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Druyes-les-Belles-Fontaines aménagera le cœur de village en privilégiant tourisme et artisanat…
mars 04, 2019C’est un mois de mars important qui débute pour les élus de la petite localité de la Forterre. D’ici quelques jours, le conseil municipal aura à se prononcer sur le mode opératoire budgétaire à mettre en œuvre dans le cadre du projet d’aménagement du cœur de ce village si pittoresque. En sollicitant des subsides auprès de l’Etat et de la Région Bourgogne Franche-Comté, les élus ont la ferme intention de glaner des aides à hauteur de 80 % des futurs travaux d’un dossier dont l’investissement global n’excède pas 150 000 euros…
DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Améliorer et positiver le cœur de village de cette bourgade si typique de l’Yonne s’inscrivent parmi les grands chantiers de l’actuel édile, Jean-Michel RIGAULT.
Et comme l’a précisé dernièrement le maire de cette commune aux trois cents âmes de ce territoire occidental de l’Yonne, quoi qu’il en soit, ce dossier devra être finalisé avant le terme du mandat électoral. Sachant, pour mémoire, que les prochaines municipales se dérouleront au printemps 2020.
De quoi s’agit-il précisément ? L’équipe en place souhaite optimiser tant au plan logistique et structurel que sur le développement de l’économie interne l’essor de la localité. Tout en le pérennisant.
Soutenir les acteurs de l’économie locale…
Celle-ci rayonne bien au-delà de sa zone d’influence naturelle (Ile-de-France) par son approche touristique (elle bénéficie de plusieurs labels de qualité qui en valorise sa découverte) et par la présence de plusieurs artisans d’art.
Jean-Michel RIGAULT désire aller encore plus loin dans cette quête utile, faisant d’une pierre deux coups dans ce projet d’aménagement. Non seulement, la commune facilitera l’accueil de ses futurs visiteurs en créant de nouvelles aires de stationnement et en se dotant d’infrastructures ludiques supplémentaires, qui permettront de grossir l’offre de loisirs.
Mais, en outre, il entend bien booster l’activité économique intra-muros en prenant soin de soutenir les professionnels de l’artisanat d’art (potiers, céramistes, peintres, sculpteurs, producteurs de recettes et denrées du terroir…). Ceux-ci pourront bénéficier indirectement de cette manne qui n’a rien de providentielle.
Dans les faits, ce concept s’articulera peut-être en deux tranches de travaux à budgéter sur les prochaines années à venir. Il valorisera certains espaces de la commune. L’idée serait d’utiliser l’ancienne cour de l’école pour y implanter un espace arboré et créer ainsi de nouvelles possibilités de stationnement.
Quant au parking existant, il verrait ses capacités à accueillir des véhicules se prolonger.
L’essentiel des investissements de 2019…
Côté agrément, diverses infrastructures à caractère sportif, à l’instar d’un terrain mixte de volley-ball et de badminton, conféreraient une dimension ludique au projet. Il y serait rajouté un terrain de jeux de boules.
Les artisans d’art qui créent une plus-value attractive du fait de leurs activités seraient dotés de petits chalets en bois – on parle de trois à quatre points d’accueil -, mis gracieusement à leur disposition au centre de la commune.
Enfin, et pour être tout à fait complet sur la configuration de ce projet, cette dernière se réserverait le droit de construire un bâtiment en bois, dans le même esprit que celui de l’actuelle guinguette au bord du plan d’eau, pour y entreposer divers matériels dans un souci de stockage. L’installation d’un jardin participatif représente aussi une option envisageable.
Une chose est sûre, avant que ne soit décidé par le conseil municipal de l’opportunité ou pas de lancer les demandes de subventions en bonne et due forme auprès des services de l’Etat et de la Région, ce dossier aux multiples ramifications constituera l’essentiel des investissements réalisés par la commune de Forterre cette année.
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« Dieu est avec nous » : le prénom Emmanuel illumine-t-il le destin du chef de l’Etat ?
mars 04, 2019LEVINAS, KANT, MACRON…Emmanuel, prénom qui évoque le fils d’Isaïe, est porté par les hommes depuis vingt-huit siècles. Il se trouve que je m’appelle ainsi. Emmanuel, comme notre président. Ce prénom était tombé en pleine désuétude : il est revenu à la mode. En ce qui concerne le président, « être à la mode », cela veut dire scruter les sondages afin d’en apprécier les courbes ascendantes et descendantes. Or, depuis quelque temps, « sa mode » ou plutôt sa cote de popularité est singulièrement remontée à la hausse. Elle est passée de 18 % en décembre pour caracoler à 30 % à la fin du mois de janvier. Conclusion : tout va donc pour le mieux en France...Quoi qu’on en dise !
TRIBUNE : Pourquoi m’a-t-on appelé ainsi ? Parce que c’était le prénom du frère de ma grand-mère, mort au champ d’honneur en septembre 1914. Le même jour que Charles PEGUY, lors de la contre-attaque lancée par les généraux JOFFRE et GALLIENI, au cours de la bataille emblématique qui est devenue la grande victoire de la Marne.
De Bouvines à la Marne, en passant par Marignan (1515) et Austerlitz (1805), notre histoire est constellée de victoires éclatantes. Elles faisaient vibrer les petits écoliers français d’autrefois. Tandis que leur cœur se serrait à l’énoncé des défaites telles que Crécy, Azincourt, Waterloo, Sedan et j’en passe. Des défaites et des victoires successives qui ont forgé la Nation à travers le temps...
Mort au champ d’honneur ! Voilà une expression qui nous rendait muets d’admiration. Emmanuel ROZAN et Charles PEGUY ont perdu la vie au champ d’honneur : « Heureux ceux qui sont morts dans une juste guerre … » avait écrit le lieutenant PEGUY quelques années auparavant, avant d’avoir dit à ses hommes, comme Emmanuel ROZAN : « Baïonnette au canon, et en avant ! ».
Un prénom aux lointaines origines hébraïques…
À qui doit-on la victoire de la Marne ? Aux Russes qui, avançant sur Berlin, ont contraint l’état-major germanique à dégarnir le front occidental pour protéger leur capitale. Mais aussi, à l’arrogance du chef de l’armée allemande : le général Von KLUCK. Sûr de sa victoire, l’officier teuton avait trop détendu ses lignes. Cette victoire glorifia les généraux JOFFRE et GALLIENI qui virent l’erreur allemande et décidèrent de lancer une contre-attaque massive. Et, puis surtout, il y eu la bravoure et le courage des soldats français.
Après avoir reculé en ordre dispersé pendant des semaines face à l’armée d’Outre-Rhin, qui les avait surpris en violant la neutralité de la Belgique, ils se sont arrêtés et sont repartis avec fougue contre l’envahisseur du sol national.
Un membre de l’état-major allemand fit alors cette réflexion : « Que des soldats qui marchaient en retraite pendant des semaines soient encore capables de repartir à l’assaut avec une telle fureur et de culbuter les troupes ennemies, cela nous ne l’avions jamais appris à l’école militaire… ». Un vibrant hommage à ces Français de 1914, les fameux « Poilus ».
Mais, cessons cette digression aux références historiques et revenons à la signification sémantique du prénom Emmanuel. D’où vient-il ? Des Hébreux. Il signifie : « Dieu est avec nous ». Son origine remonte au siège de Jérusalem par les Assyriens en 701 avant J.C.
En bon conseiller du roi de Juda Ezéchias, le prophète Isaïe lui dit : « Avant que mon fils ne soit né, les Assyriens auront levé le siège de Jérusalem. Je l’appellerai Emmanuel car « Dieu est avec nous »… ».
Se sentir investi pour relever les défis…
Les Allemands arboraient sur leur ceinturon les mots suivants, « Gott mit uns », soit une traduction littérale de cette même expression, exhumée de la nuit des temps.
Comme l’a dit avec ironie VOLTAIRE, après un « te deum » à Notre-Dame de Paris pour remercier le divin Créateur d’une victoire : « En général, Dieu est avec les gros bataillons contre les petits… ».
En fait, il semblerait que Dieu n’a rien à voir avec nos misérables instincts génocidaires. Les batailles sont gagnées par les armées dont les chefs ont le coup d’œil. Dont les officiers font montre d’exemplarité. Dont les hommes font preuve de courage et d’abnégation.
Comme exprimé dans la précédente tribune, nous menons aujourd’hui la Troisième guerre mondiale en ces périodes troubles. Le conflit est d’un genre nouveau : c’est une guerre économique et technologique. Allons-nous avoir enfin un sursaut comme les soldats de la Marne pour y faire face ?
Encore faut-il que les « officiers » du pouvoir qui se sentent investis d’une mission où l’implication est reine, ne désarment pas dans les semaines et mois à venir.
Sinon, les « hommes du rang », au lieu de mettre baïonnette au canon, continueront à revêtir des gilets jaunes afin de protester inlassablement. Même si, notre président de la République porte fièrement un prénom qui lui rappelle chaque jour que « Dieu est avec lui… ».
Emmanuel RACINE
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Pôle Emploi retrouve le sourire grâce à l’érosion du nombre de demandeurs d’emploi dans l’Yonne…
mars 01, 2019Le nombre de retours à l’emploi de plus d’un mois est en augmentation dans le département de l’Yonne. En l’espace d’une année, la statistique dévoilée par le directeur général de Pôle Emploi Yonne, Yves HUTIN, est sans équivoque : + 1,91 % de mieux par rapport à l’exercice antérieur. Près de vingt mille personnes (19 298 précisément) ont repris le chemin du travail, profitant d’une reprise économique qui s’amorçait déjà depuis le premier trimestre 2018. Face à cette configuration conjoncturelle inédite et plutôt orientée vers le positif, 44 % des demandeurs d’emploi accèdent au marché du travail dans le semestre suivant leur inscription. Encourageant pour l’organisme de l’Etat, même si beaucoup de choses restent encore à faire…
AUXERRE : Les derniers indicateurs de Pôle Emploi apportent une véritable bouffée d’oxygène pour celles et ceux qui doutaient encore de pouvoir sortir un jour de l’ornière professionnelle dans laquelle ils étaient embourbés. Indubitablement, le taux de chômage diminue en Bourgogne Franche-Comté, y compris sur le territoire de l’Yonne.
Près de vingt mille « chercheurs » d’emploi sont retournés en entreprise pour y exercer leur savoir-faire, entre les mois d’octobre 2017 et septembre 2018. Un chiffre dont le directeur général de l’institution dans le département se satisfait. D’ailleurs, à l’analyse des derniers chiffres, Yves HUTIN confirme que quatorze indicateurs de résultat, propres à évaluer la performance de l’organisme, s’orientent dans la même direction. Ils bonifient et accréditent le travail de fourmi des conseillers en matière d’accompagnement professionnel et du placement en entreprise. Même le volet de l’indemnisation des allocataires vire au vert.
Côté recrutement, la tendance demeure saine avec une hausse enregistrée tant au plan régional que départemental pour l’Yonne. A contrario, mais ce n’est guère une surprise, un léger tassement s’amorce autour de l’emploi salarié.
Multipliant les actions (plus de quatre-vingts depuis septembre 2018), Pôle Emploi ne demeure pas les deux pieds dans le même sabot pour trouver des préconisations fiables et pérennes à son public.
Petit déjeuner avec des employeurs, information collective sur certaines filières (espace vert, vie scolaire…) ou la découverte approfondie des métiers du transport sont autant d’animations concrètes qui ont engendré de bons résultats dans l’une des différentes agences du territoire.
Certaines d’entre elles ont su profiter de l’opération « Vers un métier » pour tirer leurs résultats vers le haut. Incitant des candidats à bénéficier d’une formation (14 %) ou à entrevoir une porte de sortie honorable vers la vie active en trouvant un job (37 %).
De sérieux besoins dans l’industrie et le secteur de l’aéronautique…
Que l’on ne s’y trompe point. 66 % des opérations menées par le partenaire à la recherche d’emploi concernent justement le recrutement. Contre 22 % d’initiatives de découverte des secteurs professionnels et des métiers. Le reliquat étant affecté à la promotion de l’offre de formation, indispensable pour acquérir les rudiments nécessaires à certaines typologies de postes.
Cinq secteurs économiques proposent une réelle dynamique d’intégration des candidats à l’emploi : l’industrie, le transport, l’hôtellerie-restauration, le commerce et le bâtiment. Rien que le secteur du transport offre 60 000 postes à pourvoir de suite en France ! Mention particulière, également, pour la filière aéronautique dans l’Yonne. Une convention de partenariat a été établie avec les services du Pôle de formation des industries technologiques 58/89 et l’Union des industries de la métallurgie. Elle favorise le renfort des effectifs au sein du groupement aéronautique départemental, GISAERO. De nombreuses offres sont encore vacantes.
Conserver son employabilité à tout prix…
Pour faire taire les idées reçues, la grande majorité des demandeurs d’emploi, c’est-à-dire 95 % d’entre eux, démontrent qu’ils sont bel et bien en quête d’un travail. 40 % sont inscrits depuis plus d’un an au chômage, alors qu’un quart de ces personnes le sont depuis deux ans.
Mais, quatre personnes bénéficiaires de l’assurance chômage sur dix intègrent l’épineuse catégorie des demandeurs d’emploi de longue durée. Agées de cinquante ans, elles entrent dans une tranche de vie où il est difficile d’occuper encore une place au soleil dans le système économique et social actuels. Pourtant, la valorisation des compétences représente une clé de voûte à vendre auprès des entreprises. Car, 60 % des dirigeants de société considèrent que le comportemental est de loin nettement plus en phase avec leurs besoins après 50 ans.
Les entrepreneurs perçoivent favorablement l’action de Pôle Emploi. Pour 68 % d’entre eux, l’accompagnement via les services ad hoc, les propositions inhérentes autour de la formation de leurs futurs collaborateurs et l’ensemble des prestations conviennent. Soit un satisfecit en augmentation de sept points en l’espace d’un an.
Le taux de satisfaction des demandeurs d’emploi se situe encore plus haut. Il atteint 74 % des intéressés. Et progresse de quatre points depuis le précédent bilan.
Quant au paiement des allocations (une enveloppe annuelle de dix millions d’euros), on constate que les délais sont respectés dans 95 % des cas. Cela représente une sensible évolution de 0,2 point par rapport à l’exercice antérieur alors que la direction départementale vise les 100 % de résultat.
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L’Authentic Les Saveurs en Mouvement : un pari fou et insolite, mais réussi, pour Christian MACARY…
mars 01, 2019Sage conversion professionnelle que celle-ci ! C’est un modèle du genre à expliquer à toutes les personnes en proie aux doutes de l’existence et à dupliquer largement, sans modération, à celles et ceux qui sont en quête d’une nouvelle carrière. La cinquantaine révolue – il a fêté ses 52 printemps en 2018, le néo-chef d’entreprise à la tête de cette société de restauration-traiteur itinérante a su puiser dans son âme profonde les ressources nécessaires et convaincre des partenaires pour se doter d’un attelage économique vertueux et original. Qui lui donne dorénavant des ailes et de l’ambition comme s’il avait toujours vingt ans !
AUXERRE : Ce rêve-là, tout le monde l’a fait, tôt ou tard, dans sa vie. Transformer une passion viscérale, dans le cas présent celle des arts de la table et de la cuisine, en une occupation professionnelle pérenne. Un challenge qui prend aux tripes tant l’envie d’y parvenir est forte.
Pourtant, si cela paraissait simple sur le papier, rien ne prédisposait Christian MACARY, ancien directeur d’agence dans un univers situé aux antipodes de la gastronomie (le nettoyage industriel) de réussir. Car, comme chacun le sait : les rêves ne deviennent pas tous réalité.
Cette conversion professionnelle est le fruit de la pugnacité et du courage. Celui de prendre le futur projet à bras le corps et de le vivre avec sa succession de désagréments si futiles soient-ils : à commencer par suivre des cours obligatoires qui mènent au CAP de cuisinier.
Accueilli au CIFA de l’Yonne, univers pédagogique qui favorise cet état d’esprit de compétiteur qu’il faut posséder avant de créer son entreprise, Christian MACARY s’immerge durant neuf mois dans les méandres de la formation. Aux côtés d’adolescents de 16 ans qui expriment le même désir de réussite que lui ! Un contraste au demeurant singulier mais qui, in fine, s’avèrera très constructif pour le futur dirigeant de la SARL.
Au-delà des 740 heures de ces séances assidues, déclinées en alternance dans plusieurs maisons de la région, le futur entrepreneur, soutenu par sa compagne, Brigitte MANSANI, touche enfin le Graal au terme de l’examen. Un CAP obtenu à 52 ans représente un évènement que l’on ne vit pas tous les jours !
Etre présent là où se déroulent les évènements…
Commence alors la seconde étape conduisant à cette transition professionnelle aboutie. La création de la structure (une SARL), au plan administratif, et surtout l’acquisition du véhicule qui fera office de remorque-cuisine pour accomplir son dessein.
Le jeune diplômé investit 70 000 euros dans l’achat de ce précieux auxiliaire roulant qui lui permettra de sillonner l’ensemble des événementiels de la région pour y proposer ses recettes (succulentes après les avoir goûtées) et ses petits plats, à l’instar de ses œufs en meurette sublimes au palais !
Moderniste, l’entrepreneur dispose avec cet attirail fabriqué au Portugal de tous les ingrédients techniques et du matériel nécessaire pour concevoir une cuisine traditionnelle élaborée. L’Authentic Les Saveurs en Mouvement, puisque tel est la dénomination de cette entreprise, propose aussi de la rôtisserie, des grillades, du snacking, et de la cuisine du monde.
Bref, des saveurs inédites et une formulation éclectique de la cuisine à emporter, façon traiteur itinérant.
Opérationnelle depuis le 03 novembre, la structure de Christian MACARY fait depuis des prouesses gastronomiques et des heureux dans les fêtes familiales, auprès des événements créés par le milieu associatif, les manifestations en entreprise ou les activités de loisirs. Autre cible prépondérante : les marchés et les foires. Où le petit complexe ambulant se distingue aux yeux du public dès sa première vision une fois installé sur la place et par les effluves ô combien sympathiques qui s’en dégagent. Ainsi, le concept peut sustenter jusqu’à 250 personnes lors d’une animation spécifique.
Christian MACARY aura aussi bénéficié durant sa période de pré-installation d’un accompagnement de BGE Nièvre Yonne. Une démarche qui l’a nourrie au plan intellectuel et pragmatique à bien des égards : cela lui a permis de conforter et de valider ses choix qui aujourd’hui éclatent en plein jour…
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Grâce au portage de foncier, le Crédit agricole et la SAFER Grand-Est favorisent l’installation des jeunes agriculteurs
février 28, 2019A l’aide de ce nouveau dispositif, le Crédit agricole et les SAFER, partenaires historiques, renforcent leur soutien aux nouvelles générations dans un contexte de rareté et de prix croissant des terres. Du fait, en partie de l’urbanisation. Quatre caisses régionales de la Banque Verte dont celle de Champagne-Bourgogne ont paraphé cet accord de portage financier du foncier, favorable à l’installation des jeunes agriculteurs…
PARIS : Elément clé du mieux vivre pour la population, l’avenir de l’agriculture passe par sa capacité à assurer la relève des exploitants. Comment ? En soutenant du mieux possible toutes les initiatives prises en faveur de l’installation des jeunes. Mais, la détention d’un capital initial suffisant représente le plus souvent un sérieux handicap. Aussi, le Crédit agricole a voulu réaffirmer sa position de premier financeur de l’agriculture nationale en créant ce nouveau dispositif.
De quoi s’agit-il précisément ? L’établissement bancaire qui accompagne l’installation de huit agriculteurs sur dix en France s’est rapproché de l’un de ses partenaires de toujours, la SAFER. Concrètement, chaque dossier fait l’objet d’une étroite concertation entre les deux signataires de cette convention. La SAFER acquiert le foncier via un financement réalisé par le Crédit agricole qui apporte également une caution bancaire pour le paiement des fermages.
A la suite de cet accord de prêt, la SAFER passe une convention d’occupation précaire des terres. Ainsi, le jeune agriculteur, locataire de la SAFER, exploite le foncier dans le cadre d’une convention d’occupation temporaire allant de cinq à dix ans.
Renforcer l’accompagnement des jeunes exploitants…
Au terme du portage, la SAFER cède le foncier au jeune professionnel à sa valeur d’acquisition, déduction faite des fermages perçus. Mais, en y ajoutant sa rémunération et les frais de partage. Ces derniers comprennent les frais de notaire, ceux du géomètre, les taxes et divers frais financiers.
En outre, et ce au cours des dix années, l’exploitant a toujours l’opportunité de pouvoir racheter le foncier quand il le désire, en une ou plusieurs fois.
Ce dispositif qui a été entériné officiellement le 26 février lors du 56ème Salon international de l’Agriculture Porte de Versailles à Paris, renforce un système d’accompagnement existant, le concept « Installation JA by CA », destiné aux jeunes agriculteurs et mis en place en 2017.
A Paris, au cours de l’évènementiel le plus représentatif du monde agricole, quatre caisses régionales du Crédit agricole (Alsace-Vosges, Champagne-Bourgogne, Lorraine et Nord-Est) ont conclu cet accord en le signant en présence du président de la région Grand-Est de la SAFER. Damien CONTAT, vice-président du Crédit agricole Champagne-Bourgogne, représentait notre entité régionale.
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