Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Elle rencontre les élus de la CAGS : Marie-Louise FORT détaille les projets communautaires pour 2022 à GRON
février 21, 2022La présidente de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais Marie-Louise FORT a entrepris le tour des communes en ce début d’année. En compagnie de Marc BOTTIN, premier vice-président et maire de Dixmont, et du nouveau directeur général des services Florian AYMONIN-ROUX, elle a fait étape à GRON mercredi 16 février dernier. Entre écoute et présentation des projets…
GRON : C’était une étape parmi vingt-sept ! Le nombre de communes du Grand Sénonais, à la rencontre des élus municipaux (455 au total) puisqu’au conseil communautaire ne siègent que des maires ou leurs suppléants.
Une carrière riche que celle de la maire de Sens, qui fut adjointe à Saint-Clément, toujours élue au district qui devint la communauté de communes du Sénonais, puis de la CAGS en 2015.
Ensuite, il y aura le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, la mairie de Sens ainsi que la députation dans une circonscription qui comprend 119 communes durant deux mandatures.
La réunion de l’autre soir avait comme objectif de rapprocher les élus et la CAGS en la faisant mieux connaître, ainsi que ses projets, tels l’agence de l’attractivité ou celle de l’habitat qui devrait voir le jour à l’automne prochain.
Le souhait de l’élue : la création de contacts annuels, comme un bilan des réalisations passées et aussi des projets futurs. L’occasion, aussi de se féliciter des bonnes relations réciproques avec l’ensemble des services techniques de l’agglomération (eau pluviale, éclairage, etc.).
Gauthier PAJONA
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Cinq jours pour tout comprendre : les MFR BFC percent les secrets de l’efficience pédagogique de l’Estonie
février 21, 2022Première aux tests PISA, référence pédagogique internationale, en lecture, mathématiques et sciences sur le continent européen, l’Estonie étonne par ses méthodes d’enseignement novatrices et…surtout très efficaces. Il n’en fallait pas davantage pour que la MFR Bourgogne Franche-Comté dépêche sur place 24 de ses directeurs d’établissement lors d’un stage immersif de cinq jours.
TALLIN (Estonie) : La neige, encore et encore, à perte de vue dans la proche périphérie de la capitale, la sublime Tallin, ville construite face à la Baltique en guise de carte postale. Mais, au copieux programme des réjouissances de ce lundi 20 février subissant des températures hivernales : la visite de l’Institut français d’Estonie, avant de se rendre au lycée de Viljandi.
Entre les incursions parmi le patrimoine culturel et touristique de l’un de ces pays baltes florissants et l’observation attentive des us et coutumes de la pédagogie qui fonctionne à merveille, les vingt-quatre responsables d’établissement des MFR Bourgogne Franche-Comté (Maison Familiale et Rurale) ne verront pas assurément le temps s’écouler. Malgré le dépaysement garanti !
Elu de Gron et directeur de la MFR du Sénonais, Stéphane PERENNES, joint par téléphone dès potron-minet ce lundi, témoigne : « Ce séjour qui s’inscrit dans le cadre du programme Erasmus repose sur une découverte théorique et pratique de l’enseignement local ».
Un enseignement dont la France devrait bien s’inspirer pour autant, l’Estonie caracole en tête des classements des principales matières étudiées (lecture, mathématiques, sciences) au niveau européen ! Un pays de l’OCDE où le contexte socio-économique possède l’impact le plus faible sur les performances des élèves. Quelles en sont les recettes miracles pour y parvenir ? Voilà ce que devrait donc découvrir la délégation régionale qui nouera aussi des partenariats utiles à l’avenir.
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
BRIDOR s’invite à la table du lycée Vauban : une initiative croustillante comme du bon pain
février 21, 2022Opération intéressante que celle menée il y a peu par deux partenaires du lycée des métiers de l’hôtellerie et de la restauration Vauban à Auxerre. METRO et Le BORVO, producteur de saumon fumé, ont organisé un master class mettant en exergue la gamme de pains conçus par BRIDOR, l’un des incontournables de la filière industrielle sur ce registre.
AUXERRE: Le pain, c’est bon. Et les Français, friands de ce produit du quotidien, en sont de gros consommateurs, comme chacun le sait. Mais, on n’est pas obligé de le déguster frais. Ainsi, le pain congelé peut servir de base nutritive à de multiples préparations en le travaillant différemment. Parfois, par nécessité. A l’instar de ce que vit le lycée des métiers Vauban qui ne peut être livré que par un seul boulanger pour ses besoins journaliers.
Insuffisant, donc, pour l’une des figures de l’établissement, Serge GOULAIEFF, meilleur ouvrier de France (MOF) catégorie maître d’hôtel et l’une des têtes pensantes pédagogiques du lycée.
« Nous avons été dans l’obligation de regarder ailleurs, plaisante-t-il, d’où notre intérêt porté sur l’offre de BRIDOR".
L’industriel fabrique une large gamme de pains, venant entre autres alimenter le restaurant d’application, « La Gourmandise ». Un site qui accueille son potentiel de clients réguliers tout au long de l’année.
Un pain qui visiblement ne laisse pas de marbre les consommateurs. Le gâchis au niveau de la perte est beaucoup moins important avec cette production qu’avec du pain traditionnel.
« Logique, rétorque Serge GOULAIEFF, la clientèle consomme jusqu’au bout le morceau de pain, plus petit et calibré à un repas, qui accompagne les mets sur la table du restaurant. Elle le mange volontiers et l’apprécie d’autant... ».
Même les restaurateurs s’y mettent pour optimiser leur productivité…
Lors de cette séance initiatique, conçue en présence de plusieurs professionnels de la restauration et de la formation aux métiers de la filière, l’objectif était de montrer aux élèves de la mention cuisine, cuisinier en dessert de restaurant l’utilité pour eux que parfois il ne fallait pas perdre du temps à préparer du pain, que l’on peut le transformer ainsi que les croissants pour en faire des productions salées.
Conséquence, les testeurs du jour eurent l’opportunité gourmande de savourer différentes variantes de pains, fabriqués par BRIDOR, mais aussi du pain retravaillé, et pas seulement la baguette.
Aujourd’hui, et toujours dans le souci d’améliorer la productivité, les grandes toques de la gastronomie s’interrogent sur le besoin de passer une commande auprès d’un boulanger ou de servir à leur table du pain d’excellente qualité mais… surgelé.
Une qualité que défend bec et ongle BRIDOR. L’industriel demeure à ce jour l’un des plus gros consommateurs de beurre à l’appellation AOP Charentes-Poitou pour concevoir ses viennoiseries.
La démarche pédagogique du lycée Vauban et de ses partenaires, aussi insolite fut-elle, ne va pas, non plus, à l’encontre de l’artisanat traditionnel.
« C’est une autre approche, confie Serge GOULAIEFF, elle existe et nous ne pouvons l’ignorer. Bien sûr, l’ensemble du corps professoral de l’établissement travaille avec des boulangers artisanaux. Mais, il faut aussi montrer à nos apprenants que ce pain surgelé a pris de l’importance auprès des consommateurs. Y compris les restaurateurs qui l’ont adopté de plus en plus dans leur cuisine, évitant ainsi d’avoir oublié de passer une commande, en faisant cuire le pain à l’instant le plus propice, et en limitant les doses à leur réel besoin ».
Une première qui devrait en appeler d’autres…
Une première au niveau de l’initiative. Celle-ci devant se dupliquer à l’avenir, à l’instigation de METRO, auprès d’autres lycées hôteliers ou de centre de formation par l’apprentissage.
On pense automatiquement au CIFA de l’Yonne, dont deux de ses représentants, Delphine ENGELVIN et Maxime LAUZET, assistaient aux premières loges à cette séance de dégustation, animée par les spécialistes du fabricant industriel.
Quant aux restaurateurs, dont Cornélius DELAMINNE « Le Moulin de Corneil » à Mézilles, il a confié s’être régalé à l’issue de la démonstration gustative, proposant charcuteries, foie gras et plateau de fromages !
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
On l’annonce à près de 40 % : l’abstention sera-t-elle la grande gagnante du scrutin présidentiel ?
février 20, 2022Sur fond de résurgence possible de la COVID 19 ou d’un nouveau variant, et de défiance profonde envers les institutions, la participation, déjà faible lors des régionales, pourrait l’être à nouveau. Ces dernières élections furent marquées par 67 % d’abstention, dont plus de 97 % chez les jeunes de 18 à 24 ans. Habituellement, les présidentielles sont plus mobilisatrices que les autres scrutins. Mais, dans un contexte de crises (politique, sanitaire, économique…), l’abstention peut être déterminante pour l’élection du futur président : dans un sens comme dans l’autre.
TRIBUNE : Soit il s’agira d’une abstention record, soit ce sera une mobilisation plus forte que d’habitude. L’institut IPSOS indique que 67 % des Français connaissent les dates des futures élections. Conclusion : certains journalistes indiquent en conséquence que 33 % se désintéressent de cette échéance. Plutôt simpliste comme raisonnement !
Entre les dates de levées progressives des contraintes sanitaires, les dates de congés… : on ne peut absolument pas conclure par un désintérêt marqué pour la campagne électorale !
Lors des sondages, l’abstention est le plus souvent masquée par les interviewés. Mais, une perturbation est possible : lors du premier tour des élections, près de la moitié de la France sera en vacances et au second tour, c’est la totalité du territoire qui sera en période de congés scolaires. Alors qu’en penser ? La date fixée est-elle fortuite ou manipulée à des fins manichéennes ? A qui profite le crime, si crime il y a !
Les abstentionnistes : un profil issu des classes populaires…
Les enquêtes sur la participation électorale réalisées par l'INSEE, qui confrontent les listes d'émargement et les données du recensement, font ressortir certaines caractéristiques. L'abstentionniste type est moins diplômé que l'ensemble de la population et appartient plutôt aux catégories populaires, donc les ouvriers et les employés non qualifiés.
Il se situe dans une situation de précarité avec un travail répétitif, à la chaîne. Surtout, il va être plus jeune. Par ailleurs, on retrouve aussi des facteurs familiaux, notamment le fait d'être dans une famille monoparentale ou de vivre dans un relatif isolement social. Toutes ces situations contribuent à une abstention beaucoup plus forte. Effet gigogne, les candidats concernés par ces populations, pourront être lourdement pénalisés.
En revanche, plus on avance en âge et plus on préfère Valérie PECRESSE et même Eric ZEMMOUR. Dans la mesure où les anciens votent par devoir et plus que les plus jeunes, une forte abstention peut bénéficier aux trois candidats de la droite.
Abstention, vote blanc et vote nul : quelles différences ?
Le vote nul correspond à des bulletins déchirés ou annotés qui ne peuvent pas être pris en compte dans les résultats de l’élection. Il est parfois difficile d’interpréter le sens d’un vote nul. L’électeur n’a pas forcément souhaité que son vote soit nul. Il a cru, par exemple, qu’une mention manuscrite ajoutée n’aurait aucune incidence. Mais, il arrive également que l’électeur ait volontairement déposé un bulletin nul pour manifester son opposition aux différents candidats et programmes présentés.
Le vote blanc consiste à déposer dans l’urne une enveloppe vide ou contenant un bulletin dépourvu de tout nom de candidat ou de toute indication dans le cas d’un référendum. Ce type de vote indique une volonté de se démarquer du choix proposé par l’élection.
Depuis la loi du 21 février 2014 visant à reconnaître le vote blanc aux élections, les bulletins blancs sont décomptés séparément des votes nuls et annexés en tant que tels au procès-verbal dressé par les responsables du bureau de vote. Mais, comme auparavant, ils ne sont pas pris en compte dans le nombre des suffrages exprimés (ensemble des bulletins moins les votes blancs et nuls). L'objectif de la réforme est de reconnaître que le vote blanc est un acte citoyen qui se distingue de l’abstention. L'électeur s’étant déplacé jusqu'à son bureau de vote, il exprime une volonté politique de participer au scrutin pour dire son refus de choisir entre les candidats en lice. La prise en compte du vote blanc pourrait permettre de faire reculer le taux d’abstention.
Par rapport aux inscrits, on note une progression des votes blancs ou nuls : 5 % en 2002 pour atteindre 12 % en 2017. La hausse de l’abstention ne constitue pas une fatalité : les dernières élections présidentielles aux Etats-Unis ont vu une forte participation de la population, et le vote continue de progresser dans les Etats scandinaves. Il est clair que le taux d’abstention peut entacher la légitimité du candidat élu.
Fin de la première partie.
Jean-Paul ALLOU
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Ils ont un besoin impérieux de recrutement : les professionnels du BTP encouragent les bonnes initiatives
février 19, 2022L’accès à l’emploi. Une priorité absolue dans la conjoncture actuelle. Surtout dans le milieu du bâtiment et des travaux publics. Un pan de l’activité économique qui aura su bon an mal an faire fi des soubresauts et aléas observés depuis ces deux dernières années du fait de la crise sanitaire. Avec des carnets de commandes qui demeurent stables pour ses entrepreneurs.
AUXERRE : Où en est le secteur du bâtiment et des travaux publics à l’aune de la sortie de crise sanitaire qui se profile ? Réponse publique du président de la Fédération du Bâtiment de l’Yonne Didier MICHEL, lors de la récente signature d’une convention de partenariat entre le Conseil départemental et les organisations patronales en faveur de l’accès à l’emploi : « Nous avons un besoin impérieux de main d’œuvre dans notre domaine d’activité… ».
De la main d’œuvre, nécessairement qualifiée pour jouer les premiers rôles au sein de ces entreprises artisanales qui peinent, comme tant d’autres, à trouver les perles rares. On pense évidemment à celles qui évoluent sur le registre très tendu de l’hôtellerie et de la restauration.
Le joli corollaire du concept « Brique par brique » à réitérer dans l’Yonne…
Qualifiant la mise en place de cette nouvelle démarche de « très bonne », Didier MICHEL, le dirigeant de la société éponyme, fait ainsi allusion à l’action « Brique par Brique », montée de toute pièce comme un puzzle efficace avec le concours du Département et de l’ensemble des acteurs patronaux et institutionnels intervenant dans le BTP.
« Brique par brique » : un joli corollaire à la construction d’un parcours professionnel destiné à accueillir les oubliés de l’existence afin de les remettre en selle vers le chemin de l’insertion sociale et de l’emploi.
D’ailleurs, le président de la FFB 89 s’est dit très convaincu par cette initiative, réalisée avec des personnes très motivées.
« C’est tout à fait le profil de personnes que nous recherchons, insiste l’ancien élu d’Auxerre, des gens motivés qui ont été sélectionnés par ce biais pour suivre un parcours de formation et vivre une immersion dans cette filière du bâtiment et des travaux publics… ».
Construire un projet professionnel pérenne qui ramène vers l’emploi…
La meilleure manière, sans aucun doute, pour pouvoir acquérir des notions de base de cette typologie de métiers et de mieux appréhender ce qu’est réellement la profession.
On se souvient que courant janvier, onze personnes de l’Auxerrois et de la Puisaye-Forterre avaient été plongées dans ce parcours initiatique, via des bancs d’essai en formation portés par le GRETA de l’Yonne et des stages en entreprise. Le but final étant de construire un projet professionnel pérenne dans ce secteur afin de mieux rebondir vers l’emploi. Une action qui s’est conclue au terme de la première semaine de février. Mais, d’autres groupes devraient reprendre le flambeau dans les semaines à venir.
L’élue du Conseil départemental de l’Yonne, Sonia PATOURET, vice-présidente en charge de l’Emploi, l’insertion et la santé, est très investie sur ce dossier qui lui tient particulièrement à cœur.
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99