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Voulez-vous une preuve de l’attractivité prégnante qu’exerce le territoire de l’Yonne sur l’Ile-de-France voisine et la capitale de l’Hexagone, Paris ? En voici une, toute faite et qui se construit patiemment depuis la signature d’un accord de réciprocité, survenue en juin 2021, entre les PETR Grand Auxerrois et Nord de l’Yonne et la mégalopole nationale. Un partenariat, inédit et astucieux qui permettra de valoriser les circuits courts de la distribution alimentaire en favorisant les productions agricoles de notre terroir…
JOIGNY : Qui a dit que le territoire de l’Yonne n’était pas suffisamment attractif au niveau économique à l’échelle de l’Hexagone ? Tout le monde, en vérité ! Eh bien, pour faire taire les pessimistes de tout poil qui ne voient pas plus loin que le bout de leurs bésicles embuées, voilà une information 100 % positive à faire circuler auprès de tous !
Elle concerne une judicieuse initiative prise au printemps 2021 dont les prolongements factuels commencent à se faire ressentir quant à ses potentialités et perspectives envisageables. L’Yonne, terre nourricière de Paris ? Non, ce n’est pas une énième blague de potache qui aurait pu être publiée dans les colonnes médiatiques au petit jour du 01er avril dernier. Cela pourrait devenir très vite une réalité tangible après la récente visite de plusieurs élus de la capitale, dont l’ex-star du PAF (Paysage Audiovisuel Français), la journaliste Audrey PULVAR, reconvertie aujourd’hui en une défenseuse de la chose publique, en qualité d’adjointe à l’édile de Paris, Anne HIDALGO.
Audrey PULVAR vient prendre le pouls sur le terrain de l’Yonne…
La candidate socialiste à la présidentielle avait effectué le déplacement en terre icaunaise l’an passé pour parapher cet accord qui devrait offrir des opportunités intéressantes pour les filières agricoles de l’Yonne. A la grande satisfaction de la Chambre départementale d’Agriculture et des représentants syndicaux.
Nourrir Paris et ses 2,1 millions d’habitants n’est pas du domaine du raisonnable, sur le papier. Même si l’eau qui coule dans la capitale aurait dû se nommer l’Yonne et non la Seine comme certains géographes (bourguignons !) le pensent encore !
A contrario, favoriser l’alimentation de certains arrondissements en victuailles et produits made in Yonne semble déjà plus réalisable à brève échéance du fait de la proximité de ce département, situé au sud de la métropole. Selon les termes précisés par l’accord de coopération qui a été établi entre les deux partenaires, les PETR Grand Auxerrois et Nord de l’Yonne, et Ville de Paris, l’an passé.
Lors de cette journée immersive dans le Jovinien, Audrey PULVAR, accompagnée des maires du XIIème (Emmanuelle PIERRE-MARIE) et du XIVème arrondissement (Carine PETIT), ont pu disserter longuement avec des professionnels du monde agricole. Testant sans doute au passage quelques succulents produits !
Le XIIème arrondissement de Paris : un tiers des habitants de l’Yonne...
140 000 habitants, c’est le nombre de Parisiens qui résident dans le douzième arrondissement de la capitale. Soit un tiers des habitants de l’Yonne. On imagine aisément le potentiel en matière de débouchés pour les denrées alimentaires en provenance de notre territoire qui pourraient s’écouler via les marchés et les structures collectives pour sustenter la population. Une aubaine pour Nicolas SORET, président de la CC et maire de Joigny, qui avait flairé l’opportunité depuis bien longtemps.
« Là où je me réjouis, précise-t-il, c’est que les choses deviennent concrètes. On rentre dans le dur de l’opérationnel et ça, c’est chouette ! ».
Surtout que la Ville de Paris va organiser fin juin le Festival de l’Alimentation durable. Un évènement auquel participera une délégation icaunaise conduite par le numéro trois de la Région Bourgogne Franche-Comté. Au four et au moulin, Nicolas SORET ?
« Oui, car notre objectif sera d’y rencontrer les vingt-et-une personnes gestionnaires de l’alimentation de la capitale ! ».
Des contacts ô combien indispensables en vue de finaliser le dossier : ce sont celles et ceux qui appuient sur le bouton de la commande.
D’un approvisionnement mondial aux circuits de proximité…
En proie à une véritable révolution de palais, en ce qui concerne ses circuits de distributions alimentaires, Paris change donc de paradigme sur cet item. D’un approvisionnement mondial, les élus de la première ville de France veulent désormais privilégier des ressources alimentaires produites dans un rayon maximal de 250 kilomètres. Au moins pour la moitié de ces denrées.
Conséquence : l’Yonne ne peut qu’être impliquée dans cette profonde mutation de la transition alimentaire que mène Paris pour le bien-être de ses habitants.
Quant aux attentes en termes de productions, elles se sont avérées concrètes. Ainsi, l’élue du XIVème désire un approvisionnement de noix et de noisettes. Des besoins qui peuvent résolus grâce à la filière locale ad hoc qui en découle.
Pour autant, Nicolas SORET se veut rassurant. Balayant d’un revers de la main, « toute mauvaise interprétation » pouvant être faite autour de cette initiative, il rappelle que l’enjeu de cette démarche collaborative n’est pas d’appauvrir notre territoire. Estimant que la relation Yonne/Paris n’est pas une fin en soi, mais un moyen. Celui de rééquilibrer les relations entre la capitale et notre département afin d’y créer un ruissellement – le vrai, s’en amusera-t-il ! -, qui permettra de faire venir vers le territoire le plus septentrional de la Bourgogne la richesse qui est concentrée dans la métropole francilienne. Un ruissellement dont les agriculteurs et les producteurs seraient les premiers bénéficiaires.
En outre, parce que ces commandes seront importantes en volume, elles permettront de favoriser la création d’outils de transformation et de proposer de la valeur ajoutée. Concrètement, la commande publique parisienne servira de levier à la valeur ajoutée qui s’appliquera sur le territoire de l’Yonne.
Aujourd’hui, tous les partenaires du milieu agricole sont interpellés positivement par ce rapprochement prometteur entre Paris et les deux PETR de l’Yonne, notamment la Chambre d’Agriculture mais aussi Manger Bio, Bio Bourgogne et le GABY, le groupe d’agriculture biologique de l’Yonne.
Des acteurs de la filière agricole qui ne manqueront pour rien au monde le rendez-vous de la fin juin dans la capitale avec les fameux vingt-et-un gestionnaires qui sont décisionnaires de l’alimentation à Paris. Une métropole qui sert 30 millions de repas dans les 1 300 établissements collectifs sous leur coupe. Cela parle, non ?
Thierry BRET
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Distinction : Stéphane NOMIS, président de la Fédération Française de Judo épinglé par Patrick GENDRAUD
mai 09, 2022Des sourires rayonnants qui s’affichent sur les visages. Voire peut-être des larmes qui coulent à l’intérieur de ces esprits attentifs à l’écoute de ces témoignages emplis de fibre et de passion. Ceux de cette élite sportive, présente sur l’estrade de la salle des fêtes de VENOY. La soirée « Influence », proposée par la Fédération française de judo, ne pouvait se conclure sans une remise de médaille officielle de la part du Conseil départemental…
VENOY : Le prestige est sur la scène. Une belle brochette de sportifs qui a porté haute les couleurs de la France aux quatre coins de la planète, lors de championnats du monde et de Jeux Olympiques. D’ailleurs, on ne compte plus le nombre de breloques ramenées par ces sept champions, la fine fleur du judo à la sauce hexagonale, qui prolongent l’échange avec le public. Une assistance d’élus et de chefs d’entreprise, trop heureuse d’être assise là, aux premières loges, à s’abreuver de paroles vertueuses autour de ces compétiteurs nés.
Puis, parce que l’heure de conclure se rapproche à grands pas, se lève du premier rang le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD. Lui, il est plutôt football (allez l’AJ Auxerre !) et…pétanque ! Une discipline à 100 % sportive comme il a aimé le préciser à la double championne du monde et quadruple championne d’Europe Catherine ARNAUD qui émettait un instant plus tôt au fil de sa prise de parole quelques doutes sur la pratique un tantinet trop ludique de ce « jeu » méridional à vocation estivale.
« Je n’ai jamais vu autant de chefs d’entreprise dans une salle… ».
Evoquant la philosophie de ce territoire, l’Yonne, « terrain de sports », Patrick GENDRAUD a eu le plaisir de distinguer le président de la Fédération nationale de judo, Stéphane NOMIS, avant que ne retombe le rideau définitif sur cette animation officielle, proposée conjointement par la Fédération nationale de cet art martial et l’organe institutionnel.
Une soirée où les remerciements coulèrent à flot, et pour cause, au vu de la réussite de l’opération. Le président du Département se félicita du succès de cette sensibilisation à la discipline. « Je n’ai jamais vu autant de monde dans une salle avec autant d’entrepreneurs, confia également Stéphane NOMIS agréablement surpris avant que l’élu ne lui épingle la médaille départementale de l’Yonne, au revers de sa veste.
Sous le regard du secrétaire général du Comité de l’Yonne de judo, Pascal LUCAS, Patrick GENDRAUD salua chaleureusement l’ancien judoka, aujourd’hui à la tête d’une entreprise, et prodigua quelques mots d’encouragement pour la suite de cet « itinéraire de champions » qui fera étape dans une vingtaine d’agglomérations du pays.
Thierry BRET
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ENEDIS, TOTAL Energies, EATON Industries France. Trois pointures de la mobilité. Trois références de la transition énergétique. Mais, aussi, trois entités qui dépêcheront leurs meilleurs spécialistes le jeudi 19 mai prochain à l’occasion du cinquième Salon de l’Innovation, concocté par le Syndicat départemental d'Energies de l’Yonne (SDEY) à VENOY ! Objectif : informer et convaincre les élus de notre territoire…
VENOY : Le plateau se veut alléchant. Sur le papier, c’est sûr ! Accueillir sous le même toit des exégètes de la transition énergétique et de la mobilité qui en découle fait déjà figure d’évènement en soi. L’un est directeur régional de TOTAL Energies, Vincent GAFFARD. Le second, Christophe BOURGUEIL, se présente en qualité de business développeur des solutions de transition énergétique et de stockage d’énergie pour le compte de la maison qu’il représente, EATON Industries France. Un gros faiseur à l’international, spécialisé dans la gestion de l’énergie, qu’elle soit électrique, hydraulique et mécanique.
Le troisième, enfin, Laurent STIEN, n’est autre le chef de projet senior du Pôle Mobilité électrique chez ENEDIS. Là, on ne présente plus ! Ca cause, forcément à l’énoncé de la structure !
Tous auront à cœur de parler de cette mobilité électrique sous toutes ses formes qui se présente à nous, avec les enjeux de la préservation de la planète, ponctuée de dates phares, 2030 et 2050.
Un évènementiel totalement repensé pour cette cinquième édition…
Le rendez-vous est d’ores et déjà fixé au 19 mai prochain. Deux ans après les dernières rencontres, le Syndicat départemental d'Energies de l’Yonne (SDEY) a donc décidé de remettre le couvert – le menu est très généreux cette année – en proposant une cinquième édition à ce Salon de l’Innovation, qui aura perdu entre-temps son appellation originelle où était associé l’éclairage public.
Sur le fond, l’évènement a été totalement revisité. Si la matinée est consacrée à la partie exposition où se retrouvera une belle brochette d’acteurs de la discipline (la mobilité électrique), le tantôt fera la part belle à des conférences de haute tenue, mobilisant les spécialistes présentés ci-dessus.
Au total, trois interventions d’une heure chacune devant permettre aux nombreux visiteurs – en règle générale, une très large majorité d’élus et d’institutionnels – de mieux appréhender les enjeux de demain de cette transition énergétique seront proposées.
Le coup du parapluie lors de l’édition 2020 !
Indépendamment, des démonstrations de solutions novatrices sur le domaine de la mobilité seront mises en exergue sur le parvis de la salle des fêtes locale.
Rappelons que lors de la dernière édition, le 01er octobre 2020, au même endroit, plus de 320 élus avaient effectué le déplacement sous des conditions météorologiques pourtant peu favorables : le SDEY offrant même les parapluies !
Signalons, parmi les réjouissances de cette année, un aspect ludique qui est développé à partir d’un quizz spécial transition énergétique et présentation des services du vénérable organisme que représente aujourd’hui dans le paysage de l’environnement et de l’innovation hexagonal, le SDEY.
En savoir plus
Salon de l’Innovation du SDEY
Salle des fêtes des Joinchères à VENOY
Le jeudi 19 mai 22
De 10 h à 19 heures.
Programme des conférences :
14h30 : Stockage et raccordements intelligents avec Christophe BOURGUEIL, de chez EATON Industries France,
15h30 : Transition énergétique du pétrole à l’électricité avec Vincent GAFFARD, de TOTAL Energies,
16h30 : Prospective mobilité et capacité du réseau avec Laurent STIEN, ENEDIS.
Thierry BRET
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Présidentielle : au-delà de leurs programmes, et si la défaite des candidates relevait de la pure misogynie ?
avril 29, 2022En Occident, la misogynie est endémique et séculaire. C’est un secret pour personne. Loin des analyses pompeuses et aussi « sottes que grenues » (!), nous regarderons uniquement par le petit bout de la lorgnette la défaite de la candidate du Rassemblement National au second tour. A l’instar des autres prétendantes dès le premier. En demeurant sur le seul terrain psychologique, voire psychanalytique.
TRIBUNE : La légendaire phallocratie des hommes vis-à-vis des femmes qui briguent le pouvoir, semble encore plus crédible dès que ces dernières peuvent rassembler des suffrages. Alors que je posais la question au Secrétaire général d’une célèbre obédience maçonnique : « Pourquoi les femmes ne peuvent pas devenir « Franc-maçon » (Il existe pourtant des obédiences féminines), il eut cette réponse : « Les femmes, grâce à leur capacité à enfanter, sont donc initiées par nature et ne peuvent être initiées dans la Franc-maçonnerie » !
Tout est dit, en dehors de l’incohérence de la démonstration, nous avons là une réponse qui illustre fondamentalement mon propos sous l’angle psychanalytique : l’homme est jaloux de cette capacité à enfanter et donc un peu revanchard !
La jalousie de l’homme envers les femmes, source du mal…
Un peu d’histoire : remarquons tout de suite que le pécher originel est imputé à Eve qui entraîne Adam dans les affres de l’enfer ! Jeanne d’Arc bouscule l’ordre masculin, malgré son jeune âge, et malgré ses victoires pour installer le roi et bouter les Anglais. Les franchouillards du moment la livrent auxdits anglais. Les disciples de la perfide Albion vont la juger et la brûler : cela arrange tout le monde. Que dire d’une Olympe de GOUGES, entachée de plusieurs crimes aux yeux de nos machos révolutionnaires : une femme érudite, écrivaine, elle rédige les Droits de la femme et de la citoyenne et commet un crime de lèse-majesté en critiquant la politique de Robespierre. Résultats pour la pauvre Olympe : elle est guillotinée, une deuxième mort quand elle passe dans les oubliettes de l’histoire. Sainte Thérèse d’Avila (religieuse du XVIème siècle) sera excommuniée quelques semaines pour avoir lu la Bible, fait des commentaires théologiques. Elle réorganisera son couvent en refusant qu’il devienne l’antichambre du mariage pour les jeunes novices ! Elle sera sans cesse persécutée pour contrarier l’ordre établi par les hommes. Et tant d’autres femmes légendaires, qui dans l’histoire furent bousculées, voire persécutées par des hommes, toujours trop jaloux de leur prérogatives.
Une liste non exhaustive de personnalités féminines marquantes…
Un siècle s'est écoulé après l'instauration du suffrage universel masculin en 1848. Les femmes deviennent alors en France « électrices et éligibles dans les mêmes conditions que les hommes ». Le 29 avril 1945, ces françaises exercent ce droit pour la première fois dans le cadre des élections municipales. Ainsi, dans la foulée, parmi les 33 premières femmes élues « députées » à partir de 1945, citons en guise d’hommage : Marie-Madeleine DIENESCH, Rachel LEMPEREUR et Marie-Claude VAILLANT-COUTURIER. A partir de 1965, Arlette LAGUILLER ouvre une nouvelle voie pour les femmes : c’est la première femme qui se présente aux élections présidentielles et détient le record du nombre de participations, soit sept au total tout avant de céder sa place à Nathalie ARTHAUD. Citons aussi ces femmes qui ont osé affronter le suffrage universel pour des présidentielles : Christiane TAUBIRA, Huguette BOUCHARDEAU, Christine BOUTIN, Marie-France GARAUD, Dominique VOYNET, Marie-Georges BUFFET, Anne HIDALGO, Valérie PECRESSE et Marine LE PEN. Saluons leur courage même si leurs scores restent anecdotiques sauf pour la dernière nommée.
Les hommes auraient-ils réellement peur du féminisme ?
Plusieurs femmes ont été investies par de grands partis politiques, et pourtant rien ne change pour l’instant. Mise à part la France, seuls les régimes parlementaires donnent aux femmes l’accès au pouvoir suprême. C’est le cas de l’Allemagne et des pays nordiques. Les régimes présidentiels barrent aux femmes l’accès à la présidence. Nous sommes bien sûr dans le cadre d’un inconscient collectif si cher à Young !
C’est le cas de la France, la Russie et les Etats-Unis. Chez ces derniers, souvenons-nous d’Hilary CLINTON, pourtant donnée favorite dans les sondages et battue par un homme. La vie politique est codifiée par le langage guerrier masculin. On parle de combat, de guerre, de rivalité, de stratégie, de cible,… 2022 aura battu en soi tous les records en matière du nombre de femmes qui se sont présentées ou ont voulu se présenter à la présidentielle. Etre une femme fut un argument de campagne pour Valérie PECRESSE. De là à en déduire son faible résultat ? Pas uniquement.
Il faut ajouter le nombre impressionnant de trahisons et d’abandons des membres de son parti ! Aucune solidarité, du règlement de compte, du machisme et des critiques internes qui ont été rendues publiques ! Mission impossible, avec la bénédiction d’un Nicolas SARKOZY plus avide de pouvoir pour demain et craignant sans doute ses prochains procès. Pour Marine LE PEN, nous restons dans cette mouvance similaire qui, au-delà de son programme et de son nom, et le fait d’être une femme permet aussi aux hommes de régler leurs comptes en cherchant à lui nuire ! Quant à la solidarité féminine, on peut se poser la question : les femmes représentent 52,3 % des électeurs. On peut déjà isoler les femmes, qui par leur culture s’excluent de la vie politique, ne vont pas voter ou votent comme leur mari. Si nous restons sur le terrain psychologique, le sentiment de rivalité et de jalousie peut être prégnant entre les femmes. De plus, le féminisme fait encore peur aux hommes !
Si une femme s’engage et n’adopte pas les codes masculins, la façon de faire de la politique est souvent totalement différente : plus consensuelle, plus horizontale dans le style de management, plus collaborative et inclusive… Naître femme nécessite de se battre et de faire sa place. On apprend aux femmes à s’occuper des autres. Le fait d’être une femme conditionne son existence et donne un rapport au monde différent. Cela débouche donc sur un leadership différent, plus à l’écoute…
Tout n’est donc pas forcément perdu pour le futur : Louis ARAGON l’a écrit et Jean Ferrat l’a chanté : « La femme est l’avenir de l’homme ». Alors patience…
Jean-Paul ALLOU
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Les flonflons de la fête foraine lancent la 93ème Foire de Sens : tournez manège pour les officiels !
avril 28, 2022Et un petit tour de chenilles, l’une des attractions préférées des petits, voire des plus grands qui fréquentent chaque année le traditionnel évènement commercial de la sous-préfecture de l’Yonne. Pour profiter des agréables moments de la fête foraine qui débute en concomitance avec la 93ème Foire, Jean-Baptiste LEMOYNE et Marie-Louise FORT se sont montrés intrépides à la recherche de la vitesse optimale du manège. Même pas peur !
SENS : C’est la chenille qui redémarre, version « tournez manège ! » pour l’un des représentants du gouvernement ! Le ministre en charge des PME/PMI, du Tourisme et de la Francophonie Jean-Baptiste LEMOYNE a troqué le temps d’un petit répit distractif vécu sur la fête locale sa casquette officielle pour retrouver celle d’un citoyen ordinaire revivant ses souvenirs de jeunesse à bord d’une attraction foraine.
Aux côtés de l’édile de la capitale septentrionale de l’Yonne et présidente du Grand Sénonais Marie-Louise FORT, le représentant de l’Etat a apprécié ces quelques minutes de parfaite décontraction avant de rejoindre Paris dès aujourd’hui pour assister à l’ultime conseil des ministres de l’ère CASTEX.
Mercredi soir, en fin d’après-midi, respectueuse des usages propres à l’évènement, la municipalité procédait à l’inauguration de la fête foraine, corollaire incontournable de l’animation provoquée par la tenue de la foire au cœur de la ville.
Chris LAMOUREUX, en bon responsable des professionnels forains, ainsi que la Reine des Forains 2022, assistaient à cette cérémonie à la fois solennelle lors de sa phase d’allocutions et ludique par la suite avec le petit tour de manège en prime. De quoi être grisé par la vitesse !
Thierry BRET
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