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Une première boutique ouvre à Sens : KAYSER France taille patron dans ses projets de développement…
septembre 25, 2019La société manufacturière de textile chilienne pose enfin ses jalons en Europe. Par l’entremise de sa toute nouvelle filière hexagonale dont la gestion et le rayonnement incombent à un jeune entrepreneur âgé de 22 ans, Alexis AUSTRUI. Ce dernier voue une passion sans borne pour la mode. Elle lui a été transmise par son père qui a consacré sa vie à promouvoir ce segment d’activité. Des ingrédients qui s’ajoutent à une rencontre fortuite vécue dans le pays bordant la Cordillère des Andes et qui aboutissent à l’ouverture de la première vitrine commerciale dans le Sénonais…
SENS : Particularisme de la chaîne sud-américaine et ce qui l’a différencie de ses autres concurrentes : ses commerces spécialisés dans la vente de prêt-à-porter et de sous-vêtements englobent tous les univers consuméristes en un même lieu. Ainsi, dans une surface de vente identifiée selon des typologies spécifiques, le consommateur pourra tout à loisir assouvir sa quête d’achat que ce soit pour ses enfants, son conjoint(e) ou pour lui-même. Sachant qu’une grande variété de produits manufacturés au Chili y est commercialisée à des coûts modiques tout en se préjugeant d’une certaine qualité.
C’est ainsi que s’est bâtie la solide notoriété de ce groupe apparu en 1880 à Santiago-du-Chili. Son fondateur historique, Julius KAYSER, pourrait être fier de sa progéniture au vu du succès rencontré par l’enseigne. Présente dans une trentaine de pays, mais encore peu implantée en Europe, KAYSER se devait tôt ou tard de franchir le Rubycon sur le sol français.
Il aura fallu d’un voyage d’affaires dans le pays des lamas en 2017 pour que le jeune entrepreneur français, Alexis AUSTRUI, ne revienne de ce charmant pays si pittoresque avec une idée géniale dans sa besace. Implanter la marque sous le mode opératoire de la franchise et ensuite la développer aux quatre coins de l’Hexagone, et plus si affinité !
Une licence d’exploitation valable dans de nombreux pays européens…
Muni d’un contrat établi en bonne et due forme, le jeune homme, originaire de l’Yonne, titulaire d’un BTS Banque et assurance, c’est-à-dire aux antipodes de sa nouvelle carrière, possède l’exclusivité nationale. De surcroît, il a ajouté d’autres nations dans son bas de laine : celles de la péninsule ibérique mais également la Belgique, l’Italie et le Luxembourg.
La première boutique à l’emblématique couleur rose (ce sont les coloris du groupe KAYSER au Chili mais il existe aussi des versions de magasins en bleu) ouvrira sa devanture d’ici quelques jours. Localisée Grande rue, et d’une superficie de cinquante mètres carrés, elle y accueillera Delphine, fraîchement embauchée au poste de vendeuse.
Là, la clientèle découvrira une gamme de produits catalogués dans la catégorie des sous-vêtements : collants, bas, pyjamas, nuisettes, slips, culottes, soutien-gorge,…bref, il y en aura pour tous les goûts et à tous les prix !
Gérant de la SARL au capital de 8 000 euros, Alexis se fixe des objectifs très précis au niveau de l’évolution de la marque. Primo, il est déjà en quête de futurs partenaires pour déployer le maillage de la franchise au niveau national. Une première cible pourrait être identifiée à Lille, bastion historique du textile en France.
A cinq ans, l’ambitieux entrepreneur se voit à la tête d’un réseau de boutiques oscillant entre 25 à 40 unités sur le territoire français mais aussi dans les pays dont il possède la licence d’exploitation.
Le projet aura vu le jour grâce au coup de pouce indispensable donné par INITIACTIVE 89, la structure associative icaunaise qui accompagne les porteurs de projets dans leur développement.
Une prise de contact avec l’un des spécialistes de la création d’entreprise, Julien LACOMBE, aura permis à Alexis AUSTRUI de valider ce rendez-vous opportun en un salvateur prêt d’honneur qui sera complété par un prêt à taux zéro. Une enveloppe globale de 15 000 euros indispensables à l’agencement du commerce et à l’achat du stock.
Un article réalisé avec le partenariat de l'association INITIACTIVE 89...
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Crescent MARAULT sort de son silence : révélations d’un candidat discret mais pas secret sur sa future stratégie…
septembre 25, 2019Candidat déclaré aux municipales dès le mois de janvier, le porte-étendard du centre droit et des Républicains s’est depuis montré relativement discret, voire un peu en retrait de la sphère publique et médiatique. Un choix stratégique que l’intéressé assume en son âme et conscience. Il avoue de ne pas être un fervent adepte de l’hyper communication à tout crin, ni de la gesticulation inutile. Pour autant, cela ne nuit pas à l’avancement de son projet qu’il peaufine de manière besogneuse avec sa garde rapprochée. Il entend d’ailleurs l’élargir au plus grand nombre pour être fin prêt, deux mois avant l’échéance du scrutin, c’est-à-dire dès le début de la campagne officielle…
AUXERRE : A celles et ceux qui se poseraient la question sur la relative discrétion du candidat aux prochaines municipales, Crescent MARAULT ne répond que par une seule affirmation : « avec mon équipe, nous travaillons ! ».
Chef de file de la liste « Auxerre au Cœur », l’actuel maire de Saint-Georges-sur-Baulche vit cette période pré-élective en vrai sportif qu’il est, comme un parcours d’endurance.
Une course de fond où il serait prématuré de brûler toutes ses cartouches énergétiques en occupant trop tôt le devant de la scène. Sage stratégie qui ne l’a pas occulté néanmoins des débats actuels, puisque son nom circule à qui mieux mieux dans les alcôves du microcosme politique.
Bref, l’art et la manière de se faire oublier des péripéties politiciennes habituelles et des supputations les plus folles afin de se concentrer uniquement sur sa feuille de route : celle qui doit conduire son projet au sommet de l’affiche. Du moins, l’espère-t-il…
Entrepreneur dans la vie civile, l’élu icaunais n’en est pas moins un vrai meneur d’hommes inféodé aux principes du management. Son équipe qui le suit depuis plus d’un semestre collabore étroitement à son projet. « Ce sont de véritables ambassadeurs, lâche-t-il le sourire en coin, c’est-à-dire des personnes inquiètes pour le devenir de leur ville, qui veulent analyser ce qui se passe pour mieux comprendre la réalité avant de se prononcer autour d’un diagnostic et faire essaimer des préconisations… ».
Quant aux thèmes de prédilection sur lesquels ces personnes travaillent, ils sont éclectiques : économie, emploi, innovation, tourisme, mobilité, stationnement, environnement…
A ce propos, Crescent MARAULT ironise sur les élus qui prennent des arrêtés contre les pesticides à 150 mètres des habitations. « C’est parfaitement démagogique et mesquin de leur part, alors qu’il serait plus judicieux de ne pas prendre de telles décisions arbitraires sans aucune concertation et de réfléchir en amont comment améliorer les choses en matière d’environnement… ».
La problématique de l’eau et sa potabilité inquiète le quadragénaire qui fait de ce sujet l’une de ses priorités environnementales.
Constatant un manque « cruel » de créativité et d’innovation sur le vivre ensemble, le porte-voix du centre droit et des Républicains désire s’appuyer sur le tissu associatif qu’il soit sportif et culturel.
« Il y a là un terreau de concertation à construire, à mutualiser alors que cela n’existe pas à l’heure actuelle. Le vivre ensemble est une valeur que je défends car cela traduit la volonté de pouvoir se parler, s’écouter et construire dans un esprit de citoyenneté… ».
Sécurité et démocratie participative : des thèmes importants…
Quant au volet sécuritaire, le principal adversaire de l’édile actuel se dit confiant dans le mode de traitement des incivilités qui ne cessent pourtant de croître.
« Lorsque j’ai fait acte de candidature pour ce prochain mandat électoral, confie-t-il, je ne pensais pas que les problématiques occasionnées par l’insécurité avaient atteint de tels sommets sur Auxerre. Toutefois, je voudrais rassurer celles et ceux qui en subissent les aléas. Il existe une batterie de solutions, de nouvelles technologies, un modernisme avéré sur le sujet. Je ne déflorerai pas volontairement le contenu de nos priorités mais je sais qu’il faudra faire face à cette forme de légèreté incompréhensible à la limite du laxisme que j’observe au quotidien dans la gouvernance actuelle de ce territoire qui n’ose prendre des actes courageux… ».
Décochant une première flèche en direction du camp d’en face, Crescent MARAULT en sort immédiatement une autre de son fourreau pour aborder un autre item qui lui tient à cœur : celui de la démocratie participative.
« Il y a un réel problème de représentativité au sein de l’Agglomération, observe-t-il, l’avenir de cette institution passe par un renouveau de sa modernité, mâtiné de concertation et de débats…Bref : il nous faut recréer l’agora, chère à la civilisation hellénique… ».
Serait-ce son approche des milieux économiques qui lui intime d’agir en ce sens, toujours est-il le candidat rugbyman souhaite doter l’outil institutionnel d’indicateurs de performance. Histoire de vérifier et contrôler l’efficience des résultats.
« Toutes les grandes organisations entrepreneuriales disposent d’indicateurs de performance, alors pourquoi pas nous ? ».
Une liste d’ambassadeurs qui se peaufine de jour en jour…
Plus disert sur la composition de sa future liste, Crescent MARAULT avoue que l’équipe n’est pas encore identifiée. « Une chose est sûre, ajoute-t-il, le sens vertueux des relations humaines y prendra un grand intérêt autour de la parité, et de la représentativité faite dans ce projet d’amélioration de la ville. Son management sera souple, agile, dynamique… Ce sera une liste de rassemblement entre des composantes de LR, UDI et du centre droit. En aucun cas de prête-noms qui viendraient y chercher un intérêt personnel. Dans ce cadre-là, les enjeux, c’est la ville… ».
D’une largesse d’esprit qu’il revendique, le candidat, adoubé par l’un des ténors de la droite républicaine dans l’Yonne le député Guillaume LARRIVE, peut discuter lors de ses conciliabules constructifs avec l’homme fort du mouvement écologiste. « Echanger avec Denis ROYCOURT, ce n’est pas un problème… ».
Mais, réaliste, il ponctue sur le sujet tout de go, « pour nous l’environnement ne se vit pas avec un grand E idéologique mais il se pratique dans les faits au quotidien… . Nous voulons être capables de faire rimer écologie à économie… ».
Parmi ses autres priorités, le prétendant à l’hôtel de ville d’Auxerre veut déployer le plus vite possible la nouvelle technologie dans l’Auxerrois.
« C’est extraordinaire, souligne-t-il, le WI Fi ne fonctionne pas dans le centre-ville alors que nous sommes reconnus comme une cité de tourisme d’excellence. Il est nécessaire de parler aussi de l’intelligence artificielle et de ses conséquences imputables sur le business… ».
Créer de l’évènementiel, trouver un projet culturel ayant une approche transversale ou accueillir les investisseurs qui vont fuir le BREXIT en s’installant à Paris pourraient profiter à Auxerre et son agglomération où le coût du foncier est nettement moins onéreux.
« On a refusé d’avoir des liens étroits avec le « Grand Paris », il nous faut pourtant renforcer ces pistes de développement vers la capitale. Je crois aussi à la nécessité de nous rapprocher des parlementaires qui agissent au nom de Etat et de l’Europe, afin de porter vers le débat national des enjeux qui nous portent, c’est cela aussi le corollaire de la notion d’ambassadeurs… ».
Se définissant comme un non-professionnel de la politique, Crescent MARAULT désire partager une vision réaliste du territoire en tant que simple élu.
« Je n’éprouve aucun stress, conclut-il, juste cette volonté qui est mienne de vouloir convaincre les Auxerrois de tracer une nouvelle route pour les deux décennies à venir… ».
D’ailleurs, s’il occupe à l’issue du scrutin le fauteuil de maire de la capitale de l’Yonne, le nouvel édile continuera d’exercer une activité professionnelle. « Ce sera une vraie bouffée d’oxygène qui me ramènera vers la réalité du quotidien et celle de nos concitoyens, et me permettra d’éviter de sombrer dans l’entre soi… ».
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La méditation se développe de plus en plus en entreprise : essayer, c’est l’adopter !
septembre 25, 2019Cette réflexion à l'harmonie s'édifie il y a plus de 5 000 ans en Inde par une ouverture d'esprit au mieux-être. Cette rencontre à soi la relaie également dans une approche philosophique orientale : « tout être et les choses sont constamment en mouvement et en perpétuel changement ». C'est une alliance à l'apaisement entre le corps et l'esprit, face aux intempéries de la vie. Très répandue aux Etats-Unis et dans les pays nordiques, la méditation s'infiltre de plus en plus dans « l'air » de tous nos champs de conscience. Y compris en entreprise…
TRIBUNE : La méditation pondère le superflu. Elle se distingue dans différents canevas de vie. Sa pratique permet de se positionner dans le quotidien, à l’expansion du bien-vivre dans les entreprises et dans une démarche plus innovante mais encore réfractaires dans des structures scolaires.
Dans une démarche individuelle, face à un mental ou un environnement trop « bruyant », l'esprit se galvanise de douceur et de tempérance. La méditation a ce potentiel, dans un timing plus ou moins long, à une prise de distance partielle mais salutaire pour temporiser ce brouhaha intérieur.
Cet axe de détente se planifiera à tout moment de la journée, en fonction des attentes et des besoins de chacun et de leur challenge à se fourvoyer de leur forme pensées envahissantes.
Telle une promenade fusionnelle à la sagesse et à la tempérance de ses différents sentiments, la méditation ajourne et aplanit un conflit en appuyant momentanément sur « Reset ». Elle se conditionne au lâché prise en s'octroyant quelques minutes de relâchement, en imaginant un environnement apaisant ou en se baladant consciemment à l’affût du moindre mouvement.
Le recueillement à soi s'invite pour reprendre un souffle de vie, une réflexion à l’harmonie pour un équilibre ajusté à ses propres désirs. Il lie pour un instant tout un ensemble de paramètres à être.
Des grands groupes l’ont testée à l’instar de rares établissements scolaires…
Dans le cadre où l'entreprise aborde la valeur travail et le bien-être de ses salariés, la pause méditation peut s'imposer. En 2012, une école de management crée une chair « mindfullness, bien-être au travail et paix économique » où de grands groupes comme L’OREAL ou EDF en ont fait leur cheval de bataille.
Cette solution à l'introspection propose un état des lieux de son corps et de ses émotions. Cette clarté optimise les performances des salariés. Là, le jeu « gagnant-gagnant » prend enfin tout son sens. Un salarié apaisé et relaxé aura une prise de recul et un angle de vue différent à une problématique pesante. Le savoir-être est le vecteur d'un savoir-faire épanouissant. Combiner cette méthode à son activité salariale peut ergonomiquement soulager mentalement une logistique souvent contraignante.
Sur le banc de l'école, la méditation s'invite encore très discrètement dans nos sphères institutionnelles. En 2017, une soixantaine d’établissements français du primaire au lycée pratique le « mindfulness ». Et notamment un collège dans le nord de l’Hexagone qui a remplacé les heures de retenue par cette pratique.
De plus, envers ces bambins peu influencés au diktat de la vie, la méditation va leur apporter une valeur ajoutée aux capacités d'apprentissage et d'attention. Un temps de pause va initier l'enfant à une écoute et une sérénité plus orientée à l’accalmie. Que ce soit dans une démarche alignée à du silence ou de pleine conscience, l'élève ressentira moins d'anxiété, de stress et l'ambiance générale de la classe s’harmonisera à cette éthique.
Catalyseur au bien-être et à la quiétude, la méditation a une démarche thérapeutique au relâchement pour un retrait. Elle temporise une conscience à des problématiques environnantes et latentes. Remède à un vague à l'âme par un voyage intemporel dans le silence, elle se fourvoie de la peur pour se mesurer en toute conscience à sa confiance. Elle chemine doucement et en toute pondération vers un état d'être à soi « m'aime ».
Alors que vous soyez dirigeants de grands groupes ou de PME, êtes-vous enfin prêts à vous relaxer, inspirez et expirez pour le bien-être de vos collaborateurs et de vous-même ?
Lyvia ROBERT
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Les essais JEANNIN Automobiles rencontrent le succès : le plaisir de piloter à l’état pur sans mordre la poussière !
septembre 24, 2019Des bosses, un dénivelé impressionnant, de puissants véhicules issus de la grande famille des 4X4 et des SUV à découvrir, de l’affluence et une ambiance festive : il n’en fallait pas davantage pour transformer ces essais privés 2019, concoctés par le groupe automobile régional, en une véritable réussite…
BRIENON : Il n’y a pas à dire mais le milieu de l’automobile passionne toujours les foules. De surcroît lorsqu’il s’agit de venir tester sur un terrain de circonstance le dernier cri en la matière, les tonitruants 4X4 et SUV produits par des marques emblématiques telles que VOLKSWAGEN, AUDI, NISSAN ou SKODA.
Le circuit, tout d’abord, n’était fait que de montées et de descentes à tout crin pour laisser libre court à l’art et la manière de piloter ces petits bijoux de technologie et de puissance confiés aux mains expertes des collaborateurs de l’hôte de ces lieux.
Le public ne pouvait rêver mieux pour pouvoir s’éclater en toute impunité sur cet espace réservé à cet effet. Opportunité de vivre d’agréables sensations de liberté, d’apprécier la nature sous une toute autre physionomie et d’évacuer le quotidien composé des miasmes de la vie ordinaire. Bref, ce grand bol d’oxygène placé sous le signe du soleil et de la chaleur nous le devions au réseau de concessionnaires, JEANNIN Automobiles.
Chaque année, à pareille époque, celle qui jouxte l’un des évènements majeurs de l’actualité motocycliste de notre territoire, le « Super Cross », Yves JEANNIN et ses troupes de techniciens et de commerciaux emmènent tout ce petit monde (la clientèle et les prospects) se refaire une virginité « mécanique » à base de sensations fortes sur ce complexe sportif idéalement étudié à cet effet.
Plus de mille six cents participants conviés à la fête…
Et la finalité de la chose en matière de communication, c’est que la formule, dupliquée par capillarité depuis des lustres, fonctionne à merveille ! Excusez du peu : mais, quel événementiel automobile décliné dans notre paysage territorial peut fédérer aujourd’hui plus de mille six cents participants sur un laps de temps aussi court, compris entre seize heures et vingt-trois heures un après-midi ?
Bien sûr, il y aura peut-être eu quelques frustrations parmi ce public d’aficionados de ces marques. Celle de ne pas avoir eu le temps de toutes les essayer, accompagnés des pilotes de l’entreprise !
Certains se rabattront sur les ateliers et stands démonstratifs prévus à cet effet. D’autres, accompagnés de leur progéniture, se dirigeront tout de go vers les structures gonflables. Quelques-uns, un tantinet plus courageux que d’autres, iront même tester leur capacité physique et de résistance sur des cycles d’entraînement sur l’un des points d’accueil que SKODA propose au village étape du Tour de France.
Une chose est évidente : chacun aura envie de revenir dès la saison prochaine tester les nouveautés du groupe avant de se sustenter aux sonorités musicales d’une formation endiablée. Faisant rimer découverte de l’observation et aux plaisirs de goûter aux bonnes vibrations !
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Partenaires pour la vie ? La CAPEB et LDS renouvellent leur accord sous le sceau de l’intelligence et la confiance…
septembre 24, 2019La convention de partenariat qui unit l’organisation patronale des petites entreprises de la filière du bâtiment et la société d’expertise comptable se proroge jusqu’en décembre 2020. Ce partenariat met en exergue la confiance, la proximité et l’envie de mutualiser des opérations communes. Dans l’intérêt des entrepreneurs de ce secteur d’activité qui bénéficie d’offres privilégiées…
AUXERRE : Proximité et confiance ! Ces mots résonnent de manière très significative aux oreilles des deux signataires de cette convention de partenariat qui renouvelaient la semaine dernière l’acte originel de leur rapprochement, paraphé en 2017.
La Confédération artisanale des petites et moyennes entreprises du bâtiment de l’Yonne (CAPEB) instruit chaque saison une noria d’accords participatifs dans l’intérêt de ses adhérents.
Proposer des relations privilégiées avec tout ce qui compte comme vecteurs de développement économique sur son territoire n’est donc pas une surprise en soi pour l’organisation professionnelle.
La présente convention, conclue avec la société d’expertise comptable LDS, n’est in fine qu’une stricte application de cet axe volontariste à vouloir tisser des liens forts et aboutis avec les composantes stratégiques d’un environnement sectoriel préférentiel.
Sous le signe de la dualité optimale dans leurs relations, Jean-Pierre RICHARD, président de la CAPEB de l’Yonne et la directrice de LDS Auxerre, Sophie DESCHAMPS, ont apposé leurs griffes au bas d’un document contenant une demi-douzaine de pages.
Pour faire simple, l’objet de cette convention s’articule autour de l’apport mutuel d’affaires, la conception d’actions communes en faveur des entreprises du bâtiment, et surtout d’assurer la bonne gestion de leur développement, en garantissant, il va de soi, une offre privilégiée.
LDS : un acteur de l’expertise comptable positionné sur le bâtiment…
Du pain béni pour la société d’expertise comptable icaunaise qui n’a jamais caché son appétence ni ses intentions de soutenir les initiatives propres à la filière du bâtiment.
Communicante non dénuée d’un sens marketing aiguisé, Sophie DESHAMPS devait le rappeler en aparté de cette cérémonie protocolaire : « LDS a pour ambition de renforcer sa présence sur ce segment de l’activité… ».
Dans l’absolu, des permanences de l’expert-comptable assurées dans les locaux de l’organisation à Auxerre convertissent déjà ces échanges de bons offices. Le cabinet profitera aussi de l’excellente vitrine informative dont elle pourra jouir lors d’assemblées générales et autres manifestations à destination des adhérents.
En parallèle, LDS s’engage à accorder à l’ensemble des entrepreneurs inféodés à la CAPEB une remise de 10 % sur le coût des honoraires liés à leur mission comptable annuelle ainsi qu’une remise de 10 % sur l’établissement de leurs bulletins de paie.
La convention court sur une nouvelle période de deux années. Soit jusqu’au 31 décembre 2020. Un processus qui ne peut que faciliter sa prorogation pour une échéance supplémentaire…
Satisfait de la réciprocité de cet échange, Jean-Pierre RICHARD n’a pas manqué de souligner que d’autres conventions nourrissaient ses réflexions actuelles.
Notamment celles qui permettraient à l’organisation patronale du bâtiment de se rapprocher des concessionnaires automobiles du département. Logique, en somme : les artisans de ce secteur demeurent de gros pourvoyeurs de véhicules utilitaires !
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