Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Présent sur le premier Forum de l’Emploi, décliné par la Mission Locale d’Auxerre, le spécialiste de la gestion de la relation client, télémarketing et centres d’appels est venu pallier son besoin anticipatif de main d’œuvre en vue de futures embauches. Une opportunité stratégique à laquelle participait la nouvelle chargée de recrutement de l’entreprise, Cassandre SAGET. Elle a pu y exercer son sens pratique du relationnel afin d’identifier et d’attirer de nouveaux talents…
AUXERRE : Aux côtés de l’incontournable Aurélie VALLOT – la référente historique du recrutement au sein de la structure auxerroise-, la nouvelle chargée de recrutement du groupe ARMATIS-LC a profité de l’événementiel concocté autour de l’emploi pour prendre la température de ce marché très fluctuant.
L’un des plus gros pourvoyeurs d’emploi du bassin d’Auxerre ne pouvait se soustraire à ce rendez-vous qui aura vu une forte affluence de jeunes gens arpenter les travées de la salle Vaulabelle. Dès l’ouverture de la manifestation, le stand du gestionnaire de la relation client, télémarketing et centres d’appels était déjà fréquenté.
Questionnements, interrogations, renseignements…bref, le lot de données précises qui nécessitait des réponses appropriées de la part de la nouvelle chargée de recrutement, Cassandre SAGET. Issue du milieu du travail intérimaire, la jeune femme occupe la fonction depuis le 01er février dernier.
Plus de cent cinquante nouveaux emplois créés depuis le début de 2019…
Depuis le début de cette année, ARMATIS-LC a géré l’intégration de cent cinquante compétences supplémentaires au sein de son unité de production d’Auxerre.
« Ce fut une période très faste, explique Aurélie VALLOT qui travaille à la nouvelle configuration de son poste, positionné dorénavant dans la dimension nationale du groupe, notre présence sur ce forum nous permet d’anticiper nos prochaines phases de recrutement qui sont liées aux demandes de campagnes marketing de nos clients… ».
Cette action de sourcing était donc la bienvenue pour que le groupe puisse récolter CV et autres prétentions de futurs collaborateurs susceptibles de faire carrière. 85 % des postes proposés au sein de l’entité sont en contrat à durée indéterminée.
Le site d’Auxerre, septième de ce réseau qui est opérationnel à l’international dans vingt-trois pays, est ouvert depuis une décade. Le groupe emploie aujourd’hui plus de dix mille collaborateurs et réalisait en 2016 environ 230 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Cloelia BELTRAMELLI : s’appuyer sur de solides fondations permet de construire pour longtemps…
mai 14, 2019« Quand nous entreprenons pour nos clients un chantier de rénovation ou de construction, c'est avec cette ambition de construire pour durer… ». Ainsi s’exprime cette jeune femme, originaire de l’Yonne, chef d’entreprise dans le secteur du bâtiment. Dirigeant de www.deciderjuste.com, Philippe CARPENTIER accompagne les entrepreneurs lors de moments clés. Il nous livre une interview de son blog « 16h44.com » pour prendre du recul, avec un expert, sur notre management. En vous souhaitant une agréable lecture…
TRIBUNE : Quand vous rencontrez Cloelia, vous savez immédiatement que vous êtes face à une source d'énergie franche, directe et engagée. Jeune, active, dynamique, Cloelia est élue femme de l'année dans sa région en 2017. Sa personnalité se cache derrière son prénom : de ses origines et de sa culture italienne lui viennent son enthousiasme ainsi que sa capacité à s'engager avec conviction et à assumer pleinement chacune de ses décisions. Ainsi, qu'il s'agisse du développement de son entreprise, de la défense de sa profession ou encore de ses choix artistiques, Cloelia sait doser des positions décalées et une construction patiente et solide de ses projets. Entretien…
Cloelia, vous avez l'ambition de construire pour longtemps ? Voilà un concept, rarement mis en avant par les managers. Expliquez-nous ce qu'il signifie pour vous.
Quand nous entreprenons pour nos clients un chantier de rénovation ou de construction, c'est avec cette ambition de construire pour durer afin que le projet soit solide, réussi. Et que le client qui nous confie sa maison soit assuré de voir son patrimoine pérennisé pour des dizaines d'années. La reprise de l'entreprise familiale BELTRAMELLI en 2012, par exemple, poursuit cet objectif : sa pérennisation. Les longues journées passées à suivre les chantiers n'auraient pas de sens sans cette envie de construire pour longtemps.
Quand nous recrutons un nouveau collaborateur, c'est aussi avec cette perception du temps et cette notion long terme. En tant qu'entreprise générale, il faut du temps pour que cette personne se forme, acquiert les différentes facettes du métier et la philosophie de l'entreprise. Pour que ces personnes aient envie de construire une partie de leur carrière avec nous, nous souhaitons que nos compagnons puissent évoluer et se dépasser
Comment construit-on dans la durée, et pour longtemps ?
Mon expérience, c'est qu'il faut s'appuyer sur des fondations solides. Celles de mon entreprise sont multiples : c’est une entreprise ancrée depuis plus de 60 ans sur son territoire. Il existe une vraie volonté de transmission de l’ancien dirigeant, d’accompagnement et d’écoute dans la connaissance de nos clients et de nos marchés.
L’entrepreneure est prête à s'engager dans un univers encore très masculin, forte d'une expérience glanée dans des grands groupes avec notamment avec des acquis obtenus en marketing et en qualité. Il y a un projet clair et construit qui permet de s'appuyer sur l'histoire de l'entreprise pour la faire évoluer vers le monde de demain, en conciliant les forces de la PME avec la performance des grands groupes. Enfin, il existe une clé de voûte : une équipe formée et experte pour mener à bien des chantiers très techniques. Au-delà des clichés habituels liés aux métiers du bâtiment, construire des ouvrages qui vont perdurer dans le temps en tout confort et en toute sécurité, c’est aussi s’appuyer sur de véritables qualifications professionnelles. En résumé, avoir une tête bien faite pour penser et réaliser des projets que nous serons fiers de montrer et transmettre à notre tour à nos enfants.
C'est à partir de ces fondations que l'on peut bâtir un édifice solide. Cela implique d'avoir des objectifs d’entreprise clairs sans toutefois s'interdire la flexibilité et la créativité. C’est impératif dans un monde toujours en mutation tel que celui du bâtiment.
Comment cela se traduit-il dans votre quotidien ?
Il y a cette envie de grandir, prudemment et par étape. L'adaptation de techniques issues de grands groupes en PME (gestion de l'outillage, des chantiers...) dans l'univers exigeant de la PME et de son quotidien représente un fondement. Il faut aussi l’intégration de jeunes talents autour de la passion du métier : j'ai rencontré deux jeunes filles que l'on avait dissuadé de faire ce métier car trop féminine ou trop bonne élève ! Quant à la diversification progressive et le développement de son propre réseau, ils sont nécessaires. J’y ajouterai la complémentarité de nos compétences par la formation et la veille technique. Enfin, l’emploi d’une communication efficace, voire parfois très décalée par rapport aux standards de la profession, n’est pas inutile. Tout ce travail de modelage de l'entreprise nécessite, lui aussi, une construction patiente et structurée.
Quelles positions faut-il adopter en cas d'intempéries ?
C'est vrai qu'elles sont fréquentes. Elles peuvent prendre, par exemple, la forme de nouvelles législations ou de contraintes extérieures de différentes natures. Certaines poussent comme de mauvaises herbes et sont de véritables obstacles à dépasser alors que d'autres, au contraire, sont porteuses de progrès. Ce qui compte, c'est de les identifier, les intégrer et de s'y adapter. Enfin, progresser jour après jour avec l'énergie que vous procure une équipe soudée.
Les conseils du blog « 16 h 44 » :
Ne te laisse pas dicter ta trajectoire par un autre !
Garde tes objectifs en tête et suis ton instinct.
- N'écoute pas le chant des sirènes mais garde le cap.
- Sois là où tu souhaites aller et pas là où les autres veulent que tu sois.
- N'aie pas peur d'être décalé(e)
- Construis l'équipe qui te va bien et qui partage tes convictions
Philippe CARPENTIER
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Intégrer parmi ses effectifs des techniciens de haute volée ressemble souvent à une sinécure pour la plupart des entreprises du sérail industriel. Le milieu du matériel viticole ne déroge malheureusement pas à cette règle. Elle représente une source d’inquiétude croissante pour les services de ressources humaines, à la peine pour trouver des compétences. Groupe emblématique de par sa structuration et son influence régionale, ALABEURTHE a su prendre le taureau par les cornes, au niveau de l’anticipation, pour résoudre ces problématiques. La société s’appuie sur une politique de formation efficiente afin de sensibiliser les jeunes publics vers cette filière professionnelle…
CHABLIS : Préparer de manière optimale des techniciens qualifiés au rythme de la saisonnalité qui prévaut dans le monde de la viticulture nécessite une période d’incubation de trois ans. Telle est l’équation à laquelle a été confronté le distributeur de matériel agri-viticole de la Bourgogne septentrionale.
Présent sur une vaste zone de chalandise qui s’étale sur quatre départements (Cher, Côte d’Or, Nièvre et Yonne), ALABEURTHE ne lésine jamais à accueillir de nouvelles pousses parmi ses différentes structures.
Favorable au développement d’une relation saine et pragmatique entre le monde de l’enseignement et l’univers de l’entreprenariat, la direction du groupe, pilotée par Gilles MEHL, a choisi de jouer à fond la carte de cette complémentarité intelligente.
Partant du postulat que les métiers de la maintenance se faisaient rares et chers sur le marché, le groupe a optimisé cette stratégie collaborative en se rapprochant de l’un des établissements pédagogiques de la région qui prépare aux métiers de la viticulture et à ses dérivés : l’EPLEFPA de Mâcon.
Un équilibre parfait et constructif entre enseignement et entreprise…
Une approche conceptuelle appréciable puisque sur la seule année 2018, ALABEURTHE a accueilli une quinzaine d’apprentis au sein de ses services. Positionnée sur la revente de matériels destinés à la viticulture pour 70 % de son chiffre d’affaires – le reliquat correspondant à l’autre secteur privilégié, celui des espaces verts -, l’entité devrait initier avec la complicité bienveillante de la direction du centre de formation de Saône-et-Loire de nouveaux cycles de formation à l’automne.
Il s’agirait notamment d’un cursus de type BTS catégorie TSMA, portant sur les spécificités du monde viticole. Grâce à cette création, l’établissement de Mâcon deviendrait le seul centre pédagogique de l’Hexagone à pouvoir la décliner à ses élèves. Son démarrage est effectif dès septembre.
Face à ces récurrentes questions de recrutement, le groupe de l’Yonne n’en consacre pas moins un budget conséquent à la formation continue de ses collaborateurs.
Une ligne budgétaire de 100 000 euros est ainsi accordée à ce poste chaque année. Soit, dans les faits, plus de 1 700 heures de remise à niveau qui ont été dispensées en 2018 à plus d’une centaine de salariés et cadres.
L’art de l’anticipation face à la robotisation…
En outre, la robotisation de certains métiers de la filière accélère ce processus formatif. Aujourd’hui, ALABEURTHE prend le soin d’anticiper cette révolution technologique qui se profile sur le marché d’ici deux à trois ans.
La complexité des postes et leur diversification obligent le groupe à répondre présent dans sa quête de collaborateurs au potentiel affirmé. Notamment sur des postes de mécaniciens, électromécaniciens, chaudronniers, techniciens en service après-vente ou magasiniers vendeur.
Une stratégie applicable aussi sur le domaine de la motoculture, l’autre versant de l’activité de cette entreprise aux quarante millions d’euros de chiffre d’affaires…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Au-delà des mots présidentiels, disposons de garanties suffisantes pour que cessent les maux de la société…
avril 28, 2019Les cendres de Notre-Dame de Paris s’étant à peine refroidies, le président de la République s’est donc exprimé devant tous les Français. Puis, les postes de télévision se sont éteints. Les journalistes, éditorialistes et pseudo-penseurs de tous poils se sont précipités sur leurs porte-plumes et claviers d’ordinateur tandis que les ténors et même les mini-sopranos des partis politiques ont donné de la voix. Déclenchant de facto une avalanche de commentaires, d’analyses, de jugements et, surtout, de critiques, de remontrances, de récriminations, de blâmes…comme il est d’usage dans de telles circonstances dans notre pays. Restons Français !
TRIBUNE : De prime abord, traçons les grandes lignes de ce qui a été annoncé par l’occupant de l’Elysée. En guise de préambule, une baisse d’impôts de cinq milliards d’euros. Il faut ajouter à cela l’allongement du travail. Car, on ne peut envisager sciemment une autre alternative que celle de cotiser davantage même si l’âge de départ à la retraite reste inchangé.
En d’autres termes, cela signifie résoudre le problème de la quadrature du cercle. Parmi les autres préconisations présidentielles qui entreraient en vigueur au fil des mois : l’introduction d’une dose de proportionnelle aux prochaines élections ce qui va permettre au Rassemblement national (RN) mais aussi à d’autres composantes politiques de figurer au Parlement comme l’avait si bien organisé en son temps le président François MITERRAND. Côté retraite, un minima sera fixé à mille euros. La création de nouveaux bureaux d’accueil dans toute la France, maintenant on appelle cela les « territoires », est également prévue.
Inutile de continuer cette énumération à la Prévert ! Référez-vous à votre quotidien habituel. Et oublions, au passage, le déficit du budget de l’État qui s’est élevé à 76 milliards en 2018, les réformes structurelles dont on nous rabat les oreilles depuis des décennies, le classement « PISA » de l’OCDE sur l’éducation qui situe la France à une médiocre vingt-sixième position sur soixante-dix pays, la dette qui s’élève à 2 200 milliards d’euros et que, soi-disant, les générations futures devront s’acquitter. Ou encore la fin de non-recevoir de Annegret KRAMP-KARRENBAUER, la nouvelle présidente de la CDU allemande, aux propositions de réforme sur l’Europe suggérées par notre président de la République. Et revenons-en simplement aux Français.
Comment convaincre des « Gaulois » qui n’entendent plus la voix présidentielle ?
Que pensent-ils de tout cela ? Pour le savoir, il suffit d’une baguette magique qui s’appelle les sondages. Celui réalisé par l’institut Odoxa Dentsu Consulting est révélateur des atermoiements de l’opinion publique et des sentiments que les Français éprouvent à l’issue de cet exercice oratoire présidentiel.
76 % des Français ne sont pas rassurés par ce qu’ils ont entendu. 59 % considèrent que le président n’a pas su tirer les leçons du Grand Débat. 54 % pensent qu’il n’a pas compris les préoccupations des Français. Là, j’émets une hypothèse : seul Dieu, s’il existe, et sous toutes ses variantes religieuses, me paraissent en mesure de tirer une leçon claire et, mieux encore, de rassembler un ensemble de propositions susceptibles d’être réalisées. « Va, ta foi t’a sauvé ! » (Marc 10 : 46-52).
En résumé, et sans l’once d’une surprise, les Gaulois ne sont ni convaincus, ni rassurés et, probablement, ni calmés par les mots du président de la République. Les « Gilets Jaunes » vont reprendre leur farandole hebdomadaire, devenu leur idiome expressif dans la rue tandis que les « Black-blocs » continueront de tout casser en dépit du bons sens.
Le paiement des pensions alimentaires : une mesure fondamentale
Toutefois, il y a une mesure remarquable dont on peut s’étonner encore que tous les ministres de la Justice, le Syndicat de la Magistrature et les différents représentants de la gouvernance étatique qui avaient en charge la question de la famille, ont toujours feint d’ignorer : c’est celle du paiement des pensions alimentaires.
Voilà un drame national qui concerne plus d’un million et demi de familles monoparentales. Le gouvernement s’inquiète enfin du paiement de ces pensions mensuelles, véritables bouées de sauvetage de nombreux parents en détresse qui élèvent parfois en solitaire leur progéniture.
Quelques chiffres : il y a en France deux millions de familles monoparentales. Parmi celles-ci, 80 % sont représentées par une mère isolée. Et ces femmes courageuses, presque toujours en difficulté et, pour beaucoup d’entre elles, souvent dans la détresse matérielle et morale, doivent exercer, comme le disait l’une d’entre elles, trois métiers : leur activité professionnelle, leur rôle de mère et la fonction du père absent.
Rappelons également que 70 % environ des emplois à temps partiel contraint sont occupés par des femmes à l’heure actuelle.
Voilà donc une mesure essentielle qui tombe à point nommé. Et on peut rendre grâce au président Emmanuel MACRON d’avoir vu juste dans son degré d’application. Et là, je pose deux questions fondamentales : comment se fait-il que des juges prennent des décisions ? Et qu’ils ne se soient jamais inquiétés de leur application ?
Doit-on y voir présentement l’inconsistance de tout cet aéropage de ministres et moralistes en charge de cette question ?
Dernier point : cette annonce sera-t-elle réellement suivie d’effet ? Plutôt que d’avoir des doutes, qui semblent légitimes tant les textes législatifs sont parfois galvaudés, pourrait-on recevoir de réelles garanties sur leurs applications ?
Emmanuel RACINE
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Le CFA de Champignelles délocalisera ses activités pédagogiques au lycée La Brosse à la rentrée 2020…
avril 18, 2019Le centre de formation de Puisaye-Forterre connaîtra une ultime saison, 2019/2020, où l’établissement pédagogique accueillera encore des apprentis. Ce sera ensuite son chant du cygne du fait de la fermeture du site. Mais, la Région Bourgogne Franche-Comté met dès à présent tous les moyens nécessaires pour organiser le transfert des formations et compétences au lycée agricole La Brosse de VENOY, dont dépend le CFA. La décision a été confirmée lors de la visite du vice-président de l’organe institutionnel régional, Stéphane GUIGUET, en charge des lycées et de l’apprentissage, au sein du CFA ce jeudi 18 avril…
CHAMPIGNELLES : La décision a été entérinée de manière officielle. Il faut désormais mettre tout en œuvre pour réussir ce chantier. Et, d’ores et déjà, le pouvoir exécutif régional se mobilise pour organiser dans des conditions optimales le transfert des formations et compétences du CFA de Champignelles vers Venoy. La commune où est implanté le lycée agricole La Brosse.
Vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté, en charge des lycées et de l’apprentissage, Stéphane GUIGUET a précisé lors de sa visite que « la relocalisation des formations au lycée agricole de Venoy serait prévue d’ici la fin du mandat régional ».
Pour autant, le centre de formation des apprentis agricoles départemental (CFAAD) de Champignelles accueillera une saison encore de nouveaux pensionnaires.
S’entretenant avec Jacques GILET, maire de Champignelles et les élus locaux, Stéphane GUIGUET a pu apporter des précisions sur le calendrier et les conséquences de ce futur déménagement. L’élu régional a pu échanger également avec le président de la Communauté de communes de la Puisaye Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, lui-même, conseiller régional. On notait la présence de plusieurs représentants administratifs de l'établissement dont le directeur régional de l'enseignement agricole.
En proie à des difficultés financières depuis plusieurs années, le CFA de Champignelles avait enregistré une baisse de sa fréquentation d’élèves à la rentrée 2018/2019 de 25 %.
Ayant soutenu la structure à hauteur de plus de 700 000 euros ces dernières années, la Région organisera ce déplacement en accord avec la Direction régionale de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99