle. Ainsi, les passagers bénéficient d’une amélioration intéressante avec l’apport d’équipements de confort et de commodité dont le modem intégré « FordPass Connect ». Ce système offre une connectivité embarquée, ainsi qu’une nouvelle station de recharge sans fil pour les smartphones compatibles.
La prouesse énergétique de la motorisation…
Côté motorisation, la petite dernière de la glorieuse famille comprend une version optimisée du moteur à essence, récompensé « EcoBoost 1,0 litre » et le nouveau moteur à essence « EcoBoost 1,5 litre ». Tous deux sont dotés du dispositif de désactivation des cylindres exclusif de Ford pour les moteurs à trois cylindres.
Mention particulière pour les nouveaux moteurs Diesel « EcoBlue 1,5 litre » et « 2,0 litres ». Ceux-ci apportent une efficacité énergétique optimale, tandis qu'une nouvelle boîte de vitesses automatique intelligente à huit rapports adapte les changements de vitesse en fonction du style de conduite.
Autre particularisme : la boîte de vitesse, agréable à manier sous tous les rapports, se contrôle à l’aide d’un sélecteur rotatif élégant et ergonomique. Une option de motorisation hybride légère devrait même être introduite dès 2020 pour la Focus. Ce modèle mérite que l’on s’y intéresse : il reste l’un des préférés des aficionados de la marque aux origines américaines en France mais pas seulement.
FORD a enregistré la saison dernière d’excellentes performances commerciales grâce aux précédentes générations de ce véhicule, distribué à travers les cinq continents.
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Phileas FIQUEMONT : « Seule l’expérience peut nous ouvrir de nouvelles voies intérieures… » (2/3)
septembre 15, 2018Coach auprès des structures professionnelles et des particuliers, Phileas FIQUEMONT a entrepris au cours de la période estivale un cheminement initiatique et insolite sur lui-même en pratiquant le jeûne et en flânant à son rythme sur l’un des tronçons méconnus du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle, de Paris à la Colline éternelle de Vézelay. Second volet de cette interview en trilogie pour mieux appréhender et découvrir cette quête intime vers son « Graal » intérieur…
AUXERRE : Saint-Jacques de Compostelle prend ses origines (fort lointaines) dans la connaissance de soi avant de découvrir les autres. Comment vous êtes-vous rencontré au long du chemin ?
Dans l’effort et sur la durée, je me suis découvert des nouvelles formes de ténacité. J’ai recontacté cette force qui me porte à affronter une côte ou une ligne droite interminable avec détermination. Je me souviens lorsque j’étais enfant et qu’en montagne il nous fallait gravir cette montagne immense qui se dressait devant nous. Je soutenais mon pas sans faillir jusqu’au sommet. Je mesurais mon rythme, plutôt lent, pour être sûr de ne pas flancher, alors que je dépassais un à un les autres marcheurs qui étaient partis d’un pas rapide. « Qui veut voyager loin ménage sa monture ».
La quête spirituelle a-t-elle nourri votre parcours ? Tutoie-t-on les arcanes de la félicité quand on erre seul au détour d’une route ou d’un chemin ?
Marcher seul plusieurs jours d’affilés provoque immanquablement une rencontre avec son soi intime. Un état méditatif s’installe dès lors que l’on évolue au rythme du pas dans un environnement inconnu. Il m’est arrivé plusieurs fois de louper le marquage à la croisée de chemins parce que j’étais absorbé dans mon autre dimension. Les kilomètres supplémentaires paraissent alors s’allonger pour bien marquer leur rôle providentiel. Je parle ici de ma courte pratique et je suis tout à fait conscient que mes découvertes iront croissantes à mesure que j’allongerai mes périodes de marche. En effet, s’extirper plusieurs mois de notre zone de confort, s’éloigner de ceux qu’on aime nous propulse vers un espace-temps impossible à imaginer. Seule l’expérience peut nous ouvrir des nouvelles voies.
« Il n’est pas nécessaire de croire en Dieu… »
Faut-il croire en Dieu et placer son existence dans ses mains pour accomplir une telle expérience ?
Il n’est pas nécessaire de croire en Dieu pour entreprendre un chemin, quel qu’il soit.
Il faut croire en soi, ne pas avoir de certitudes, être flexible afin d’accueillir ce qui se présente comme étant « ce qui doit être ». Et comme l’écrit Paulo COELHO dans « L'Alchimiste » : « Quand tu veux quelque chose, tout l'Univers conspire à te permettre de réaliser ton désir... ».
Ce qui a caractérisé votre initiative, Phileas, c’est la pratique du jeûne. Pourquoi se priver de nourriture alors que votre enveloppe corporelle se recharge précisément en absorbant de la nourriture terrestre ?
Lorsque l’on est adepte du jeûne, comme je le suis, on acquiert petit à petit une autre vision de cette nourriture terrestre en question. De nos jours et sous nos latitudes, on mange le plus souvent parce qu’ « il est l’heure » ou que l’on a envie de manger. Très rarement, on se met à table en répondant à une réellement faim. La pratique du jeûne en général permet de prendre du recul par rapport à tout cela et de faire le tri dans nos pratiques et habitudes alimentaires.
Personnellement, je m’offre deux fois une semaine de jeûne par an minimum depuis 2012 pour mon plus grand bonheur. Puisque je suis un jeûneur expérimenté, je savais bien que j’avais en moi suffisamment de réserves pour m’auto-alimenter pendant plusieurs semaines.
Ce que je ne savais pas, c’était comment mon corps allait se comporter en combinant la marche et le jeûne.
J’avais très envie de l’étudier justement pour pouvoir a posteriori partager mon expérience. Pour répondre précisément au pourquoi, je dirais que je désirais sortir complètement des sentiers battus et entrer en terra « incognita ». La marche seul sur plusieurs jours, l’horloge biologique déconnectée des fonctions digestives et d’évacuation des déchets (puisqu’il n’y en a plus), le chemin inconnu chaque jour, l’incertitude sur toute la ligne. J’avais la confiance mais pas de certitudes.
« Il faut privilégier la nourriture de l’esprit pour profiter de l’existence… »
D’ailleurs, entre nourriture terrestre et celle de l’esprit, laquelle préférez-vous ?
La nourriture qui passe par la bouche n’apporte que plaisirs éphémères. Après, elle demande beaucoup d’énergie pour être transformée et au final, évacuée. Au pire, elle cause des désagréments lors de la digestion avec son lot d’effets secondaires.
Avec la nourriture de l’esprit, il n’y a aucune limite. Tout est possible par la pensée et l’imagination. Les perspectives qu’elle ouvre nourrissent pour aujourd’hui et pour demain. Le plaisir qu’elle apporte peut être illimité s’il s’incrémente de jour en jour.
Comment tenir physiquement sur une telle distance, par des nuits fraîches et des chaleurs qui peuvent parfois être caniculaires ?
Il s’avère que j’ai rencontré les mêmes difficultés que tout marcheur concernant le poids du sac, les ampoules aux pieds, la recherche d’eau fraîche. Je ne me suis posé aucune question sur le plan de mes dépenses énergétiques et mon organisme a su, d’instinct, puiser dans mes réserves pour soutenir l’effort.
Ce contact avec la Terre, la nature, l’environnement est-il suffisamment fort pour surmonter les difficultés du corps ?
Puisque je n’ai pas eu à « surmonter les difficultés du corps », je ne vais considérer que les premiers mots de la question. Le contact avec la Terre, la nature, l’environnement est fantastique parce que lorsque l’on va au rythme de la marche on a le temps de papoter avec les fleurs et les insectes, les escargots, le vent et les arbres. Fondamentalement, je recommande à tout le monde l’instauration de rendez-vous avec soi-même pour aller marcher au moins une heure par jour dans la nature. Vous m’en direz des nouvelles. Et je voudrais ajouter un ingrédient essentiel à la pratique. C’est le fait de parler, se parler à voix haute et intelligible par soi-même. Je m’explique : lorsqu’on marche en silence, notre esprit vagabonde et a un certain mal à se fixer sur une idée, un sujet. La pensée file et se dilapide.
Lorsque l’on entend notre propre voix, on se parle et on s’écoute. On peut dérouler une idée jusqu’à son terme. C’est très puissant pour la créativité et la résolution de problèmes.
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L’ancienne toque étoilée du « MEURICE », Marc MARCHAND, préside un jury au CIFA de l’Yonne
septembre 11, 2018Les épicuriens et amateurs de savoureuses recettes n’auront pas manqué de saluer la venue de l’illustre représentant de la gastronomie française de passage il y a quelques jours à Auxerre à l’occasion de la sélection départementale du concours des Meilleurs Apprentis de France, dans la catégorie cuisine. Le chef étoilé qui a su redorer le blason du célèbre établissement parisien pendant treize années avait endossé sa vêture de président d’un jury d’exception aux côtés de ses pairs. Ces derniers lui ont rendu un vibrant hommage au CIFA de l’Yonne…
AUXERRE : Pointure experte de la haute gastronomie tricolore à travers le monde et en France, Marc MARCHAND a posé quelques heures durant ses valises en terre icaunaise à l’occasion de la sélection départementale du concours des Meilleurs Apprentis de France, dans sa discipline de prédilection : la cuisine.
Président du jury officiel de cette session où s’affrontaient huit jeunes candidats, l’ancien chef étoilé du « MEURICE », l’un des palaces parisiens reconnus dans la sphère internationale du luxe et des arts de vivre, s’est livré avec professionnalisme et extrême courtoisie au jeu de la dégustation et de la vigilance dans le respect des règles de l’art d’Escoffier.
Premier commis au célèbre « Georges V », Marc MARCHAND a effectué ensuite une éblouissante carrière parmi le sérail de la gastronomie nationale et internationale. Exerçant avec passion et humilité ce métier qui procure tant de sensations gustatives aux plus fins gourmets !
Un chef qui a exercé aux quatre coins du monde…
Habitué des concours et des palmarès, lui-même champion de France de cuisine artistique, lauréat du fameux « Prosper Montagné », ce club gastronomique hors pair qui vante les subtilités exquises du goût et de la qualité, Marc MARCHAND a également travaillé avec le regretté Joël ROBUCHON, récemment disparu.
Membre de l’Académie culinaire de France, le chef étoilé a pris un réel plaisir à participer à ce jury auxerrois de très belle facture. Lui qui a exercé la maîtrise de son savoir-faire aux quatre coins de la planète : à Tokyo, à Pékin, à Los Angeles ou à Punta del Este, en Uruguay.
Ses pairs régionaux, dont Daniel AUBLANC, président de l’Amicale des Cuisiniers de l’Yonne et Jean-Marie LAMOUREUX, le vice-président de l’association et formateur au CIFA, tous deux auréolés de nombreuses distinctions culinaires nationales, devaient lui rendre un vibrant hommage au terme de la cérémonie de remise des prix.
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Jean-Baptiste LEMOYNE : « le pavillon français doit reprendre des couleurs à l’international… »
septembre 10, 2018Plus de 4 % de progression au niveau de l’export pour les entreprises françaises d’ici 2020 : c’est l’objectif que s’est fixé le gouvernement d’Edouard PHILIPPE pour doper la présence des grands groupes et surtout des PME aux quatre coins de la planète. L’Etat a souhaité mettre ses ambassadeurs à contribution en les sollicitant lors de la récente conférence qui réunissait à Paris 112 hauts fonctionnaires, représentants nos intérêts à l’étranger. Cette démarche positive s’appuie très largement sur l’économie diplomatique. Dont se fait le porte-parole, Jean-Baptiste LEMOYNE, Secrétaire d’Etat à l’Europe et aux Affaires étrangères…
AUXERRE : A peine achevée, en date du 31 août, et déjà les ambassadeurs en poste aux quatre coins du globe mettent en pratique auprès des institutionnels, élus et entrepreneurs des régions de France ce qu’ils ont entendu lors de la Conférence annuelle de rentrée qui leur était dédiée. Le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères Jean-Yves LE DRIAN, en charge du commerce et du tourisme, désire une plus grande implication de la part de ces hauts fonctionnaires de l’Etat en faveur du développement économique. Dans les pays où ils accomplissent leurs missions de représentativité des intérêts de la nation.
En déplacement dans l’Yonne aux côtés de l’une des délégations d’ambassadeurs qui visitait les provinces de l’Hexagone, le Secrétaire d’Etat à l’Europe et aux Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE, a évoqué la nouvelle stratégie du gouvernement. User de l’économie diplomatique pour être facilitateur auprès des entreprises désireuses de conforter leur positionnement à l’international, voire de s’y installer.
De véritables ambitions à atteindre d’ici deux ans…
« Le monde est un vaste théâtre de la guerre économique continuel, précisa en forme d’introduction le porte-parole de Jean-Yves LE DRIAN, il est grand temps que le pavillon français reprenne des couleurs et renforce sa stratégie à l’exportation. Notre ambition est de hausser la présence de nos forces vives économiques sur les cinq continents… ».
Jean-Baptiste LEMOYNE, au fil de ses explications face à la presse, lâche un chiffre : ce projet devrait s’établir à plus de 4 % de hausse des exportations d’ici deux ans.
« Notre pays dispose de sérieux atouts en ce sens, continua-t-il, il suffit de penser à l’excellence de nos filières agricoles, viticoles, industrielles, des services, du luxe, de la logistique, du commerce ou de l’artisanat pour assurer une réelle dynamique à cette activité vers l’international… ».
A Paris, durant les travaux parallèles de la Conférence des ambassadeurs, ces derniers ont eu l’heureuse opportunité de pouvoir échanger avec plus de 1 500 entrepreneurs. Besoins et doléances ont constitué la trame essentielle de ces rendez-vous formels qui n’étaient que le prélude aux futures visites régionales.
Constituer une équipe de France de l’export…
« Par cette démarche, notre volonté est de créer une vraie équipe de France consacrée à l’export, poursuivit le Secrétaire d’Etat bourguignon, en y englobant l’ensemble des acteurs et partenaires du développement économique à l’international. La Région Bourgogne Franche-Comté, mais aussi les services ad hoc de la Chambre de Commerce et d’Industrie, Business France, le Conseil du commerce extérieur ou les préfectures, constituent des interlocuteurs privilégiés avec lesquels nous allons davantage travailler à l’avenir sur la phase évolutive de ce dossier favorable à nos entreprises… ».
Des propos qui furent commentés ensuite par la dizaine d’ambassadeurs présents. Dont Sylvain BERGER, en poste en Zambie, pays de l’Afrique équatoriale qui n’accueille aujourd’hui qu’une petite quarantaine de sociétés françaises. Rien à voir avec l’artillerie lourde déployée par l’Allemagne, les Etats-Unis ou la Chine dans cette vaste région du monde.
Un exemple qui fit dire à Jean-Baptiste LEMOYNE qu’il était temps de se relever les manches afin d’inverser la tendance et rendre attractif à l’international le savoir-faire à la française. Le Secrétaire d’Etat eut aussi l’opportunité de s’en entretenir longuement en aparté avec Sébastien VALLET, le directeur général de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.
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