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Le second opus et une série web se préparent : « la Pétasse au volant » parée à vivre de nouvelles aventures en 2021 ?
décembre 04, 2020Free-lance évoluant dans l’univers de l’automobile, Anne-Charlotte LAUGIER, observatrice de la société, aime avant toute chose son indépendance. Ce petit côté « sauvageon » qui lui garantit une vraie liberté d’expression lorsqu’elle évoque avec sa plume très en verve l’univers de la culture et des voyages. Sa passion de l’automobile l’a conduite à éditer son premier ouvrage, publié en juin : le « Journal d’une pétasse au volant ». Transposer sa prose livresque en images intègre désormais ses priorités en 2021…
AUXERRE : « J’ai toujours un bagage dans mon véhicule, prête à partir à l’aventure. Déjà que je me perds tout le temps, malgré le GPS ! Derrière le volant, on se sent vivante ! Il se passe toujours plein de choses. De plus, quand on est une femme, on est souvent montré un peu du doigt. Il y a encore quelques années, les insultes fusaient au volant. Et je me suis dit que les seules personnes qui ont le droit de s’insulter ainsi, c’est nous les femmes !
On prend peut-être tout ça trop frontalement. On ferait mieux d’en rire, ainsi on prendrait notre revanche de cette façon-là ! ».
Auteure d’un premier roman qui s’est déjà écoulé à plus de 5 000 exemplaires, Anne-Charlotte LAUGIER ne pratique pas la langue de bois. Ni son héroïne à qui il arrive des péripéties rocambolesques des plus désopilantes. Avec en filigrane, le fil d’Ariane qui reste cette automobile fruit de tous nos désirs, de nos passions et de nos plaisirs. Un rêve d’homme, en principe !
Osé, le titre de l’opus ! « Le Journal d’une pétasse au volant » pourrait faire hurler de colère toutes les féministes de bon aloi qui se respectent ! Mais, là où l’écrivaine de l’Yonne joue avec subtilité sur l’usage de la sémantique, c’est sur la définition propre qu’elle confère à ce mot « pétasse ».
A la question posée, « C’est quoi pour vous une pétasse telle que vous la décrivez dans cet ouvrage ? », la réponse ne se fait pas attendre. Directe, sans ambages et très surprenante : c’est quelqu’un qui se la pète avec classe !
Alors lorsque cette adepte de belles cylindrées et de circonvolutions grammaticales évoque le caractère de son personnage central, voilà ce que cela donne…
« Elle est indépendante, mais là, c’est une force de caractère avec toutes les embrouilles qui lui arrivent. Elle va être dynamique, prendre sa vie en main, ne pas se laisser faire avec parfois un côté inhumain, méchante, moqueuse…Elle casse pour casser, mais je ne suis pas sûr qu’elle le pense vraiment…
Mais, d’un autre côté, elle prend sur elle-même. Son attitude « je me la joue, je me la pète » est aussi une parade pour cacher autre chose (de la fragilité ?). Elle me ressemble, mais en mieux ! ».
Apprendre aux hommes la façon de conduire : un comble !
A la lecture de ses pages, l’automobile sert d’exutoire dans ce livre. Une revanche envers la gent masculine, de toute évidence. Comme le témoigne l’extrait suivant :
« Descends, je vais te le faire ton créneau ! Il ouvre tellement grand la bouche qu’un essaim entier d’abeilles pourrait y trouver refuge et pondre un nid entre ses dents. Il sort sa carcasse encore pleine d’acné de son engin rouillé et me cède sa place. Une marche arrière, un coup de volant à droite, puis à gauche. Le jeune homme en est bluffé quand je lui lance ses clés… ».
D’ordinaire, ne dit-on pas que les dangers sur la route sont imputables aux femmes au volant ?!
Manifestement, non ! L’héroïne imaginée par l’esprit fertile d’Anne-Charlotte LAUGIER se joue des codes et clichés habituels, les renvoyant par-dessus bord, avec force et énergie.
« Si tout ce qui est relaté dans ce livre peut donner des envies et suggestions à mes lectrices, cela serait génial !, affirme-t-elle, mais je n’en oublie pas pour autant les hommes qui lisent ce roman : beaucoup nous soutiennent et ont envie d’être libre parce que je pense qu’il y a aujourd’hui plein de mecs qui sont timorés, voire complexés. Il ne faut pas croire que cela est uniquement réservé aux seules femmes… ».
La voiture, fil rouge inéluctable de l’ouvrage…
Les aventures de ce personnage déluré auraient pu faire abstraction de l’univers automobile. Oui mais voilà, l’auteure voue une telle passion à ce mode de transport des temps modernes qui lui apparaissait indispensable de le mettre en scène au fil des chapitres.
« La voiture, j’y tiens ! Parce que c’est quand même un bastion très masculin et à la base, ce n’est vraiment pas un truc de fille. D’ailleurs, la plupart des magazines spécialisés ne mettent en lumière que des mecs au volant ! Il est grand temps d’arrêter avec cela. Il n’y pas que des hommes qui achètent leur bagnole ! Nous aussi, on est capable de le faire. Et de sortir du schéma habituel où les femmes n’ont pas le droit de toucher à la voiture de leur mari, et circulent toujours à bord de la petite citadine tandis que monsieur s’autorise d’agréables sensations en pilotant une sportive ! ».
Net et sans bavure à l’adresse des machos qui se reconnaîtront !
Quant aux projets de la journaliste, ils empruntent toujours la voie de l’écriture. Plusieurs romans sont en phase de réalisation dont un qui est destiné aux enfants en abordant une thématique douloureuse, celle du divorce.
Il y est aussi question des avantages substantiels que les gosses peuvent tirer de ces séparations qui mettent un terme définitif à une histoire d’amour.
Au détour de plusieurs textes mis en musique (envisage-t-elle un enregistrement faisant écho à son timbre de voix ?), Anne-Charlotte LAUGIER s’attèle à la rédaction du second épisode faisant vivre son héroïne préférée.
Le retour espéré de cette « Pétasse 2 » se résume déjà à six chapitres qui sont bouclés. Il faudra donc s’armer encore un peu de patience avant de découvrir la suite, même si la romancière écrit tous les jours.
« J’ai toujours un carnet avec moi depuis que j’ai appris à lire et écrire. Mais, je n’ai pas d’horaire pour travailler. Je ne veux pas de contrainte. J’ai seulement envie de décomplexer l’écriture qui ne doit pas être une prise de tête pour moi. Il faut que ça soit limpide et facile à lire… ».
Transposer le personnage et ses folles pérégrinations en un concept visuel s’inscrit dorénavant parmi ses priorités. La mise en valeur de la « Pétasse » dans le cadre d’une série diffusée sur la toile qui aborderait des items inspirés du quotidien des femmes figure parmi les éventualités.
2021 ne devrait pas être stérile à l’épanouissement intellectuel de cette « sauvageonne » qui manie la plume et le verbe avec humour et ce sens sarcastique qui a séduit bon nombre de ses lecteurs.
Thierry BRET et Maryline GANDON
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Convivialité et gourmandises au fond du panier : les seniors de Sens bientôt bénéficiaires des colis de Noël
décembre 03, 2020La ville de Sens continue de se mobiliser en faveur des personnes âgées. La distribution des colis de Noël qui est programmée jusqu’au 24 décembre complète une année d’accompagnement et d’assistance riche en cette période de crise sanitaire si spécifique...
SENS: Dans la salle où était organisée la manifestation trônaient de nombreux colis de Noël, prêts à être livrés par les élus et les bénévoles. C’était l’occasion d’apporter un peu de plaisir aux personnes âgées au terme d’une année tumultueuse, source d’angoisse et de solitude.
Comment la ville de Sens prend-elle soin de ses aînés même s’il est difficile de rassurer concrètement celles et ceux qui sont isolés suite aux mesures sanitaires imposées pendant le confinement ?
Ce n’est pas si aisé, il est vrai. Globalement, la distanciation et le virtuel, comme la relaxation par téléphone, ont clairement leurs limites en termes d’accompagnement et de réconfort.
Lutter contre l’isolement, vecteur de tristesse et d’angoisse…
Le fait est, que « cette période est très mal supportée par les personnes les plus âgées à cause de cet isolement... rappela Marie-Louise FORT, maire de Sens et présidente du Grand-Sénonais, présente à cette animation. Certaines personnes ont même pleuré lorsque la ville s’est vue dans l’obligation de condamner les clubs accueillant d’ordinaire les personnes âgées.
Isolées, face à une information anxiogène diffusée en boucle à la télévision sur l’épidémie, les personnes âgées sont en proie à l’angoisse et à la solitude. Un sentiment qui se sera parfois prolongé lors des périodes de déconfinements en raison d’une peur accrue de leurs proches de les contaminer en les côtoyant.
Le maire de Sens avait instauré dès le mois de mars le dispositif de bienveillance citoyenne. Un système qui permettait de recenser les personnes âgées et les personnes isolées fortement fragilisées par la situation de confinement.
Depuis, le dispositif perdure et de nouvelles actions bien rôdées ont été mises en place telles que l’opération « Faites des pompons » ou encore « Papot’âge ».
Une mobilisation sans précédent pour la distribution des colis
Cette année, les retraités sont privés de repas de Noël. Aussi, la ville a décidé de leur faire profiter du traditionnel colis de fin d’année, normalement réservé aux plus de 70 ans. Tous ceux qui en ont fait la demande recevront donc un panier gourmand composé de produits du terroir.
Beaucoup de personnes ont proposé leur aide pour leur livraison : des élus, en nombre plus élevé que les années précédentes, des bénévoles, les jeunes du Service Prévention, des enfants citoyens du centre de loisirs et du périscolaires ainsi que des partenaires comme l’AMAPA, spécialiste du service à domicile.
Ces « Pères Noël » éphémères mais solidaires ont pour mission de remettre 845 colis, dont 600 pour les personnes seules et 245 pour les couples.
Une livraison effectuée en toute sécurité
La ville exclue une expédition des colis par La Poste afin de maintenir un contact avec les personnes âgées. Cette opération est rendue possible grâce à l’application des gestes barrières.
Mais la municipalité voit aussi ces mesures comme la garantie d’une sécurité physique des bénéficiaires, un contact moindre en prévention d’éventuels rôdeurs ou arnaqueurs qui essaieraient de s’introduire chez l’habitant.
Ces « Pères Noël » seront donc munis d’un badge spécifique. Il les rendra reconnaissables. Ces bénévoles n’entreront absolument pas dans les logements. La livraison sera donc faite à l’extérieur ou sur le palier de l’habitation. Il n’y aura alors plus qu’à se régaler !
Floriane BOIVIN
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Un soutien psychologique destiné aux entrepreneurs : le Tribunal de Commerce d’Auxerre y est favorable…
décembre 01, 2020A l’instar de ce qui se pratique déjà en Charente-Maritime, le tribunal de Commerce d’Auxerre devrait mettre en place d’ici peu un dispositif de soutien destiné aux entrepreneurs en souffrance. Une réunion d’information, organisée en présentiel se déroulera ce jeudi 03 décembre dans la grande salle des fêtes de VENOY (et dans le respect des gestes barrière) à 14h30. Elle offrira l’opportunité au président de l’institution Pascal BAILLY de faire toute la lumière sur ce projet. Dont il évoque les contours dans cette tribune…
TRIBUNE : La crise sanitaire inédite que nous traversons s’inscrit dans la longueur et nous oblige à la plus grande prudence et à une grande vigilance.
Tout d’abord, l’accueil et l’activité du Tribunal de Commerce fonctionnent tous les jours de la semaine, par téléphone, par mail, ou sur rendez-vous pour respecter les gestes « barrière ».
Les audiences de contentieux et procédures collectives se tiennent en présentiel dans le respect le plus strict de mesures sanitaires.
A ce jour, l’activité du Tribunal de Commerce d’Auxerre est depuis le début de cette crise sanitaire très nettement en baisse concernant les demandes de redressement judiciaire.
Alors qu’à l’opposé, le nombre de créations et inscriptions au registre du commerce conserve une activité normale.
Agir à plusieurs niveaux pour faire face aux difficultés…
Au premier regard, la photographie que nous pourrions faire aujourd’hui, pourrait nous satisfaire mais n’est peut-être pas le reflet le plus juste de la situation économique, compte tenu des aides et délais octroyés.
Alors, comme évoqué dans mon propos introductif, ce constat nous oblige d’une part à la plus grande prudence mais surtout à une grande vigilance. Les difficultés de toute nature des entreprises sont souvent autant d’épreuves également personnelles pour les chefs d’entreprises.
Ainsi, face aux difficultés que pourraient rencontrer les entrepreneurs, les magistrats du Tribunal de commerce sont convaincus qu’il faut agir dès à présent, à plusieurs niveaux.
D’emblée, en plus des mesures préventives prévues dans les textes, le Président ou un magistrat délégué à la prévention se tiennent à disposition des chefs d’entreprises en difficultés pour des rendez-vous confidentiels.
Par ailleurs, le Tribunal de commerce travaille à la mise en place d’une association d’aide psychologique à destination des entrepreneurs leur permettant de bénéficier gratuitement d’un soutien psychologique (APESA). Cette association à vocation départementale sera mise en place dans les prochains jours.
Un soutien psychologique adapté aux besoins des entrepreneurs…
Depuis 2013, ce dispositif original appelé APESA (Aide Psychologique aux Entrepreneurs en Souffrance Aiguë) initié d’abord au Tribunal de Commerce de Saintes a vu le jour et a été adopté par de nombreuses juridictions. Celui d’Auxerre a décidé de mettre en place ce dispositif et d’y associer les structures et organismes qui vivent au quotidien par les entreprises et pour les entreprises afin de permettre aux entrepreneurs en souffrance de trouver, gratuitement et s’il le souhaite, d’un soutien psychologique adapté.
Cette démarche s’inscrit dans la philosophie de notre institution consulaire qui se veut pragmatique, efficace, à l’écoute des justiciables et également préoccupée des conséquences humaines de ses décisions.
En savoir plus :
Pour en connaître davantage sur le dispositif, consulter la référence suivante : www.apesa-france.com
Pascal BAILLY
Président du Tribunal de Commerce d’Auxerre.
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L’ouvrage de Pont-sur-Yonne se fait une cure de jouvence : le Département en suit sa progression…
décembre 01, 2020Les travaux se poursuivent inlassablement sur ce point névralgique que représente ce pont surplombant l’Yonne dans le nord de notre territoire. Construit avant-guerre, l’édifice présentait quelques signes de fatigue. Nécessitant sa réhabilitation : un chantier qui incombe financièrement au Conseil départemental en charge de la voirie et de l’état du réseau routier. Les élus se sont rendus récemment sur le site afin d’en apprécier sa progression…
PONT-SUR-YONNE : D’un investissement global de 7,2 millions d’euros, la rénovation de la fameuse structure qui permet de traverser Pont-sur-Yonne continue, sans être affectée par les affres du confinement et de l’épidémie de coronavirus.
Accueillant la D 606 (ex-nationale 6 au temps jadis), l’ouvrage dont le début de l’édification date de 1938 voit chaque jour un trafic de douze mille automobiles et poids lourds très conséquent l’emprunter. Autant dire que sa réhabilitation devenait nécessaire avec le poids des années !
Gestionnaire de la structure, le Conseil départemental a donc fait le pari de procéder à un sérieux lifting en consolidant l’ensemble en maintenant la circulation.
Une livraison de l’ouvrage prévue en juin 2021…
Accompagné des vice-présidents du Département Christophe BONNEFOND et Dominique SINEAU, le président de l’exécutif départemental Patrick GENDRAUD a pu observer avec beaucoup d’intérêt les premiers effets de la mise en circulation sur une voie unique sur le pont. Une bascule technique, assurée la nuit même avant la visite de la délégation. Celle-ci fut accueillie par l’édile de Pont-sur-Yonne et conseiller départemental Grégory DORTE.
Si les délais sont respectés selon le cahier des charges initial, ces travaux devraient se clore au mois de juin 2021. Idéal pour avoir un pont remis à neuf avant le grand rush des vacances estivales ?
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L’esprit du grand large souffle sur le lycée Vauban, vivier de jeunes recrues pour la Marine nationale…
novembre 30, 2020Coquillages et crustacés. On connaît la célèbre ritournelle popularisée par le joli minois de Brigitte BARDOT au temps de sa splendeur langoureuse. On ne savait pas, en revanche, que parmi les élèves qui fréquentent les classes professionnelles préparant aux métiers de l’hôtellerie restauration certains pouvaient prétendre rejoindre la Marine nationale pour y faire carrière ! Une opportunité maritime qui s’appuie depuis quatre ans sur un partenariat…
AUXERRE : L’initiative est rarissime dans le landerneau régional. Mieux : elle est unique et tout à l’honneur du lycée des métiers de l’Yonne qui a su en poser les jalons initiaux.
Dans ce lieu de savoir-faire, permettant d’embrasser une carrière dans l’hôtellerie et la restauration, voire celui plus exotique de s’illustrer dans le monde des cocktails grâce à ces mentions spécifiques, espérer tôt ou tard rejoindre la Marine nationale n’est donc pas une ineptie en soi.
Les embruns maritimes ont beau souffler loin des rivages icaunais, les jeunes « moussaillons » esthètes des arts de la table et des métiers de bouche du sérail bourguignon peuvent s’ils le désirent, après une phase préparatoire prise en charge financièrement par la Marine nationale, intégrer ce corps d’armée pour y exercer leur profession.
Car, c’est bien connu : dans les forces militaires, il y a pléthore d’opportunités pour s’insérer dans la vie active !
Initiée à l’origine en 2016, la convention de partenariat qui lie le lycée des métiers Vauban à la Marine nationale vient d’être prorogée de trois années supplémentaires. Selon la sage décision, prise par la directrice de l’établissement pédagogique, Capucine VIGEL, enthousiaste par ce projet.
L’expérience si elle demeure unique n’en est pas moins passionnante tant au plan intellectuel (la découverte des us et coutumes à bord d’un bateau, le rituel pour dresser la table du pacha – le commandant de bord –) qu’au plan des perspectives d’emplois offertes in fine.
De jeunes mousses avides d’en savoir plus sur les us et coutumes militaires…
A l’issue de leur diplôme, les apprenants peuvent bénéficier d’un contrat déclinable pendant un an, avant de s’embarquer sur un bateau pour y vivre une aventure inoubliable.
Début octobre, vingt-quatre de ces élèves, répartis en petits groupes, ont pris connaissance des potentialités de carrière existantes dans ce corps militaire. Le second volet de cette séquence découverte a eu lieu ce lundi 30 novembre.
Mais, malheureusement, sans la présence du premier-maître, Mme GUILLAUMAIN, cheffe de cuisine, qui fut refoulée le matin même par la gendarmerie nationale alors qu’elle sortait de la capitale par l’autoroute et qui s’est vue délivrée une amende conséquente malgré l’attestation en poche faisant foi de la nécessité de son déplacement professionnel dans l’Yonne !
Toutefois, cela n’empêcha nullement les deux intervenants militaires (le capitaine de frégate commandant Sylvain LE HOUSSEL et le premier-maître Sylvain OLIVIER) de délivrer leurs connaissances aux jeunes « mousses » avides d’en apprendre davantage sur les subtilités de la marine et de ses codes gastronomiques.
D’ores et déjà, et le rendez-vous est biffé dans les agendas des intéressés, quatre enseignants de Vauban dont les professeurs de cuisine Frédéric BENUCCI et Jérôme DE MEYERE iront s’immerger au cœur de la base navale de Cherbourg en octobre 2021. Ils y accompagneront une demi-douzaine de jeunes gens volontaires pour appréhender l’esprit du grand large. Et respirer l’air pur de ces embruns salvateurs…
Thierry BRET
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