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Défendue en séance publique lors d’une session au Sénat, la mesure proposée par l’élue icaunaise, et soutenue par le groupe La République en Marche, vise à contraindre le pouvoir adjudicateur (les collectivités et l’Etat dans leur commande publique) à favoriser l’achat de pneus rechapés. Faisant l’unanimité dans l’hémicycle du Palais du Luxembourg, cet amendement satisfait par un autre texte prévoit qu’au 01er janvier 2021 tous les biens acquis par l’Etat et les collectivités territoriales seront issus du réemploi ou inhérents à des matières recyclées dans des proportions de 20 à 100 %...

PARIS : La sénatrice Noëlle RAUSCENT est montée au créneau il y a peu dans l’hémicycle du Palais du Luxembourg. C’était à l’occasion d’une séance publique se rapportant au projet de loi sur l’économie circulaire. Elle s’est fait le porte-fort d’une initiative favorable à l’achat de matériel issu du réemploi et de matières recyclées par les services de l’Etat ainsi que par les collectivités territoriales.

Si ce projet de loi est finalement adopté et qu’un consensus émerge sur cette mesure entre les deux chambres législatives, un décret du Conseil d’Etat aura la tâche de fixer après coup la liste des produits concernés par l’obligation avec les taux correspondants à ces produits.

Toutefois, il est stipulé qu’en cas de contrainte technique majeure, liée à la nature de la commande publique, le pouvoir adjudicateur n’est pas soumis à cette obligation. Un alinéa important destiné à rassurer les collectivités locales qui ne veulent pas se retrouver pieds et poings liés par cette obligation.

Nonobstant, l’intervention de Noëlle RAUSCENT risque de chambouler le paysage économique propre au milieu de cet accessoire automobile que représentent les pneumatiques.

En effet, ce sont aujourd’hui environ 750 000 pneus rechapés qui sont commercialisés dans l’Hexagone. Et même si les volumes repartent à la hausse grâce à une batterie de mesures anti-dumping mises en place par la Commission européenne pour lutter contre la prolifération des pneus chinois, l’industrie du rechapage n’a absolument pas retrouvé son niveau de référence des années 2006/2007.

Or, la mesure issue de la proposition de l’élue de l’Yonne devrait booster ce marché. Via la commande publique. Surtout quand on sait que l’Etat et les collectivités gèrent en propre plus de 41 000 poids lourds. Ce qui représente au bas mot presque 100 000 pneumatiques à changer par an. Cette obligation sera donc profitable à toute une filière de l’équipement automobile en proie à de sérieuses difficultés face à la concurrence exacerbée de l’international.

Rappelons, de ce fait, que la commande publique représente 10 % du PIB en France ; ce qui en fait un levier économique majeur pour favoriser les modes de consommation vertueux. Notamment ceux issus de l’économie circulaire.

 

 

Une dernière usine de rechapage en France : MICHELIN à Avallon…

 

Au sortir de la crise observée par ce secteur d’activité, entre 2013 et 2017, près de quatre-vingts ateliers de rechapage étaient condamnés à clore définitivement leurs portes dont le plus important, celui de la Combaude à Clermont-Ferrand.

Seule l’usine d’Avallon où sont employés près de cinq cents personnes pour le compte du groupe MICHELIN assure encore une production de pneus rechapés en France.

Questionnée, la sénatrice Noëlle RAUSCENT rappelle que le bénéfice de cet amendement est triple. D’une part, il a pour objectif de protéger les emplois de la filière en France (notamment ceux de l’usine implantée dans l’Yonne). D’autre part, le pouvoir adjudicateur réalisera un gain économique important puisque un pneu rechapé coûte jusqu’à 40 % moins cher qu’un pneumatique neuf à qualité équivalente. Enfin, l’objet central de cette mesure se veut écologique.

« Un pneu rechapé d’un poids lourd permet d’économiser 70 % de matière et évite ainsi d’obtenir 50 kg de déchets par pneu, précise l’élue du Palais du Luxembourg, aussi, la durée de vie d’un pneu rechapé est bien plus grande (220 000 km) par rapport à un pneu importé d’entrée de gamme fonctionnel que sur une distance de 120 000 kilomètres… ».

Une initiative qui va dans la droite ligne des réductions de coûts réalisées dans le cadre de la transition économique…imputable à la sauvegarde de la planète.

 

 

 


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« Que des avantages », résume le document papier, faisant office de dossier de presse ! En proposant de manière conjointe ce cursus atypique du management en hôtellerie-restauration, un BTS supplémentaire qui prend désormais racine dans l’Yonne, les deux signataires iconiques de l’apprentissage de notre territoire entérinent de la plus belle manière que ce soit un projet pédagogique commun qui fut pourtant long à construire…

AUXERRE : La convention fait foi depuis le 01er septembre. Un mois après avoir été porté sur les fonts baptismaux de la création, force est de constater que le BTS management en hôtellerie-restauration rencontre déjà le succès. Une résultante logique et espérée, par ses instigateurs : le lycée des métiers Vauban qui a ouvert de fait une unité de formation par apprentissage (UFA) et son alter ego, le CIFA de l’Yonne.

Entre les deux établissements, on a fait fi de la concurrence ! Bien au contraire, l’initiative judicieuse aura été préparée minutieusement durant une longue période de montage d’un dossier, qui fut entrecoupé de doutes et d’atermoiements. En ce sens, l’abnégation et le volontarisme de leurs responsables, Capucine VIGEL, proviseur du lycée Vauban, et Marcel FONTBONNE, directeur du centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage, se révéleront payants. C’est finalement le secteur de l’hôtellerie-restauration qui peut leur dire merci !

 

 

Unir ses forces et convictions pour faire aboutir le projet…

 

Lors du rapide discours introductif qu’il aura à prononcer, Marcel FONTBONNE lâchera une petite formule sans fioritures qui n’aura pas manqué d’interpeller les nombreux observateurs présents à cette cérémonie inaugurale. « C’est un BTS qui revient de loin… ».

C’est dire que l’élaboration de ce cursus qui unit aujourd’hui deux acteurs phare de la formation n’aura pas été un si long fleuve tranquille dans sa mise en orbite. Or, le territoire nord-bourguignon avait besoin de ce sésame intellectuel si providentiel.

 

 

D’une part, de nombreux étudiants choisiront de se poser à Auxerre en suivant de façon concomitante ce cursus dans les deux endroits. D’autre part, cette piste menant à l’emploi fait aussi le bonheur de l’UMIH, l’Union des métiers de l’industrie hôtelière, qui peine à recruter dans les fonctions qualifiées de ce corporatisme.

C’est une voie d’accès appréciable pour rejoindre la filière, selon le président départemental Eric MOUTARD, qui était accompagné de la secrétaire générale, Corinne ROGUIER, au moment du paraphe du précieux document.

 

 

Confiance et professionnalisme…

 

Le président du CIFA de l’Yonne, Michel TONNELLIER rappela la confiance que les responsables du site avaient su accorder au corps enseignant pour arriver à la mise en exergue de ce nouveau diplôme.

« La qualité de nos équipes crée la force de nos deux institutions, devait-il souligner en amont de la signature officielle.

Une entrée en matière idoine avant que le directeur Marcel FONTBONNE ne dévoile les perspectives évolutives de ce site d’une rare modernité tant par ses pratiques éducatives et son enseignement (le e-learning ou le Virtual Store) que par ses infrastructures. Précisons qu’une enveloppe de près de 2,5 millions d’euros a été consentie par les partenaires institutionnels à l’établissement dans le cadre d’une série de travaux de réhabilitation : la salle du restaurant d’application « Le Com’des Chefs », l’aménagement d’une salle de dégustation où seront appréciés les nectars de la région et surtout la création d’un univers brasserie. Un cadre propice à plonger les élèves dans la réalité non virtuelle !

Le succès, nous l’avons déjà signalé, est au rendez-vous. Alors que le cursus était censé accueillir initialement une douzaine de jeunes candidats, ce sont dorénavant dix-sept étudiants qui ont opté pour le suivi de ce BTS en apprentissage.   

 

 


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Accueilli de manière alternative entre Migennes et Joigny, le concept apparu en 2018 s’inscrit aujourd’hui dans le marbre. A raison de deux manifestations semestrielles. Promu par la Mission Locale, et avec la bénédiction de partenaires institutionnels, il a pour objectif de répondre aux besoins de toutes personnes en quête du sésame suprême : c’est-à-dire un emploi. Décrocheurs, bénéficiaires des allocations chômage, réinsertion… : ce « guichet unique » de l’employabilité sur ce double territoire mobilise également des entreprises dont les besaces regorgent de nombreuses offres à pourvoir de suite…

MIGENNES : Sa raison d’être est la bien-nommée. Opportunité à l’emploi. Un forum où se greffe l’ensemble des acteurs institutionnels ayant un lien étroit avec l’accès à ce précieux auxiliaire qui imprime tout son sens à la vie. Ecole de la Seconde chance, Cap Emploi, Pôle Emploi, Conseil départemental, Communauté de communes…les structures d’accompagnement à cette intégration vers une existence vide de toute oisiveté ne lésinent pas sur les moyens pour soutenir l’excellente initiative portée par la Mission locale du Migennois et du Jovinien.

Deuxième du nom proposé à Migennes (salle Jean Ferrat ce mercredi 09 octobre en journée), ce rendez-vous fait figure de véritable guichet unique. Parce que fédérateur de bonnes volontés afin de sortir des centaines de personnes de l’ornière et des vicissitudes outrancières des doutes. Surtout quand on est sans emploi…

D’ailleurs, que l’on ne s’y trompe pas. L’édition initiale avait réuni près de 800 visiteurs (786 avec exactitude) dans cet antre de la débrouillardise et du renseignement constructif. Combien seront-ils cette fois-ci à arpenter les travées de cette salle où sera présent pêle-mêle tout ce qui compte dans l’univers de l’emploi sur ce secteur géographique ?

« Peut-être le millier, ose tenter le directeur de la Mission locale, Philippe REHEL, l’essentiel n’est pas comptable. Il réside dans la qualité des offres et des solutions que nous pouvons apporter à ce public hétéroclite en recherche d’un job… ».

 

 

L’implication d’une vingtaine de sociétés…

 

Profiter de la démarche pour rechercher de futurs collaborateurs en capacité d’être formés et d’être ensuite intégrés au sein de l’entreprise demeure la priorité de celles qui occuperont un stand de présentation ce jour-là. Avec ce petit particularisme novateur, en matière d’identification cette année, un panneau explicatif sur la typologie de la structure, son segment et ses attentes en matière de compétences. Histoire d’être repérable de suite !

Quant aux offres d’emploi, elles abondent. A la grande satisfaction du président de la CC et édile de Migennes, François BOUCHER : « les équipes de la Mission locale ont collecté en temps réel des offres qui sont à pourvoir de manière immédiate… ».

Une centaine d’entre elles attendent désormais d’être pourvues de candidats enthousiastes. Une nouvelle au positivisme débridé dans un contexte local où le taux de chômage avoisine les 8 % de manière générale avec des pointes atteignant 14 % auprès des plus jeunes.

La pertinence de ce salon qui fait aussi la part belle aux nouvelles technologies avec la réalité augmentée (une première dans l’Yonne pour évoquer via le numérique 56 filières différentes) n’est plus à démontrer. L’an passé, plus de soixante postes avaient été pourvus au terme de la manifestation. En sera-t-il de même au soir de ce 09 octobre ?

 


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Ils sont toujours sur leur petit nuage de lendemain de réussite électorale, les représentants du mouvement écologiste ! Observant que bon nombre de leurs concitoyens, toutes obédiences confondues, s’intéressent de plus en plus à leurs propositions favorables à la sauvegarde de l’environnement et à l’amélioration de la qualité de vie, leurs leaders charismatiques se lancent dans la course des municipales avec la ferme intention de les gagner ! Que l’on ne s’y trompe pas : le ticket Maud NAVARRE/Denis ROYCOURT, soutenu par le porte-parole national d’EELV Julien BAYOU, se projette d’ores et déjà sur le second tour…

AUXERRE : Face à l’urgence, il faut agir ! Fort de ce postulat, le programme Auxerre Ecologie 2020 n’a donc pas tardé à se déclarer dans l’âpre course des municipales. Avec la volonté farouche d’y jouer les premiers rôles.

Les chefs de file de ce collectif qui se construit très loin des accords d’appareil habituels et des luttes partisanes belliqueuses, ont reçu le soutien officiel du porte-parole national d’Europe Ecologie Les Verts, Julien BAYOU. En visite dans la préfecture de l’Yonne, ce dernier est venu apporter sa bénédiction au duo paritaire qui pilote les opérations ; c’est-à-dire Maud NAVARRE et son corollaire à la Ville d’Auxerre car, ils en sont tous deux des élus, Denis ROYCOURT.

Le tandem souhaite tracer sa voie auprès des Auxerrois ouverts à leurs propositions. Et celles-ci sont nombreuses, on s’en doute, sur dans le domaine de la protection environnementale.

« Nous, ce que nous portons, explique Maud NAVARRE, c’est un vrai projet durable qui soit positif pour Auxerre ! ».

Un concept stratégique qui serait par ailleurs placé sous le prisme de la co-construction. Soit de manière directe et participative avec les habitants eux-mêmes de l’agglomération.

Décochant au passage une flèche dont l’exécutif en place est le cœur de cible (« nous constatons une réelle usure dans la manière de pratiquer la politique dans la ville »), le ticket écologiste s’ancre davantage dans l’exercice de la concertation. Un premier happening a eu lieu au pied de la statue de Cadet-Rouselle, permettant de dévoiler les lignes directrices du programme de campagne.

« On sent que les Auxerrois veulent vraiment faire un bout de chemin à nos côtés, précise Denis ROYCOURT. Notre discours touche toutes les strates de la population : que ce soit les personnes qui vivent dans les quartiers périphériques de la ville comme les jeunes. C’est pourquoi nous avons décidé de construire avec méthode une liste citoyenne, ouverte à celles et ceux qui se reconnaissent dans nos valeurs… ».

 

 

Le principe vertueux de la démocratie continue…

 

Dans ce grand brassage d’idées, y aurait-il beaucoup à attendre de ce programme qui se bâtit au quotidien ?

Indéniablement, oui ! Il s’agit de redorer le blason du mot politique à l’état brut : « politis » tel que le définissaient jadis les élites de la Grèce antique. En étant élu par le peuple pour servir le peuple…

L’écologie n’est plus à la marge de la société. Il est donc enfin révolu le temps où le pionner René DUMONT faisait campagne aux présidentielles en 1974, affublé de son pull-over rouge et de ses idéologies un brin utopiques qui ne firent guère recette auprès de l’opinion publique.

Aujourd’hui, la société est confrontée à d’autres problématiques autour de la mobilité, des déplacements en ville, de la rénovation thermique, du manger bio et de l’équilibre entre justice sociale et transition écologique.

Signe des temps, les arguties économiques intègrent aussi le sabir de nos représentants écologistes locaux.

« Opter pour l’adoption de solutions environnementales, c’est aussi créer de l’emploi et des entreprises, souligne Denis ROYCOURT qui en sait quelque chose sur le sujet, lui qui est l’une des chevilles ouvrières du futur Pôle Environnemental devant être opérationnel à Auxerre d’ici la fin de l’année. De nombreux secteurs inhérents au développement durable (transport, énergie, bâtiment, isolation…) vont être pourvoyeurs de nouvelles fonctions professionnelles dans les années à venir… ».

 

 

« On ne raisonne pas sur un poste à pourvoir mais sur un raisonnement territorial… »

 

Exit la niche écologique d’autrefois avec ses relents de ringardise et son côté gentiment décalé. Désormais, le sillon se trace de manière indélébile dans chaque pore de la peau de nos concitoyens, avides d’altruisme protectionniste en faveur de la nature.

Les écologistes progressent de l’avant alors que d’autres tergiversent encore sur le nombre de représentants qu’ils pourraient espérer sur telle ou telle liste plus politicienne afin de respecter les équilibres des partis.

« On ne raisonne pas sur un poste à pourvoir en fonction de nos appétences, lâche tout de go Maud NAVARRE, mais bel et bien sur un raisonnement territorial au service d’un tout : améliorer la qualité de vivre à Auxerre et de son agglomération… ».

Désireux de donner une nouvelle dynamique aux conseils de quartier en leur conférant davantage de moyens consultatifs, s’appuyant sur des référendums citoyens, les leaders d’Auxerre Ecologie 2020 ont envie de fournir des leviers d’expression à la population.

Afin de n’oublier personne dans ce vaste projet constructif qui se préfigure à longue échéance si, demain, la liste entrevoit le Graal victorieux du succès…

 

 


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Tous les Français ont appris à l’école que la nuit du 04 août 1789, les grands privilégiés de l’état, dans un magnifique élan d’enthousiasme et de cohésion nationale, ont renoncé à leurs privilèges. Cela ne s’était jamais produit auparavant. Cela ne s’est, par ailleurs, plus jamais reproduit depuis…

TRIBUNE: Qu’est-ce que les régimes spéciaux ? Ce sont des régimes qui consistent, en matière de retraite, à donner moins que l’immense majorité des Français pour recevoir beaucoup plus. Autrement dit, nous ne sommes plus en République. Nous avons fait un saut en arrière de plus de deux siècles. D’un côté se trouve la noblesse. C’est-à-dire les bénéficiaires de ces fameux régimes et, de l’autre, le Tiers-Etat, soit les adhérents de la CNAV, les employés, les artisans et professions libérales, etc.

Résumons le système : il est à l’apanage des employés des grandes sociétés appelées « les services publics » tels que de grandes structures comme SNCF, RATP, auxquelles on peut ajouter la Banque de France et autres forteresses. Il consiste, d’un côté, à payer un montant de cotisation moindre que la majorité des bénéficiaires des régimes normaux. Et d’un autre, à cotisation égale, à recevoir un montant de pension plus élevé ainsi que de bénéficier d’un âge de départ en retraite plus avancé. Mais alors beaucoup plus avancé, que celui du « pecus vulgare », le commun des mortels.

 

Une première tentative de réforme déjà avortée en 1995…

 

Alors, dira Candide, « pourquoi ne respecte-t-on pas les principes de la République et, en l’occurrence, ceux inhérents à l’égalité, voire ceux de la fraternité ? ». Oui, mais qui a l’autorité pour les faire respecter ? Le pouvoir n’est plus là où on le croit… Le pouvoir est là où l’on peut faire des grèves et des manifestations monstres à satiété comme on le vit à l’automne 1995.
Cette année-là, un gouvernement fraîchement élu décidait de réformer les retraites en commençant par supprimer les régimes spéciaux. Le chef de gouvernement l’annonce à l’Assemblée nationale. A la fin de son discours tonitruant, il reçoit une « standing ovation ».

Quelques jours plus tard, se déclenche une grève totale sur toute la France. Pendant près de deux mois, voici les beaux jours de Mai 68 qui refleurissent ! Trains, RER, métro, La Poste paralysent le pays… Le gouvernement cède et recule. Il n’y aura pas de réforme des retraites des régimes spéciaux ! La messe est dite !

Comme dans la Bible, partons du commencement. A l’origine, des compensations, et non des privilèges, ont été  accordées aux ouvriers exerçant des tâches particulièrement dures. Ceux qui conduisaient des trains à la lointaine époque des locomotives à vapeur fonctionnant avec du charbon. Puis, progressivement, ces avantages furent étendus à tout le personnel de ces entreprises.  Les   employés de bureau dont la pénibilité ne semble pas une caractéristique bénéficièrent des mêmes avantages que  les conducteurs de locomotive.

 

 

Pourquoi ces régimes spéciaux ne s’appliquent-ils pas aux secteurs du bâtiment et à l’industrie ?

 

Le monde évolua, les métiers aussi et les avantages se multiplièrent à l’infini. Comme de petits pains si agréables à manger…
Il convient de mettre en évidence un phénomène propre à la société française : si certains emplois, au sein de grandes sociétés nationales, ont été reconnus comme empreints de pénibilité, ils n’en avaient pas l’exclusive. De très nombreux métiers sont durs, notamment dans le bâtiment et les travaux publics. Les ouvriers exercent leur emploi, dehors quand il gèle à pierre fendre et quand il fait une chaleur d’enfer. N’oublions pas le labeur parfois exténuant en usine, dans l’hôtellerie-restauration, où l’on travaille jusqu’à point d’heure selon des horaires toujours décalés. Jours fériés compris. Mais, eux, ils n’ont droit à rien et doivent se taire.

Pourquoi ? Toujours pour la même raison que notre « bon fabuliste » » a exprimé : « Que vous soyez puissant ou misérable … » Autrement dit : « Que vous soyez salarié dans un service public ou dans une PME ou une TPE, vous serez un noble nanti de privilèges ou vous serez un manant… ».
Si vous pouvez bloquer le pays par des grèves et des manifestations dures vous conserverez vos privilèges. Et à l’instar de notre grand réformateur, le président de la République, le gouvernement ne souhaite pas de vagues. Il est à parier qu’in fine, il n’y aura pas de réforme des régimes spéciaux. Et ce, toujours en vertu des grands principes !

Emmanuel RACINE

 


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