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Une dizaine de membres de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne n’a pas hésité à braver la chaleur matinale, déjà excessive d’une énième journée caniculaire pour se réunir dans l’un des salons de l’Hôtel Le Normandie à Auxerre. Objectif pour ces entrepreneurs rafraîchis par une appréciable climatisation : analyser les conséquences d’une faute inexcusable ou intentionnelle mettant leur responsabilité professionnelle en jeu…
AUXERRE : Thématique de cette demi-journée de travail qui se voulait studieuse : la faute inexcusable ou intentionnelle. Celle qui peut induire la responsabilité professionnelle de l’employeur en cas de procédure juridique.
Programmée dans le cadre des sessions de formation et d’information sur la prévention des risques professionnels, cette séance instructive bénéficiait du concours financier de la branche AT-MP de la Caisse nationale d’Assurance maladie des travailleurs salariés.
Accueillis par la secrétaire générale de l’antenne icaunaise de la CPME, Emmanuelle MIREDIN, les participants de ce module, une fois dégustés leurs croissants, se plongèrent dans le cours magistral assuré par Me Valérie GUICHARD. L’avocate du cabinet BARTHEMELY de Paris eut tôt fait de leur fournir de précieux renseignements sur les caractéristiques de ces fautes et leurs conséquences.
De manière à mieux s’en prémunir dans le cadre d’une démarche de prévention aux risques professionnels. Gratuit, ce cycle pédagogique prenait en compte les précisions fournies par la jurisprudence la plus récente.
Rappelons que la responsabilité de l’employeur peut être recherchée dans le cadre de ces fautes. Ce qui a pour conséquence directe d’engendrer une indemnisation complémentaire de la victime à la charge de l’employeur. Indépendamment des conséquences pénales requises et qui peuvent survenir sur la base des délits non intentionnels.
Le 26 septembre, un nouvel atelier sera proposé aux adhérents de la CPME sur la prévention du harcèlement au travail. D’ici là, la trêve estivale s’appréciera à sa juste valeur !
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Ultime cérémonie protocolaire pour le directeur de la Sécurité publique Thomas BOUDAULT…
juin 25, 2019A quelques heures de la réception officielle dans les salons de la préfecture de l’Yonne qui scellera son départ sous d’autres cieux, avec à la clé une promotion professionnelle, le directeur départemental de la Sécurité publique, Thomas BOUDAULT, a effectué un dernier tour de piste cérémonial en apposant sa griffe au bas de la convention de partenariat avec le bailleur social, DOMANYS…
AUXERRE : D’ordinaire, il est toujours affublé d’une veste et porte la cravate réglementaire. Toujours tiré à quatre épingles et éminemment sérieux, le directeur départemental de la Sécurité publique de l’Yonne.
Serait-ce les effets calorifiques de la canicule ambiante ou une légère entorse au port vestimentaire usuel, toujours est-il que le personnage qui incarne le mieux la sécurité en zone police et le rejet des zones de non-droit dans les quartiers est apparu en version décontractée.
Alors qu’il allait apposer sa signature au bas de la convention de partenariat, autour de la sécurité, établie entre l’Etat, représenté par le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, et le bailleur social de l’Yonne, DOMANYS, présidé par Patrick GENDRAUD, chef de file du pouvoir exécutif départemental.
Lui-même, Thomas BOUDAULT puisque c’est de lui qu’il d’agit, s’en est étonné au terme de la manifestation ! Nous gratifiant au passage de cette pointe humoristique qui le caractérise, pour celles et ceux qui auront eu le plaisir de le côtoyer dans son sillage depuis tant d’années.
Thomas BOUDAULT, et ce n’est plus un scoop, devait préciser au terme de l’évènementiel que c’était là son ultime contribution officielle en sa qualité de directeur départemental de la sécurité dans l’Yonne.
Promu à une autre carrière, toute aussi passionnante mais avec une responsabilité accrue (notre homme a été nommé divisionnaire dans le département de l’Essonne), Thomas BOUDAULT tire donc un trait, peut-être définitif quoique…, sur sa carrière professionnelle, vécue avec satisfecit et le devoir accompli sur notre territoire.
Le préfet de l’Yonne Patrice LATRON et l’ensemble des milieux institutionnels, politiques et économiques lui rendront un vibrant (sans aucun doute émouvant) hommage lors d’une réception, placée sous le sceau de la solennité, ce mercredi en fin d’après-midi dans les salons de la préfecture.
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Les locataires, grands bénéficiaires de la convention de sécurité signée entre l’Etat et le bailleur social DOMANYS
juin 25, 2019La précédente convention de sécurité établie avec les forces de l’ordre et le bailleur social datait de 2012. Un delta temporel qui était devenu trop important pour qu’il soit encore applicable aujourd’hui. Obsolète, le document supposait un réel dépoussiérage de la part de ses instigateurs. D’autant que bien des aspects, tant réglementaires qu’opérationnels sur l’organisation des échanges entre les différents partenaires, ont subi de profondes modifications depuis la mouture originelle de ce traité visant à rassurer les locataires…
AUXERRE : La signature de cette convention de partenariat entre les services de la préfecture, les forces de l’ordre et le bailleur social n’avait pas en apparence le goût de la nouveauté. Une impression qui fut très vite corroborée par le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD, lui-même. Il devait le préciser dès les premiers mots de sa prise de parole.
« C’est plutôt un renouvellement de convention que nous entérinons aujourd’hui avec le préfet de l’Yonne et les représentants des forces de l’ordre… ».
L’acte 1 avait eu lieu, il est vrai, en 2012. Depuis, le texte initial n’était plus au goût du jour. Logique, bien des aspects réglementaires et fonctionnels sur les échanges entre les différents partenaires se sont modifiés au fil du temps. D’où l’indispensable nécessité de procéder à cet acte 2.
Qu’importe la forme, cependant, puisque le fonds (la raison d’être de ce nouveau paraphe) demeurait le même. C’est-à-dire l’amélioration de la qualité de vie des locataires du bailleur social parmi les habitations et immeubles gérés par ses soins.
Optimiser les coopérations entre tous les signataires…
Siégeant aux côtés du représentant de l’exécutif de l’Yonne à la tribune, le préfet Patrice LATRON évoqua les principes essentiels de cette convention.
« Nous considérons que les bailleurs sociaux agissent au quotidien en qualité d’acteur majeur de la sécurité. Leur présence dans les quartiers est tangible. Leur rôle est primordial pour préserver la cohésion sociale… ».
Alors que l’Etat injecte aujourd’hui des milliards d’euros pour assurer la déconstruction des vieux ensembles immobiliers érigés dans les années 70, la préfecture, elle, veille au grain. Pour garantir et optimiser les notions sécuritaires au plus près des logements sociaux, parfois sources de problématiques.
« C’est pourquoi, renchérit Patrice LATRON, je suis heureux de signer cette convention de sécurité qui prévoit aussi en parallèle une concertation en termes de construction et d’amélioration de ces logements avec les acteurs dédiés. Car, pour ma part, il n’y a aucun doute : la sécurité conditionne le bien-être des habitants… ».
Au-delà de ces considérations, les objectifs poursuivis par cette coopération permettront de faciliter l’accès au patrimoine immobilier du bailleur aux forces de l’ordre. Dans le cadre de la police du quotidien, qui a pris forme depuis plusieurs mois avec le développement de la participation citoyenne. Et Patrice LATRON de rappeler, à propos de ce sujet, que le département de l’Yonne se classait le premier de l’Hexagone pour sa densité.
Avant qu’il n’en appelle à l’ensemble des bailleurs sociaux de souscrire cette convention, gratuite, pouvant améliorer la sécurité des locataires.
Ce plan d’actions qui contient ce volet spécifique des partenariats s’est aussi converti en 2016 par la désignation d’un chef de projet, devenu un référent dans le domaine de la sûreté, Christian CHALONS, responsable de territoires.
Les autres signataires de cette convention ont pu également s’exprimer lors de cette cérémonie protocolaire.
Directrice générale de DOMANYS, Karine LASCOLS a précisé se sentir plus forte grâce à ce type de partenariat. Tandis que le directeur départemental de sécurité publique, Thomas BOUDAULT, se montra satisfait de cette opportunité.
« Avec ce dispositif, nous instaurons un climat de sécurité où les zones de non-droit ne sont pas autorisées… ».
Le dernier commentaire émana du colonel Rénald BOISMOREAU, commandant du groupement de la Gendarmerie nationale. Ce dernier constata que l’incivilité connaissait une nette régression depuis que les échanges se formalisaient sur le terrain avec le référent de sûreté.
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Ferroviaire : Guillaume LARRIVE (LR) insiste sur la nécessaire amélioration de la ligne Paris-Auxerre-Avallon…
juin 25, 2019Profitant de l’échange entre le président du Sénat, Gérard LARCHER, et les forces économiques de l’Yonne, lors de la visite de ce dernier ce lundi 24 juin, le secrétaire général délégué des Républicains et député de la première circonscription de l’Yonne est revenu le temps d’une brève mais percutante intervention sur une thématique lui tenant toujours à cœur. La mobilité ferroviaire et ses carences coutumières, vécues par les voyageurs entre Paris et la capitale de l’Yonne. Il souhaite que cette liaison reliant la métropole francilienne aux villes d’Auxerre et d’Avallon soit enfin améliorée…pour le confort de tous.
APPOIGNY : « Nos concitoyens doivent pouvoir voyager à l’avenir à bord de trains qui ne ressemblent pas à des bétaillères ! ». La formule s’est voulue tonique. Elle l’aura été afin de bien marquer les esprits des nombreux participants !
Réaffirmant son désir de voir un jour s’améliorer la liaison ferrée entre la capitale de l’Hexagone et deux des villes importantes de notre territoire (Auxerre et Avallon), le député de l’Yonne a profité de la tribune qui lui était offerte par la présence de très nombreux chefs d’entreprise venus échanger avec le troisième personnage de l’Etat pour vilipender le moyen de transport existant.
« Il est impérieux de moderniser la ligne ferroviaire actuelle entre Paris, Auxerre et Avallon, rappela-t-il avec véhémence, les Icaunais qui effectuent régulièrement les navettes vers la capitale méritent autre chose que ces trains sortis d’un autre temps ! ».
Et d’ajouter ensuite que de disposer de véhicules plus confortables et ergonomiques ne seraient pas un luxe pour renforcer le développement de la mobilité ferroviaire.
« Ces wagons devraient même pouvoir bénéficier des nouvelles technologies usuelles ! ». Faisant référence à la WI-FI, indispensable auxiliaire à bord des moyens de locomotion.
Concernant l’ouverture d’une hypothétique TGV dans l’Yonne, Guillaume LARRIVE s’est montré encore plus catégorique et un brin sarcastique : « j’ai 42 ans et je ne verrai pas de sitôt le fonctionnement d’une gare TGV dans notre département ! ». Une conclusion à ses propos prononcée avec une pointe d’humour ironique.
Ajoutant ses propres arguments à ce sujet, Gérard LARCHER rappela que dans pareil cas, « il croyait nécessaire d’utiliser le pouvoir qui sera donné aux régions pour parvenir à ces objectifs de modernisation ».
Citant au préalable des exemples concrets qu’il a eus à observer récemment en Normandie ou dans la région Centre. Et le président du Sénat de résumer sa prise de parole : « de toute façon, c’est un vrai sujet de décentralisation... ».
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Ils ont des comptes à rendre à leurs électeurs : les politiques doivent faire montre d’exemplarité !
juin 24, 2019Comme Martin Luther KING, ai-je fait un rêve ? Avez-vous déjà vu ces images choquantes, tournées lors de certaines sessions de l’Assemblée nationale au moment de votes sur des sujets qui captent l’attention de l’opinion publique. C’est-à-dire des citoyens. C’est-à-dire de nous. Nous autres qui sommes à la fois les électeurs et les contribuables. L’hémicycle et ses travées sont vides et souffrent de l’absence de nos représentants. Eux, les élus du peuple qui s’expriment en notre nom ! Je rappelle que les contribuables paient l’impôt. Et que celui-ci sert à payer la gent politique à accomplir leurs tâches. Au service des citoyens que nous sommes ! La classe politique a donc des devoirs et des comptes à rendre à son électorat…
TRIBUNE : Cela ressemble à une photo prise sur le cirque de Gavarnie en hiver ! Il n’y a pas grand monde à visualiser sur le cliché. Lors d’un vote récent qui se rapportait à l’intégration des enfants handicapés dans l’enseignement, on a pu constater l’absence éloquente de la plupart des député(e)s. La République En Marche venait pourtant d’obtenir la majorité à l’Assemblée nationale. Mais, ses propres député(e)s n’avaient pas daigné aller voter ! J’avais déjà observé le même vide désolant lors d’un échange sur la formation professionnelle.
Il y avait toujours aussi peu de monde interpellé par ce thème sociétal important dans l’hémicycle que précédemment. Pourtant, dans le chômage de masse, que notre pays enregistre depuis des lustres, tout le monde sait que la formation constitue le socle de base pour sa résorption. Celles et ceux qui ne sont pas assez qualifiés ou doivent se reconvertir en optant pour une nouvelle carrière ont un immense besoin de formation pour s’extraire des limbes inextricables du chômage.
Qu’il s’agisse d’enfants handicapés ou de demandeurs d’emploi, et au vu de ces états de fait, nous pouvons dire que la majorité de ces honorables parlementaires s’en moquent. Triste constat en vérité ! Une question s’impose derechef : pourquoi, à l’instar de 26 millions de Français, ces élus du peuple portés par nos voix ne nous représentent-ils pas et ne vont pas à leur lieu de travail lors de ces sessions si importantes ?
Les élus devraient s’inspirer de ce que vivent les collaborateurs en entreprise…
Que dire du Sénat ? Selon une enquête analytique sur l’assiduité des sénateurs aux séances de cette noble institution, il apparaît ceci : près d’un quart des sénateurs ne sont pratiquement jamais présents au Palais du Luxembourg. Un autre quart effectue des apparitions erratiques lors de certaines séances. Toutefois, la moitié de ces élus intègre la catégorie des assidus. Ce qui est un moindre mal, convenez-en !
Nous savons tous que ces séances proposées dans cet hémicycle feutré et de belle facture (les ors de la République !) ne se réalisent pas à une cadence de stakhanoviste. Franchement, nos sénateurs ne risquent pas d’être victimes de « burn-out » en cette période de canicule !
Maintenant, que se passe-t-il si un ouvrier, un employé ou un cadre de n’importe quelle entreprise ne se rend pas à son travail ? Il doit justifier obligatoirement son absence.
Si cette dernière est motivée par une raison médicale, cela entraîne automatiquement une réduction de son salaire pendant la période de carence. Puis, si la maladie se prolonge et s’il n’a pas la chance d’être dans une entreprise qui complète le montant versé par la Sécurité sociale, son revenu est fortement amputé. Grevant de facto son budget.
Supposons maintenant que cet ouvrier, cet employé ou ce cadre ne vienne pas à son travail et ne justifie pas son absence. Que se passe-t-il ? Eh bien, il est tout simplement viré !
Le songe évanescent d’une nuit d’été…
Alors, je m’interroge une fois de plus : pourquoi les parlementaires qui bénéficient de revenus très élevés, sans omettre des compléments de salaire divers et variés non soumis à l’impôt, constituent-ils une caste à part entière dans notre société ?
Procédons à un petit détour via le Parlement européen. A Strasbourg où bon nombre de politiques se sont empressés d’y avoir un siège après les récentes échéances. En langage populaire, on appelle cela « une bonne gâche » ! La sémantique militaire qualifie cet état de fait de « bonne planque » ! Je vous laisse juge !
Là encore, dans l’hémicycle européen, force est de constater que l’assiduité n’est pas de mise parmi les élites. Une chaîne de télévision allemande a diffusé une séance qui vaut son pesant d’or ! Une scène indécente et qui prête à réflexion en nos âmes et consciences.
Des parlementaires européens, munis de leur esthétique petite valise à roulettes défilaient un vendredi matin près de la pointeuse pour être enregistrés comme étant présents à l’Assemblée européenne. Les journalistes nous en ont donné la raison : « les élus perçoivent une allocation de l’ordre de 350 euros par jour de présence ».
Et puis, hop, comme par enchantement, une fois qu’ils étaient répertoriés et sûrs de toucher « leurs émoluments », sous la forme de jeton de présence, ces derniers repartaient immédiatement dans l’autre sens afin de profiter d’un agréable week-end prolongé chez eux à nos frais !
Comme le regretté Martin Luther KING, « j’ai fait un rêve ». Celui que tôt ou tard, les élus de la République devenaient tous des modèles de vertu en étant l’exemplarité incarnée de ces valeurs sociétales que nous chérissons tous ! A commencer par la probité...
Oui mais voilà, après avoir visionné ces images déconcertantes de la chaîne allemande, je me suis réveillé et la réalité m’a rattrapée. Ce n’était qu’un songe. Ephémère comme l’insouciance de nos jeunes années à jamais disparue…
Emmanuel RACINE
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