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Fonction maîtresse de la production industrielle, ce métier demeure toujours en très forte pénurie depuis plus d’une dizaine d’années. Selon l’Institut national de Soudure, il manque à ce jour plus de 3 000 professionnels pour satisfaire et répondre aux demandes pressantes des entreprises de la métallurgie en France. Alors que les besoins en recrutement se multiplient en Bourgogne Franche-Comté, le GRETA de l’Yonne propose une formation appropriée à Auxerre…
AUXERRE : Destinée à faire découvrir et à valoriser un métier manuel qui représente l’une des clés de voûte de la production industrielle, le cycle de formation conçu par le GRETA permettra peut-être in fine de résoudre de sérieuses problématiques vécues par les entrepreneurs de la métallurgie.
Métier en constante tension depuis plusieurs années, la soudure représente un vrai casse-tête chinois pour les industriels à ce jour. Surtout au niveau du recrutement de ses spécialistes. Les entreprises de la plupart des secteurs de l’industrie sont en quête permanente de soudeurs aguerris et formés à la discipline.
De l’avis de Pôle Emploi, un véritable expert de la soudure n’éprouvera aucune difficulté à trouver une offre d’emploi lui convenant à l’heure actuelle sur le marché. De son côté, le GRETA de l’Yonne organise une formation spécifique à Auxerre. Rémunéré, son financement est assuré par le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté.
Plusieurs diplômes sont envisageables pour exercer ce métier…
Comprenant 700 heures d’instruction (455 heures au centre de formation et 245 heures en entreprise), ce cycle se destine aux demandeurs d’emploi, mais aussi aux jeunes et aux adultes désireux de faire valider un projet professionnel.
D’ordinaire, il existe deux CAP qui sont spécialisés dans ce métier. Celui de chaudronnier mention complémentaire « soudage » et celui de métallier mention complémentaire « soudage ». Mais, il existe aussi des formations de niveau baccalauréat, avec le Bac pro de technicien outilleur ou celui de technicien en chaudronnerie industrielle. Il est également possible de bénéficier d’une qualification reconnue par l’Etat, soit un titre professionnel, celui de « soudeur à l’arc électrode enrobée et TIG » ou « soudeur à l’arc semi-automatique ».
Le cycle de formation programmé par le GRETA de l’Yonne se déroulera du 24 septembre au 25 février 2019 dans les locaux de l’antenne auxerroise. Au préalable, une réunion d’information collective y sera organisée le lundi 10 septembre afin d’expliquer les modalités pratiques et les enjeux de ce dispositif.
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L’excellence citoyenne des apprentis du CIFA de l’Yonne s’inculque avec le port de l’uniforme…
août 20, 2018Blazers foncés et chemises assorties ont très vite constitué la panoplie idoine des jeunes gens qui fréquentent le centre de formation d’apprentis de l’Yonne depuis quelques saisons. Celles et ceux des élèves qui évoluent dans les sections où l’apprentissage des techniques de vente, du commerce et du service le savent bien et apprécient la démarche. De leur côté, les employeurs, partenaires privilégiés du centre de formation auxerrois, approuvent l’initiative vestimentaire voulue par le CIFA. Les maîtres d’apprentissage leur ont aussi emboité le pas. Preuve que l’excellence citoyenne peut également se nicher jusqu’au choix de ses vêtements…
AUXERRE : Favoriser l’excellence disciplinaire et citoyenne au sein d’un établissement pédagogique passe aussi par le port d’une vêture qui respecte les codes de la bienséance, de l’éthique morale et de la neutralité sociale. Au sein du CIFA de l’Yonne, l’une des méthodes préconisées pour arriver à cet objectif prend la forme de l’harmonisation des vêtements parmi les élèves. Depuis deux saisons déjà, et sous l’impulsion coordonnée des équipes managériales et pédagogiques du site, filles et garçons arborent vestes et chemises en conformité avec cet état d’esprit. Sans qu’ils en éprouvent la moindre des contrariétés. Même si la décision aura pu surprendre à ses débuts les plus réfractaires d’entre eux…
Une habitude à laquelle personne n’aimerait déroger…
Les parents de ces apprentis « modèles » ne se sont pas offusqués de ces choix vestimentaires. Bien au contraire ! Ils étaient plutôt demandeurs de retrouver l’application de signes ostensibles de respect et de neutralité. Des valeurs sociales qui leur parlent.
Aujourd’hui, le principe est devenu presque un acquis, voire une habitude à laquelle on ne souhaiterait déroger le moins du monde. Pourtant, rares sont les établissements scolaires et les centres de formation de Bourgogne Franche-Comté, voire au plan de l’Hexagone, à avoir opté en faveur d’une telle ligne de conduite si caractéristique d’une discipline à l’ancienne. Seule une minorité d’écoles privées ouvertes dans le pays obligent encore leurs jeunes pousses à adopter une tenue de circonstance. Quant aux écoles publiques, il y a belle lurette qu’elles ont abandonné l’idée d’imposer une vêture particulière aux parents d’élèves. Laissant libre cours à l’imaginaire débridé de leur progéniture et le choix de pouvoir s’habiller comme elle le souhaite.
Eradiquer les disparités sociales et l’influence des marques…
Pourtant, des sociologues estiment, au-delà de ces préceptes exercés par la discipline citoyenne voulue par les responsables du CIFA que le port de l’uniforme possède deux vertus en soi : celle de la neutralité sociale en éliminant toutes les différences qui peuvent se créer en affichant des produits de marque et celle d’un égalitarisme laïc pur jus où tous les apprenants bénéficieraient des mêmes chances de réussite vis-à-vis de leur scolarité ou dans le cadre de leur apprentissage. Au plan politique, le Ministre de l’Education nationale, Jean-Michel BLANQUER avait déclaré un jour dans la presse être en phase avec ce genre d’initiative qui récuse les phénomènes de mode parfois stupides.
Reste que les apprentis du CIFA de l’Yonne, fiers de leur appartenance et de leurs costumes lors de la cérémonie protocolaire de la remise des prix 2018, en juin, entameront d’ici quelques jours une nouvelle année en étant revêtu de leurs plus beaux atours…Pour la plus grande joie de leurs parents qui ont vu leur progéniture prendre conscience de l’importance du savoir-être en entreprise grâce à cette démarche…
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Aide à l’export des entreprises : un levier d’intervention quadripartite se développe en Bourgogne Franche-Comté
août 16, 2018L’internationalisation représente une priorité essentielle pour les acteurs institutionnels et économiques de la région. Courant juillet, la Chambre de commerce et d’industrie régionale (CCIR), Business France, l’Agence économique régionale (AER) et le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté se sont réunis en présence du secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE, pour entériner plusieurs conventions de partenariat favorables à l’ouverture vers le monde des entreprises. Une convergence d’esprit permettant de franchir un nouveau cap…
DIJON (Côte d’Or) : Chaque année, la Région consacre près de deux millions d’euros pour accompagner les entreprises dans les phases importantes de leur développement à l’international. Cet accompagnement se traduit en règle générale par de multiples étapes : conseil, prospection, recrutement, implantation. L’organe exécutif intervient alors sous formes d’avances remboursables ou de subventions, à titre individuel ou collectif.
En parallèle, les entreprises positionnées sur l’export peuvent bénéficier de la promotion assurée par la Région sur les salons professionnels, organisés en France mais aussi à l’étranger. Ces opérations se réalisent avec le concours de la Chambre de commerce et d’industrie régionale.
Les bons résultats de la Bourgogne Franche-Comté à l’international…
Se hissant en tête des régions françaises en termes de solde commercial par habitant, le territoire bourguignon-franc-comtois a réalisé plus de 20 milliards d’euros à l’exportation en 2017 pour 17 milliards d’euros d’importations. Placée derrière l’Occitanie et le Grand Est, elle occupe une méritoire troisième place au niveau du solde de la balance commerciale.
A travers sa politique d’internationalisation, la Région a pour ambition de satisfaire les besoins des entreprises du territoire en termes d’attractivité, de commercialisation des produits, de prospection et de rayonnement international. Non seulement, à travers les nouvelles conventions signées en ce mois de juillet, il d’agira d’aider les entreprises à exporter. Mais, l’attirance de nouvelles structures professionnelles sur le territoire intègre ses priorités stratégiques.
Trois conventions partenariales pour étoffer ce dynamisme à l’export…
La première de ses signatures se rapporte à une convention-cadre entre la Région et Business France. Les priorités et les compétences de la Région rejoignent celle de la mission de Business France. Signée par Patrick AYACHE, vice-président de la Région en charge de l’attractivité, du tourisme et de l’export, et Christophe LECOURTIER, directeur général de Business France, cette convention consolide le partenariat entre les deux entités.
Second document paraphé ce jour-là au siège de la société EUROGERM à Saint-Apollinaire (une PME qui a su profiter pleinement du levier de l’international pour se développer dans le secteur de l’agroalimentaire) : la convention tripartite entre la Région, Business France et la CCIR.
Profitant de la réforme du commerce extérieur, présentée par le Gouvernement le 23 février 2018, la Région a décidé d’entériner la création d’une « Team export BFC ». Dans l’absolu, cette convention se traduit concrètement par un renforcement des moyens humains pour apporter un service optimum et de proximité aux entreprises locales, et des solutions pour donner le goût de l’international au plus grand nombre d’entreprises.
Enfin, pour conforter la « Team Invest BFC », Business France et l’Agence économique régionale, bras armé de la Région, ont signé la nouvelle convention pour fortifier la prospection d’investisseurs. Il s’agit aussi de renforcer l’attractivité du territoire auprès de nouvelles entreprises.
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1 633 entrepreneurs de Bourgogne Franche-Comté, ayant perdu leur emploi, rejoignent les rangs du chômage…
août 15, 2018L’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs a publié ses dernières statistiques cet été. Cette seconde vague de chiffres concerne les pertes d’emploi des dirigeants d’entreprise en Bourgogne Franche-Comté. 1 633 entrepreneurs ont ainsi perdu le leur l’année dernière. Cela représente 3,5 % des pertes d’emploi en France. En 2016, ils étaient cependant 1 799 chefs d’entreprises à avoir rendu les armes à la suite d’une liquidation judiciaire. Soit 7,6 % de plus…
DIJON (Côte d’Or) : A l’exception du Jura, la Bourgogne Franche-Comté enregistre une baisse généralisée du chômage de ses dirigeants d’entreprises. Les statistiques dévoilées par l’association GSC « Assurance perte d’emploi des dirigeants et entrepreneurs » et la société ALTARES, experte en data entreprises, viennent de le confirmer pour l’année de référence, 2017. Cette année, le territoire profite dans la majorité d’une amélioration. Au moment où le gouvernement d’Edouard PHILIPPE a statué sur l’indemnisation allouée aux indépendants en situation de perte d’emploi.
Sur les huit départements qui constituent la région, c’est le Territoire de Belfort qui obtient la plus forte de baisse avec 90 chefs d’entreprises en situation de perte d’emploi au terme de 2017. Soit 18,2 % de moins qu’en 2016. La Côte d’Or se classe en seconde position avec ses 291 entrepreneurs en situation de chômage. Une amélioration très nette est également observable dans l’Yonne où le nombre de dirigeants ayant perdu leur emploi retombe à 200 en 2017.
Nonobstant, quatre départements affichent quant à eux des baisses moins importantes. Il s’agit de la Haute Saône (-5,6 % soit 135 dirigeants touchés), la Saône et Loire (-3,7 % soit 389 chefs d’entreprises), le Doubs qui enregistre une baisse de 1,3 % pour un total de 299 dirigeants concernés. Quant à la Nièvre, elle connaît une très faible évolution avec -0,9 % soit 110 dirigeants.
Le département du Jura voit sa situation se dégrader. 149 dirigeants ont perdu leur emploi au terme de l’année contre 144 l’année précédente. Ce territoire affiche une hausse de 3,5 %.
Le secteur du commerce reste le plus impacté…
Quant aux secteurs d’activités, ce sont ceux du commerce, de la construction et de l’hébergement hôtellerie et restauration qui sont les plus concernés par ces pertes d’emploi. Avec ses 461 entrepreneurs en situation de chômage, le commerce représente 28 % des pertes d’emploi de la région Bourgogne Franche-Comté. On notera que le commerce de véhicules motorisés est le plus impacté avec 90 chefs d’entreprises hors circuit, suivi par le commerce d’habillement (62 personnes) et le commerce de détail alimentaire (55 chefs d’entreprise concernés).
La construction concentre à lui seul 885 pertes d’emploi dont 761 imputées au seul secteur du bâtiment. Quant à l’hébergement, restauration et débits de boisson, il subit là-aussi une recrudescence des liquidations judiciaires engendrant un chômage des entrepreneurs qui culmine à 565 dirigeants en 2017, dont 76 % travaillaient dans la restauration.
Directeur des études chez ALTARES, Thierry MILLON apporte ses commentaires : « La région Bourgogne Franche-Comté a franchi le cap des 2 000 défaillances d’entreprises en 2007 et n’était, depuis, jamais redescendu en dessous, établissant même un record en 2014 à 2 500 jugements. L’année 2017 a confirmé l’amélioration observée en 2016 et permis enfin de retomber juste sous les 2 000 procédures. Ce recul des ouvertures de procédures se traduit naturellement par une baisse du nombre de liquidations judiciaires directes (les deux tiers des jugements) mais aussi de liquidations post redressements judiciaires (les trois quarts). Moins de liquidations judiciaires, c’est moins de chefs d’entreprises en situation de perte d’emploi. Cette année 2018 devrait confirmer, à l’instar d’un premier trimestre très encourageant, la sinistralité des entreprises. Elle est la plus faible depuis 2008 en Bourgogne et même depuis 2005 pour la Franche-Comté ».
Une situation analogue au niveau national bien que le nombre d’entrepreneurs au chômage soit encore élevé…
Dans l’Hexagone, ce sont 50 011 dirigeants d’entreprises qui ont dû faire face à une liquidation judiciaire en 2017. Soit 9,2 % de moins que l’année précédente. L’âge médian de ces personnes s’élève à 45 ans. Sachant que la part des quinquagénaires a tendance à légèrement augmenter.
Les entrepreneurs âgés de plus de 50 ans représentent 35,7 % des dirigeants concernés. On notera que les artisans-commerçants et les gérants de TPE demeurent les plus impactés par la perte d’emploi. 74 % de ces dirigeants ayant rejoint les rangs du chômage géraient une entreprise de moins de trois salariés. 15 % des entrepreneurs employaient entre trois et cinq salariés.
Pour la directrice générale de l’association GSC, Elodie WARNERY, « Le recul du nombre d’entrepreneurs en situation de chômage ces trois dernières années est un indicateur du dynamisme entrepreneurial français. Il est encourageant pour l’avenir. Cependant, le risque d’être confronté à une perte d’emploi n’est pas le même suivant le secteur, la région et la taille des entreprises. Et dans tous les cas, l’entrepreneur doit faire preuve d’agilité et de vigilance face aux évolutions de son marché, aux adaptations nécessitées par le mouvement permanent de son environnement économique, social et juridique. Lorsqu’un homme ou une femme perd son entreprise et par là même son emploi, il n’est pas juste question de perte de revenu mais de perspectives d’avenir pour lui et sa famille. Il y a là une problématique sociale... ».
La majorité des régions françaises est concernée. Le nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi est en baisse dans douze régions sur treize. Pour autant, la réalité des territoires apparaît plus complexe. Si l’année précédente, sept régions sur treize enregistraient une baisse supérieure ou égale à 10 %, les résultats 2017 sont très contrastés. Les régions du Grand Est (-12,6 %) et des Hauts de France (-11 %) connaissent une nette amélioration tandis que les pertes d’emploi de dirigeants ont légèrement augmenté en Provence Alpes Côte d’Azur (+0,4 %). Pour huit régions sur treize, la baisse est inférieure à 7 %.
Autre commentaire : celui de Charles BATTISTA, directeur de la communication et des relations externes chez ALTARES.
« Les créations d'entreprises sont au plus haut depuis le début de la décennie tandis que les défaillances d'entreprises sont au plus bas sur dix ans. La France recolle au peloton de tête des économies dynamiques. Pourtant, cette embellie oublie une autre réalité. Alors qu'ils lancent des entreprises, inventent le business de demain, et créent des emplois, les entrepreneurs peuvent chaque jour être confrontés à leur propre « chômage ». Cinquante mille chefs d'entreprises ont été placés devant cette difficulté en 2017 après la liquidation judiciaire de leur entreprise. Oser le risque est l'ADN de chaque entrepreneur. C’est un moteur pour l’économie mais cela ne peut se concevoir sans un filet de sécurité... ».
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Le CIFA de l’Yonne accueillera un nouveau cursus de la filière des métiers de bouche : le CAP crémier/fromager
août 14, 2018Avec ce diplôme supplémentaire, le centre de formation par l’apprentissage et l’alternance de l’Yonne renforcera son expertise sur l’une des filières majeures de son orientation pédagogique : celle des métiers de bouche. Ce CAP spécifique au marché de la fromagerie sera le second à être opérationnel en France après celui ouvert à Loudun (Vienne). Après un premier avis positif du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, l’autorisation de poursuivre les investigations pour compléter ce dossier a été accordée aux responsables du centre de formation d’apprentis de l’Yonne. Le projet passera en commission finale auprès des élus en février 2019. Quelques mois avant l’accueil de ce nouveau cursus…
AUXERRE : L’ouverture à l’automne 2019 de ce cursus constitue une opportunité supplémentaire pour le CIFA de l’Yonne de se distinguer sur les métiers de bouche et l’hôtellerie/restauration. De dimension régionale, ce diplôme préparant à la valorisation des produits laitiers et à leur commercialisation répondra aux besoins en recrutement de plusieurs activités professionnelles de ce secteur : les crèmeries et fromageries artisanales, la grande distribution (rayon coupe), la restauration commerciale spécialisée ainsi que les magasins de vente directe.
Aujourd’hui, le marché économique de la fromagerie représente 900 millions de chiffre d’affaires annuel. Cette filière accueille 15 % d’apprentis parmi les 3 200 entreprises en France. Un seul établissement pédagogique déclinait jusque-là cette formation : celui de Loudun (Vienne). Enfin, précisons que plus de 400 variétés de fromages peuvent se déguster dans notre pays. Ce qui en fait une indiscutable force de frappe commerciale pour les structures professionnelles qui souhaitent faire succomber les consommateurs aux vertus nutritives des produits laitiers.
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