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Entre CLEVERCONNECT et la CCI de l’Yonne, ça matche à 100 % pour la dynamisation de la recherche d’emploi !
juin 06, 2019Référence incontournable dans le paysage du recrutement et de la diffusion des offres d’emploi via les supports numériques, le groupe CLEVERCONNECT est devenu en l’espace de quelques années une structure entrepreneuriale de poids. Accédant au leadership de sa spécialité : le matching grâce au site METEOJOB. Cet outil accueille chaque jour près de 150 000 offres disponibles et plus de cinq millions de candidats inscrits. Pas étonnant que la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne ait été intéressée par la mise en place d’un judicieux partenariat avec cette entité qui réalise près de 20 millions d’euros de chiffre d’affaires. La résultante de ce rapprochement a donné naissance à POSITIV’EMPLOI, un site de recherche performant et fonctionnel sur le territoire de l’Yonne depuis quelques semaines…
PARIS : Né de la fusion de deux marques novatrices sur le marché très concurrentiel du recrutement (VISIOTALENT et METEOJOB), le groupe CLEVERCONNECT possède après seulement quelques années d’existence de solides atouts à faire valoir dans son environnement. Celui de l’accompagnement à la recherche d’emploi.
En choisissant de rassembler sous la même enseigne ces deux marques, l’entité développe une solution innovante, le HR Match. Celle-ci permet aux structures qui la sollicitent de déployer une armada de solutions technologiques sur l’ensemble de leurs problématiques de recrutement, en passant du sourcing jusqu’au tri de CV, sans omettre la qualification des candidatures.
Il est vrai que CLEVERCONNECT s’appuie sur de solides atouts. Leader dans le domaine du recrutement vidéo avec un portefeuille comprenant plus de 700 clients de renom, VISIOTALENT constitue déjà une force de frappe remarquable à l’échelle du continent européen. Italie, Espagne, Belgique, Pays-Bas ou Luxembourg intègrent ses cibles prioritaires. Sans oublier l’Hexagone.
Quant à METEOJOB, c’est l’un des principaux sites d’emploi en France qui réceptionne les besoins de cinq millions de candidats inscrits.
Un algorithme intelligent au service de POSITIV’EMPLOI…
L’été 2018 représente une période charnière dans la construction de ce rapprochement. Celui qui est intervenu entre la chambre consulaire du territoire icaunais et le spécialiste de la recherche d’emploi numérique. Le besoin de créer un outil novateur se fait ressentir. C’est le début d’une collaboration fructueuse qui débouchera sur la conception de la plateforme POSITIV’EMPLOI. Celle-ci est pilotée au niveau de l’institution par Cécile NOIROT.
Attirer de nouveaux talents et au-delà de nouvelles populations semble être la trame de réflexion qui a justifié l’apport de ce procédé. POSITIV’EMPLOI ne peut s’apparenter à une énième bourse d’emploi. La plateforme intervient avec davantage de globalité, facilitant la mise en relation des profils de candidature avec les recruteurs. Par le prisme d’une technologie spécifique, qui est propre à METEOJOB, et à l’utilisation d’algorithmes plus intelligents. Le succès est au rendez-vous, avec quelques mois après son lancement, la présence de 700 offres disponibles et près d’une centaine d’entreprises icaunaises, ayant décidé de jouer le jeu.
Consultant en ressources humaines auprès des entreprises et structures en phase de recrutement et en digitalisation pour CLEVERCONNECT, Mathieu CHERUBIN rappelle les principes fonctionnels de ce site :
« Les entreprises partenaires de la CCI qui se connectent à la plateforme ont la possibilité de recevoir des CV adaptés à leurs besoins. Un précieux gain de temps pour gérer avec spontanéité les candidatures reçues. En contrepartie, elles déposent leurs besoins et trouvent ainsi avec plus d’aisance les candidats recherchés. En outre, l’inscription est gratuite… ».
La vidéo comme source d’innovation sur les plateformes portées par les consulaires…
Le travail en prise directe avec les CCI date de 2015. C’est la chambre consulaire de l’Essonne qui fut la première à dégainer. Et à poser les jalons de cette multi-collaboration puisque ce sont une dizaine d’organismes qui possèdent désormais une plateforme similaire à celle de l’Yonne. Indre-et-Loire, Cantal, et aussi les structures implantées dans la région Rhône Alpes Auvergne se satisfont elles-aussi de ce processus numérique qui répond aux besoins de rayonnement de l’attractivité de ces territoires. Le monde de l’apprentissage est également viser par la démarche.
Déjà, l’apport de nouveautés technologiques s’envisage à très brève échéance sur ces plateformes de recherche d’emploi.
« De nouvelles fonctionnalités vont être créées afin de rendre l’expérience encore plus innovante et différente, précise Mathieu CHERUBIN, notamment grâce à l’utilisation de la vidéo… ».
Selon les statistiques, 30 % de jeunes diplômés optent volontiers pour l’usage de cette technique de recrutement, liée à l’image. Une méthode facilitatrice pour le recruteur, plus en phase avec ce mode d’expression et à l’appréciation optimale des meilleurs candidats. A l’instar d’autres poids lourds de l’économie hexagonale, un groupe comme LEROY MERLIN aborde la quête de ses nouveaux collaborateurs par ce biais.
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La ministre du Travail Muriel PENICAUD souhaite l’élargissement d’Erasmus à l’apprentissage…
juin 01, 2019Et s’il n’y avait pas que les seuls étudiants à pouvoir bénéficier de la manne intellectuelle et pédagogique induite par le programme ERASMUS à travers l’Europe ? Rare dans ses déplacements en Bourgogne du Nord, la ministre du Travail Muriel PENICAUD qui devait ponctuer la campagne électorale des européennes à Sens, où un parterre éclectique de représentants de la liste RENAISSANCE l’y attendait, a suggéré l’idée avec force et conviction. Traduisant à sa manière l’une des mesures de la sphère européenne qui demeure très populaire auprès de nos jeunes concitoyens…
SENS : L’Europe et ses applications concrètes au quotidien, il est de bon ton d’en rappeler au travers d’exemples palpables les usages positifs pour mieux appréhender les avantages dont peuvent bénéficier nos concitoyens.
Car, comme devait l’affirmer il y a quelques jours la ministre du Travail, Muriel PENICAUD, présente dans la ville la plus septentrionale de l’Yonne à la veille de la clôture de la campagne électorale des européennes, « trop de Français pensent toujours à tort que le Parlement européen ne sert à rien ! ».
Tirer l’Europe sociale et économique vers le haut passe nécessairement par une explication de texte, pertinente, régulière et illustrée de faits tangibles dans l’absolu. Une quinzaine de minutes auront donc permis à la représentante du gouvernement d’étayer ses dires en faisant montre de pédagogie et d’initiative.
Invitée à clore la campagne électorale des échéances européennes aux côtés de nombreuses personnalités du sérail icaunais, Muriel PENICAUD s’est longuement attardée sur les vertus de cette Europe qui, une fois le verdict des urnes rendues au soir du dimanche 26 mai, aura suscité une once d’intérêt inattendue parmi les électeurs de l’Hexagone.
Une réalisation européenne qui parle aux Français : ERASMUS…
Prenant la parole après un long exercice oratoire, fait de plusieurs composantes issues ou proches de la liste de la majorité présidentielle, Muriel PENICAUD est devenue l’ambassadrice insistante du programme éducatif ERASMUS, un pur produit à l’estampille européenne.
« C’est l’une des rares réalisations européennes qui parle beaucoup aux oreilles de nos compatriotes, lâcha-t-elle avec dynamisme, il est vrai que la déclinaison de ce concept représente une belle leçon de citoyenneté internationale. Des centaines de milliers de jeunes étudiants se sentent profondément européens car ils sont très attachés aux valeurs intrinsèques de ce programme. C’est une juste illustration de ce qu’est l’Europe au service de l’autre, avec cet enrichissement humain et cette altérité, qui en fait l’un des ferments constructifs en devenir… ».
Généraliser le programme ERASMUS au monde de l’apprentissage et à l’ensemble de ses représentants s’imbrique parmi les volontés de la ministre du Travail.
« La bataille de l’apprentissage est importante pour nos jeunes générations, et nous devons la gagner. Le programme ERASMUS peut nous aider à y parvenir… ».
Puis, Muriel PENICAUD qui devait plaisanter sur le nombre de bébés européens nés de fiançailles et d’épousailles d’étudiants ERASMUS sur le Vieux Continent, annonça une statistique optimiste sur le potentiel humain engagé autour de ce concept : de trois à cinq millions de jeunes apprenants pourraient à terme en être le terreau intellectuel. Qui a dit que l’Europe ne mobilisait pas les foules !
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Olivier TORRES : « La santé du dirigeant de PME doit s’aborder comme celle d’un sportif de haut niveau… »
juin 01, 2019« Quand un patron de PME comprend pourquoi il est en pleine forme, ou pourquoi il est épuisé, il peut enfin se gérer et aborder avec confiance la réalité exigeante du monde de l’entrepreneuriat... ». Ainsi s’exprime le chercheur et chef de la tribu des « Amarokiens », Olivier TORRES. Son humour, son impact, que ce soit devant un auditoire de mille personnes ou face à trois individus captent très vite notre attention. Dirigeant de www.deciderjuste.com, notre contributeur Philippe CARPENTIER qui accompagne les entrepreneurs lors de moments clés de leur existence nous livre une passionnante interview, extraite de son blog « 16h44 », afin de nous présenter cet expert, spécialiste du management.
TRIBUNE : Quand un chercheur invente la systémique, le monde ne change pas. Mais, toute perception de notre réalité s’appréhende mieux. Olivier TORRES est le référent en la matière. Après des années de travail universitaire, il a fait émerger le concept de « PMisme », après s’être confronté à près de 50 000 dirigeants.
Chef de la tribu « AMAROK », un accès à un MOOC sur la santé du dirigeant (www.observatoire-amarok.net/fr) permet d’en savoir plus sur cette communauté, il possède ce sens profond de l’écoute qui lui permet chaque jour de progresser un peu plus dans ses recherches passionnées.
Certes, la réalité n’a pas changé. Mais, les managers de PME savent maintenant que 99,84 % des entreprises sont issues de ce sérail et qu’elles sont à l’origine de dix des quatorze millions d’emplois en France comme c’est le cas aussi en Belgique, au Québec et partout dans le monde…
Olivier, vous avez fait émerger le mot de « PMiste » qui désigne un défenseur du monde de la PME. Quel intérêt ?
En mettant en évidence cet univers qui touche directement ou indirectement trois français sur cinq, on peut s'intéresser au fonctionnement de la PME, aux réalités auxquelles elle est confrontée. Or, comprendre, c'est le début d'une action positive. Par défaut, la PME est ignorée, et donc nos élites lui imposent un modèle qui n'est pas celui de sa réalité. Conséquence : le patron de PME doit mettre en œuvre des mécanismes qui n'ont pas de sens et qui constituent des contraintes supplémentaires à l'aventure mouvementée, qu'il mène avec son équipe.
Par exemple ?
Concrètement, les PME sont obligées de se plier à une démarche très technocratique concernant le compte de pénibilité, démarche construite pour des groupes de plusieurs milliers de personnes. Des acteurs publics extérieurs à l'univers de la PME lui imposent des exercices qu'un DRH ou un DAF de grand groupe gère facilement et qui sont un vrai casse-tête pour un artisan ou un commerçant. J'ai rencontré un chauffagiste, qui préférait abandonner un remboursement de dix mille euros plutôt que d'affronter une mécanique administrative trop complexe. Concrètement, la santé mentale du dirigeant est, parfois dramatiquement délaissée car personne ne comprend ce qu'il vit.
Expliquez-nous à quoi est-elle soumise ?
Le patron de la PME, et parfois ses managers proches, sont particulièrement exposés à quatre facteurs pathogènes : le stress est plus fort que chez un salarié classique, car les managers que je rencontre ont le sentiment de devoir tenir « à bout de bras » leur entreprise. L'incertitude du carnet de commandes et le fait que rien n'est jamais acquis, donnent l'impression de devoir à chaque fois repartir de zéro et revivre indéfiniment un exercice de survie. La surcharge de travail pèse aussi largement. Tant que la passion du métier, le plaisir de construire une œuvre avec son équipe sont là, le dirigeant peut paraître infatigable. Mais lorsque la charge mentale devient trop forte, le dirigeant a du mal à dormir. Il ne déconnecte plus. Quand vous devez dormir avec un carnet de notes à côté de votre lit, quand vous devenez irritable sans raison, c'est le signe que le travail est redevenu un instrument de torture (tripalium) et que votre esprit d'entrepreneuriat s'altère. Enfin, la solitude accentue la charge mentale. Souffrir seul est bien plus difficile, angoissant que de pouvoir se confier avec un interlocuteur compréhensif et bienveillant. Et comme le manager de PME est un homme avant tout, ne pas bénéficier d'encouragements, de signes de reconnaissance, quand c’est le cas, contribue à dégrader peu à peu sa compétence…
Alors, devenir un entrepreneur dans l'univers de la PME est-il un sacerdoce ?
Absolument pas ! Car ces facteurs pathogènes sont gérables et heureusement gérés par une très grande majorité de « PMistes ». Et surtout parce que l'entrepreneur bénéficie de trois avantages particulièrement appréciables pour vivre une vie riche et passionnante. Premièrement, il a le sentiment de maîtriser son destin. Or cette capacité, cette attitude, ce mode de pensée a un impact très positif sur sa santé. C'est toute la différence entre celui qui subit et celui qui agit. Il vous donne une dose d'énergie en plus. Deuxièmement parce qu'être entrepreneur en PME rend endurant. C'est apprendre à rebondir, s'adapter, ne pas abandonner. C'est aussi vivre en permanence de nombreux échecs, bien plus que dans un groupe où vous trouvez toujours une excuse extérieure, sans besoin de remise en cause. Et cette capacité à être exposé rend humble, et apprenant. Vous développez une gymnastique régulière qui est très positive pour la santé. Comme un sportif de haut niveau. Troisièmement parce que survivre en PME rend optimiste. A force de chercher et de construire des solutions, vous vivez une réalité exigeante mais votre esprit développe une attitude optimiste. Or les optimistes vivent mieux et plus longtemps que les inquiets et les râleurs.
L'Application
- Checkez votre envie d’entreprendre, votre charge de travail et votre charge mentale (votre niveau de plaisir) régulièrement. A quoi ressemble votre agenda ?
- Réservez-vous des plages pour vous ressourcer.
- Prévoyez des moments avec votre équipe pour imaginer ensemble de nouvelles solutions.
- Inscrivez-vous dans un club de dirigeants, pour partager vos expériences.
- Recrutez des collaborateurs positifs et constructifs.
- Formez un second dans votre entreprise, pour pouvoir décrocher : à deux une difficulté est dix fois moins lourde à porter.
- Inscrivez-vous à AMarok et suivez le MOOC sur la santé du dirigeant…
Philippe CARPENTIER
www.déciderjuste.com
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Huit entrepreneurs du bâtiment entament le REAB, un cursus diplômant sous l’égide de la CAPEB…
mai 29, 2019Le cycle de formation dispensé au cours des dix-huit prochains mois comprendra exactement cinquante-quatre jours de séances pédagogiques. Une période suffisante pour appréhender du mieux possible les cinq modules, enseignés par le formateur. Issus de la filière du bâtiment, huit néophytes dans l’entrepreneuriat auront tout le loisir d’y prendre part. Pour gagner en indépendance et en liberté d’entreprendre, un credo que revendique avec conviction le président de la Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment de l’Yonne, Jean-Pierre RICHARD, soutien inconditionnel de ce projet…
AUXERRE : Pour obtenir le meilleur des stagiaires qui suivent un cycle de formation, il faut en premier lieu un spécialiste de l’art et de la maîtrise de l’enseignement. Un professionnel qui soit suffisamment pédagogue et à l’écoute pour susciter envie et intérêt auprès de son auditoire. Les responsables de la CAPEB de l’Yonne, la Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment, se sont donc adressés à l’une de ces structures enclines à répondre à ces objectifs : Construire Demain.
La SAS originaire du Tarn possède un sérieux pédigrée en la matière. Plus de trois décennies d’accompagnement qui ont été assurées auprès des gestionnaires du bâtiment ainsi que leurs conjoints (ces derniers jouant toujours un rôle primordial au sein de la structure), sans omettre leurs salariés. Bref, des experts qui n’hésitent pas à parcourir de la distance pour offrir leurs services et compétences aux artisans de ce secteur d’activité.
Dans le cas présent, la société formatrice de Saint-Lieux-les-Lavaur a pris les choses à son compte dès l’entame de ce nouveau cycle décliné dans l’Yonne. Le REAB, soit le cursus de Responsable de l’entreprise artisanale du bâtiment comme son acronyme ne pouvait le laisser supposer, se configure sous la forme d’un stage d’une durée de dix-huit mois.
De solides atouts dans les mains des entrepreneurs de la filière…
Formation diplômante et sanctionnée par un examen de niveau III (Bac + 2), la session offre une vision éclectique et complémentaire des domaines de compétences qu’un dirigeant de société se doit de posséder. Cinq modules vont être disséqués avec minutie. Pour en extraire la quintessence organique du savoir qui ne pourra être que bénéfique à ses pratiquants.
Ainsi, la gestion économique et financière, la gestion des ressources humaines, le pilotage de chantier, la stratégie d’entreprise et la découverte des pratiques du commerce et des relations extérieures offriront autant d’atouts essentiels à la connaissance de ces entrepreneurs béotiens, n’ayant pas plus de trois années d’exercice à leur bilan.
Outre le fait de se connaître soi-même et de disposer d’une fenêtre intéressante pour découvrir les autres, cette séance didactique (la seconde depuis le début de la session) représente un excellent exercice de compréhension pour gagner en expérience. Comme devait l’évoquer dès l’introduction de ce cours le président de la CAPEB Yonne, Jean-Pierre RICHARD, « ce stage est nécessaire pour gagner en indépendance et liberté d’entreprendre… ».
Une fois achevé, les huit stagiaires seront pourvus de nombreux atouts pour parfaire la gestion courante de leur entreprise, optimiser la rentabilité et la situation financière de celle-ci, maîtriser les techniques et les règlements d’un chantier, perfectionner leur capacité de manager. Ceci devant aboutir au développement d’une stratégie de communication et de négociation efficiente.
Bref, de la belle ouvrage comme on aime à le préciser dans le milieu du bâtiment. Une initiative qui s’avère pertinente et à mettre au compte de la CAPEB, avant que ne débute la prochaine session…
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Les acteurs de la transition énergétique développent une formation autour du solaire unique en France à Montbard…
mai 27, 2019L’ouverture d’un nouveau cursus pédagogique autour de l’énergie renouvelable offre l’opportunité aux acteurs du territoire, engagés dans la transition énergétique, de se mobiliser. Intitulée « Conduite et maintenance des installations photovoltaïques », cette formation est la résultante d’une réflexion conjointe entre l’Etat, la Région Bourgogne Franche-Comté, l’Académie de Dijon et EDF.
MONTBARD (Côte d’Or) : Devenir technicien de conduite et maintenance de centrale solaire photovoltaïque est désormais possible en Bourgogne Franche-Comté. Le 23 mai, le lycée Eugène Guillaume, localisé dans la sous-préfecture de Côte d’Or, a accueilli la présentation officielle de cette future possibilité éducative. Un cursus de niveau Bac + 1 qui a été élaboré en étroite osmose en vertu des axes prioritaires de la transition énergétique.
Même s’il a été présenté en cette période de printemps, ce nouveau cycle ne sera opérationnel qu’à partir de la rentrée. Les partenaires du projet (l’Etat, l’Académie de Dijon, la Région Bourgogne Franche-Comté et EDF) ont profité de la journée spéciale, « Mon avenir, l’industrie », organisée par la Mission locale rurale des Marches de Bourgogne, pour en évoquer les contours et spécificités. Signalons que Pôle Emploi était également associé à ce projet de présentation.
Ce sera donc la première fois dans l’Hexagone que des candidats motivés par cette filière autour du solaire pourront prétendre à ce cursus, menant vers une formation attractive. Ils seront amenés à se rapprocher de la filiale d’EDF, EDF Renouvelables, afin de pouvoir bénéficier de stages parmi les antennes que compte le groupe sur le territoire national.
Près d’un an de gestation pour construire ce nouveau cycle…
Cette formation intègre l’une des premières réalisations du Contrat de transition écologique (CTE) de la Haute Côte d’Or. Son entrée en vigueur avait fait l’objet d’un déplacement, le 17 décembre 2018, de la secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Elisabeth WARGON. C’est à cette occasion que le CTE avait été paraphé entre différentes communautés de communes (le Pays Châtillonnais, le Montbardois) et les services de l’Etat. Y étaient également associées la Région Bourgogne Franche-Comté, l’ADEME, la Banque des territoires et l’agence de l’eau Seine Normandie.
Un an de gestation et de collaboration entre l’Etat, la Région, l’Académie de Dijon et le fournisseur d’électricité EDF auront été nécessaires pour peaufiner les contenus et modalités pratiques de ce nouveau cycle. Ce projet traduit l’engagement de la Région de s’inscrire dans la trajectoire « Région à énergie positive à l’horizon 2050 ». Un concept qui avait réuni dans le cadre d’une convention de partenariat l’institution régionale, le groupe EDF et sa filiale, EDF Renouvelables. Cette dernière exploite déjà 76 MW d’énergies renouvelables sur le territoire régional.
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