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Oser dans son existence, c’est adopter la hardiesse, le courage et l'audace de faire quelque chose…
octobre 16, 2019Le mot représente la clé de voûte de toutes les réussites de l’existence. Qu’elles soient intimement liées à sa vie personnelle comme professionnelle. Pourtant, dans la société d’aujourd’hui, peu de gens ose. Par peur, par crainte du qu’en dira-t-on imposé par le regard des autres. Par pudeur, aussi parfois. Mais, oser représente un véritable moyen de prendre des initiatives, de surmonter les obstacles et de vaincre toutes ses inhibitions. Alors, oser dans votre vie quotidienne en connaissance de cause…
TRIBUNE : Ma perception du mot « oser » est traduite par ces quelques mots de Karine VIARD dans « Les Feux de la Rampe » : il faut oser d'abord et doser ensuite...Donc, l'antonyme du mot « oser » est le mot improviser.
Oser, c'est mettre en lumière tout son potentiel, accepter les challenges et braver les impondérables. C'est être un audacieux en se permettant l'impensable et en déclenchant les opportunités.
La réussite du mot « oser » dépendra de toute la logistique qui sera mise en place avec sagesse en amont et de la clarté de son champ d'action.
Zig ZIGLAR, conférencier à succès aux Etats-Unis, est une légende dans le domaine du développement personnel. Pour lui, « on ne peut atteindre une cible que l'on ne voit pas… ».
Cette dynamique est assimilée à la préparation d'une épreuve sportive. Elle concerne tous les domaines en termes de projets pros, d'affect ou d'amitiés. C'est une implication de tous les instants. C'est planifier pour sécuriser car oser, c’est se lancer. Cela ne s'improvise pas. C'est tout un processus pour saisir la bonne clé qui va ouvrir différentes portes pour avancer…
« Le succès n'est qu'affaire de but, tout le reste est baratin… » Lloyd CONANT
Les clés propices à l'approche de ce but se formalisent par différentes étapes. L'envie apporte une résonance au mot car la motivation reste la priorité essentielle pour commencer. La réflexion donne le tempo. Juste pour se centrer sur soi et pour planifier des champs d'actions réalisables.
La préparation démarre par des challenges à la hauteur de ses compétences et des performances pour que la notion de plaisir soit présente, et éviter ainsi la pression.
L'action juste opère quand les actions menées seront générées par des résultats et des attentes qui vont évolués dans le temps.
Le plaisir a son importance : c'est un des facteurs les plus cruciaux pour pouvoir oser. Si tout ce qui est concrétisé est réalisé avec du plaisir, l'impact sera automatiquement positif pour toute action dans la vie.
La fierté est la satisfaction d'avoir transcendé les différents challenges que la vie a imposé avec ses lots de petits pas et de pas de géants. Malgré tout, le but final atteint rend légitime cette fierté d'avoir accompli son but.
Se lancer dans le vide en toute sécurité…
Le tempo du mot oser, c’est aussi le lâcher prise pendant la transition de l'ancrage de son but en acceptant de sortir de sa zone de sécurité ambiante, confortable. Mais, c’est aussi celle qui nous emprisonne en acceptant de faire confiance en la vie.
Il faut être à l'écoute de cette petite voie intuitive qui murmure en toute justesse le bon chemin à suivre. Saisir les opportunités relationnelles et professionnelles mais de qualité. Mener sa vie avec ses propres convictions. Se lancer dans le vide mais en sécurité. Croire en son plein potentiel. Adhérer au tout est possible.
Wayne DYER, conférencier et psychologue, a écrit : « chaque enfant vient au monde en possession d'ordres secrets… ».
Tout potentiel inné est sous-jacent d'actions souterraines à mener d'une main de fer pour se déployer et avancer. Le « génie » créatif est inhérent à chacun mais l'intelligence de notre boussole intérieure se fraiera subtilement ou radicalement un chemin pour être à sa juste place.
Oser, c'est ce que la vie attend de nous. Allez-vous enfin oser pour vous démasquer et assumer votre véritable identité ? Souvenons-nous que GOETHE disait : « tout est difficile avant de devenir facile… ».
Une phrase à méditer avant d’oser !
Lyvia ROBERT
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Organisée par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, l’animation « Monte ta boîte », quatrième du nom, a accueilli plus d’une centaine de porteurs de projets, créateurs ou repreneurs d’entreprises ce mardi. Une trentaine de partenaires institutionnels mais aussi de milieux bancaires et acteurs de l’accompagnement entrepreneurial délivraient lors de rendez-vous individualisés leurs conseils sur le cheminement à suivre…
MONETEAU : L’attente est propice à l’anxiété, comme chacun le sait. Assis sur leur chaise, les apprentis entrepreneurs du jour rongent leur frein en révisant leurs gammes à voix basse. Dans un court instant, ils n’auront qu’un pauvre petit quart d’heure pour réciter leur leçon, du moins présenter l’esquisse d’un business-plan, à leur interlocuteur impitoyable qui les invitera à prendre la parole.
L’atelier se nomme « Espace crash test : les quinze minutes pour convaincre ». Un delta temporel bien trop court pour certains, celles et ceux qui ont des choses à dire. Peut-être un tantinet trop long pour les avares de formules phrasées toutes faites. Une chose est sûre : l’exercice ne peut que galvaniser les porteurs de projets en proie parfois aux affres du doute.
Ils et elles sont professionnels de la banque, de l’expertise-comptable, de l’accompagnement aux entreprises. Durant le laps de temps imparti à cet atelier, ils délivreront de judicieuses indications afin de remettre les candidats dans le sens de la marche. Ces personnes, plus d’une centaine, ont opté pour une visite pédagogique sur le salon « Monte ta boîte », concept créé de toute pièce par la chambre consulaire. Ils le quitteront avec beaucoup de renseignements précieux et des certitudes.
Un copieux programme articulé autour de conférences et d’ateliers…
Avec au coin de leur tête, cette affirmation criante de vérité : si créer sa structure professionnelle n’est pas un long fleuve tranquille, il existe a contrario de nombreuses possibilités de s’entourer de professionnels pour être bien encadré.
Une trentaine de ces exégètes occupaient des points d’accueil clairement identifiés afin de prodiguer leur savoir : des établissements bancaires, des spécialistes de la filière des chiffres et du droit, les acteurs du pôle juridique, les fiscalistes, les structures qui déploient leurs services dans l’accompagnement telles que ADIE ou INITIACTIVE 89.
Ces lieux d’accueil recevaient le soutien des équipes propres à la CCI de l’Yonne, positionnées dans la partie centrale du salon. Chiffres clés et études de marché, formation, hébergement des entreprises, statistiques, import/export, innovation, développement durable, communication…pas l’once d’un oubli dans ce panel très représentatif des potentialités offertes aux futurs entrepreneurs par la vénérable institution.
L’après-midi sera ponctuée de deux conférences : l’une portant sur les aides sociales et fiscales. L’autre se rapportant aux aides auxquelles peuvent prétendre les porteurs de projets à leur financement d’un projet. Avant que ne s’achève cette nouvelle édition profitable à celles et ceux qui y auront participé…
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La FFB a proposé les 17ème Coulisses du bâtiment : les métiers de la filière se découvrent sur les chantiers !
octobre 15, 2019L’évènement se mue en une véritable réussite à chaque édition. Ils sont en effet de plus en plus nombreux et motivés ces collégiens et lycéens interpellés par la trentaine de métiers qui rayonnent autour de cette activité artisanale. Sous l’impulsion de telles initiatives, cette dernière a su vaincre progressivement les préjugés ordinaires, faisant la part belle aux démonstrations immersives sur les chantiers…Confortant ainsi le slogan national de cette campagne : « visitez un chantier, ça change ! » !
AUXERRE: Manifestation conviviale et pédagogique, les Coulisses du Bâtiment, animation initiée par la Fédération française du Bâtiment, donnent de précieux sésames indicatifs à celles et ceux de nos potaches en soif de découverte.
Mieux : ce rendez-vous est relayé à l’échelle de l’Hexagone sur plus de deux cents chantiers qui offrent de quoi étayer convenablement leurs connaissances sur les us et coutumes de tel ou tel métier. Sans omettre les moyens didactiques pour y parvenir.
Bref : une plongée en eau accessible où les collégiens et lycéens peuvent poser toutes les questions qui leur trottent dans la tête, avant de se tester sur les ateliers mis à leur disposition (couverture, visualisation d’un chantier à l’aide de la réalité augmentée…).
On l’aura compris, l’opération annuelle qui nous revient à chaque automne dès que tombent les feuilles, représente une véritable aubaine pour les professionnels de ce segment majeur de la vie économique de notre pays. Un vivier à anticiper en matière de formation et de recrutement…
Déjà plus d’1,2 million de jeunes sensibilisés par l’opération…
Qu’on en juge, mais depuis 2003, date de la première édition, ce sont plus de 1,2 million de jeunes gens qui ont ainsi arpenté, munis de l’équipement professionnel usuel, environ 4 190 chantiers !
Et naturellement, le département de l’Yonne n’a pas dérogé à cet exercice réussi de communication, concocté sous l’égide de la représentation territoriale.
Cette année, c’est le chantier de la SCCV La Tournelle, près de la gare ferroviaire, qui représentera le terrain de jeu idéal de ces jeunes pousses en besoin de précieux renseignements.
Un chantier imposant qui s’étale sur deux corps de bâtiment où se préfigure l’aménagement d’une résidence pouvant accueillir 78 appartements de grand standing, de type studio au T4.
Ils furent plus de 600 scolaires in fine à profiter de la face cachée de la corporation lors de cette visite encadrée par les professionnels de la FFB de l’Yonne et leurs partenaires. Soit une représentativité en provenance de dix-sept collèges, de Missions locales (celles de Joigny et de Migennes), de lycées (Vauban et Fourier).
Parmi les métiers à découvrir : les grands classique de ce secteur d’activité qui comprend la métallerie, la charpente, la peinture, la maçonnerie, l’électricité, l’architecte, la sécurité, etc. On notait aussi une présence remarquée des Compagnons du Devoir qui exposaient quelques-uns des chefs d’œuvre conçus par les leurs.
Un plan de recrutement baptisé les 15 000 bâtisseurs…
Si 75 000 jeunes gens découvrent chaque année en France les diverses opportunités professionnelles proposées par la filière, il n’empêche que les recrutements peinent à se convertir positivement. Il existe une vraie problématique identitaire et d’incontestables a priori depuis des lustres autour de ce corporatisme.
Pourtant, les possibilités pédagogiques existent bel et bien, du CAP au diplôme d’ingénieur.
Quant aux offres, elles sont nombreuses comme on put le corroborer l’ensemble des personnalités du secteur présentes lors de l’accueil de la secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne, Françoise FUGIER.
D’ailleurs, la sous-préfète d’Auxerre évoqua la convention tripartite édictée en 2018 entre la préfecture de l’Yonne (Etat), le Département et l’Education nationale en faveur de la promotion de la filière artisanale.
Citant volontiers Platon et s’inspirant de maximes philosophiques emplies de sagesse mais aussi de bon sens, le président de la FFB Yonne, Xavier PAPIN, rappela le bien-fondé de la grande campagne de sensibilisation déclinée par la filière depuis 2018, « 15 000 bâtisseurs ». Un plan qui fut précurseur dans bien des domaines pour capter l’intérêt des jeunes générations vers des métiers où il y a de l’emploi…
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La sénatrice de l’Yonne dépose un amendement sur les pneus rechapés : Noëlle RAUSCENT ne se dégonfle pas…
octobre 08, 2019Défendue en séance publique lors d’une session au Sénat, la mesure proposée par l’élue icaunaise, et soutenue par le groupe La République en Marche, vise à contraindre le pouvoir adjudicateur (les collectivités et l’Etat dans leur commande publique) à favoriser l’achat de pneus rechapés. Faisant l’unanimité dans l’hémicycle du Palais du Luxembourg, cet amendement satisfait par un autre texte prévoit qu’au 01er janvier 2021 tous les biens acquis par l’Etat et les collectivités territoriales seront issus du réemploi ou inhérents à des matières recyclées dans des proportions de 20 à 100 %...
PARIS : La sénatrice Noëlle RAUSCENT est montée au créneau il y a peu dans l’hémicycle du Palais du Luxembourg. C’était à l’occasion d’une séance publique se rapportant au projet de loi sur l’économie circulaire. Elle s’est fait le porte-fort d’une initiative favorable à l’achat de matériel issu du réemploi et de matières recyclées par les services de l’Etat ainsi que par les collectivités territoriales.
Si ce projet de loi est finalement adopté et qu’un consensus émerge sur cette mesure entre les deux chambres législatives, un décret du Conseil d’Etat aura la tâche de fixer après coup la liste des produits concernés par l’obligation avec les taux correspondants à ces produits.
Toutefois, il est stipulé qu’en cas de contrainte technique majeure, liée à la nature de la commande publique, le pouvoir adjudicateur n’est pas soumis à cette obligation. Un alinéa important destiné à rassurer les collectivités locales qui ne veulent pas se retrouver pieds et poings liés par cette obligation.
Nonobstant, l’intervention de Noëlle RAUSCENT risque de chambouler le paysage économique propre au milieu de cet accessoire automobile que représentent les pneumatiques.
En effet, ce sont aujourd’hui environ 750 000 pneus rechapés qui sont commercialisés dans l’Hexagone. Et même si les volumes repartent à la hausse grâce à une batterie de mesures anti-dumping mises en place par la Commission européenne pour lutter contre la prolifération des pneus chinois, l’industrie du rechapage n’a absolument pas retrouvé son niveau de référence des années 2006/2007.
Or, la mesure issue de la proposition de l’élue de l’Yonne devrait booster ce marché. Via la commande publique. Surtout quand on sait que l’Etat et les collectivités gèrent en propre plus de 41 000 poids lourds. Ce qui représente au bas mot presque 100 000 pneumatiques à changer par an. Cette obligation sera donc profitable à toute une filière de l’équipement automobile en proie à de sérieuses difficultés face à la concurrence exacerbée de l’international.
Rappelons, de ce fait, que la commande publique représente 10 % du PIB en France ; ce qui en fait un levier économique majeur pour favoriser les modes de consommation vertueux. Notamment ceux issus de l’économie circulaire.
Une dernière usine de rechapage en France : MICHELIN à Avallon…
Au sortir de la crise observée par ce secteur d’activité, entre 2013 et 2017, près de quatre-vingts ateliers de rechapage étaient condamnés à clore définitivement leurs portes dont le plus important, celui de la Combaude à Clermont-Ferrand.
Seule l’usine d’Avallon où sont employés près de cinq cents personnes pour le compte du groupe MICHELIN assure encore une production de pneus rechapés en France.
Questionnée, la sénatrice Noëlle RAUSCENT rappelle que le bénéfice de cet amendement est triple. D’une part, il a pour objectif de protéger les emplois de la filière en France (notamment ceux de l’usine implantée dans l’Yonne). D’autre part, le pouvoir adjudicateur réalisera un gain économique important puisque un pneu rechapé coûte jusqu’à 40 % moins cher qu’un pneumatique neuf à qualité équivalente. Enfin, l’objet central de cette mesure se veut écologique.
« Un pneu rechapé d’un poids lourd permet d’économiser 70 % de matière et évite ainsi d’obtenir 50 kg de déchets par pneu, précise l’élue du Palais du Luxembourg, aussi, la durée de vie d’un pneu rechapé est bien plus grande (220 000 km) par rapport à un pneu importé d’entrée de gamme fonctionnel que sur une distance de 120 000 kilomètres… ».
Une initiative qui va dans la droite ligne des réductions de coûts réalisées dans le cadre de la transition économique…imputable à la sauvegarde de la planète.
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Le CIFA et le lycée VAUBAN déclinent ensemble un nouveau BTS : la filière de l’hôtellerie-restauration leur dit merci !
octobre 08, 2019« Que des avantages », résume le document papier, faisant office de dossier de presse ! En proposant de manière conjointe ce cursus atypique du management en hôtellerie-restauration, un BTS supplémentaire qui prend désormais racine dans l’Yonne, les deux signataires iconiques de l’apprentissage de notre territoire entérinent de la plus belle manière que ce soit un projet pédagogique commun qui fut pourtant long à construire…
AUXERRE : La convention fait foi depuis le 01er septembre. Un mois après avoir été porté sur les fonts baptismaux de la création, force est de constater que le BTS management en hôtellerie-restauration rencontre déjà le succès. Une résultante logique et espérée, par ses instigateurs : le lycée des métiers Vauban qui a ouvert de fait une unité de formation par apprentissage (UFA) et son alter ego, le CIFA de l’Yonne.
Entre les deux établissements, on a fait fi de la concurrence ! Bien au contraire, l’initiative judicieuse aura été préparée minutieusement durant une longue période de montage d’un dossier, qui fut entrecoupé de doutes et d’atermoiements. En ce sens, l’abnégation et le volontarisme de leurs responsables, Capucine VIGEL, proviseur du lycée Vauban, et Marcel FONTBONNE, directeur du centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage, se révéleront payants. C’est finalement le secteur de l’hôtellerie-restauration qui peut leur dire merci !
Unir ses forces et convictions pour faire aboutir le projet…
Lors du rapide discours introductif qu’il aura à prononcer, Marcel FONTBONNE lâchera une petite formule sans fioritures qui n’aura pas manqué d’interpeller les nombreux observateurs présents à cette cérémonie inaugurale. « C’est un BTS qui revient de loin… ».
C’est dire que l’élaboration de ce cursus qui unit aujourd’hui deux acteurs phare de la formation n’aura pas été un si long fleuve tranquille dans sa mise en orbite. Or, le territoire nord-bourguignon avait besoin de ce sésame intellectuel si providentiel.
D’une part, de nombreux étudiants choisiront de se poser à Auxerre en suivant de façon concomitante ce cursus dans les deux endroits. D’autre part, cette piste menant à l’emploi fait aussi le bonheur de l’UMIH, l’Union des métiers de l’industrie hôtelière, qui peine à recruter dans les fonctions qualifiées de ce corporatisme.
C’est une voie d’accès appréciable pour rejoindre la filière, selon le président départemental Eric MOUTARD, qui était accompagné de la secrétaire générale, Corinne ROGUIER, au moment du paraphe du précieux document.
Confiance et professionnalisme…
Le président du CIFA de l’Yonne, Michel TONNELLIER rappela la confiance que les responsables du site avaient su accorder au corps enseignant pour arriver à la mise en exergue de ce nouveau diplôme.
« La qualité de nos équipes crée la force de nos deux institutions, devait-il souligner en amont de la signature officielle.
Une entrée en matière idoine avant que le directeur Marcel FONTBONNE ne dévoile les perspectives évolutives de ce site d’une rare modernité tant par ses pratiques éducatives et son enseignement (le e-learning ou le Virtual Store) que par ses infrastructures. Précisons qu’une enveloppe de près de 2,5 millions d’euros a été consentie par les partenaires institutionnels à l’établissement dans le cadre d’une série de travaux de réhabilitation : la salle du restaurant d’application « Le Com’des Chefs », l’aménagement d’une salle de dégustation où seront appréciés les nectars de la région et surtout la création d’un univers brasserie. Un cadre propice à plonger les élèves dans la réalité non virtuelle !
Le succès, nous l’avons déjà signalé, est au rendez-vous. Alors que le cursus était censé accueillir initialement une douzaine de jeunes candidats, ce sont dorénavant dix-sept étudiants qui ont opté pour le suivi de ce BTS en apprentissage.
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