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L’Europe veut bannir de la circulation les véhicules à moteur thermique : une perspective aux réelles incidences
avril 30, 2021Les pays européens prévoient l’interdiction à la vente des véhicules à propulsion thermique dès 2025 en Norvège, en 2030 pour le reste de la Scandinavie ou les Pays-Bas, en 2035 en Grande-Bretagne ou en 2040 dans l’Hexagone. Attendue pour 2025, la norme « EURO 7 » signe la fin de l’ère de l’essence et du diesel. Pourtant, ce virage technique, dixit les constructeurs, est impossible à réaliser en si peu de temps et se présente comme une catastrophe pour tout le secteur.
TRIBUNE: Si les voitures diesel d’occasion connaissent un franc succès compte tenu des prix de vente, les marques abandonnent peu à peu la filière. Une course contre la montre s’est désormais engagée avec des milliards d’investissement à la clé pour répondre à la maîtrise des émissions de Co2 et à la construction de véhicules électriques et hybrides. Tout le monde réclame à la Commission européenne un ajustement du calendrier. Les courts délais sont assortis de pénalités pharaoniques pour les dépassements de Co2 fixés. Le dictat européen met à mal un secteur économique important : près de 14 millions d’emplois en Europe dont 350 000 en France. Dès 2035, l’Europe veut interdire la production des moteurs thermiques. Essence et diesel tombent à l’eau, au profit de la seule voiture électrique ?
A la décharge des autorités européennes, on ne peut pas dire que les constructeurs ont été pris au dépourvu ! Dès la fin des années 1990, les nouvelles règles étaient mises sur la table et diffusées. Les lobbyistes de l’automobile ont cru qu’ils exerceraient les pressions nécessaires à des contournements des règles édictées…
Les véhicules électriques, des avantages évidents pour la nature…
La voiture électrique ne produit pas de Co2 ou de polluants de l'air à l’utilisation. Elle offre donc de solides avantages, surtout au cœur des villes. Allons-nous tous rouler un jour à l’électricité ? Est-elle réellement le véhicule du futur ? La voiture électrique est alimentée uniquement par... de l’électricité. Elle possède un ou plusieurs moteurs électriques, équipés de batteries, et se recharge chez soi ou à l'extérieur via une borne spéciale, dans la rue, sur des parkings ou des stations-service. Il existe également des voitures hybrides, qui possèdent un moteur électrique et un moteur thermique, ainsi que des hybrides rechargeables ou plug-in. Elles peuvent se recharger en roulant.
La production des batteries, a contrario, pose de sérieux problèmes environnementaux et sociaux. On utilise de plus en plus de batteries au lithium pour les véhicules mais aussi pour leurs équipements informatiques et électroniques. Cela accroît la pression sur ce métal rare.
Le lithium – aussi surnommé or blanc – provient souvent d’Amérique latine. Sa production, très gourmande en eau, met à mal les écosystèmes et la survie des populations locales dans des zones où la sécheresse est déjà très problématique.
On ne pourra pas tous avoir une voiture électrique et rouler de la même façon qu’aujourd’hui. Il faut aussi noter que pour l’instant un véhicule électrique coûte pas moins de 30 000 euros. Précisons également que pour une voiture de moins de 45 000 euros, le bonus accordé par l’Etat s’élève à 6 000 euros. Mais, quid de la situation réelle lorsque les aides s’arrêteront ?
Les concessionnaires sont-ils vraiment en danger ?
Même si certains le prédisent, ils ne disparaîtront pas du paysage. Leur nombre va diminuer, à cause de la vente en ligne. Conséquence : une adaptation sera nécessaire, notamment en matière de surface. Certaines concessions ressemblent à des châteaux de verre ! La réparation et l’entretien des véhicules électriques est plus simple et va faire disparaître le bon vieux « mécano » traditionnel. Fini le mécanicien dans les garages, que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître : juste à l’oreille, il identifiait l’origine de la panne…
On peut prévoir aussi que les grands groupes s’adapteront et résisteront mieux aux mutations. Il est certain que des marques disparaîtront au passage. D’autres se créeront sans doute. Mais, la réduction du carbone passe nécessairement par l’hydrogène. L’échéance est fixée à 2050 : zéro carbone pour tout le monde !
Le problème, c’est que pour produire de l’hydrogène, il faut beaucoup d’eau et d’électricité. Par contre, c’est un carburant propre. STELLANTIS fabrique déjà des camionnettes à hydrogène. Elles roulent grâce à des piles à combustible développées par la NASA. Aujourd’hui, un kilo d’hydrogène coûte dix euros. Un plein de 60 euros permet de réaliser 600 kilomètres. Le prix va aller en diminuant au fil des années. Par contre, le prix de vente de ces véhicules reste très prohibitif autour des 70 000 euros !
Un très vieux gag de l’humoriste Francis BLANCHE montrait ce dernier poussant sa voiture manifestement en panne d’essence. Sous le regard médusé du pompiste, il remplissait son réservoir avec un arrosoir rempli d’eau ! La réalité dépassera sans doute la fiction un jour. Nous ne sommes pas si loin d’un moteur transformant directement l’eau en hydrogène ! Alors s’il vous plaît, monsieur le pompiste, donnez-nous encore un peu d’essence pour les briquets et dix litres d’eau pour la voiture !
Jean-Paul ALLOU
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Une analyse de la Banque Populaire BFC : la France pourrait patienter quatre ans avant de se remettre de la crise
avril 30, 2021D’après l’établissement bancaire régional, notre pays mettrait quatre longues années avant de guérir de cette crise sanitaire inattendue commencée depuis plus d’un an maintenant. Des emplois détruits, un PIB en net recul, un chômage en augmentation : la crise aura un réel impact sur nos lendemains économiques.
QUETIGNY (Côte d’Or) : Du 17 mars jusqu’au 11 mai 2020, les Français ont vécu leur premier confinement du fait de la présence du virus de la COVID-19. C’était avec un visage tendu que le Président de la République Emmanuel MACRON annonça cette décision.
À la suite de cela, la plupart des citoyens et des entreprises ont été impactés. Les bars, les restaurants, les musées, toute la vie culturelle et de loisirs que connaissait la population, étaient à l’arrêt pour une durée indéterminée. D’autres entreprises ont perdu beaucoup de clients ; ce qui entraînera une perte d’argent et des licenciements.
Selon l’INSEE, au deuxième trimestre de 2020, il y a eu 215 200 destructions nettes d’emploi, soit 158 000 dans le secteur privé et 57 100 dans le secteur public.[1]
Malgré de nombreuses aides fournies par l’État pour soutenir les professionnels, beaucoup ont été contraints de se retirer.
Pour le directeur général de la Banque Populaire de Bourgogne-Franche-Comté, Bruno DUCHESNE, en comparant les autres pays et la France, celle-ci mettrait alors plus de temps à se relever. Le grand gagnant de cette situation si atypique qui a réussi à augmenter son produit intérieur brut (PIB) : la Chine.
Celui-ci est 5 % plus élevé en 2021 par rapport à 2020. Ensuite, ce sont les États-Unis. Bruno DUCHESNE est affirmatif dans sa démonstration de macro-économie : les Américains s’en sortiraient au bout de deux ans. La France, quant à elle, serait malheureusement plus en retard.
La crise sanitaire met la France à l’épreuve...
Le PIB de l’Hexagone reculerait de 8,6 % sur l’année 2020, selon l’INSEE.[2] Ce chiffre est le plus bas que le produit intérieur brut a connu depuis le début des évaluations trimestrielles, les premières datant de 1949.
La crise de la COVID-19 engendre beaucoup de coûts pour l’État, avec la commande de masques, de gels hydro-alcooliques et de vaccins.
La secrétaire d’État belge au budget de la protection des consommateurs avait publié le 17 décembre 2020 les prix négociés de ces vaccins sur son compte Twitter. Ces prix ont été débattus par la Commission européenne auprès de six entreprises ayant développé différents vaccins contre la pandémie.
Son tweet avait été supprimé dans la demi-heure suivante pour faute d’appréciation politique sans doute imputable à la confidentialité des données.
Or, celui-ci a eu le temps d’être repris par les médias belges et les internautes. Avec ce tableau, nous apprenons que le vaccin le plus cher serait l’américain MODERNA suscitant un coût de 14,87 euros par dose. Le vaccin britannique/suédois ASTRAZENECA est lui le moins coûteux : 1,78 € par dose.[3] Rappelons que chaque vaccin nécessite deux injections.
Ces différents coûts ont une influence sur la dette publique, mesurée selon les critères de Maastricht.
Celle-ci s’est comptabilisée à près de 115,7 % du PIB avec un déficit de 9,2 % soit 211,5 milliards d’euro pour 2020.[4] Or avant la crise sanitaire, la dette s’élevait à 97,6 % au premier trimestre de 2018 selon l’INSEE.[5]
Le gouvernement français a été contraint de faire des choix pour protéger la santé de ses citoyens au détriment de l’économie. Le fameux « quoi qu’il en coûte ».
C’est d’ailleurs ce qu’avait répété le président de la République français à maintes reprises dans sa promesse de ne laisser aucun de ses concitoyens de côté.
Jordane DESCHAMPS
[1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4653055
[2] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5018361
[3] https://twitter.com/Calimer30438496/status/1339824766778281984
[4] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5347882#titre-bloc-12
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La plateforme sauve sa peau : le bien-être animal de MAXI ZOO contribue au bonheur des salariés de FM LOGISTIC
avril 16, 2021La nouvelle est positive pour les cent-trente personnes travaillant sur la plateforme logistique du Gâtinais. Alors qu’elles étaient menacées de perdre leur emploi, la signature d’un nouveau contrat avec le spécialiste de l’animalerie en ligne MAXI ZOO, filiale du groupe allemand FRESSNAPF, augure de belles perspectives. FM LOGISTIC poursuivra ses activités au moins pour cinq ans.
SAVIGNY-SUR-CLAIRIS : Yannick BUISSON, directeur général de FM LOGISTIC Europe de l’Ouest et France, l’avait martelé à maintes reprises lors d’une rencontre se déroulant avec les élus du nord de l’Yonne en mars.
Il ferait tout son possible pour retrouver un nouveau partenaire permettant à l’infrastructure logistique du Gâtinais de survivre après le terme du contrat la liant depuis trois ans avec le distributeur Carrefour.
Le défi était certes complexe à envisager dans le climat économique actuel : il aura tenu ses promesses au bout du compte. Grâce à la mobilisation très forte des élus du territoire et des services de l’Etat, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST en tête.
La bonne nouvelle a été confirmée ce jeudi 15 avril par la direction de FM LOGISTIC. Une filiale du groupe d’Outre-Rhin FRESSNAPF, l’animalerie en ligne MAXI ZOO (210 vitrines commerciales dans l’Hexagone) s’est finalement engagée avec la plateforme icaunaise pour une durée de cinq ans. Un contrat qui va courir jusqu’en 2026.
La décision met un terme aux spéculations concernant la fermeture définitive de ladite plateforme et la mise en place d’un plan social qui pesait au-dessus des têtes des cent-trente collaborateurs du groupe FM LOGISTIC, condamnés à se projeter dans un nouveau plan de carrière.
Cette nouvelle ne peut que réjouir également les quatre-vingt-dix intérimaires qui étaient employés par l’entreprise.
FM LOGISTIC assurera l’approvisionnement de l’ensemble des magasins gérés par MAXI ZOO en France, à partir de sa base icaunaise qui proposera le stockage des produits, le conditionnement, les préparations de commandes et celles à l’unité du service e-commerce.
Thierry BRET
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Deux scooters à l’allure altière chez BMW MOTORRAD : la mobilité urbaine affiche des airs de printemps !
avril 03, 2021En matière de mobilité urbaine, le constructeur d’Outre-Rhin en connaît un rayon ! Le lancement de deux nouveaux scooters sur le marché mondial d’ici peu devrait le confirmer. En concessions dès le mois de mai, les BMW C 400 X et C 400 GT présentent un certain nombre d’améliorations techniques devant séduire ses futurs utilisateurs…
PARIS : BMW ne se positionne pas uniquement sur le marché de l’automobile haut de gamme. Sa ligne de produits deux roues séduit chaque année de plus en plus d’aficionados de grosses cylindrées et de modèles, nettement plus adaptés à la conduite en zone urbaine.
Dans ce domaine, celui des scooters de taille moyenne qui répondent aux critères d’exigence de la mobilité en centre-ville, l’enseigne allemande dispose d’une véritable stratégie de conquête sur le continent européen.
D’ici quelques semaines, deux nouvelles offres vont agrémenter le marché. Propres à la gamme à l’estampille de BMW MOTORRAD, elles ont été redessinées et pensées pour optimiser les déplacements urbains. Offrant au passage de nouvelles gammes chromatiques et des lignes à la touche de modernité renforcée.
Si l’an passé, le groupe BMW a commercialisé plus de 2,3 millions de véhicules de tourisme de par le monde, sa filiale deux roues a connu, à moindre mesure, le succès en plaçant à la vente près de 170 000 modèles.
Des résultats qui ont permis de dégager un bénéfice avant impôt sur cet exercice 2020 de 5,222 milliards d’euros pour un chiffre d’affaires s’élevant à 98,990 milliards d’euros.
De quoi satisfaire les 120 726 collaborateurs constituant l’effectif de l’entreprise allemande au 31 décembre 2020 !
Thierry BRET
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Un catalogue à la puissance dix : le groupe JEANNIN Automobiles ajoute la marque MG dans son escarcelle…
mars 23, 2021Et de dix pour le concessionnaire auxerrois qui étoffe ainsi avec cette nouvelle opportunité son panel d’offres commerciales ! L’information a été officialisée en fin de semaine dernière. L’ancienne marque britannique, aujourd’hui sous l’estampille du groupe chinois SAIC, sera distribuée dans plusieurs points de vente que compte la société dirigée par Yves JEANNIN sur une zone de chalandise englobant l’Aube, la Seine-et-Marne et l’Yonne.
AUXERRE: Jamais deux sans trois, nous précise l’adage populaire. Mais, cette maxime usuellement employée par le commun des mortels est-elle vérifiable au-delà du chiffre neuf, à l’instar des neuf marques déjà distribuées par le même concessionnaire automobile ?
La réponse est positive : la passe de dix vient donc bel et bien d’être franchie pour le concessionnaire JEANNIN !
Déjà distributeur de neuf enseignes référentes de la sphère automobile (AUDI, CUPRA, MAZDA, NISSAN, SEAT, SKODA, SUZUKI, VOLKSWAGEN et VOLKSWAGEN Utilitaires), l’entreprise de l’Yonne y ajoute désormais une dixième marque, établissant ainsi un compte rond dans son panel d’opportunités commerciales.
Et curieusement, alors qu’on la croyait disparue, voire perdue à jamais dans les limbes de l’oubli et de nos lointains souvenirs embués de nostalgie, c’est la marque MG qui refait surface après une résurrection réussie l’année dernière.
Ce retour en grâce sur le marché hexagonal s’est traduit l’an passé par le lancement d’un SUV électrique, baptisé « MG ZS EV ».
Rien à voir, fort heureusement, avec les modèles initiaux sortis par l’enseigne d’Outre-Manche dans les années 1920 !
La stratégie de conquête de SAIC, l’un des leaders chinois…
Disparue des écrans radar depuis 2005, MG a donc troqué sa traditionnelle identité britannique au profit du pavillon asiatique : celui du chinois SAIC (Shanghai Automotive Industry Corporation).
L’un des leaders de la construction automobile de l’ex-Empire du Milieu peut se targuer aujourd’hui de jouer sur différents tableaux économiques d’envergure. L’automobile, naturellement où le groupe est en tête des ventes sur son propre marché grâce à des rapprochements formés avec GENERAL MOTORS et VOLKSWAGEN. Voire le rachat de concurrents tels que ROVER à qui appartenait originellement l’enseigne MG, tombée entre-temps dans la besace de NANJING Automobile. Une filiale de…SAIC !
Pour mémoire, rappelons que ce géant aux 160 000 collaborateurs intervient également sur les secteurs des poids lourds et des véhicules industriels ainsi que la conception de composants automobiles.
Le retour en grâce en Europe s’est effectué pour MG par les Pays-Bas où fut créée une filiale l’année dernière. Objectif : essaimer vers la Belgique, la Norvège, la Suède et…la France !
Dix de der ou encore plus pour le groupe JEANNIN ?
Alors que l’enseigne ne disposait jusque-là que d’un unique point de vente implanté dans la capitale, SAIC a décidé d’accélérer la cadence en 2021 (et ce malgré la crise sanitaire qui perdure) pour étendre son réseau de distributeurs dans l’Hexagone.
C’est à ce stade que le groupe JEANNIN Automobiles entre en scène. Du moins sur sa zone de chalandise qui s’articule à ce jour sur trois départements proches de la capitale : l’Aube, la Seine-et-Marne et l’Yonne.
Pour ce dernier territoire, on sait déjà qu’Auxerre et Sens commercialiseront depuis des corners spécifiques les futurs véhicules électriques et hybrides de MG.
A l’instar des quatre-vingt autres vitrines commerciales réparties en France qui permettent de constituer un premier maillage pour le nouveau produit importé par SAIC.
L’ajout de cette dixième référence représente un bel enjeu pour Yves JEANNIN et ses équipes ; une réelle opportunité de croissance sur laquelle le dirigeant souhaite surfer alors que le marché de l’automobile a connu de terribles soubresauts imputables à la crise sanitaire.
Sera-ce donc « dix de der » pour le groupe JEANNIN en perpétuelle constante de progression au niveau de son catalogue ? Ou une étape intermédiaire avant de distribuer un autre constructeur ? Seul l’avenir est détendeur de cette réponse qui pour l’heure ne suscite aucune interrogation particulière du côté de la société icaunaise et de son dirigeant…
Thierry BRET
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