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La répartition du plan de relance pose question : pourquoi ne pas doter davantage l’économie verte ?
septembre 11, 2020L’humanité paie un lourd tribut en termes de vies humaines. L’impact social, économique et financier de la pandémie marquera, pour longtemps, notre époque. Les décès annoncés représentent pour une part, des catastrophes humaines à venir. La pandémie n’est pas jugulée mais surtout, on oublie toujours les morts qui accompagnent les faillites économiques et la misère des peuples en souffrance !
TRIBUNE : L’Afrique bien sûr. Mais aussi l’Inde et la Chine. N’oublions pas l’Occident et son cortège d’indigents qui meurent dans la rue (600 décès enregistrés en France en 2018). Le plan de relance du locataire de Matignon a oublié les plus pauvres…
Pour le logement social, on a surtout pensé à transférer un milliard d’euros de l’ancien 1% Logement vers le budget de l’Etat. Avec pour l’instant, aucune affectation particulière…Idem pour les très petites entreprises et autres profession libérales. C’est un plan pavé de bonnes intentions mais sans aucun chiffrage précis !
Un faible montant (1 milliard) sera consacré aux relocalisations. Une volonté affichée : produire ce qui est indispensable à notre économie. Une précision importante apportée par Bruno LE MAIRE : « Relocaliser, ce n'est pas faire revenir des productions à faible valeur ajoutée en France », alors que les industries ont souvent délocalisé pour faire des économies.
Sept milliards consacrés au plan hydrogène...
Voilà un investissement qui n’a jamais démontré sa rentabilité. Et surtout une production liée à l’électricité. Rappelons que l’énergie vient du nucléaire, que l’Allemagne a stoppé son programme de démantèlement des centrales nucléaires et qu’elle nous achète de l’énergie électrique lorsqu’elle est en rupture.
L’Etat prévoit que pour produire l’hydrogène, nous utiliserons de l’énergie verte dont le coût de production est nettement supérieur au nucléaire. Sur quel programme ? Alors que nos voisins Outre-Rhin se focalisent sur l’éolien, les Verts nous proposent la fin des centrales nucléaires et un éolien à petite dose. Les associations locales sont promptes à lever les boucliers de l’esthétisme dès que l’on veut construire des parcs d’éoliennes ! Cerise sur le gâteau : l’Europe a laissé filer en Chine la fabrication des panneaux solaires ! De plus, la production d’hydrogène n’est pas générateur d’emplois à court terme !
Et l’agriculture dans tout ça ?
Le volet agricole du plan de relance absorbe seulement 1,2 milliard du budget de ces cents milliards ! Le budget agricole consacrera 545 millions pour l’accélération de la transition agro-écologique. Une goutte d’eau face aux besoins et aux enjeux.
Confinement oblige, délaissant les courses à l’hypermarché situé à l’autre bout de la ville, les consommateurs ont redécouvert les commerces de proximité et les produits locaux. Un gros bémol cependant : la fermeture des marchés extérieurs (moins exposés que les grandes surfaces) et leurs nombreux étals bio. Le bio et les productions alimentaires locales ont pourtant la côte. Ils ont passé haut la main l’épreuve du confinement.
A titre d’exemple, dès la première semaine de confinement, le taux de rupture des pâtes alimentaires était de 19 % alors que les pâtes bios progressaient de 131 % ! Il est évident que les ruptures de stock dans les grandes enseignes ont profité aux boutiques bios. Ceci a permis aux clients que les écarts de prix bio/traditionnel, n’étaient pas nécessairement en faveur des enseignes classiques. Parfois, le bio peut se révéler moins cher !
Qu’en est-il de la région Bourgogne-Franche-Comté ?
Les 550 000 agriculteurs de la région participent, pour une part de plus en plus importante, à la confection des 15 millions de repas servis dans les écoles chaque année.
La région, souhaite développer la filière bio. Les cantines scolaires s’approvisionnent à hauteur de 50 % des achats, des productions locales, dont 20 % de bio ! La région se targue d’être la première région verte de France. Le bio concerne les secteurs de prédilection : céréales, légumineuses, vigne, fruits, légumes, plantes aromatiques et médicinales, arbres fruitiers. On élève en bio des bovins, des vaches laitières, des porcs, des ovins, des caprins, des volailles, des escargots et mêmes des abeilles comme au GAEC « La Roseraie » dont les miels bios sont présents chaque samedi sur le marché de Clamecy.
Les productions locales dont le bio ont le vent en poupe !
Tous les indicateurs donnent de l’optimisme aux producteurs bios. Le chiffre d’affaire progresse et les habitudes alimentaires subissent de profondes mutations. Ne plus stocker le périssable, manger bio, manger les fruits et les légumes de saisons, identifier les réseaux locaux de distribution, cibler le bio dans les grandes enseignes de la distribution, cultiver un petit jardin même sur son balcon, …
Toutes ces précisions pour insister sur le fait que le budget alloué à l’agriculture et surtout au bio semble dérisoire.
Les comportements à l’échelon des professionnels évoluent lentement. La production peu onéreuse d’azote réactif, utilisable par les plantes, a complètement bouleversé l’agriculture.
Dans les années 60, elle formait l’un des quatre piliers de la « révolution verte » (?) qui a permis de nourrir une planète en très forte croissance démographique : sélection de variétés à haut rendement, pesticides, irrigation et engrais chimiques.
Très récemment, le ministère de l’agriculture a autorisé l’utilisation de produits de traitement des betteraves, jusqu’alors interdits ! Les producteurs de maïs poussent des cris d’orfraie pour une autorisation identique ! Allons, un peu de sérieux, si on mange moins de foie gras pour les fêtes, on s’en remettra !
Toutes les dérives de production alimentaire, d’industrialisation sans règles bien édictées et respectées ont sans doute contribuées à la pandémie du COVID19 et les crises sanitaires à venir, si on en croit quelques spécialistes.
On constate que la réduction des activités humaines a fait chuter, momentanément, la pollution. Cela a permis à la flore et à la faune d’occuper un peu plus l’espace. Les canards ont défilé dans Paris et les sangliers à Barcelone, on a vu des rorquals barboter au large des calanques de Marseille… Profitons-en pour apprendre à partager notre espace vital avec les autres espèces !
Malgré les directives de distanciation sociale, globalement respectées, le besoin de « vivre ensemble » émerge avec force. Les élans de solidarité envers les populations en difficulté se multiplient : effet positif des réseaux sociaux ! Respirer de l’air pur à plein poumon et entendre le chant des oiseaux : voici les grandes découvertes de la crise sanitaire !
Jean-Paul ALLOU
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Le partenariat avec l’AJA se renforce jusqu’en 2025 : un soutien aux éclats de diamant pour GROUPAMA !
septembre 11, 2020Déjà une décennie de présence aux côtés du club de football iconique de Bourgogne. Un bail, assurément, mais qui est loin d’être stérile comme le démontre la prorogation de ce partenariat, si solide et pérenne. L’opportunité, aussi, d’élargir le champ des possibles pour les dirigeants de l’assureur mutualiste qui en voulaient davantage au niveau de leurs engagements. En étoffant leur soutien, et de belle manière, au cours de ces cinq prochaines années !
AUXERRE : Entre le spécialiste de l’assurance et de la prévoyance et le club de football de l’Yonne, c’est une longue histoire d’amour. Dix ans, déjà, qui correspondent aux fameuses noces d’étain.
Il est de tradition d’offrir à sa partenaire un diamant en cette circonstance. GROUPAMA Paris Val-de-Loire a fait beaucoup plus ! En déposant dans la corbeille de son hymen indéfectible des moyens supplémentaires en matière de sponsoring et de soutiens financiers. Ce qui lui vaut un élargissement de sa visibilité au stade de l’Abbé Deschamps (match parrainé, LED, naming tribune…) !
En premier lieu, l’entreprise assurantielle verra son nom trôner en bonne et due place sur la toute nouvelle infrastructure sportive destinée à l’accueil des compétitions de l’équipe réserve de National 2 et à ceux de l’équipe féminine.
Juste retour des choses et pure logique, en vérité, puisque la caisse régionale de Paris Val-de-Loire financera une partie des travaux de réhabilitation de ce complexe afin de le moderniser.
Cette rénovation englobera par ailleurs l’aménagement des tribunes et des vestiaires, la création d’un parking, la mise en œuvre d’un espace de restauration et le remplacement de la pelouse actuelle en surface hybride.
Le choix de soutenir l’équipe féminine n’est pas anodin. D’une part, les demoiselles de l’heureuse combinaison entre l’AJ Auxerre et le Stade Auxerrois fonctionne à merveille depuis le début de l’expérience survenue il y a deux saisons.
L’équipe première, celle qui reçoit les faveurs du groupe mutualiste, évolue en R1, fin prête à vivre de nouvelles sensations footballistiques en division supérieure, soit la Ligue 2 féminine ! L’un des objectifs au terme de cette nouvelle saison.
Un soutien qui se décline sous différents aspects…
Fort de ces potentialités prometteuses, GROUPAMA Paris Val-de-Loire s’est engouffré dans la brèche béante qui se présentait à lui. Le groupe a fait le choix de sponsoriser le maillot de l’ensemble des équipes de filles. Tout en restant le sponsor privilégié au dos de la vêture des professionnels qui évoluent en Ligue 2.
Mais, le rôle prégnant d’acteur de l’économie territoriale de l’entité professionnelle explique aussi la volonté de cet engagement. Deux des joueuses de l’équipe première effectuent à l’heure actuelle une immersion en alternance au siège social auxerrois. Un projet pédagogique qui corrobore le positionnement au quotidien de GROUPAMA, membre à part entière grâce à l’implication de son directeur départemental Jacques BLANCHOT, du fameux concept national, le « Plan 10 000 entreprises pour l’inclusion et l’insertion professionnelle » dont il est l’un des porte-étendards dans l’Yonne. Il est aussi le représentant départemental de l’égalité hommes/femmes.
Agence marketing exclusive de l’AJ Auxerre, la structure internationale SPORTFIVE a contribué, quant à elle, au rapprochement des deux parties depuis la saison 2010/2011.
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L’union des forces pour seul credo : la gauche et les écologistes main dans la main pour les sénatoriales
septembre 11, 2020« Rassemblés au service de la population… ». C’est la base line de ces deux courants politiques qui tenteront de ravir à la droite les deux sièges âprement disputés lors des échéances électives du 27 septembre dans l’Yonne.
JOIGNY : Porter un projet fondé sur les valeurs d’égalité et de solidarité est le leitmotiv majeur de cette union qui n’est pas de circonstance. Tant les points de convergence sont nombreux entre les représentants de la gauche traditionnelle et les aficionados à la cause écologiste.
En lice pour ces sénatoriales 2020, c’est en abattant la carte de l’union que les deux candidats et leurs suppléants tenteront de convaincre les grands électeurs du bien-fondé de leur politique lors de cette brève campagne.
Parmi les choix préférentiels en matière de stratégie qui seront dévoilés à la presse lors d’un exercice coutumier organisé ce samedi à Joigny figureront les moyens financiers et législatifs dont ont besoin les élus locaux pour agir en faveur de la transition écologique et sociale.
Conseiller communautaire du Serein et édile de la localité d’Etivey, Gilles SACKEPEY se lancera dans la bataille aux côtés de sa suppléante Gaëlann BUREAUX, citoyenne écologiste.
Le second candidat ayant été adoubé par cette union des forces progressistes est l’une des figures charismatiques de la défense environnementale dans l’Yonne, Florence LOURY.
Qualifiée pour le second tour des municipales d’Auxerre avec son coreligionnaire Denis ROYCOURT, la conseillère communautaire de l’Auxerrois fera équipe avec Dominique BOURREAU, maire de Villeneuve-la-Guyard et conseiller au sein de la CC Yonne Nord.
Le premier secrétaire fédéral du Parti socialiste de l’Yonne Mani CAMBEFORT a déjà confirmé qu’il apporterait son total soutien à ces deux candidats.
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La seconde phase des travaux respecte les délais : la déviation sud de Sens sera accessible fin 2022
septembre 11, 2020Construite dans le prolongement de la section Sens-Est-Maillot et de la rocade Nord-Ouest, la déviation sud de Sens poursuit sa phase deux sans encombre depuis la reprise du chantier le 15 avril. Cette voie de 14 kilomètres permettra d’assurer la liaison de la RD 660 entre les giratoires de Gron et en sortie de l’A19. Elle sera mise en service en 2022…
SENS : Plus trente ans plus tard, le projet poursuit sa route. Le projet de déviation de la RD 660, initié à la fin des années 80, avait pour objectif de soulager le centre-ville de Sens et de réduire le bruit à l’intérieur de la ville et dans les traversées des bourgs de Paron et de Subligny.
Une entreprise de longue haleine dont une bonne partie a été dédiée aux négociations avec les propriétaires pour l’acquisition des terrains ainsi qu’au réaménagement des parcelles.
« Je suis arrivé à Gron en 2000. Le maire adjoint de l’époque M. GUIBELIN m’avait dit : d’ici 2005, on aura la déviation. Elle a vingt ans de retard, mais elle va bien arriver » plaisante Gauthier PAJONA, adjoint à la mairie de Gron en charge des travaux, de l’urbanisme et de la voirie.
Cette rocade fut déclarée d’utilité publique le 18 septembre 1996 et la construction de la première section reliant la RD 606 à la RD 72 à Gron, alors pris en charge par l’Etat, s’est achevée en 2002. Mais en 2006, la RN 60 est déclassée par décret du 05 décembre 2005. Cela entraîne un transfert de la maîtrise d’ouvrage et du financement des travaux au département de l’Yonne. Ce que déplore Patrick GENDRAUD, président du Conseil Départemental, vue l’ampleur de l’ouvrage.
L’un des projets les plus lourds supportés par le département
Hormis les procédures foncières et le temps alloué aux sondages archéologiques, le montant des travaux pris en charge par le département en raison du désengagement de l’Etat a été particulièrement contraignant. Mais ces travaux, qui doivent relier la RD 660 et la sortie de l'A19, devenaient une nécessité.
« Quand on a été conduit à prévoir les investissements routiers, j’ai tout de suite pensé à la déviation de Sens pour diverses raisons » explique Patrick GENDRAUD. Des ouvrages d’art construits en amont, dont le pont de Collemiers, qui se dégradent, une bande de roulement inutile, « c’était un peu ce que j’appelle du gâchis » estime le président qui souhaitait « une utilisation plus rationnelle des deniers publics ». Il s’agissait tout bonnement de terminer la déviation.
D’un montant total de 30 millions d’euros, dont plus de 11 767 067 euros dédiés à la phase II, la construction de la déviation sud est un chantier de très grande envergure à l’échelle locale et même nationale.
« Le chantier global représente plus qu’une année de budget » précise Christophe BONNEFOND, vice-président du Conseil Départemental de l'Yonne (9 millions en 2019 et 26 millions en 2020).
Le Département a financé ce chantier pour un montant de 16,5 millions d’euros. La Région Bourgogne-Franche-Comté et le Grand Sénonais ont contribué financièrement à sa réalisation à hauteur de 22,5 % chacun.
Une seconde phase dans les délais
Lancée au début de l’année 2020, la seconde phase de construction de la déviation sud trouve son rythme de croisière en dépit de la période de confinement pendant l’épidémie de SRAS CoV-2.
« On a avancé dans le rythme prévu initialement, on est même allé un peu plus vite grâce à l’entreprise et aux partenaires mais aussi grâce à l’implication des maires » affirme Vincent JUNG, directeur de l’ingénierie routière au Conseil départemental.
Les travaux sur cette portion de 7,2 kilomètres, menés par l’entreprise EUROVIA, ont démarré par le terrassement. Aujourd’hui, la société assure la création de 14 kilomètres de tranchées drainantes larges de 50 cm. Le planning prévoit également l’exécution de la couche de forme traitée dès le 15 septembre. La couche de grave bitume (couche de structure) sera posée dans la foulée. Puis, la réalisation de l’ouvrage d’art n°6, un pont qui permettra le franchissement de la RD 660 par le rétablissement du chemin d'exploitation, débutera en novembre et durera environ six mois.
Les travaux se poursuivront en 2021 toujours dans le respect de l’environnement. Vincent JUNG a précisé que l’extraction de plusieurs dizaines de milliers de tonnes avait été évitée par respect pour l’environnement. L’excédent de matériaux est un maximum réutilisé sur place ainsi que sur d’autres projets locaux. Une nouvelle couche de roulement, les marquages, la signalisation et la pose d’autres équipements, la rocade sera finalisée en fonction des conditions météorologiques. Le giratoire de Gron sera également refait.
Floriane BOIVIN
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La Maison de l’Entreprise renoue avec les évènements économiques : the show must go on !
septembre 10, 2020En accueillant le premier colloque d’envergure consacré à la mobilité électrique, la Maison de l’Entreprise a entamé la nouvelle saison sous de très bons auspices. D’une part, le public, composé d’industriels et décideurs, a répondu favorablement à cette invitation (180 inscrits). D’autre part, le plateau d’intervenants était de tout premier choix autour d’une thématique capitale de l’avenir automobile…
AUXERRE : Initialement prévue au mois d’avril, la manifestation dût être reportée en dernière minute aux calendes grecques pour cause de coronavirus. Au grand dam du trio d’organisateurs, les chevilles ouvrières de ce concept : Florence POULAIN, Jean-Marc DENIS et Claude VAUCOULOUX.
La mort dans l’âme, l’ossature directionnelle de la Maison de l’Entreprise avait dû ronger son frein en annulant sine die l’événementiel, espérant un horizon meilleur et dégagé de toutes ses aspérités sanitaires pour remettre l’ouvrage sur la table.
Cela fut chose faite ce jeudi 10 septembre dès 8h30 sur le site auxerrois. Où il régnait une certaine fébrilité quelques minutes avant d’officialiser ce rendez-vous d’importance sur le parvis.
Réfléchir ensemble à la transition de la mobilité…
Signe de réussite : l’animation aura été très mobilisatrice auprès des chefs d’entreprise qui s’inscrivaient en nombre pour suivre son déroulé.
Il est vrai que le sujet concernait réellement celles et ceux qui entreprennent. La place de la mobilité professionnelle n’étant pas une mince affaire à gérer dans les entreprises. Sans omettre les flux financiers qu’elle peut engendrer dans la constitution d’une flotte à titre d’exemple.
Alors, forcément réfléchir de manière participative et collective aux rêves et aux réalités offerts par ces automobiles d’aujourd’hui et de demain (électrique, hybride, hydrogène…) ne pouvait que faire mouche auprès de ce public très ciblé : les entrepreneurs.
Micro en main, le délégué général de l’UIMM/MEDEF de l’Yonne Claude VAUCOULOUX pouvait lâcher les chevaux à bride abattue avec la verve habituelle qu’on lui connaît en ouvrant de manière officielle ce colloque. Un rendez-vous auquel prenait part en qualité d’observateur le président de l’Agglomération et maire d’Auxerre Crescent MARAULT, sensibilisé par ces items.
Après métro/boulot/dodo, place à écolo/bobo/vélo ?
Pléthore d’interrogations étayaient les propos introductifs du délégué général de la Maison de l’Entreprise. Comment les sociétés feront-elles face à ces enjeux inéluctables que représente la transition énergétique ?
Les solutions sans carbone préconisées avec l’usage de l’électrique, de l’hybride et de l’hydrogène n’apparaissent-elles pas déjà trop obsolètes ? Voire « ringardes » comme le soulignera avec un zeste d’humour Claude VAUCOULOUX en faisant référence à une possible téléportation et ses risques éventuels en mentionnant le film « La Mouche » !
Lui succédant sur la scène de l’amphithéâtre, Jean-Marc DENIS insista sur les raisons de ce colloque de rentrée. Une réunion qui raviva les souvenirs d’autrefois (ce n’est pas si loin que cela !) où les animations à l’air libre et sans à avoir à supporter les contraintes des masques protecteurs égayaient les calendriers évènementiels de notre territoire. Avec accolades et embrassades de surcroît !
Néanmoins, le désir de valoriser le territoire mais aussi une filière automobile en plein tsunami post-COVID (référence à la sous-traitance) supposait une réaction visible et palpable de la part des trois organismes ayant décidé de porter ce projet : l’UIMM, le MEDEF et le groupement aéronautique GISAéro.
Avoir maintenu la manifestation et la proposer après moult atermoiements en cette période de rentrée est déjà une réussite en soi…
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