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Les victimes de violences conjugales disposent de 12 places d’hébergement : l’Yonne renforce son dispositif…
novembre 30, 2020Douze. C’est le nombre de places d’hébergement qui viennent d’être créées sur notre territoire afin de répondre aux urgences vitales des femmes qui subissent au quotidien des outrages conjugaux. Une cellule de prise en charge est aussi opérationnelle pour renforcer le suivi des situations les plus complexes…
AUXERRE : Les violences faites à la gent féminine sont croissantes avec les périodes successives de confinement. Et sur ce registre très douloureux, l’Yonne n’est pas un département qui demeure inactif. Bien au contraire.
Engagé dans une démarche volontariste, notre territoire vient de prendre un certain nombre d’initiatives dans sa lutte contre ce méprisable fléau. La Journée internationale du 25 novembre aura permis de le rappeler à bon escient.
D’une part, une cellule de prise en charge des femmes victimes de violence est désormais fonctionnelle afin de suivre pas à pas les problématiques de ce fait de société.
D’autre part, ces malheureuses victimes de la vindicte masculine peuvent être hébergées en urgence dans l’une des douze places d’hébergement qui peuvent les accueillir sur l’ensemble du territoire départemental. Une création qui fait suite à un appel à projets national issu du Grenelle contre les violences conjugales.
Organisés en concertation avec les centres commerciaux LECLERC (Auxerre, Migennes, Saint-Denis-les-Sens), des points d’accueil éphémères tenus par les services de la CIDFF et ADAVIRS ont pu sensibiliser le jour J la population sur les dérives vécues en couple. Une manifestation à laquelle participait le préfet de l’Yonne Henri PREVOST à Auxerre…
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Ce mardi 1er décembre devrait être chaud bouillant pour la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté. Participant au comité de suivi du fonds de développement de l’industriel américain GENERAL ELECTRIC, Marie-Guite DUFAY entend bien défendre le projet de reprise d’activité déposé par les salariés de GE Hydro. Contre l’avis du directeur général de la filiale française…
DIJON (Côte d’Or) : Entre GENERAL ELECTRIC et l’exécutif de la Région Bourgogne Franche-Comté, le torchon brûle. Surtout après l’annonce de nouvelles suppressions de postes dans le cadre de la réorganisation de l’industriel américain. Ce sont 300 emplois qui sont sur la sellette dont 240 affectés au site de Belfort dans la branche du « steam power ». Celle qui conçoit la fabrication des turbines présentes dans les réacteurs des centrales nucléaires.
S’entretenant il y a peu avec le ministre de l’Economie et de la Relance Bruno LE MAIRE, Marie-Guite DUFAY endosse une fois de plus sa vêture de chevalier blanc, en défenseuse toute acquise à la préservation de l’emploi dans sa zone géographique de prédilection.
Favorable à un rachat par EDF et FRAMATOME de l’ensemble de la branche énergie de GENERAL ELECTRIC, ce qui favoriserait la création d’un grand groupe énergéticien aux couleurs nationales, l’élue régionale sollicite pour la énième fois la présidence de la République.
Depuis deux ans, Marie-Guite DUFAY multiplie en effet les contacts auprès d’Emmanuel MACRON afin que ce dernier s’empare enfin du dossier. En vain. Pour l’heure, rien ne bouge et ses demandes restent lettres mortes.
« Sans l’intervention du chef de l’Etat, nous assisterons à la destruction massive d’emplois et de compétences uniques au monde, souligne-t-elle dans un communiqué de presse, les intérêts de notre pays et la filière française de l’énergie sont menacés… ».
Exit le temps des promesses, des mensonges et des trahisons…
Fustigeant l’attitude du géant américain qui n’a pas tenu ses promesses (« depuis le rachat de la branche énergie d’ALSTOM, ce n’est que mensonges et trahisons…), Marie-Guite DUFAY dénonce la stratégie de l’industriel.
Une politique qui touche à la souveraineté industrielle de la France tout en mettant en péril notre indépendance énergétique et notre sécurité nationale à terme.
Il y a un an, GENERAL ELECTRIC s’était engagé après d’âpres tractations à signer un accord pour pérenniser l’activité gaz à Belfort. Mais, aujourd’hui, les négociations ne sont toujours pas abouties.
Quant aux mille emplois promis en France par l’industriel nord-américain, ils se sont évanouis comme par enchantement dans la nature. Laissant la place, en revanche, à de multiples plans sociaux ou de départs volontaires qui se succèdent en cascade.
Enfin, rappelons, qu’au mois de septembre dernier, ce sont 83 salariés de la filière Hydro qui ont été sortis des effectifs au nom d’une restructuration comptable.
Mardi, face à Hugh BAILEY, directeur général de GE France, et contre son avis, la présidente de région soutiendra mordicus les intérêts des salariés de GE Hydro qui consiste en une reprise de leur activité. Une rencontre qui sera certainement « électrique » entre les deux parties…
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Le droit aux libertés trouve toujours ses ardents défenseurs : l’Assemblée Populaire d’Auxerre ne faillit pas
novembre 28, 2020Evocateur, le nom de code identifiant la manifestation de la semaine dernière résumait à lui seul l’importance de l’engagement : « itinérance mémorielle en hommage à nos libertés ». Malgré le confinement et l’état d’urgence sanitaire, mais bel et bien dans le respect des gestes barrières et du port du masque, près de cent cinquante soutiens à l’APA répondirent présents en faveur des droits les plus élémentaires d’une démocratie : la liberté…
AUXERRE : Certes, l’itinéraire initial, une boucle de 2,8 kilomètres à parcourir dans l’hyper centre de la capitale de l’Yonne, aura été quelque peu raboté à la dernière minute ou presque. De neuf centres mètres, précisément, sur ordre de la préfecture. Une décision prise en ce sens, eu égard au contexte sanitaire du moment.
Mais, in fine, de manifestation en plein centre-ville, là où sont implantés les commerces de proximité servant de cause originelle à ce rendez-vous revendicatif populaire, il n’y aura pas !
Le cortège se sera rabattu sur un tout autre périmètre, celui des boulevards périphériques de la ville. Moins pourvus en échoppes artisanales et en commerces indépendants, mais offrant davantage d’espaces à la déambulation de manifestants.
Qu’à cela ne tienne ! Sur un parcours qui ne s’y prêtait guère puisque un peu trop excentré de leur objectif initial, les organisateurs de l’Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) auront réussi leur pari de faire converger près de cent cinquante personnes désireuses de se mobiliser contre le cruel manque de liberté.
Utilisant les réseaux sociaux pour faire circuler l’appel à protester en amont, l’APA avait labellisé cette première manifestation déclinée à son estampille sous le sceau de « Gilets Jaunes ». Un clin d’œil ostentatoire au deuxième anniversaire du fameux mouvement populaire qui a rapidement fait tache d’huile dans l’Hexagone à l’automne 2018.
Des lieux d’arrêt très ciblés pour véhiculer les messages…
Le cortège démarra face au cinéma CGR dont les portes sont closes depuis plusieurs semaines. Un geste symbolique pointé comme un index dénonciateur en direction d’un lieu culturel ayant eu à subir la fermeture durant la période de confinement.
Le deuxième arrêt fut réservé à la première Maison du Peuple, près du passage Surrugue, un bâtiment emblématique chargé d’histoire érigé en 1903. Toute une époque !
Les banderoles se déroulèrent bon train durant la déambulation. On pouvait y lire les slogans suivants : « Etat d’urgence = libertés en danger » ou encore « Confinement, couvre-feu, état d’urgence : et nos libertés ? ».
Puis, ce fut au tour du Musée d’histoire naturelle (autre site culturel inactif depuis plusieurs semaines) de faire stopper la progression du cortège. Les restaurants ne furent pas oubliés avec un message déployé devant l’un d’eux, évoquant la mort d’un commerce essentiel à notre lien social…
Le gilet jaune symbole fort de l’union des colères…
Point névralgique de toutes manifestations qui se respectent, le Rond-Point de Paris accueillit les prises de paroles libres de celles et ceux qui souhaitaient s’exprimer en de pareilles circonstances, microphone en main.
Ce fut le cas d’une journaliste, adhérente au SNJ (Syndicat national des journalistes) qui parla notamment du grave recul de la liberté d’information dans notre pays. Une ultime étape avant la dislocation du cortège, place de l’Arquebuse.
De l’avis des organisateurs, tous se disent très satisfaits de cette opération revendicative. La première en période de confinement.
« Nous avons été touchés par de nombreuses personnes présentes et de leurs remerciements pour avoir organisé cette manifestation. Plusieurs sont venus nous dire que cela les remobilisait au milieu du confinement en leur montrant qu’il nous reste encore quelques maigres libertés d’action. Au-delà la réussite du nombre avec cette mobilisation (145 personnes selon les forces de l’ordre), c’est la diversité des profils des personnes qui nous réchauffe le cœur… ».
En filigrane, on l’aura bien compris pour l’APA, aujourd’hui comme hier, le gilet jaune demeure le symbole fort de l’union des colères.
Des colères qui pourraient bien se manifester de nouveau dans la rue si le contexte sanitaire actuel devait persister un peu trop longtemps…
Thierry BRET
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L’intelligence technologique au service de la conduite : NISSAN LEAF première belle surprise de 2021 ?
novembre 28, 2020Déjà une décennie de présence grâce à deux générations de modèles. Synonymes de succès qui se traduit par la vente de 500 000 exemplaires, dont 180 000 en Europe. Fleuron de la gamme électrique du constructeur japonais, la LEAF plaît aux consommateurs de l’Hexagone. La preuve, ils ont acheté 25 000 de ces véhicules. Un chiffre qui augmentera au premier trimestre prochain avec la mise en vente de la version 2021…
PARIS : C’est l’effervescence dans le réseau des concessionnaires NISSAN. Les commandes de la LEAF 2021 sont ouvertes depuis plusieurs semaines. Afin d’assurer les premières livraisons de la petite dernière issue de la gamme électrique du constructeur nippon et ce, dès le début de la nouvelle année.
Pionnière de la mobilité 100 % électrique depuis 2010, l’automobile a été totalement renouvelée sept ans plus tard. Pour sa nouvelle version, l’ingénierie propose un produit qui accentue sa connectivité en lui apportant des équipements supplémentaires.
Cette berline compacte est toujours disponible en deux versions. La LEAF 150 ch/40 kWh équivaut à plus des trois quarts des ventes et la LEAF e+ 217 ch/82 kWh, commercialisée depuis dix-huit mois.
Davantage de technologies embarquées à son bord…
La Nissan LEAF a inauguré la conduite assistée « ProPILOT » en Europe. Cela constitue l’étape initiale menant à la conduite autonome. Elle bénéficie également de la technologie « e-Pedal ». Ce qui permet d'accélérer, ralentir, freiner et même s'arrêter avec la seule pédale d'accélérateur dans 90 % des cas. Pour cette version 2021, plusieurs technologies de sécurité s'y ajoutent : un détecteur d'angle mort intelligent et un système de maintien dans la voie qui équipent désormais tous les modèles.
On l’aura compris : le constructeur choisit de lancer sur le marché l’une de ses automobiles les plus connectées, à l’image de JUKE début 2020. Grâce à l’application spécifique, on peut optimiser de nouvelles fonctionnalités comme le verrouillage/déverrouillage des portes à distance ou l’autonomie et l’état de charge. Les conducteurs peuvent recevoir une alerte si le véhicule sort d'une zone ou dépasse une vitesse préalablement prédéfinie. Cerise sur le gâteau : le Wifi est accessible sur simple abonnement.
Innovation particulière : un rétroviseur intérieur ultra intelligent….
La plupart des conducteurs en ont déjà fait l'expérience. L'usage du rétroviseur intérieur peut être perturbé par la présence d’un objet volumineux que l'on transporte à l’arrière. Voire par la tête d’un passager. Ne parlons pas des conditions météo parfois très défavorables. Pour garantir la vision optimale dans toutes les situations, NISSAN innove sur la LEAF 2021 en introduisant un rétroviseur intérieur intelligent à affichage numérique.
Celui-ci comporte deux positions : un rétroviseur-miroir traditionnel et un mode écran. Quand le mode écran s’active, il est alors connecté à une caméra fixée en haut de la lunette arrière. Il suffit au conducteur d'actionner une commande située en bas du rétroviseur pour passer instantanément d'un mode à l'autre.
Ce système, déjà plébiscité sur de nombreux véhicules de la marque au Japon et en Amérique du Nord, a su faire ses preuves. Ce rétroviseur intérieur intelligent à affichage numérique sera disponible de série sur la finition « Tekna » du futur modèle tant attendu en 2021.
Pour conclure, précisons qu’une toute nouvelle couleur de carrosserie s’ajoute à la gamme chromatique. Il s’agit d’un coloris gris argile qui peut aussi se décliner avec la présence de noir sur le toit.
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2 500 emplois affectés à une plateforme de e-commerce de 150 000 m2 : Sens croise les doigts pour obtenir le projet
novembre 27, 2020Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Même si celle-ci arbore une fourrure de la plus belle des textures. Mais à l’annonce du concept entrepreneurial qui pourrait tomber dans l’escarcelle du Grand-Sénonais à l’horizon 2022, il y a des raisons d’espérer. Si l’appel à projets lui revient favorablement, c’est la plateforme logistique d’un grand groupe européen positionné dans le e-commerce qui s’implanterait alors à Sens. Créant au passage la bagatelle de plusieurs milliers d’emplois…
SENS : Non, il ne s’agit pas du géant américain, AMAZON qui a déjà choisi Chalon-sur-Saône comme point d’ancrage en Bourgogne Franche-Comté ! Mais, ce serait tout comme, si d’aventure le projet venait à se concrétiser d’ici les prochaines semaines.
Les perspectives induites seraient très alléchantes pour le bassin d’emploi du Sénonais. Et par effet gigogne, à l’ensemble des strates économiques de ce territoire, avec en priorité les artisans et les sociétés de service.
L’édification de cette future base logistique – la plus importante dans l’Hexagone pour ce commanditaire européen spécialiste du e-commerce dont l’identité n’a pas été relevée pour l’heure pour cause de confidentialité par le porteur de projet, la société PANHARD– apporterait une embellie durable et circonstanciée à la cause de l’emploi sur le secteur septentrional de l’Yonne.
Un projet qui ne date pas d’hier comme devait le préciser lors d’une conférence de presse permettant de faire toute la lumière sur ce dossier, l’édile de Sens et présidente du Grand-Sénonais, Marie-Louise FORT.
Cela fait deux ans déjà que les fonts baptismaux de ce dossier très attendu par le sérail local ont été posés sur la table des tractations. La Ville de Sens n’avait pas, jusqu’alors souhaité l’évoquer, à l’instar de tant d’autres projets en gestation, parce que sa politique de communication s’articule seulement autour de programmes ayant une chance d’aboutir in fine.
Une entrée en matière explicative très véhémente de l’élue de l’Yonne qui a voulu remettre les pendules à l’heure après avoir été accusée lors du conseil municipal du lundi 23 novembre par son opposition verte de ne pas dire toute la vérité sur ce dossier.
Une motte de beurre dans l’assiette d’épinards du Sénonais…
De quoi s’agit-il précisément ? Un major européen de la « supply chain » et de la logistique dans le e-commerce – visiblement originaire d’Outre-Rhin par simple déduction – a lancé un appel d’offres national portant sur la recherche d’une zone d’aménagement en vue de l’installation de son futur centre logistique dans l’Hexagone. Et plus particulièrement sur l’axe Paris/Lyon.
Une quarantaine de sites ont fait acte de candidature dès l’annonce de ce projet qui remonte à vingt-deux mois.
Spécialiste de l’immobilier industriel dont celui de l’implantation de bases de logistique en France, le groupe PANHARD (rien à voir avec feu la célèbre enseigne automobile) est entré dans la danse.
En prenant fait et cause pour imposer le territoire de Sens dans les négociations !
Si à date, rien n’est encore fait quant à l’attribution définitive de cette implantation, il ne resterait plus, aux dires de Jean-Louis LAZUECH, directeur général du développement logistique de la société, que deux à trois sites figurant encore sur les rangs. Dont celui qui intéresse le bassin d’emploi du Sénonais ! Une énorme motte de beurre dans une assiette d’épinards pour le développement économique du territoire !
Un chantier titanesque avec 150 000 mètres carrés de bâtiment !
Dans les faits, le projet est proprement colossal. La plateforme s’étalerait sur 150 000 mètres carrés de superficie dont 50 000 mètres carrés en étage. Ce qui en ferait de facto l’une des plus importantes bases logistique de l’Hexagone !
Son coût reviendrait à 300 millions d’euros, financés pour moitié par le porteur du projet lui-même.
L’investissement humain atteindrait des proportions très conséquentes pour le microcosme local : avec une jauge estimative fixée à près de deux mille cinq cents emplois dont 50 % établis en contrat à durée indéterminée.
Parmi les profils essentiels de ces postes, citons celui des caristes dont la future société aurait grandement besoin pour rendre opérationnel l’ensemble. Les cadres et personnels administratifs seraient accueillis dans douze mille mètres carrés de bureaux.
Sur les trente hectares occupés pour le développement de ce projet, une dizaine serait consacrée à l’aménagement de plan d’eau (deux hectares), de la préservation du biotope, de la plantation de quelques neuf cents arbres et végétaux, de la pose de ruchers.
Bref, un concept résolument vert et écologique qui, pour couronner le tout, se verrait aussi doter de panneaux photovoltaïques sur la toiture de l’édifice. Ceux-ci d’une puissance de cinq MgW pourraient répondre aux besoins en énergie électrique de mille deux cents foyers.
Les abords du site logistique seraient également repensés. Avec à la clé, des accès menant vers la rocade de contournement de Sens. Il s’agirait de rendre plus fluide la circulation des poids lourds, évalués de 400 à 500 véhicules par jour dans ce périmètre.
S’il était retenu, le chantier de construction de cette plateforme de très belle envergure nécessiterait près de vingt-quatre mois de labeur. Auxquels il faudrait ajouter de six à huit mois supplémentaires pour l’agencement du lieu. Quant au recrutement des futurs salariés, il incomberait aux services de Pôle Emploi.
Marie-Louise FORT, tout comme son adjointe en charge de la vie commerçante, de l’artisanat et de l’attractivité économique Clarisse QUENTIN, se disent confiantes. « Notre dossier est bon, nos arguments aussi… ».
Il n’y a plus qu’à croiser les doigts et patienter jusqu’en 2021 pour que cette nouvelle année vienne égayer de ses lumières (et de l’acceptation de ce dossier) le paysage sociétal sénonais…
Thierry BRET
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