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La patience mère de la sagesse pour les férus de la « Franck Pineau » : report logique au…12 juin 2021
avril 17, 2020Les amoureux de la « petite reine » devront encore ronger leurs freins et s’armer de patience durant quelques mois supplémentaires. Le Comité décisionnaire de la fameuse concentration cyclotouriste de l’Yonne, l’un des plus principales de l’Hexagone, a pris la décision d’annuler ce rendez-vous fleurant bon le printemps et les retrouvailles conviviales. La date du 12 juin 2021 est déjà dans le viseur de l’organisation…
AUXERRE : Le rendez-vous était prévu comme à l’accoutumée le second samedi de juin. Soit à la date du 13. Mais, depuis plusieurs semaines, l’ombre d’un report, voire d’une annulation pure et simple, planait au-dessus des têtes des organisateurs. L’écoute de l’allocution présidentielle du soir de Pâques, interdisant les rassemblements populaires jusqu’à la mi-juillet, aura pesé lourd dans la balance.
« Ne pouvant réunir les conditions nécessaires à son déroulement optimal, notamment au niveau de la sécurité, nous sommes au regret de procéder à l’annulation de l’édition 2020 de la Franck Pineau… ».
Bref, le communiqué de presse adressé par le président du comité organisateur, Eddy BEVRE, ajoute en substance la date de la future manifestation, au 12 juin 2021.
Un report de l’évènementiel pouvait-il être envisagé pour autant cette année ?
Interrogé, Eddy BEVRE précise que la piste a mûri bon nombre de réflexions.
« Nous n’avons pas pu trouver d’autres dates pour organiser dans les meilleures conditions ce rendez-vous sportif, explique le président de la structure organisatrice, en outre, et au-delà des aspects de météo et de luminosité (l’évènement en extérieur se poursuit tard dans l’après-midi), la préfecture de l’Yonne vers laquelle nous nous sommes rapprochés n’a pu nous garantir une jauge précise du nombre de participants compte tenu de la crise sanitaire et de ses contraintes… ».
Les partenaires seront-ils toujours présents en 2021 ?
Chaque année, la Franck Pineau rassemble près d’un millier de participants. On imagine mal l’équipe à la tête de cette manifestation prendre des décisions drastiques arbitraires afin de sélectionner des personnes en fonction de tel ou tel critère.
Ayant succédé à l’automne dernier à Serge LE DOUSSAL, figure emblématique de ce challenge familial ouvert au plus grand nombre, Eddy BEVRE entame plutôt mal sa première année de mandature. Même si tout était fin prêt dans les cartons pour faire de cette édition un joli millésime contenant innovations et surprises.
L’inquiétude prévaut, cependant. Qu’en sera-t-il des investissements financiers de la part de la dizaine de partenaires privés la saison prochaine au sortir de la crise ? Le budget s’élève à 35 000 euros. Ce rendez-vous classique du cyclotourisme connu et reconnu bien au-delà des frontières régionales aura alors besoin de tous ses soutiens inconditionnel pour renaitre tel un Phénix de ses cendres au printemps 2021…
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Espoir de reprise pour le BTP et la construction : les chantiers en phase de réouverture sont identifiés…
avril 17, 2020Ce jeudi s’est tenue par le biais d’une audioconférence la première réunion du Comité du bâtiment, des travaux publics et de la construction sous l’égide de la préfecture de l’Yonne. Un rendez-vous essentiel car il a permis d’évaluer quels étaient les chantiers privés et publics pouvant être potentiellement relancés à brève échéance…
AUXERRE : La mobilisation des acteurs publics et économiques de notre département est totale. Elle sert à optimiser la reprise des chantiers après plusieurs semaines d’interruption liées au coronavirus.
Ce jeudi a eu lieu la première séance de travail souhaitée par la préfecture de l’Yonne pour faire toute la lumière sur ce qu’il était possible d’envisager dans les meilleurs délais.
Les principaux acteurs de la filière ont été invités à s’exprimer avec le représentant de l’Etat, Henri PREVOST, pour identifier les chantiers prioritaires, publics et privés, qui pourraient reprendre à court terme. Dans le respect des gestes barrières et des recommandations sanitaires du moment, il va de soi.
Participaient également à cet échange par liaison téléphonique les représentants des principaux maîtres d’ouvrage et ceux de l’UD-DIRECCTE.
Le recensement des principaux chantiers qui ont été interrompus a débuté en date du 04 avril.
Précisons qu’un guide des bonnes pratiques a été validé pour ce secteur il y a peu. Il émane de la concertation nationale entre le gouvernement et les organisations professionnelles des entreprises du bâtiment et des travaux publics.
Ce document rappelle les mesures urgentes et spécifiques à mettre en œuvre pour assurer les conditions sanitaires adéquates afin de protéger les personnels de la filière.
En savoir plus :
http://www.yonne.gouv.fr/Actualites/COVID-19-information-et-soutien-aux-entreprises
https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/covid19-conseilsbtp.pdf
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« Brûlez Molière » de Jacques MALATERRE a été tourné en Bourgogne : Pierre-Andréa BRET en dévoile les coulisses
avril 16, 2020Diffusé en mai 2019 lors de la cérémonie des « Molières », le téléfilm du réalisateur Jacques MALATERRE consacré à l’illustre Jean-Baptiste POQUELIN, « Brûlez Molière », avait subjugué l’assistance. Par le jeu épuré, authentique et construit de ses acteurs. Mais aussi par cette théâtralité sans artifices qui nimbait ce scénario consacré à l’auteur du « Tartuffe ». Son « making of », le documentaire qui dévoile les coulisses du tournage, se découvre depuis peu sur la toile. Il est l’œuvre d’un jeune bourguignon de 20 ans qui fait ses gammes d’apprenti cinéaste aux Ateliers du Cinéma de Claude LELOUCH à Beaune…
BEAUNE : Et si Molière nous permettait de sortir quelque peu de ce climat anxiogène propre à cette crise sanitaire sans nom qui s’évertue à perdurer ! Un conseil pour apprécier une bonne bouffée d’air pur culturel : visionner le documentaire conçu par une jeune pousse prometteuse du septième art, originaire de Saône-et-Loire. Il a consacré un moyen métrage à l’œuvre télévisuelle produite par le réalisateur Jacques MALATERRE.
« Brûlez Molière », téléfilm programmé le 13 mai 2019 par France 2, avait remporté à l’époque un succès d’estime par la qualité magistrale de sa reconstitution et le jeu sans fioritures de ses acteurs.
Son auteur, metteur en scène et cinéaste avignonnais, avait apporté un soin tout particulier au respect historique et chronologique des faits évoqués par le scénario : une plongée très réaliste sans tabou autour de la création de l’une des pièces maîtresses du dramaturge, le « Tartuffe ».
Créée en mai 1664, l’œuvre fut immédiatement interdite par Louis XIV qui invoqua alors des raisons religieuses. Satire de la bourgeoisie rétrograde de l’époque, encore trop engoncée dans la pratique de valeurs traditionnalistes de la religion, Molière chercha surtout à faire rire la cour en se moquant de ceux qui se servaient de la peur de la mort pour jouer de leur crédulité.
On connaît la suite : pour ne pas passer sous les fourches caudines du Roi Soleil et éviter la censure, il dût réécrire le rôle de son personnage principal afin de l’aseptiser et l’adapter aux bonnes convenances de l’époque…
Un tournage essentiellement réalisé en Bourgogne…
Les premiers tours de manivelle du long métrage produit par « Bonne Pioche » et France Télévisions se donnent en Bourgogne. Une région choisie par Jacques MALATERRE pour la richesse de son patrimoine, en mars 2018.
Après avoir conçu les premiers plans aux studios de Bry-sur-Marne et à Saint-Germain-en-Laye, l’équipe met cap au sud, pas très loin de la capitale.
Les châteaux de Tanlay, d’Ancy-le-Franc, de Bussy-Rabutin, de Nuits-Saint-Georges accueillent successivement interprètes et techniciens. Des scènes seront également réalisées à Noyers-sur-Serein et à l’Abbaye de Fontenay.
Dans le sillage du réalisateur qui a travaillé par le passé avec Richard ANCONINA (« La loi de Christophe »), Patrick SEBASTIEN (plusieurs de ses pièces réalisées en téléfilm dont « Une chance sur six »), se tient un jeune homme épris par les subtilités de l’art cinématographique, Pierre-Andréa BRET.
Son objectif est simple : assurer la captation de la moindre scène, de l’infime détail, de la plus petite des anecdotes liée à la conception de l’œuvre.
« Il s’agissait de ma première expérience dans un long métrage, précise ce résident de Saône-et-Loire, âgé de 20 ans, qui suit depuis trois ans les cours aux Ateliers du Cinéma de Claude LELOUCH à Beaune. Réaliser le « making of » de ce téléfilm a été d’une grande richesse pour moi… ».
Durant un mois de tournage, ce curieux de nature retranscrit pas à pas le quotidien professionnel de celles et ceux qui travaillent avec passion à la réalisation de ce film. Costumiers, décorateurs, accessoiristes, cadreurs, comédiens, réalisateur…rien ne lui échappe.
Une kyrielle de projets dans la tête…
Le comble : lui qui veut tout savoir de cette entreprise peu singulière obtient même un rôle de figurant dans la création artistique de Jacques MALATERRE ! On le voit furtivement apparaître avant la scène de la représentation finale du « Tartuffe », affublé d’un habit de brigadier et frappant de son bâton les douze coups annonciateurs de l’entrée en piste de la troupe.
« Cela m’a permis de comprendre ce que vivent les acteurs en terme de pression avant qu’ils ne jouent leur scène, explique-t-il, quand il y a deux caméras braquées sur vous et que toute l’équipe technique vous observe, ce n’est pas si simple ! ».
A la fin du tournage, Pierre-Andréa BRET avait dans sa besace plus de quarante heures de rushs.
Commença ensuite un long et fastidieux travail de montage et de post synchronisation que le néophyte mena à bien pour aboutir à son projet définitif.
Terminé, le document, intitulé « Les coulisses du Grand Tartuffe ou la découverte de Jacques MOLIERE » fut présenté lors du mois du documentaire dans la bibliothèque Gaspard MONGE à Beaune. Le documentaire se visionne sur la toile depuis peu.
Par la suite, le néo-réalisateur a travaillé d’autres œuvres dans le cadre de sa formation. Notamment des « making of » et un reportage consacré à l’association chalonnaise, « Un Avion, un Enfant, un Rêve », structure présidée par Benoît LEDUC et parrainée notamment par Olivier DASSAULT.
Le film qui en découlera présentait les actions offertes à des enfants malades ou handicapés. Ceux-ci effectuèrent des baptêmes de l’air pendant une journée de solidarité. Le film traduit leurs émotions…
A l’heure où s’écrivent ces lignes, ce féru des salles obscures prépare un court métrage de fiction tourné en réalité virtuelle sur le thème des araignées. Il n’en dira pas davantage sur ce projet, confidentialité oblige. Ce sera son court métrage de fin d’étude aux Ateliers du Cinéma. Avant sous doute une exploitation en salles et dans les festivals ?
En savoir plus :
Lien du making of :
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Le secteur de l’automobile est exsangue (- 72,2 % de parts de marché en mars) mais se prépare à la reprise…
avril 16, 2020Alors que la quasi-totalité des unités de production sont à l’arrêt partout en Europe, la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, appelle au redémarrage progressif de l’activité. Un sursaut vital pour l’industrie automobile dont les usines pourraient reprendre petit à petit leur fonctionnement.
PARIS : Si l’est un des secteurs économiques qui ne sort pas indemne de la crise sanitaire actuelle, c’est bien celui de l’automobile. L’effondrement du marché est abyssal. En l’espace d’un mois, celui de mars, la production s’est délitée à hauteur de - 72,2 % dans l’Hexagone. Soit une chute de - 34 % en moyenne établie au cours du premier trimestre 2020. Son appareil industriel est à l’arrêt à 85 % ! Du jamais vu…
Le phénomène contagieux du coronavirus ne pouvait pas plus mal tomber pour ce pan essentiel de l’économie mondiale. Depuis la fin 2019, le secteur de l’automobile est en proie à un retournement de cycle avec une baisse du marché qui avoisinait déjà 6 % avant le début de la pandémie.
Une reprise d’activité, même modeste soit-elle, fait déjà figure de grande nécessité pour les spécialistes. Ceux, entre autres, du Comité stratégique de la filière qui était réuni il y a peu par audioconférence pour examiner l’étendue du désastre. Une réunion numérisée qui accueillait la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER.
L’amorce du retour au travail est dans le viseur. Sachant que toutes les entreprises de la corporation sont désormais mobilisées pour mettre en application dans leurs usines et bureaux des protocoles sanitaires très stricts permettant d’assurer la sécurité des salariés. Certaines profiteront du retour d’expérience des dispositions qui ont été adoptées sur les sites industriels de Chine. Là-bas, le redémarrage s’est effectué avec réalisme et succès.
Hormis les unités de production, les professionnels du secteur entendent protéger les activités de logistique, livraison et ventes. Des travaux de mise en place de mesures de protection, auprès des collaborateurs comme de la clientèle, sont en cours.
Un signal fort des pouvoirs publics est attendu…
Attentive aux propos de ses interlocuteurs, Agnès PANNIER-RUNACHER a rappelé que le gouvernement ferait en sorte de créer progressivement les conditions indispensables au redémarrage du secteur via les autorisations de circulation des véhicules de transport, y compris au niveau des différents pays européens.
Dès que le contexte sera favorable, les livraisons de véhicules pour alimenter les réseaux de concessionnaires reprendront. Avant que ne rouvrent enfin lesdites vitrines commerciales qui accueilleront de nouveau la clientèle dans le respect des exigences sanitaires voulues par l’Etat.
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Il s’adresse aux adhérents de la CPME : la sécurité est la priorité absolue pour Olivier TRICON
avril 16, 2020Silencieux depuis plusieurs semaines, le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne (CPME) s’est accordé du temps. Un espace nécessaire pour mûrir sa réflexion avant de prendre la plume et de s’adresser à ses adhérents par lettre interposée. Voici les morceaux choisis de ce message qui vient du cœur et qui exprime ce désir fou de reprendre le sens de l’existence là où on l’avait laissée avant le début de cette pandémie, digne du pire des scénarii de films de science-fiction de seconde zone…
AUXERRE : Hormis une opération solidaire qui lui aura permis de montrer le bout de son nez lors d’une distribution de solutions hydro-alcooliques concoctée avec le concours de la FFB et du restaurant « BBY » il y a quelques semaines, on n’était depuis sans nouvelle du charismatique responsable de la CPME de l’Yonne.
Suspendu aux décisions gouvernementales et à l’évolution de l’épidémie qui ne cesse de se propager dans l’Hexagone, le chef d’entreprise à la tête d’un domaine viticole à Chablis s’est enfin décidé à rompre le silence. De la manière la plus directe qu’il soit, c’est-à-dire scripturale.
Il vient en effet de transmettre un long courrier à ses adhérents afin de les réconforter et de les saluer face aux épreuves qu’ils traversent. Et surtout qui les empêchent de se voir et de travailler ensemble.
« Dans ce contexte compliqué, écrit-il, comment réagir alors que beaucoup de chefs d’entreprise ont dit à leurs collaborateurs qu’ils pouvaient travailler de chez eux avec leur téléphone et leur ordinateur tandis que d’autres seraient en chômage partiel… ».
Rester positif tout en s’assurant de la sécurité inconditionnelle de ses collaborateurs et sans perdre de vue que l’entreprise doit rester prospère est devenu un problème kafkaïen quasi insurmontable.
« C’est là tout le paradoxe, poursuit Olivier TRICON, être confiné pour se protéger de toutes les personnes qui nous entourent au quotidien tout en continuant le travail pour faire fonctionner l’économie relève de la magie ! Même si tout doit être mis en œuvre en termes de barrière sanitaire… ».
Le président du syndicat patronal des TPE et PME pense que s’il y a un bénéfice à cette crise, « ce serait celui de la prise de conscience de nos concitoyens à l’égard de ces entreprises qui produisent des biens indispensables à leur consommation, créent de la richesse et de la valeur, sans omettre l’emploi… ».
Bref : sans l’engagement et l’audace de ces personnes, l’engrenage vertueux de l’économie s’arrêterait immédiatement. Comme c’est le cas, du moins partiellement en France, depuis la mi-mars.
Une indemnisation de 1 250 euros aux indépendants, commerçants et artisans…
Réagissant aux prises de position de son président national, François ASSELIN, le chef de file de la CPME de l’Yonne rappelle que ce dernier défend auprès du gouvernement une vision du travail basée sur la sécurité des collaborateurs, des entrepreneurs et des entreprises, personne morale.
« Oui, expose-t-il, la sécurité est une priorité absolue. Nous voulons faire travailler nos salariés mais en étant sûr que nous ne mettons pas en péril leur santé et pas au prix de charges supplémentaires disproportionnées pour nos entreprises… ».
La situation est, on ne peut plus claire. Quant à la sécurisation des dirigeants, il souligne que les instances nationales de la CPME souhaitent que soit reconnue une obligation de moyen, et non de résultat en matière de santé et de sécurité.
« Notre syndicat a réfléchi à l’indemnisation des chefs d’entreprise. Nous avons obtenu une somme de 1 250 euros qui vont être versés aux indépendants, commerçants et artisans, hors charges sociales et fiscales… ».
Toutefois, Olivier TRICON précise qu’il est aussi indispensable de travailler à la protection de la personne morale.
« Nous nous battons aujourd’hui pour que des outils soient mis à la disposition des entrepreneurs afin de les aider à surmonter la crise. Nos revendications portent également sur l’annulation des charges sociales et fiscales… ».
Un axe stratégique plus favorable qu’un simple report qui favoriserait le retour opérationnel des entreprises dans de bonnes conditions.
« Je vous conseille aussi d’utiliser toutes les opportunités possibles pour maintenir la trésorerie, ajoute-t-il en faisant allusion aux aides consenties par l’Etat, la Région, les réseaux bancaires, BPI France, etc. ».
Toutefois, le président de la CPME insiste auprès de son lectorat : « Si j’ai une demande à vous faire, et vous savez que c’est assez rare de ma part, c’est celle de payer vos factures afin de ne pas mettre en difficulté vos fournisseurs… ».
Des liens étroits noués au niveau local…
Au plan départemental, la CPME travaille de concert avec les différentes institutions ayant attrait à l’économie. Ainsi, elle fait entendre sa voix auprès de l’URSSAF, la DIRECCTE, la préfecture, la Région, les communes.
« Cette concertation se fait en lien avec des spécialistes qui nous accompagnent : experts comptables, avocats, assureurs, les chambres consulaires. Le but étant de vous écouter, de vous informer et de vous accompagner dans toutes vos démarches… ».
Une fois sortie de ses épreuves, Olivier TRICON qui aura l’immense plaisir à retrouver tous ses adhérents, espère un monde entrepreneurial plus solidaire et plus fort après tant d’adversités. Un désir à partager par tous…
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