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De nouvelles bornes installées et de réelles économies en Co2 réalisées avec le SDEY…
février 20, 2020Cocorico ! Le département de l’Yonne figure parmi ceux de l’Hexagone les mieux pourvus en bornes rapides de charge pour véhicules électriques. L’installation de trois appareils supplémentaires dont un de nouvelle génération le 26 février prochain à Villeneuve-sur-Yonne démontre ainsi toute la pugnacité du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne à promouvoir ce mode de transition énergétique auprès des collectivités locales. Avec succès…
VILLENEUVE-SUR-YONNE : Convaincu par la pertinence de la mobilité électrique, Cyril BOULLEAUX ? On peut en juger favorablement, en effet. L’édile de la localité septentrionale de l’Yonne s’est engagé à déployer, non pas une borne de charge pour véhicules électriques, mais bel et bien un lot de trois appareils !
Ils seront fonctionnels à partir du 26 février, date de leur inauguration officielle par le président du SDEY, Jean-Noël LOURY.
Aider les communes à se doter de ces indispensables auxiliaires à l’amélioration de la qualité de vie de leurs concitoyens mais aussi à l’attractivité de celles-ci intègre les priorités de l’organisme institutionnel départemental.
A ce jour, ce sont cent-vingt bornes qui offrent ainsi leur précieux service aux automobiles qui circulent au quotidien dans l’intérêt de la préservation de la planète. Dix-huit de ces recharges le sont de manière rapide. Faisant de l’Yonne l’un des territoires le mieux équipé de France.
Des modes d’utilisation d’une facilité extrême…
Au plan national, le réseau de bornes de charge pour véhicules électriques comprend 2 340 appareils. L’un des chiffres significatifs de leur rôle est le suivant : c’est l’équivalent de 9 340 kg de Co2 économisé. Pas si mal !
A l’instar du phénomène observé en Europe, le parc de véhicules électriques ne cesse de croître dans l’Yonne. D’où l’attrait du SDEY de solliciter les communes qui le désirent afin de leur proposer les aides financières nécessaires à l’installation.
L’auto-partage communal et l’acquisition de véhicules électriques communaux constituent les volets complémentaires de ces accompagnements.
Quant à l’utilisation de ces additifs à la transition environnementale, ils se présentent à nous sous deux formes.
La première consiste à créer un compte sur la référence (www.sdey.fr) où sera obtenu l’inéluctable badge donnant accès au réseau. De là, l’utilisateur pourra même réserver trente minutes à l’avance la borne libre pouvant l’accueillir lui et son automobile.
La seconde opportunité passe par le smartphone. En lisant tout bonnement le QR code, visible sur la borne, la charge électrique se lance immédiatement…
Bref, à Villeneuve-sur-Yonne, comme ailleurs, le progrès technologique n’a pas fini de nous étonner !
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La réussite inclusive grâce à la formation et la maîtrise linguistique : c’est la CLEF du succès…
février 18, 2020Une décennie, déjà. On pourrait presque la qualifier de prodigieuse tant le travail fourni à bon escient par les bénévoles formateurs s’est révélé payant. Organisme de formation linguistique reconnu d’intérêt public, la structure fonctionne aujourd’hui à plein régime avec l’aide de partenaires inconditionnels. Les projets fourmillent dans les têtes. De nouvelles perspectives pointent en ligne de mire, notamment depuis la mise en place d’un prolongement pédagogique naturel, proposé dans la langue de Shakespeare…
AUXERRE : Lutter contre l’illettrisme. La belle affaire. Délicate mission que celle-ci qui peut paraître complexe à bien des égards et qui nécessite la motivation continuelle de celles et de ceux qui y contribuent. Oui mais voilà, au sein de CLEF, de la volonté et de l’abnégation, ses décideurs en ont à revendre. A commencer par Michel CANET, son emblématique président.
Un homme de ressources et de conviction. En portant sur les fonts baptismaux la structure associative en 2009, pensait-il vraiment que CLEF posséderait cette aura territoriale en termes de notoriété et d’efficience dix ans après ?
Rien que l’acronyme représente déjà un raccourci très évocateur des différentes missions auxquelles ces bénévoles passionnés se sont assujettis : Communiquer, Lire, Ecrire, Former.
CLEF est devenue une clé de voûte inéluctable pour toutes celles et ceux qui n’ont pas la chance de jongler avec les mots, d’interpréter entre les lignes avec un brin d’imaginaire les textes lus parce qu’ils ont compris le sens de leur lecture et de disposer des connaissances requises pour aller de l’avant.
Bref, ce public fragilisé par l’âpreté de notre monde ne peut plus se sentir seul avec un tel organe opérationnel. Les trente-huit personnes, vouées corps et âme au succès de cette entité, le savent bien. Elles n’ergotent pas sur le nombre d’heures passées aux côtés de ces apprenants de l’impossible qui réalisent pourtant de sérieux progrès et des prouesses dans leur quotidien. Grâce aux séances d’alphabétisation ; grâce à des méthodes au final accessibles pour grandir dans leur for intérieur.
Un véritable ancrage territorial pour cette ESUS…
Au-delà de cet apprentissage volontaire et participatif, le suivi et l’évaluation des candidats demeurent primordiaux. Personne n’est abandonné en cours de route une fois lancé dans le cycle de la compréhension et de la maîtrise du français, une langue réputée si complexe et difficile à pratiquer. Le sens de la pédagogie chez CLEF, on en a fait un sacerdoce.
Soutenu par divers partenaires dont en premier lieu l’Etat et le Conseil départemental, CLEF a reçu l’adoubement officiel de collectivités locales (la Ville d’Auxerre), de structures financières à l’instar du réseau des Caisses d’Epargne. Même l’obtention de fonds européens permet d’abonder dans le financement des missions éducatives.
Possédant aujourd’hui un vrai ancrage départemental, CLEF a profité de l’année 2016 pour se recentrer sur les actions de formation. Référencé DATADOCK, et devenu un centre à part entière, l’organisme s’appuie depuis cinq ans sur le professionnalisme reconnu de sa directrice, Nelly DEDEBANT pour optimiser ses changements d’orientation et accroître son potentiel d’offres visant à former tous les publics.
C’est simple : cette reconnaissance s’est muée en un atout très précieux puisque la structure bénéficie dorénavant du DLA, le dispositif local d’accompagnement auprès des foyers ruraux, de Bourgogne Active et de la Caisse d’Epargne.
Au service de ce public en situation précaire et délicate, CLEF décline ses prestations avec l’aide d’une équipe structurée et professionnelle, des formateurs salariés qualifiés, des bénévoles volontaires et formés aux méthodologies d’usage, en s’appuyant au plan décisionnel sur un conseil d’administration actif et revendiquant son dynamisme.
Centre d’examens, pour le français mais aussi pour certaines langues étrangères dont l’anglais, CLEF s’apparente désormais à une ESUS, une entreprise solidaire d’utilité sociale depuis quelques mois.
Réduire les inégalités linguistiques grâce à un programme d’actions valorisantes intègre l’ADN de cette toujours jeune entité qui vient de souffler ses dix premières bougies. Et compte bien ne pas en rester là…
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Il plaide en faveur de l’économie de proximité : Jean-François LEMAITRE (CMA) raisonne 100 % territoire !
février 17, 2020Son attachement pour l’essor de l’économie en circuit court ne date pas d’hier. D’ailleurs, le patron de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, jamais avare sur ce sujet une fois qu’il est lancé, n’a jamais caché ses appétences pour les actes de consommation qui privilégient la qualité à la quantité, le local au mondialisé, le personnalisé au standardisé. Ce franc retour de nos modes consuméristes vers la proximité le réjouit. Une exigence qu’il défend bec et ongles au quotidien…
AUXERRE : Avec ses collègues de la toute nouvelle mouture de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté (une configuration institutionnelle qui a vu le jour au 01er janvier), Jean-François LEMAITRE est devenu l’archétype même du défenseur investi de l’économie de proximité à 100 % !
Ne comprenant pas les motivations personnelles de celles et ceux de ces consommateurs qui se tournent vers une ultra consommation totalement hors sol et désincarnée (si, si cela existe encore !), le dynamique président de la chambre consulaire départementale vante les mérites des circuits courts. Pas un de ses discours officiels qu’il est amené à prononcer ne peut se soustraire à ces références vertueuses.
D’ailleurs, il se dit ravi de cette fusion intéressante des chambres de Bourgogne et de Franche-Comté qui vont permettre à brève échéance de coordonner des actions au niveau de la grande région.
Des ententes qui lui tiennent à cœur…
Et en particulier, une qui lui tient à cœur mais qui n’a pas encore été éventée de manière opérationnelle la mise en œuvre d’un outil au service du développement local. Son entente cordiale avec le président Emmanuel POYEN devrait faciliter une présence forte et engagée de ce nouvel organe régional y compris sur le territoire de l’Yonne.
Autre entente qui a tout l’air de fonctionner avec harmonie et efficience, c’est la Chambre économique de l’Yonne. Un auxiliaire précieux et utile favorisant le rapprochement et sur la même longueur d’ondes des trois partenaires institutionnels que doivent être, au-delà d’une simple feuille de route, le monde agricole, celui du commerce et de l’industrie et bien sûr celui des métiers et de l’artisanat.
A ce titre, la dernière opération mutuelle concoctée en début d’année au moment des vœux, avec la présence de l’économiste Nicolas BOUZOU, fut une entière réussite.
« J’ai immédiatement trouvé que ce projet conjoint possédait du sens, explique Jean-François LEMAITRE, que vous soyez commerçant, agriculteur, artisan, vous avez un dénominateur commun qui est le fait d’être un dirigeant d’entreprise. Sans oublier que le territoire où vous intervenez à titre professionnel est le même dans la plupart des cas… ».
Œuvrer à la création d’entreprises durables…
La philosophie du président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne n’occulte pas la problématique de l’emploi. Bien au contraire !
Il renchérit : « faire évoluer nos modes de vie pour consommer mieux et local, c’est contribuer à créer de l’emploi pérenne sur son lieu de vie. Et surtout permettre aux entreprises de former des jeunes qui resteront fidèles à ce département. Ils y prendront confiance grâce au travail et ne partiront pas… ».
C’est peut-être là, la clé du véritable problème qui en préoccupe plus d’un. Quant à la situation de l’artisanat, notre interlocuteur se montre plutôt confiant et réaliste dans ses propos.
« Malgré leur taille modeste, les entreprises artisanales se réforment, innovent et proposent de nouvelles solutions face aux défis environnementaux. Prenons l’exemple des artisans du bâtiment. Ils mettent en œuvre des matériaux plus performants et respectueux de la nature. Ceux de la production créent des produits de qualité, plus durables, et surtout réparables.
Quant aux professionnels des métiers de bouche, ils mettent l’accent sur la traçabilité et les circuits courts. Enfin, les professionnels du service limitent leur consommation énergétique en gérant mieux leur impact environnemental… ».
Bref : une vision des choses idyllique. Mais, bien réelle. La base de tout, en revanche, demeure la formation. Jean-François LEMAITRE insiste sur ce dernier point : sans elle, pas de salut.
« L’été dernier, dans une volonté de simplification, le gouvernement a choisi de supprimer l’obligation de suivre un stage de formation préalable en entreprise. Mais si l’obligation n’existe plus : la nécessité demeure au quotidien… ».
L’offre de services aux créateurs et repreneurs d’entreprise a été relookée en profondeur. Pour que chacun puisse trouver chaussure à son pied à travers la formation, le conseil et l’accompagnement propres à la réussite de tout projet…Immanquablement, de proximité !
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Améliorer l’accès au logement suppose que chacun y mette du sien…
février 17, 2020Le président de la FNAIM Ile-de-France approuve les propos tenus par le président fédéral de la FNAIM, Jean-Marc TORROLLION. Mais pour éviter toute réaction hâtive et épidermique, il souhaite rappeler via cette tribune certaines choses qui ont amené la FNAIM à envisager la création de ce fichier des incidents de paiement des loyers. Le but n'est pas d'être totalement pour ou contre. Mais plutôt de travailler au « comment » et au « pourquoi ». C'est le souhait évident de l’organisme immobilier…
TRIBUNE : Ces dernières années, le nombre de bailleurs privés n'a cessé de diminuer et donc d’amplifier les difficultés pour trouver un logement en tant que locataire. Il est bon de rappeler qu'un bailleur sur deux est propriétaire de deux logements maximum.
Pour un grand nombre d'entre eux, ils ont emprunté dans l'espoir d'améliorer leur future retraite. Il ne faut pas les considérer comme « d'affreux capitalistes », profitant de « pauvres locataires ». Car, par leurs investissements, ils jouent un rôle social de premier ordre : le logement. Ils appartiennent à la société moyenne.
Il est aisé de comprendre que ces propriétaires ont besoin d'avoir la garantie d'être payés des loyers pour pouvoir rembourser leurs prêts. Or, ces moyens ont été amputés au fur et à mesure des années et des politiques successives. Nous pouvons citer : le dépôt de garantie ramené à un mois (lequel sert trop souvent à tort à payer le dernier mois), la suppression du cumul de garantie des loyers impayés et cautionnement personnel, le rallongement des délais de procédure, etc.
Les conséquences actuelles sont que certains bailleurs préfèrent ne plus mettre leur bien en location. Ils ont recours à des plateformes type « RBNB ». Celles-ci ne répondent pas au même besoin de logement.
La FNAIM déplore cette situation. Elle n'est pas du fait des professionnels, mais des politiques successives mises en place.
Comment peut-on exiger que des bailleurs privés prennent tous les risques financiers en cas de non-paiement et deviennent le curseur social de politiques inadaptées ?
La crainte pour les bailleurs de ne pas être payés…
C'est à l'Etat et aux services sociaux, et bailleurs sociaux, de répondre aux situations dramatiques de certains locataires.
Ce fichier, s'il voit le jour, dans le respect des règles édictées par la CNIL, ne serait qu'à la disposition des professionnels détenteurs d'une carte professionnelle.
Il existe bien un fichier à la Banque de France concernant les personnes ayant eu des incidents bancaires. Pour éviter les situations de surendettement. En quoi cela serait-il choquant qu'une sorte d'équivalent existe pour les locataires ?
Jean-Marc TORROLLION l'a rappelé clairement : « l'enjeu n'a jamais été de ficher les accidents de la vie… ». La raison principale qui fait qu'aujourd'hui bon nombre de bailleurs ne veulent plus investir et même parfois, vendent parfois leurs biens, c'est la crainte première, et totalement justifiée, de ne pas être payés.
Donc, si nous voulons améliorer l'accès au logement pour nos concitoyens, il faut que chacun y mette du sien, y compris le gouvernement et le législateur en premiers.
Il faut arriver à recréer une situation de confiance entre bailleurs et locataires. On ne peut imaginer qu'au moment de s'engager, une partie cache à l'autre un élément essentiel pour contracter.
Oui, le président fédéral de la FNAIM a jeté le pavé dans la mare. Il est évident que les choses vont devoir évoluer. Le slogan de la FNAIM est depuis très longtemps : « Agir pour le logement ». Elle ne change pas de cap.
Guy BRUGGEMAN
Président de la FNAIM Ile-de-France
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La France fragmentée inspire le Cercle Condorcet : un spécialiste de l’IFOP en conférence pour en parler…
février 15, 2020Analyste politique et expert en géographie électorale, le conférencier d’un soir, Jérôme FOURQUET, brossera le portrait de ce pays dans lequel nous vivons, un véritable « archipel », né d’une nation multiple et divisée. Pour mieux comprendre la crise politique dans laquelle nous nous trouvons…
SENS: Directeur du département Opinion à l’IFOP (Institut français d’opinion publique), l’orateur invité par le Cercle Condorcet apportera un éclairage aiguisé sur la situation complexe que rencontre notre pays au niveau de ses organes politiques et institutionnels.
Au cours de cette conférence-débat, articulée autour de la naissance de « l’archipel français » (référence aux divisions multiples qui secouent notre nation depuis fort longtemps), l’intervenant évoquera le désir de vivre ensemble dans l’Hexagone en 2020 et de ce qu’il en reste.
D’ailleurs, si la question est posée et qu’on en parle tant aujourd’hui autour de soi ou dans les médias, ne serait-ce pas justement pour masquer par l’incantation sa disparition ?
Il est vrai qu’en un laps de temps relativement court, quelques décennies à peine, beaucoup de choses ont changé dans notre pays. Morcelé, notre état providence est devenu au fil des années un archipel d’îles qui s’ignorent les unes des autres parmi les strates hétéroclites de notre société.
Jérôme FOURQUET apportera des explications concrètes sur la dislocation progressive de cette France ainsi que les incidences qui vont en résulter tant au plan sociologique que culturel.
Un constat s’amorce en évidence : cette France nouvelle qui s’effrite en une noria d’archipels laisse la place à la sécession des élites, à l’autonomisation des catégories populaires, à la formation d’un réduit catholique, à l’instauration d’une société multiculturelle de fait et bien sûr, à la dislocation progressive des références culturelles communes.
Autant d’explications tangibles et d’exemples concrets à ce bouleversement anthropologique qui permet de mieux appréhender le contexte actuel dans lequel se meut notre nation. Avec comme la conséquence naturelle suivante : face à toutes ces fragmentations, l’agrégation des intérêts particuliers au sein de coalitions larges, au plan politique, est devenue tout bonnement impossible à envisager…
Mardi 18 février 2020 à 19h
Salle plénière du complexe Roger Breton face à la piscine
78 ter rue René Binet à Sens
Participation : 3 € pour les non adhérents au CCS (pas CB) – gratuit pour les adhérents au CCS.
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