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Un cycle de conférences débute : l’élevage, cœur de cible stratégique de la Chambre d’Agriculture et d’ALYSE
février 01, 2022L’évènement s’étale sur quatre journées. Dont deux en Puisaye, le reliquat se faisant sur le Tonnerrois. Une zone géographique qu’affectionnent les responsables de la chambre départementale agricole. Ils y ont expérimenté ces derniers mois le projet « 360 degrés » avec la communauté de communes. Mais là, du 07 au 10 février, changement de registre. Les bâtiments d’élevage seront au centre des prérogatives…
AUXERRE : Cinq visites d’exploitation constitueront le socle de ce copieux programme instructif. Elles seront assorties de causeries et témoignages variés autour de problématiques permettant de mieux appréhender la réalité de l’installation des jeunes agriculteurs dans l’élevage. C’est le menu non alimentaire mais pourtant très digeste que propose la semaine prochaine la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne.
Un cycle de conférences, conçu avec le précieux concours du réseau Innov’ Action et de la coopérative ALYSE, servira de solide armature à ce projet ; le premier de l’année permettant de renouer les liens de l’écoute et de la discussion.
L’objectif du projet est simple : faire toute la lumière sur l’installation des jeunes éleveurs ayant opté pour la filière. L’une des plus complexes qui soit proposée parmi le panel de métiers issus du milieu agricole.
Le partage de bons trucs et astuces pour les éleveurs…
Ces portes ouvertes dans les bâtiments d’élevage traduiront dans les faits la nouvelle dynamique impulsée par la chambre consulaire et l’un de ses partenaires essentiels, la coopérative ALYSE. Vouloir optimiser la communication en 2022.
Trois lieux ont été choisis pour cela : Provency, Moutiers-en-Puisaye et Noyers-sur-Serein. Accueillies dans cinq établissements tenus par de jeunes agriculteurs, ces conférences possèdent pour fil rouge un dénominateur commun : le partage d’expérience et de savoir-faire dont pourrait profiter l’auditoire.
Initié en Côte d’Or, ce cycle a rencontré un joli succès, plus que d’estime avec la présence de près d’un millier de visiteurs ! Certes, l’Yonne n’est pas comparable à son voisin méridional.
« En fait, résume Arnaud DELESTRE, président de l’organe institutionnel, ce rendez-vous est propice au partage des bons trucs et astuces nécessaires à une installation réussie dans la filière… ».
D’autant que les renseignements sont très attendus des jeunes professionnels ayant osé franchir le pas.
Préparer la relève alors que les cartes vont être brassées d’ici dix ans…
Parmi les items de cette édition 2022, la dynamique de l’élevage de caprins et d’ovins constituera l’une des priorités de ce cycle. Une tendance exponentielle observée depuis plusieurs mois. On y parlera aussi de l’engraissement des génisses, de l’emploi d’appareillage facilitant la traite et le confort de l’éleveur, de la directive nitrates et de ses impacts sur les exploitations, voire de la transformation en élargissant la gamme de produits laitiers afin de se différencier.
Petit coup de projecteur spécifique : une animation organisée autour de la valeur ajoutée pour un néophyte de la filière qui en viendrait à créer sa propre fromagerie !
Quand on sait que 50 % des agriculteurs actuels pourront prétendre à la retraite dans la décennie à venir et que 70 % du cheptel de bovins sont détenus par des personnes âgées de plus de 55 ans, on se dit effectivement que l’anticipation permettant de bien préparer la relève devient urgente !
Thierry BRET
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Le « Job Dating » : le futur du recrutement des jeunes par le Crédit Agricole et WIZBII
janvier 29, 2022Le 09 février prochain, le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne et WIZBII réunissent les entreprises locales lors d’un job dating en faveur de l’emploi des jeunes à Dijon. Le but est de connecter les jeunes aux entreprises qui recrutent.
DIJON (Côte d’Or) : En participant à des jobs dating, des rencontres qui ont prouvé leur résultat, 89 % des entreprises de la région ont voulu entamer des recrutements. C’est pourquoi le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne et WIZBII ont décidé de réitérer l’expérience début février. Le nombre de personnes présentes, à l’issue des inscriptions, s’élèvera à 80 individus.
WIZBII aide les jeunes gens âgés de 16-30 ans à trouver un emploi plus rapidement et plus facilement. L’intérêt du Crédit Agricole est logique. Car, l’établissement recrute ses futurs collaborateurs en pratiquant de nombreux job dating. Rappelons que les caisses régionales de la Banque Verte sont le premier recruteur bancaire en France.
Cependant, leur but est de faire tomber les barrières. Les jeunes candidats sont à l’aise avec ces opérations rapides : c’est la preuve de l’engagement du Crédit Agricole pour l’avenir professionnel des jeunes à travers l’initiative « Youzful » ou « Job Dating ».
Pour plus de renseignement, il y a un espace en ligne avec des offres d’emploi dédiées aux jeunes : https://wiz.bi/34Lmn7x
Ceci peut aider si vous cherchez une alternance. Le minimum demandé est le Bac +2.
Hugo DELVERT
Collégien de classe de troisième du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle à Auxerre en immersion découverte aux métiers du journalisme au sein de Presse Evasion dans le cadre de son programme éducatif.
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Consommation : le gouvernement peut-il tabler sur une relance liée à la décollecte des livrets ?
janvier 29, 2022Finalement, les Français vont-t-ils réellement céder à la tentation de casser leur tirelire et entamer ainsi le « trésor de la COVID » ? Vont-ils poursuivre l’effort d’épargne de précaution ? Le début d’année commence mal avec les soldes d’hiver qui affichent déjà une chute de 40 %. Cela en dit long sur l’état d’esprit de nos concitoyens ! L’épargne est cependant stabilisée. Le début 2022 est marqué par une très légère décollecte…
TRIBUNE : L’Elysée et le gouvernement espèrent la fin prochaine de l’épidémie. Les annonces spectaculaires fleurissent aux quatre coins du pouvoir ! On va voir ce qu’on va voir ! Le terme de la crise sanitaire est prévu vers le mois de juin. Ce sera le retour aux libertés de circuler, la disparition des confinements et autres contraintes…
Bref, le message est subliminal à lire : « vous pouvez profiter dès maintenant de vos réservations des vacances d’été, vous pouvez investir dans une nouvelle voiture (à condition de patienter plus de douze mois pour les véhicules neufs haut de gamme en rupture !), dans les équipements ménagers… ». Tous les experts louchent sur les quelques centaines de milliards d’euros, propres à relancer l’économie et à augmenter le PIB.
N’oublions pas que « l’épargne COVID » est liée à une dimension psychologique évidente : la crainte de l’avenir. Pour que les Français se décident à vider leur bas de laine, il faut réunir plusieurs conditions : la fin certaine de la pandémie avec les vaccins qui portent l’espoir d’un retour à une vie normale (mais les variants font craindre de nouveaux reconfinements) ; la stabilité sociale avec la fin des grèves qui vont marquer les mois à venir jusqu’aux élections présidentielles ; la stabilité économique où trop d’incertitudes se profilent engendrant une situation d’endettement catastrophique.
Il est vrai que l’inflation galopante sur les produits de première nécessité (pain, pâtes, énergie, carburants…) grève de plus en plus le pouvoir d’achat des ménages. Nos dépendances industrielles et pharmaceutiques vis-à-vis de la Chine vont encore perdurer. Et ce pour longtemps !
La confiance : un argument à changer comme programme électoral…
Enfin, il y a la stabilité politique : elle ne pourra s’envisager qu’après les élections présidentielles et législatives, après la nomination du premier gouvernement et les premières mesures qui seront décidées. Reste l’international. De gros nuages noirs s’accumulent aux frontières orientales de l’Europe…
Pour consommer, il faut donc de la confiance. Le résultat est clair : il n’y a plus de confiance en les politiques de tout genre, dans les scientifiques du secteur de la santé et encore moins sur l’avenir. De toute façon, la confiance, facteur clef de succès d’une reprise par la consommation ne pourra se faire que progressivement. Pas avant le troisième trimestre 2022.
Il va falloir que notre président trouve un autre domaine électoral s’il veut assurer sa réélection ! Il peut toujours reporter les élections sine die s’il juge que la pandémie est trop forte, et que pour des raisons sanitaires, il ne faut pas risquer la santé des français… Pourquoi pas ?
Anecdote autour d’une vision imaginaire devenue réalité !
Un bon client, alors que j’étais encore son conseil patrimonial, me posa un jour cette question. « Et si vous aviez mon patrimoine (l’équivalent de deux millions d’euros à l’époque), vous me conseilleriez quoi ? ».
Comme il était amateur de « kir », je consentis à lui livrer ces quelques clefs, délivrés en 1984) : « Situons d’abord un contexte imaginaire : une crise économique forte associée à un environnement perturbé par de mauvaises conditions climatiques (sécheresse, tempêtes, ruptures d’électricité…), alors vendez votre portefeuille d’actions et alimenter vos livrets à hauteur de 10 à 15 % du patrimoine. On a tous en tête la carte « chance » du Monopoly : faites des travaux dans vos maisons ! ET n’oubliez pas l’acquisition d’une propriété avec la résidence, des dépendances, un étang pour le poisson, un verger, un potager, et éventuellement une basse-cour. De l’autosubsistance pour faire face à toutes les situations de crise… : on ne sait jamais ! ».
Aujourd’hui, j’ajouterais volontiers des panneaux solaires ! Bien sûr, nous sommes sûrement dans une stratégie imaginaire… elle n’est donc pas inimaginable ! « Ma philosophie ne m’a rien rapporté mais elle m’a beaucoup épargné » dixit Arthur SCHOPENHAUER…
Jean-Paul ALLOU
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Plus de son et plus d’images : l’élue Farah ZIANI se met en retrait des réseaux sociaux
janvier 26, 2022Depuis mardi soir, celles et ceux des internautes qui suivent les actualités quotidiennes de la conseillère municipale d’opposition auxerroise sur sa page Facebook ont pu constater l’impossibilité de s’y connecter. Point de problèmes techniques, en vérité. Mais juste la volonté de la jeune femme de suspendre momentanément son fil de communication jusqu’à l’issue de son jugement…
AUXERRE : « Je veux préserver ma famille jusqu’à ce que justice soit faite ! ». Alors que les élus de l’opposition du Conseil municipal d’Auxerre lui avaient demandé il y a quelques jours de prendre ses distances avec ses activités d’élue jusqu’au rendu de la décision de justice (comme ils l’avaient fait précédemment avec Crescent MARAULT en mars 2021), Farah ZIANI vient de couper net le fil d’Ariane la reliant avec les réseaux sociaux sur lesquels elle apparaît régulièrement.
La jeune femme s’en est expliquée tardivement mardi soir en contactant la rédaction de notre média.
« Il n’aura échappé à personne que Facebook est devenu un support de communication où certains s’expriment sans retenue, au point de pouvoir nuire à la réalité des faits, au point de toucher avec gravité ma famille. Je continue à proclamer mon innocence des faits qui me sont reprochés. Je continue à demander de bénéficier de la présomption d’innocence… ».
Le silence radio sur les réseaux sociaux pour préserver sa famille…
Poursuivie pour des faits d’abus de confiance dans le cadre d’une transaction immobilière survenue en octobre 2020, qu’elle conteste (la conseillère municipale d’opposition d’Auxerre exerce la profession d’agente immobilière), Farah ZIANI devrait se présenter devant la justice le 10 mars prochain au tribunal d’Auxerre.
D’ici là, l’élue prépare sa défense avec son avocat. En gardant le silence, comme elle l’a confirmé lors de cet échange.
« Par voie de conséquence, je préfère désormais garder le silence sur les réseaux sociaux pour me consacrer à ma défense et pour protéger mes enfants et ma famille, explique-t-elle, je me déconnecte donc de Facebook jusqu’à l’issue du jugement… ».
Farah ZIANI n’en oublie pas de remercier celles et ceux de ses ami(e)s qui la soutiennent. Une parenthèse qu’elle veut placer sous le prisme de la sagesse et de la sérénité.
Thierry BRET
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250 échantillons de vins dégustés lors de la pré-sélection : l’Yonne prend date avec le Concours général agricole
janvier 20, 2022L’excellence est à l’honneur dans l’Yonne. Et prendre part au fameux Concours général agricole ne peut que la conforter. Surtout à partir de produits élaborés avec l’art et la maîtrise de la vinification. C’est le principe de la pré-sélection de crus de nos terroirs par un jury composé d’esthètes en la matière. Deux cent cinquante échantillons ont été passés au crible lors d’une séance gustative matinale. Sous l’œil avisé de Jean-Baptiste THIBAUT, viticulteur lui-même et vice-président de la Chambre départementale d’Agriculture.
BEINE : La finale se déroulera le 27 février prochain à Paris. Dans le cadre exceptionnel du Salon international de l’Agriculture, porte de Versailles. L’un des temps forts de cet évènementiel qui nous revient deux ans après sa dernière édition. Entre-temps, la COVID est passée par là !
Alors pour cette épreuve pré-sélective des vins du Chablisien et du Grand Auxerrois, se déroulant dans la salle des fêtes de la petite commune située entre Chablis et Auxerre, Jean-Baptiste THIBAUT n’aurait voulu en aucun cas manquer son lancement officiel. Fait dans les règles sanitaires d’usage. Organisé par les services de la préfecture.
Logique, le Concours général agricole est le fruit d’une initiative portée en 1870 par le ministère de l’Agriculture. C’est donc la seule et unique manifestation de la sorte à incomber à l’organisation de l’Etat.
Une soixantaine de vins sélectionnés faisant office d’ambassadeurs liquides de l’Yonne…
A l’issue de ce rendez-vous d’épicuriens et de professionnels de la chose vineuse savamment triés sur le volet, une soixantaine de crus ont été retenus. Ils seront les ambassadeurs liquides de ce département qui possède de belles pépites et ramène à chaque édition son lot de distinctions et de médailles nationales.
Y figurer pour les viticulteurs est capital. L’évènement séculaire jouit d’une importance phénoménale parmi le sérail des professionnels de la vigne. Un avis que partage Jean-Baptiste THIBAUT.
« La Chambre départementale de l’Agriculture met tout en place pour en favoriser sa réalisation. Etre sélectionné et pouvoir concourir avec ses vins représente énormément de travail pour les viticulteurs. C’est de la reconnaissance à l’état brut ! Cela démontre le plus souvent qu’il y a une continuité dans la qualité de leurs produits. Une médaille se vit comme une véritable plus-value qualitative et permet de différencier les domaines… ».
Le passage obligé pour amener à l’excellence ? Peut-être, tant la motivation des viticulteurs est grande dans les phases préparatoires de ce rendez-vous.
Le bonus de la récompense se convertit en plus de ventes dans les commerces…
Autre aspect intéressant selon Jean-Baptiste THIBAUT : cela permet aux jeunes professionnels de la vigne de se lancer dans le grand bain de l’optimisation du savoir-faire. En plaçant leurs produits sous le feu des projecteurs des médias qui ne loupent pas l’occasion d’en parler.
Naturellement, l’impact est conséquent sur les ventes de ces vins qui sont primés. Se sentant rassurés sur la qualité des produits, les consommateurs sont plus enclins à acheter la bouteille médaillée à l’inverse de celle qui ne l’est pas.
Parmi les nectars dégustés ce jour, des grands crus, bien sûr mais pas seulement. Les vins blancs comme les vins rouges ont recueilli les suffrages des dégustateurs ainsi que les crémants. Du chablis, of course, mais aussi des côtes d’Auxerre, des vins du Tonnerrois, de la Côte de Joigny ou du Vézelay. Un large éventail de succulences acidulées, sucrées, aux arômes travaillées, à la rondeur en bouche confirmée, à la forte minéralité.
Notons que cette année, le Concours général agricole fait la part belle aux bières artisanales. Vingt-quatre échantillons des brasseurs du cru ont pu être ainsi soumis à la sagacité gustative du jury. De la pure logique face à l’émergence constante des micro-brasseries qui prennent de l’essor dans le paysage. Parmi les autres spécialités pouvant concourir dans la catégorie des produits, ajoutons-y pêle-mêle deux fromages, un miel, une liqueur et même une viande.
La petite leçon de dégustation de Jean-Baptiste THIBAUT…
Quant aux critères retenus servant de base à la future pré-sélection de ces crus, citons de prime abord la limpidité des vins. L’aspect visuel est fondamental tant pour les blancs que pour les rouges. L’observation de la fluidité du contenu dans le verre est un autre élément primordial à prendre en considération.
« Vous remuez le verre tout en délicatesse, ajoute en expert Jean-Baptiste THIBAUT, et là, vous voyez comment il tourne et quels sont les reflets de la robe du vin… ».
D’où l’importance de l’éclairage de la pièce qui accueille ce type de manifestations. A Beine, les cinquante personnes formant le jury y ont vu clair !
« Après, bien sûr, il y a le nez. Alors là, précise le viticulteur, c'est important de savoir si c'est un vin qui est très exubérant ou alors s’il possède davantage de profondeur. Il faut lui laisser le temps de venir. Donc, la température est aussi très importante pour pouvoir laisser sortir et optimiser tous ses arômes... ».
Ensuite, place seulement à la dégustation en faisant travailler un autre sens : le goût.
« C’est l’ultime étape pour savoir s'il y a de la profondeur et de la longueur en bouche. Mais, attention, en fonction des jurés, on n'a pas forcément les mêmes goûts et les mêmes envies ! ».
Toutefois, on peut faire confiance à l’expertise de ces professionnels de la dégustation de la dive bouteille, amateurs et épicuriens aguerris à l’exercice.
Plus on pratique, plus on maîtrise. Une chose est sûre : les vins sélectionnés pour représenter la filière viticole de l’Yonne à Paris le 27 février n’auront pas été choisis par le plus pur des hasards. De plus, comme chacun le sait, il n’existe pas !
Thierry BRET
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