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Sa fondation soutient les métiers de l’usinage : le groupe EDF finance la digitalisation de l’Ecole de Production
septembre 25, 2020C’est la troisième rentrée scolaire pour l’Ecole de Production de Chalon-sur-Saône depuis qu’elle a été portée sur les fonts baptismaux. L’établissement affiche un taux de réussite de 100 % au CAP depuis ses origines. Un cap vers l’excellence pédagogique vient d’être franchi. Grâce à la digitalisation. L’initiative a reçu le soutien de la Fondation EDF qui a injecté 10 500 euros dans le projet…
CHALON-SUR-SAONE (Saône-et-Loire) : Apparue en 2017 sous l’impulsion de l’UIMM 71 et du groupe EDF, l’Ecole de Production de Chalon (EDPC) accueille un jeune public âgé de 15 à 18 ans en situation de décrochage scolaire. L’établissement les prépare au diplôme de CAP professionnel dans les métiers de l’usinage. Un vivier de recrutement dont ont besoin la plupart des industriels de Saône-et-Loire.
Fonctionnant comme une véritable entreprise, l’EDPC réalise de vraies commandes au prix du marché au profit de ses clients. Une vingtaine d’élèves effectueront d’ici quelques jours leur grand retour sur le site. Ils y découvriront un équipement numérique flambant neuf mis à leur disposition dans le cadre de leur apprentissage des métiers de l’usinage.
L’école vient de se doter d’un logiciel d’assistance de production par ordinateur, couplé aux machines adéquates. Une mue nécessaire pour gagner en performance technologique.
Cette numérisation des ateliers concerne également la mise à niveau du réseau informatique qui offre des temps d’apprentissage supplémentaires en autonomie sur ordinateur. L’idéal pour la progression intellectuelle des jeunes apprenants.
Grâce à ces précieux auxiliaires technologiques, l’augmentation du volume de pièces fabriquées en réponse aux commandes passées par les entreprises industrielles du tissu local est désormais possible.
Une numérisation de l’école encouragée par la Fondation EDF…
Instigateur de ce projet pédagogique aux côtés de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de Saône-et-Loire, le groupe EDF n’a pas hésité à débloquer une enveloppe de 10 500 euros pour financer ce programme de digitalisation.
Fin 2018, l’entité via une opération de mécénat impliquant sa Fondation s’était déjà distinguée en remettant un chèque de 95 000 euros, complété par un don de 25 000 euros du FAPE EDF (Fonds Agir Pour l’Emploi) en faveur de l’insertion par le travail à cet établissement.
La somme fut alors convertie pour l’achat d’une machine à commande numérique destinée à l’usinage de pièces métalliques complexes. Grâce à elle, l’école a pu capter l’intérêt de nouveaux clients industriels et a su développer ses marchés depuis sa mise en service.
Avec ce nouveau geste financier de 10 500 euros accordé ce mercredi lors d’une cérémonie protocolaire, Yves CHEVILLON, délégué régional d’EDF et représentant de la Fondation du groupe EDF en Bourgogne Franche-Comté, a renforcé ce soutien indéfectible fait à l’Ecole de Production du sud de la Bourgogne dirigée par Nicolas PROST.
Un don généreux fort en symboles qui vise à construire l’avenir professionnel de ces jeunes gens.
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Saint-Joseph à l’heure de la prépa Sciences Po/Commerce : recherche candidats à l’élitisme intellectuel !
septembre 23, 2020Les futures élites de la politique nationale et les cadres supérieurs à vocation commerciale seront-ils issus à l’avenir des classes préparatoires mises en exergue par le groupe éducatif lassalien auxerrois ? C’est tout le bien que l’on peut souhaiter à la judicieuse initiative de l’établissement privé dans sa quête de la diversification des savoirs et de la recherche de nouvelles opportunités…
AUXERRE : Le 23 septembre 2020 est une date qui est biffée depuis très longtemps dans l’agenda déjà bien garni de Marc BESANCENEZ, responsable du groupe Saint-Joseph-la-Salle.
C’est aujourd’hui en effet que débutent les cours de la préparation au concours de Sciences politiques et à celui permettant d’obtenir le précieux sésame qui donne accès aux écoles de commerce. C’est un pas de plus vers les plus hautes sphères de l’enseignement supérieur pour le groupe pédagogique catholique auxerrois après la précédente initiative menée en 2019 : la classe préparatoire au concours de médecine.
Il y a quelques jours, le responsable du pôle éducatif avait réuni familles et candidats potentiels à ces nouvelles sections pour qu’ils viennent humer la température ambiante. Histoire de leur présenter le mode opératoire décliné en terminale. Une cinquantaine de personnes y participait.
Selon des modules de trois heures suivi le mercredi, l’ensemble des bacheliers peut s’immiscer dans cet univers didactique de haute volée. Soit un cycle de vingt-deux semaines pour un budget de 330 euros à l’année. Toutefois, des quotas ont été mis en place, limitant l’engouement des élèves à une trentaine de places seulement.
La prépa médecine, opérationnelle depuis deux saisons, a encore enregistré un net succès avec vingt-cinq élèves. Autre innovation : la création de cette classe préparatoire à la double connotation aura favorisé le rapprochement du groupe Saint-Joseph avec l’EGC de Sens, l’école de gestion et de commerce sous la tutelle de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, pilotée par le responsable du pôle formation consulaire, Hervé AUBERGER.
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Les Maisons des Francophonies s’offrent une fenêtre sur le monde : le RIMF, organe de partage et de valorisation…
septembre 22, 2020Le siège du nouvel outil à l’estampille de la vénérable institution se situe à Lyon. Logique : c’est de l’ancienne capitale des Gaules que rayonne le mouvement qui fédère une dizaine de structures. Dont celle de Bourgogne, accueillie à Auxerre. Grâce à ce réseau flambant neuf, l’association souhaite peser davantage à l’échelle du globe. Un atout majeur pour la mutualisation des connaissances, la solidarité et l’échange de bonnes pratiques entre francophiles…
AUXERRE: Le faire-part de naissance comporte une date qui fera office de référence lors des futurs anniversaires : le 15 septembre. L’histoire de ces relations qui unissent les peuples se souviendra longtemps que c’est ce jour-là qu’a été proclamé par voie d’un communiqué de presse le RIMF, un acronyme désignant le Réseau International des Maisons des Francophonies.
Au plan étymologique, c’est bien des « francophonies » dont on parle puisqu’elles sont plurielles, diversifiées et inclusives dans leurs régions respectives.
En cette période de reprise, une trentaine d’organisations se sont donc rassemblées pour porter sur les fonts baptismaux cette entité nouvelle. Celle-ci agira dans seize pays d’Afrique, d’Asie, d’Amériques et d’Europe.
Eloignées les unes des autres au plan géographique, toutes sont en revanche unies comme les cinq doigts de la main pour vivre la même ferveur dans la défense et la valorisation du français. Avec une immense force passionnelle...
La vocation de ce nouvel appareil favorisant les relations à l’international ne se bornera pas à ces seize premiers pays. Président de la Maison de la Francophonie de Lyon et co-président de ce nouveau réseau, le mentor de cette structure associative, Christian PHILIP, invite par ailleurs l’ensemble des francophones et francophiles de la planète à rejoindre dès que possible le réseau social porté par le RIMF. Au nom du pluralisme des idées et de l’enrichissement de la diversité.
Parmi les principales actions de cet auxiliaire à la promotion de la culture hexagonale, citons l’enseignement de la langue chère à Molière, mais aussi la reconnaissance des diverses francophonies existantes de par le monde. Rappelons que 85 pays (auxquels il serait judicieux d’ajouter des régions plus ciblées) se retrouvent dans les valeurs inculquées par la France.
Des actions étayeront ce dispositif. Elles mettront en exergue les valeurs de la francophonie dans leurs dimensions culturelles, académiques, économiques, patrimoniales, sociales et environnementales.
Une première initiative ouverte à celles et ceux qui ont de l’imagination…
L’une d’entre elles se nomme « Ma Minute Francophone ». Elle prend la forme d’un concours ludique, ouvert aux francophones et francophiles du monde entier, sans distinction d’âge ni critère de nationalité.
L’objectif est de s’exprimer par le biais d’une très courte vidéo de 60 à 90 secondes sur sa vision personnelle de la francophonie.
Sa mise en œuvre a été confiée à la Maison des francophonies de Berlin et au Centre de la francophonie des Amériques, basé à Québec où agit avec pugnacité Michel ROBITAILLE, président du conseil d’administration de ladite institution et co-président du réseau RIMF.
Les participants peuvent adresser leur document en y adjoignant une chanson, un slam, une poésie, un sketch, une animation visuelle, un récit…Il suffit simplement de répondre à diverses questions se rapportant à la perception que l’on se fait de la francophonie aujourd’hui. Via un quizz : comment s’exprime votre amour pour la langue française ? Pourquoi avez-vous appris le français ? Quels avantages vous apporte le fait de parler et de comprendre le français ?
Le dépôt des vidéos se fera jusqu’au 31 octobre 2020 via un formulaire à compléter sur le site suivant : www.maminutefrancophone.fr
Le jury international sélectionnera les seize meilleures créations qui recevront chacune une bourse de 350 euros. La remise des prix, quant à elle, se déroulera en décembre…
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Les 17ème Journées thématiques des sapeurs-pompiers s’ouvrent ce mardi : Auxerre capitale des SDIS de France !
septembre 15, 2020D’ordinaire, c’est Outre-Quiévrain à Ardooie que se déroulent ces traditionnelles journées thématiques annuelles. Celles qui permettent de regrouper durant soixante-douze heures plus de cent cinquante sapeurs-pompiers provenant des quatre points cardinaux de l’Hexagone. Logique, la Belgique accueille l’un des partenaires majeurs des SDIS de France, l’équipementier SIOEN. Crise sanitaire oblige, c’est le centre de formation d’Auxerre qui a eu l’heureuse idée de reprendre au pied levé l’organisation de ce rendez-vous international devant se clôturer ce jeudi…Une grande première.
AUXERRE : Un colloque international concocté trois jours durant dans la bonne ville de Paul Bert malgré les atermoiements imputables à la crise sanitaire, cela n’arrive pas tous les jours, convenez-en ! Eh bien, les représentants du SDIS 89 (Service départemental d’incendie et de secours de l’Yonne), ont été capables, eux, de relever le défi et ce, de la plus belle des manières !
Disposant d’un centre de formation idéalement situé à la logistique multifonctionnelle, le site auxerrois a retenu les faveurs de l’organisateur national de ce colloque professionnel : le magazine « Soldats du Feu ».
Notre confrère, par la voix de son dirigeant, Carlo ZAGLIA (le seul pompier de France à détenir le précieux sésame de la filière journalistique, la carte de presse !), a été séduit par le cahier des charges que lui avaient suggéré en amont de l’évènement le directeur du groupement des sapeurs-pompiers de l’Yonne, le colonel Jérôme COSTE, et son président, le vice-président du Département, Christophe BONNEFOND. Il ne restait plus qu’à valider le tout et à se lancer dans cette belle aventure. Devenir pendant trois jours la capitale des SDIS de France !
La COVID-19 s’invite parmi les grands thèmes de réflexion…
Pour cette édition bourguignonne exceptionnelle, le thème central de ce rendez-vous se consacrait à la gestion des contaminations. Vaste programme, en vérité, puisque ces dernières peuvent être de différentes strates sur le terrain opérationnel ; à commencer par les infections virales, inhérentes à l’omniprésence de la COVID-19.
Cet item fut précisément abordé lors des tables rondes où un partage de connaissances autour d’ateliers dynamiques où circulait la parole permit aux représentants des 62 SDIS de l’Hexagone d’y voir un peu plus clair.
Second sujet qui ne manquera pas d’interpeller les participants à ce colloque international (présence de Belges et de Suisses) : la toxicité des fumées, danger numéro un pour les soldats du feu en intervention.
Parmi les thématiques abordées lors des six tables rondes, on notera celle portant sur l’impact financier sur les évolutions réglementaires et les nouvelles procédures d’entretien ou plus technique pour les profanes, l’analyse du risque pour les liaisons inter-EPI (cagoule, gants, casque, vestes, sur-pantalons…).
Mercredi, les sapeurs-pompiers présents à cette manifestation inaugurée en début d’après-midi par Christophe BONNEFOND rencontreront des partenaires industriels sur des workshops répartis dans la cour centrale du SDIS de l’Yonne.
Avant de pouvoir s’entretenir avec un représentant de l’Etat qui se déplacera spécifiquement à Auxerre le lendemain lors d’un temps d’échange. Un colloque également synonyme de belles retombées pour l'économie locale (hôtellerie/restauration) qui n'en demandait pas tant !
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Acteur culturel sur le Grand Sénonais : le conservatoire envisage d’élargir son enseignement artistique
septembre 15, 2020La crise sanitaire n’a pas entaché le dynamisme du conservatoire du Grand Sénonais dont la rentrée s’annonce sous les meilleurs auspices. L’établissement intercommunal ouvrait ses portes en grand au public ce mercredi 09 septembre. Permettant un échange convivial avec les enseignants, loin des démarches administratives dédiées à l’inscription ou la réinscription.
SENS: La notion de « journée portes ouvertes » est à exclure, comme le souligne Marc JAMOND, le directeur du conservatoire depuis juillet 2018. « Ce n’est pas à ce point une politique volontariste et de recrutement de nouveaux élèves ». Le but était de faire découvrir l’école et ses multiples disciplines mais, avant tout, de renseigner et d’échanger avec les visiteurs, y compris avec les élèves déjà inscrits.
Une rentrée artistique renforcée par un protocole sanitaire
Le conservatoire vient de recevoir les prérogatives sanitaires de l’Etat, très similaires à celles du milieu scolaire. Port du masque obligatoire pour les enseignants, interdiction d’entrer dans l’enceinte des équipements pour les parents, sauf pour les plus jeunes, jusqu’à sept ans, qui peuvent être accompagnés jusqu’à la salle de cours. Des mesures qui seront appliquées jusqu’à nouvel ordre.
Cette journée a permis de rassurer les gens sur les conditions d’accès au conservatoire dans ce contexte particulier.
Un conservatoire qui a le vent en poupe
L’école artistique du Grand Sénonais, officiellement reconnue comme « conservatoire à rayonnement intercommunal » depuis juillet dernier, accueille aujourd’hui environ 650 élèves sur les trois sites (Sens, Paron et Villeneuve-sur-Yonne). Soit 300 élèves en musique, 300 élèves en danse et à peu près 50 élèves en théâtre. Un effectif quasiment au complet hormis quelques places restantes pour des cours de musique. Ce conservatoire n’avait donc pas particulièrement besoin de publicité.
En revanche, il subsistait une nécessité d’en améliorer l’image, surtout depuis cette fusion des différentes écoles de l’agglomération en une seule entité. « Aujourd’hui, ce qu’on essaie de faire, c’est de regrouper les forces en présence, de tendre vers une unité » comme l’explique Marc JAMOND. Selon lui, l’étape la plus difficile a sans doute été de « modifier sensiblement, et très humblement, la représentation que les gens avaient d’un lieu d’enseignement artistique », « de faire admettre l’enjeu de l’intercommunalité ».
Le directeur estime que l’objectif est atteint au terme, tout de même, d’une période d’adaptation.
Le label « conservatoire » ne rend pas pour autant l’école plus élitiste
L’obtention de cette dénomination est le fruit d’un travail mené depuis environ deux ans. L’une des conditions à remplir était une pleine collaboration avec les établissements scolaires. Un projet qui se concrétise par un enseignement artistique toute l’année et pendant le temps scolaire, confié à des professeurs diplômés en musique, en danse ou en art dramatique.
Aujourd’hui, dix-neuf classes du cycle 3 (CM1, CM2 et 6e) du Grand Sénonais bénéficient de ce dispositif.
Un effort nécessaire mais qui s’inscrit dans le projet plus global d’un élargissement de l’enseignement artistique. Marc JAMOND et les élus impliqués dans cette tâche, notamment Simone MANGEON, vice-président de la CAGS chargée des infrastructures et politiques intercommunales culturelles, sportives et de loisirs, prônent un partage des valeurs et de la richesse artistiques du conservatoire au-delà de ses murs ainsi qu’un rapprochement de la jeunesse.
Même la culture urbaine se trouve désormais dans le viseur de l’établissement. Street art, hip-hop, deejing, des disciplines d’ordinaire en marge des offres des écoles d’art, plus dans la lignée d’une culture populaire, vont pouvoir s’exprimer pleinement au sein de cet univers plus classique.
« J’ai vraiment envie d’engager un travail avec ces artistes qui sont moins institutionnels mais dont on a beaucoup à apprendre » confie le directeur désireux de moderniser la structure. « C’est vraiment jouer notre rôle d’acteur culturel sur l’ensemble du territoire ».
Floriane BOIVIN
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