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Le seuil financier critique est atteint dans l’Yonne : Sébastien WINDSOR (APCA) au chevet du monde agricole
août 25, 2020Qualifiée de très importante, le président de l’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture (APCA) effectuera ce mercredi 26 août après-midi une visite dans le département de l’Yonne. Il se rendra dans une exploitation spécialisée en grandes cultures à Noyers-sur-Serein. Un déplacement majeur alors que l’agriculture icaunaise enregistre une cinquième mauvaise année consécutive depuis 2016…
AUXERRE : Le scénario catastrophe semble se renforcer de jour en jour pour les milieux agricoles de l’Yonne. Outre la terrible sécheresse qui sévit depuis plusieurs semaines sur le territoire, jamais les rendements issus des moissons 2020 n’ont été aussi faibles.
Certes, les responsables de la corporation s’y attendaient de manière très fataliste mais pas avec une telle ampleur.
Conséquence : ils ont tiré la sonnette d’alarme auprès de leurs instances représentatives nationales. Damien BRAYOTEL, président de la FDSEA (Fédération Départementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles) et son homologue à la tête de la Chambre d’Agriculture, Arnaud DELESTRE, se sont fendus d’un long courrier explicatif fin juillet afin d’y exposer avec moult détails la situation très préoccupante de la filière pour le département.
Côté finances, le seuil critique est atteint dans certaines exploitations et il y a urgence à réagir pour ne pas voir sombrer des professionnels au summum de l’inquiétude.
Un long courrier explicatif en amont…
Faisant écho à cette missive qui était également adressée à la présidente de la FNSEA, Christiane LAMBERT, le président de l’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture Sébastien WINDSOR a confirmé sa venue dans l’Yonne ce mercredi tantôt. Il profitera de son déplacement en province pour découvrir l’exploitation de Franck MENARD, à Noyers-sur-Serein.
Spécialiste des grandes cultures, ce dernier a décidé de jouer la carte de la diversification en optant pour une production avicole et un investissement en panneaux photovoltaïques sur les toitures de ses bâtiments.
Indépendamment de cette immersion dans l’entreprise, Sébastien WINDSOR s’entretiendra lors d’un débat initié sur place avec les représentants des pouvoirs publics, des élus et le grand public sur la gravité de la situation économique observée par une majorité d’exploitations agricoles de l’Yonne.
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Son quatrième ouvrage a été publié cet été : la plume alerte d’Emilie BILLON est loin de se tarir…
août 24, 2020Ses ouvrages possèdent des vertus thérapeutiques. Ils évoquent la quête de soi et la recherche de son épanouissement personnel. Cette férue de littérature vient de publier son quatrième ouvrage cet été. Un roman qui se nomme « La Place de l’autre ». Ces activités scripturales ne l’empêchent nullement d’exercer son métier de conseillère conjugale et de proposer ses services en thérapie de couple et sexologie dans son cabinet auxerrois…
INTERVIEW : Comment vous est venue l’envie d’écrire ?
Passionnée par la littérature, j’ai dévoré mes premiers ouvrages vers l’âge de six ans. J’ai toujours eu l’envie d’écrire des livres ce qui m’a d’ailleurs orientée vers des études littéraires. Au départ, « Confidence » (son premier roman) a été écrit sans l’idée d’en faire un livre mais en écrivant des passages par-ci, par-là. Puis, je les ai combinés. En confiant le manuscrit à une amie qui m’a convaincue de le publier, mais je n’y croyais pas au départ. Finalement, deux tonnes de « Confidence » sont sorties en autoédition pour être repérées et rachetées par une maison d’édition indépendante. Mon rêve d’être publiée par « City Edition » se réalisa avec mon troisième opus, « Demain la vie t'appartient ». Elle est devenue ma maison d’édition depuis trois ans. Ce sont toujours les mêmes surprises. Le contrat est signé avec cette maison, un mail de l’attaché de presse suit et me précise que 1 400 romans sont vendus au Canada…
Quels sont les messages clés que vous souhaitez véhiculer à travers ces romans ?
Tous mes livres possèdent des vertus thérapeutiques sans être des essais. Mon message est simple : j’y parle d’épanouissement personnel, une quête de soi vers soi pour être mieux avec les autres et ainsi gagner une liberté personnelle. Et surtout, j’aborde la question essentielle de l’existence : « qu’est-ce qui nous fait rêver ? ». Peut-être le rapport au couple, la liberté de soi, voire être libre de faire ce que l’on veut, et ne pas tourner autour de cette interdépendance dans le couple…
Avez-vous un rituel d’écriture ?
Avant, j’écrivais beaucoup le soir après mon activité de la journée. Depuis, j’ai réduit cette activité pour écrire la journée. En général, j’écoute du piano. Ce qui d’ailleurs se ressent dans mes textes où je laisse en fond sonore des films avec Fabrice LUCHINI. Sa voix m’inspire depuis des années…
Comment vient l’inspiration ?
Elle me vient de la relation que j’exerce depuis onze ans avec mes patients. J’écoutais cette même histoire qui revenait toujours et toujours. J’ai constaté que les femmes sont souvent seules. C’est le message que je veux faire passer dans mes livres, elles ne le sont pas ! Après « Confidence », j’ai eu beaucoup de retours où l’on me disait : « j’ai eu l’impression de lire mon histoire… ». Ensuite, les lieux de mes romans me viennent de mes voyages ; dans chaque livre, on retrouve un voyage que j’ai effectué un jour…
Combien de livres avez-vous publié à ce jour ?
Quatre ouvrages sont maintenant édités dont le dernier qui vient de sortir, « La place de l’autre ». J’en ai écrit un à quatre mains. Il est achevé. Un autre opus touche à sa fin. Et puis, il y a ce livre que j’ai terminé mais que je veux retravailler. J’aime bien les écrire, et y revenir plusieurs mois après, et les relire comme une lectrice. Je suis au rythme de un livre par an depuis quatre ans.
Comment conciliez-vous votre vie de femme entrepreneuse, votre statut d’écrivaine et votre existence personnelle ?
Je suis bien entourée, avec une équipe autour de moi. Au sein de la maison d’édition, je travaille étroitement avec une éditrice, une correctrice, le directeur, l’infographiste et l’agent de presse…. Au cabinet, les secrétaires sont très précieuses. Et surtout, il y a mon mari qui me soutient toujours.
J’ai aussi diminué mon activité de thérapeute en passant de six jours à quatre jours de consultation pour mon activité d’écrivaine et ainsi trouver un équilibre entre les deux. Il est important de se donner des priorités, de redéfinir ses choix. S’autoriser à rêver et comment on veut le mettre en adéquation avec sa vie…
Quel est votre leitmotiv dans la vie ?
J’aime souvent dédicacer mes ouvrages de cette phrase d’Henry JAMES : « Il est temps de vivre la vie que tu as imaginée… ».
En savoir plus
Publiés cet été, « La Place de l’autre » et « Demain la vie t’appartient » ont également été édités en format poche chez « City Editions ».
Propos recueillis par Maryline GANDON
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La refonte du pôle gastronomie a coûté 3,5 millions : le CIFA bénéficie d’un sérieux coup de pouce de la Région
août 24, 2020Dévolu aux cursus proposés par la filière hôtellerie/restauration, l’espace gastronomie du centre de formation auxerrois a nécessité une enveloppe budgétaire conséquente pour ses travaux de restructuration. Ceux-ci s’élèvent in fine à 3,5 millions d’euros. Une coquette somme qui englobe les frais d’études, le chantier qui aura couru sur près de quatorze mois et l’achat de nouveaux équipements.
AUXERRE : Ils ne sont au final que deux financeurs à avoir mis la main au gousset pour supporter le coût important des travaux de modernisation du principal centre de formation par l’apprentissage de l’Yonne.
Le CIFA a pu en effet bénéficier de l’indéfectible soutien du Conseil régional Bourgogne Franche-Comté qui n’a pas hésité à injecter 1,7 million d’euros dans le projet ; les demandes de subventions ayant été effectuées avant la mise en œuvre de la réforme de l’apprentissage.
Quant au reliquat, il incombait à l’établissement pédagogique lui-même de l’autofinancer à hauteur des 50 % restants avec le concours de la Banque Populaire régionale. Une formalité ou presque, selon les dires de la responsable Développement en charge des relations avec la presse, Delphine ENGELVIN, qui se réjouissait de la bonne situation financière de la structure icaunaise.
Expliquant ce contexte de refonte, la jeune femme insista sur ce besoin constant de modernisation et d’évolution en phase avec la filière.
« Les référentiels de formation ne cessent de se modifier au fil des ans pour les métiers de l’hôtellerie/restauration. Ainsi le CAP Commercialisation et Service en salle est devenu le CAP Commercialisation et service en CHR (Café/Hôtel/Restaurant).
Suivre les nécessaires évolutions de la filière…
Aussi, le CIFA de l’Yonne se devait de transformer son outil pédagogique pour qu’il puisse coller à la fois aux exigences du secteur et à celles requises par ces nouveaux diplômes… ».
Le projet consistait à bouleverser l’intégralité du pôle gastronomie avec la refonte totale du restaurant d’application à vocation gastronomique, le « Com’ des Chefs », et la création d’une brasserie à l’appellation éponyme (voir article déjà paru sur le sujet).
Cet outil flambant neuf sera opérationnel à compter du 31 août. Il favorisera le savoir-faire des 250 apprentis qui rejoignent chaque année ce pôle dédié aux métiers de la filière. Ainsi qu’une trentaine de stagiaires de la formation professionnelle qui suivent des cursus allant du CAP au BTS.
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Instituée en fin d’année 2018, la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat est reconduite en 2020. Elle offre la possibilité aux employeurs de verser à leurs salariés une prime exonérée de toutes cotisations et contributions sociales, de CSG, CRDS et d’impôt sur le revenu dans la limite de mille euros sous certaines conditions…
TRIBUNE : Quelles sont les conditions à respecter ? Les bénéficiaires doivent être des salariés ayant une rémunération inférieure à trois fois le montant du SMIC au cours des douze mois précédant son versement. Il faut qu’il y ait une obligation de mettre en œuvre un accord d’intéressement au moment du versement de la prime qui devait intervenir avant le 30 juin 2020.
Toutefois, l’ordonnance du 01er avril 2020 a simplifié ces conditions initialement prévues afin de tenir compte de la situation spécifique liée à l’épidémie de Covid-19 et ainsi permettre de récompenser les salariés particulièrement mobilisés pendant l’état d’urgence sanitaire.
L’existence de modifications dans les conditions de versement…
Ainsi, il est possible de supprimer la condition de mise en œuvre d’un accord d’intéressement à la date de versement de la prime exceptionnelle. Cela n’est plus nécessaire lorsque le montant de la prime exceptionnelle n’excède pas mille euros. Celle-ci peut être octroyée aux salariés, dans cette limite, sans qu’un accord d’intéressement n’existe dans l’entreprise.
Cependant, son versement et ses conditions d’attributions doivent être prévus, au choix de l’employeur, par un accord collectif (d’entreprise ou de groupe) ou par décision unilatérale de l’employeur (DUE).
D’autre part, l’ajout d’un nouveau critère de modulation de la prime s’est fait jour. Dans l’accord ou la DUE, l’employeur peut moduler le montant de la prime en fonction de certains critères (rémunération des salariés, niveau de classification, durée de présence effective ou celle prévue au contrat de travail).
Pour récompenser plus spécifiquement les salariés employés pendant l’épidémie de Covid-19, un nouveau critère de modulation du montant de la prime peut être retenu par l’accord collectif ou la décision unilatérale. Il est désormais possible de tenir compte des conditions de travail liées à la crise sanitaire.
Ainsi, l’employeur a la possibilité de majorer la prime pour les salariés ayant continué leur activité au sein de l’entreprise pendant la période d’urgence sanitaire et/ou ceux ayant été au contact du public.
En outre, il peut également exclure des salariés qui n’étaient pas présents durant la période d’urgence sanitaire, tels que les salariés en télétravail.
Report de la date de versement…
La date limite de versement, prévue initialement le 30 juin 2020 et reportée au 31 août, est à nouveau repoussée au 31 décembre 2020 afin de laisser aux entreprises plus de temps pour octroyer cette prime, après consolidation de leur reprise d’activité.
La limite d’exonération fixée initialement à 1 000 euros est relevée à 2 000 euros sous réserve que l’employeur mette en œuvre un accord d’intéressement.
Cette limite de deux mille euros s’applique aux entreprises qui disposent déjà d’un accord d’intéressement ou qui en concluront un d’ici le 31 août 2020. L’accord d’intéressement doit produire ses effets à la date de versement de la prime, donc avoir été conclu.
Le dépôt peut, quant à lui, être réalisé postérieurement au versement de la prime, dans le respect des délais légaux, à savoir quinze jours suivant sa conclusion. La date limite de conclusion de l’accord d’intéressement est fixée au 31 août 2020.
A titre dérogatoire, les accords conclus entre le 01er janvier 2020 et le 31 août 2020 peuvent l’être pour une durée minimale d’un an (au lieu de trois). Les associations et fondations reconnues d’utilité publique ou d’intérêt général sont dispensées de l’exigence d’avoir un accord d’intéressement.
Christelle CARRE
Un article réalisé en partenariat avec la Chambre départementale des experts comptables de l’Yonne.
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La fine fleur du parachutisme national se livre à une belle compétition dans le ciel du Florentinois
août 22, 2020Rapidité d’exécution, concentration optimale et précision dans le moindre geste technique effectué, soit les fondamentaux essentiels de la discipline qui se pratique entre trois et quatre kilomètres au-dessus de nos têtes, ont été respectés scrupuleusement par les représentants des dix-sept équipes engagées lors de ces 69èmes championnats de France de vol relatif…Ils se poursuivent ce dimanche.
CHEU: La crainte primordiale qui anime tout bon parachutiste digne de ce nom avant de monter à bord de l’aéronef qui leur sert de tremplin motorisé et leur permet d’exécuter leurs figures dans le ciel demeure la météo !
Celle de vendredi matin, même si elle était parfois parsemée de sporadiques gouttes de pluie n’inquiètera nullement les concurrents de ces championnats de France de vol relatif.
Les premiers à être accueillis sur l’aérodrome de Saint-Florentin-Chéu. Une vraie réussite selon les commentaires tirés à chaud des organisateurs, membres du « Paris Jump », le club qui a élu domicile sur cette base logistique aux caractéristiques idéales.
Dès 9 heures, les premiers candidats à l’exploit ont entamé leur série de dix sauts répartis sur les deux journées et demie de compétition devant les amener à tutoyer ou pas le podium national. Dix-sept équipes en provenance des quatre coins de l’Hexagone qui n’auront guère eu le temps de se préparer dans les règles de l’art en amont de l’épreuve.
Peu de séances de préparation en amont de l’épreuve…
Coronavirus oblige, cette édition des nationaux représentait en fait la seule et unique compétition de la saison, dans ce contexte si particulier où les possibilités d’entraînement ne furent guère légion.
Autant dire que le manque de repères était évident pour ces valeureux sportifs de haut niveau qui profitèrent des moments au sol entre deux sauts pour se remémorer inlassablement les figures imposées devant être exécutées ensuite dans les airs.
Un travail de fourmi et de précision où le moindre geste technique à effectuer compte ; le tout dans un délai temporel record. Celui-ci ne devant pas excéder trente-cinq secondes dans la catégorie du vol relatif à quatre. Ce delta de référence servant aux juges évoluant à cinquante secondes lorsque huit compétiteurs sont lancés dans le ciel pour l’épreuve de vol relatif à huit.
Une fois lâchés de l’avion, les membres de l’équipe s’assemblent, se touchent, se prennent la main et forment des figures géométriques qui ont valeur de point pour le jury. Celui, devant officier dans l’Yonne, au nombre de cinq personnes était présidée par la juge internationale Gillian RAYNER.
Les sportifs tricolores parmi les meilleurs de la discipline…
Filmées au plus près des parachutistes, les images de ces prouesses techniques qui ne laissent pas la place au hasard sont ensuite analysées au sol et diffusées sur grand écran afin que chacun puisse suivre en les appréciant à leur juste valeur les configurations et leurs…défauts !
Ce travail fourni par ces spécialistes chevronnés dont les plus jeunes sont encore adolescents est le fait de nombreuses heures d’entraînement passées en soufflerie.
Aujourd’hui, considérée comme l’une des nations phare dans la sphère internationale, la France domine les épreuves aux côtés des meilleurs que sont la Belgique, la Russie et les Etats-Unis. C’est d’ailleurs dans l’ancien bloc soviétique que se dérouleront en 2021 les futurs mondiaux où les Tricolores et l’équipe de France de VR4, présente dans l’Yonne, aimeraient se distinguer.
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