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Paraphée ce jeudi 29 novembre dans l’hémicycle de la Région, la convention de partenariat engageant l’exécutif régional et le partenaire historique en matière d’énergie porte sur trois axes prioritaires : la transition énergétique, le développement économique et l’emploi ainsi que l’innovation. Via l’apport de solutions intelligentes en vue d’améliorer le bien-vivre dans les territoires. Cela représente les domaines spécifiques de ce nouveau contrat moral. A terme, la Bourgogne Franche-Comté deviendra une référence nationale sur les questions de transition énergétique, notamment dans les territoires ruraux…
DIJON (Côte d’Or) : Effervescence à l’Hôtel de la Région en ce jeudi 29 novembre. Devant une assistance bien garnie d’élus et de représentants des milieux économiques et institutionnels, la présidente de la Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, apposait sa signature sur les documents officiels, une liasse de papiers importants, placés devant elle. A ses côtés, et respectant un rituel identique, le président-directeur-général du groupe EDF, Jean-Bernard LEVY, procédait avec la même dextérité à ce geste capital.
Entérinée peu avant midi, la ratification de cette convention de partenariat scelle dorénavant les deux structures vers des objectifs similaires. Construire parmi plusieurs domaines, nés de la nécessaire transition énergétique, la Bourgogne Franche-Comté de demain.
Devenir une région bas carbone à terme…
On le sait l’un des vœux de la présidente de la Région est de placer son territoire de prédilection au firmament de cette transition écologique et énergétique, indispensable désormais à la sauvegarde de la planète. Pour y arriver, la responsable de l’exécutif régional a tablé sur trois axes stratégiques majeurs, clés de voûte de son mandat.
Sa politique volontariste s’articule autour de ce précepte qui l’anime : propulser la Bourgogne Franche-Comté parmi les références nationales de ces territoires à énergie positive et zéro déchet à horizon 2050.
Il apparaissait logique qu’elle s’allie avec l’incontournable leader de la distribution et production d’énergie de France, à savoir le groupe EDF. C’est donc son président national en personne, Jean-Bernard LEVY, qui est venu depuis Paris, conforter ce choix politique et environnemental.
Un message fort, en faveur de l’énergie renouvelable, source d’emploi et d’innovation technologique, adressé à tous les détracteurs de cette cause !
Dans un premier temps, l’objectif de ce partenariat est d’optimiser la transition énergétique dans les zones rurales. Plusieurs axes de travail ont ainsi été retenus : le développement des énergies renouvelables, notamment le solaire ; la mise en place du SPEE (service public de l’efficacité énergétique) et son application concrète dans les bâtiments ; l’essor de la mobilité énergétique et l’amélioration de l’acceptabilité des projets d’énergie renouvelables électriques au sein des territoires.
Une succession de pistes exploitables dans les prochains mois…
En second lieu, le volet emploi figure parmi les vecteurs essentiels de ce plan de développement à plusieurs années. Ainsi, l’emploi local sera développé pour répondre aux attentes de la filière énergie. Le renforcement de l’attractivité de la filière industrielle deviendra une évidence.
L’insertion et la conversion professionnelles, à l’instar de la promotion des compétences de la filière énergie gagneront en efficience. Des exemples de projets ont déjà été cités comme la création de l’école de production de Chalon sur Saône à l’initiative d’EDF, avec le soutien de la Région, ou la formation des jeunes pousses aux métiers de la maintenance des parcs solaires, dispensée au lycée de Montbard en Côte d’Or.
Reste le troisième point de cet accord bipartite. Il concerne la promotion et le déploiement de solutions énergétiques intelligentes et alternatives en particulier la structuration d’une filière hydrogène régionale.
Jean-Bernard LEVY a, par ailleurs, confirmé que le groupe EDF apporterait sa contribution et son expertise à l’expérimentation et au déploiement de ces solutions. On pense notamment à l’axe de la mobilité écologique et son corollaire avec la déclinaison ferroviaire via les TER.
Enfin, la mise en exergue de démarches novatrices articulant la gestion de l’eau, la biodiversité et le tourisme durable représente une autre piste que les deux partenaires désirent privilégier à l’avenir.
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Conférence : séance de vulgarisation autour des effets indésirables du cannabis, fléau de notre société…
décembre 01, 2018Proposée par l’Association française des dépendants en rétablissement (AFDER) en partenariat avec le Réseau de santé mentale de l’Yonne (RSMY) et l’Institut de formation en soins infirmiers (IFSI), cette intervention grand public aura pour socle informatif la découverte des multiples dommages occasionnés par le cannabis sur les personnes qui en sont dépendantes. Cette conférence verra la présence sur scène de Sandra MARCELLIN, psychologue au RSMY et Julien CHARTIER, président national de l’AFDER, réunis à l’amphithéâtre de l’IFSI à Auxerre ce mardi 04 décembre à 20 heures pour une séance explicative…
AUXERRE : La consommation de cannabis connaîtra-elle un jour la voie de la démocratisation dans notre pays ? A l’instar de plusieurs états européens, dont les Pays-Bas et l’Espagne qui ont déjà statué en ce sens, d’aucun pense en France qu’il est grand temps de vulgariser l’usage de ce produit illicite, bien au-delà de son emploi à des seules fins thérapeutiques.
Pourtant, c’est un tout autre signal d’alarme qui sera tiré mardi soir dans le vaste amphithéâtre de l’IFSI, l’Institut de formation en soins infirmiers du centre hospitalier d’Auxerre.
Ce lieu d’enseignement pédagogique pour les futures professionnelles de santé accueillera une conférence publique passionnante, consacrée à cette substance. Ce sera aussi une excellente opportunité de mieux en appréhender les effets insidieux sur le comportement de ses consommateurs.
D’ailleurs, l’envie grandissante de socialisation de cette résine néfaste au psychisme humain inquiète de plus en plus les spécialistes de la question. Par exemple : le directeur de la résidence Mémoires de Bourgogne, un EHPAD qui accueille des personnes âgées sur la commune de Perrigny, Philippe WATTECAMPS.
Sensibiliser l’opinion publique avec le concours des réseaux influents
Sensibilisé à ce problème, il s’est mobilisé en sa qualité de professionnel du milieu sanitaire et social pour faire partager ses craintes sur la banalisation du cannabis en France.
Au même titre que l’alcool et le tabac, le cannabis est considéré comme une plaie béante dans la société contemporaine. Le responsable de l’établissement de gérontologie n’a pas hésité à prendre l’initiative de porter ce projet de causerie officielle.
En l’espace de quelques semaines, et avec la complicité de partenaires sérieux du sérail sanitaire dont l’Agence régionale de Santé (ARS), le Conseil départemental de l’Yonne et la Caisse primaire de l’Assurance maladie, il a monté de toute pièce ce projet qui a pris échos auprès du président national de l’AFDER, Julien CHARTIER.
Ce dernier effectuera le déplacement depuis l’Ile de France mardi soir pour expliquer ce qu’est la structure associative qu’il préside en présentant son programme d’aides.
Le choix de l’IFSI s’imposait en parfaite logique. Le centre de formation prépare les futures infirmières.
Premiers temps fort de l’intervention, les commentaires de la psychologue Sandra MARCELLIN, du RSMY, rappelleront les interactions positives et négatives de la substance dans ses cadres préventifs et curatifs. Les effets délétères de la résine sur ces utilisateurs y seront expliqués.
Puis, Julien CHARTIER séquencera son propos en deux items : la présentation et le rôle de l’AFDER avant d’aborder dans le détail les programmes d’aides existants pour arriver à décrocher totalement de ce fléau. Il devrait évoquer également les protocoles mis en place par deux cliniques en France qui ont adopté des techniques particulières importées des Etats-Unis.
Ouvert à tout public, l’entrée de cette conférence est gratuite. La capacité d’accueil de l’amphithéâtre étant de deux cents places, il est recommandé de réserver en se manifestant auprès de la référence suivante : 06.61.66.40.33.
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« Jardin de soi » : le jardin d’Eden intimiste de Christelle LOURY se partage avec le public à Sens…
novembre 30, 2018Encore auréolée de sa série de concerts qu’elle a donnés au Théâtre des Muses dans la principauté monégasque, la chanteuse icaunaise clôt l’année 2018 de la plus belle manière qu’il soit. Elle invite ses fidèles mélomanes à la suivre dans son cheminement artistique lors de deux ultimes prestations, proposées dans sa ville natale de Sens. Les 15 décembre, sur la scène du coquet théâtre local, l’interprète des œuvres éternelles de Piaf et de Barbara offrira un florilège de morceaux, issus du répertoire éclectique de la chanson française. Cerise sur le gâteau : la « jolie fleur » de ce « Jardin de soi » hétéroclite dévoilera ses compositions personnelles. Immortalisés, les récitals seront captés en perspective d’un premier opus en live…
SENS : Samedi 15 décembre à 16 heures et à 20h30. Ce sera un ultime tour de piste à honorer pour l’artiste sénonaise, avant qu’elle ne tire le rideau sur une année particulièrement dense. Ces deux récitals qu’elle accorde à son public originel, celui de sa ville natale qui l’a toujours suivi depuis ses débuts, ne devraient pas être dépareillés des autres rendez-vous scéniques qui caractérisent ses remarquables prestations.
Chaleureux, enthousiastes, enivrants, magiques. En communion fusionnelle avec son public, l’ambassadrice de charme de cette terre de l’Yonne, dynamique et lyrique, exporte les facettes protéiformes de son talent au-delà des frontières de l’hexagone.
La tessiture de sa voix, cristalline, mêlant puissance et douceur, joue sur les octaves et la respiration. Elle se pose délicatement sur les textes écrits par des auteurs qui ont su servir avec panache les plus grands noms de la chanson et variété françaises.
« Jardin de soi » : un voyage intimiste parmi l’univers de l’artiste
Barbara, Piaf, Greco, mais aussi Dalida, Jeanne Moreau ou encore Françoise Hardy s’invitent avec délectation sous la lumière des projecteurs dès que la « Môme » Christelle entre dans la danse.
Le set se déroule ainsi pendant près de deux heures avec bonheur, grâce à l’interprétation sensible d’une artiste qui ne triche pas avec ses émotions. Ni avec celles et ceux qui l’apprécient.
Nous conviant à un voyage intimiste dans ce « Jardin de soi », la chanteuse, devenue mâture et ultra professionnelle jusqu’au bout des ongles depuis qu’elle promène sa silhouette sur des scènes internationales (Pologne, Russie, Etats-Unis…), grâce au travail dévoué de son époux, Pierre, manager, producteur et organisateur de concerts parfois improbables, baisse la garde.
Déjà à travers le sens déontologique de ce double récital, baptisé « Jardin de soi ». Une subtile référence littéraire qui se joue de l’étymologie autour du jardin secret (celui que l’artiste porte bien ancrée en elle), du jardin d’Eden (ce côté paradisiaque qu’elle souhaite procurer à ses aficionados lors de ces précieux instants partagés sur scène) et du simple jardin botanique, où éclosent de belles pépites, ces pétales de roses qui prennent l’apparence de chansons superbement distillées, formant d’incomparables bouquets de fleurs à l’envoûtante beauté.
Ensuite, parce que pour la première fois, la chanteuse se met à nue. Par le truchement de ses textes et compositions. Christelle LOURY, femme rebelle mais aussi femme conquérante dans ce milieu artistique parfois machiste revendique les atours de la féminité. Les conditions de celles-ci au cœur d’une société où elles sont de plus en plus malmenées…
Fraîches, incisives, narratives : ces chansons qu’elle a su élaborer patiemment en prenant le temps de la réflexion et du phrasé juste évoque l’amour, le quotidien de l’existence, la vie, tout simplement. L’auteure flirte aussi avec des thèmes plus actuels comme l’environnement.
Le calibrage hors pair d’instrumentalistes de métier
L’inaltérable compagnon de route musicale, pianiste et arrangeur de son état, François MAGNIER officiera de manière prépondérante derrière le piano. Lui, le musicien qui a collaboré avec Michel LEGRAND, Robert HOSSEIN et Luciano PAVAROTTI. Excusez du peu, mais l’artiste de l’Yonne sait s’entourer de réelles pointures pour porter haut son niveau de prestation scénique. Christelle a choisi de confier les notes de basse à un ancien partenaire du regretté Didier LOCKWOOD, Flavio PERRELLA.
Leader du groupe « BUZZTOWN », le guitariste Hugues RENAULT régalera le public de sa virtuosité, en égrenant les notes avec dextérité technique. Quant au batteur et percussionniste, qui complète ce quatuor, Jean-Baptiste PINET, il est issu de la grande famille des musiciens de jazz. Autant le dire : c’est un surdoué des fûts et des toms.
Et le public, dans tout cela ? Outre le principe naturel de venir applaudir l’artiste pour la qualité de sa prestation, il aura lui aussi un rôle essentiel à interpréter. En parfaite osmose avec la philosophie et le concept participatif de ce spectacle.
Une petite carte lui sera remise avant le show. Ce document servira à cocher les préférences musicales de chacun. Les morceaux les plus plébiscités par l’auditoire devant constitués ensuite la liste de chansons qui figurera sur l’enregistrement public. L’album, soit sous la forme d’un CD, soit disponible en téléchargement sur le numérique, permettra de prolonger ces instants de magnificence culturelle dont on ne se lasse jamais.
Christelle LOURY en concert au théâtre de Sens le 15 décembre 2018 à 16 h et à 20h30.
Réservation : 03.86.83.81.00.
Site : www.theatre-sens.fr
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Ce fut un registre d’intervention inhabituel pour BGE Nièvre Yonne mais ô combien essentiel à la réflexion et au développement de nouvelles approches économiques. La structure associative régionale a garni les travées de l’amphithéâtre de l’IUT d’Auxerre, lundi soir, où près de deux cents personnes, issues du sérail entrepreneurial et institutionnel, ont pu apprécier à leur juste valeur les messages forts, relayés par le long-métrage, « La Terre vue du cœur ». Une table ronde, pertinente quant à la thématique abordée, en résultera. Plus que jamais économie et écologie doivent être à l’unisson à l’avenir afin d’éviter un scénario catastrophe…
AUXERRE : Un créateur d’entreprise ne peut plus décemment se lancer dans l’aventure entrepreneuriale sans être préoccupé par les questions d’environnement et d’écologie. Quel que soit son appétence sectorielle.
Alors que la transition écologique se rappelle au bon souvenir de nos concitoyens, surtout à travers le prisme de la mobilité énergétique et de notre dépendance aux énergies fossiles, le public, convié à découvrir les images de cette production cinématographique de bel aloi (« La Terre vue du cœur »), aura pris bonne note de ce qu’il faut faire et surtout ne pas faire dans ce nécessaire processus de sauvegarde de la planète.
Sortant de son cadre d’intervention habituel (la formation et l’accompagnement de porteurs de projets en vue de leur émancipation professionnelle), BGE Nièvre Yonne s’est donc muée en caisse de résonance intellectuelle, à la cause de l’adoption de préceptes écologiques.
Fiscalité, règlementation, actualité : tout ou presque concorde aujourd’hui pour que la transition écologique s’applique derechef au sein même des entreprises. Partant de ce simple postulat, les responsables de BGE Nièvre Yonne se sont rapprochés de quelques exégètes en la matière pour sensibiliser le commun des mortels de la TPE/PME locale.
Un excellent vecteur introductif avec le film…
Grand bien leur en a pris : ce qui aurait pu être une soirée délicate à organiser, au vu du contexte conjoncturel du moment et l’émergence inattendue des « Gilets jaunes », pour la plupart réfractaires aux idéologies écologistes, s’est transformé en une pleine réussite côté auditoire.
Refusant du monde aux accès de l’amphithéâtre, BGE a enregistré près de deux cents spectateurs pour sa grande première.
Conçu autour de la personnalité charismatique de l’astrophysicien Hubert REEVES et du philosophe Frédéric LENOIR, le film concocté par Iolande CADRIN-ROSSIGNOL interpella la salle sur la menace insidieuse qui pèse sur la biodiversité.
Largement diffusé à travers l’Hexagone depuis sa sortie initiale, le 13 avril dernier, « La Terre vue du Cœur » représentait un excellent vecteur introductif à la table ronde qui devait suivre.
Celle-ci réunissait, outre le président de BGE Nièvre Yonne, Arnauld MERIC, le vice-président en charge de l’environnement au sein de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois Denis ROYCOURT, et trois responsables du milieu professionnel, Thierry CHANUSSOT, directeur du territoire Nord Bourgogne au sein de VEOLIA Eau, Abdel Malik OUACHEN, créateur de la TPE INDHYA et le régional de l’étape, Pierre NAUDET, l’un des cadres dirigeants de la société familiale des Pépinières NAUDET à CHEU.
Interrogés par Benjamin LEMAIRE, lui-même créateur de l’agence évènementielle « Le Vin, Tout simplement », les intervenants purent exposer leurs points de vue personnels en apportant de multiples exemples concrets.
Parmi les sujets phare qui auront servi de trames à leurs propos : l’importance de l’eau, ressource vitale à l’existence de l’humanité, la préservation des arbres et forêts, la mise en place du pôle environnemental de l’Yonne (une création programmée en 2019 à Auxerre), le poids des nouvelles méthodologies en matière de gouvernance d’entreprises avec le management libérateur et les entreprises libérées.
Cette soirée riche en thèmes ne pouvait laisser personne dans l’indifférence.
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La Résidence LAMBARENE élargira l’offre de logements de l’Office Auxerrois de l’Habitat sur la Rive droite…
novembre 12, 2018Opération s’inscrivant dans le cadre du plan de cohésion sociale de la Ville d’Auxerre, le programme de construction de douze logements, Rive droite, donnera naissance à la résidence LAMBARENE. D’ici décembre 2019, trois bâtiments distincts accueilleront des appartements modernes et fonctionnels, compris entre le T2 et le T5…
AUXERRE : La pose de la première pierre d’un nouvel édifice demeure toujours un instant privilégié. Au-delà de l’aspect solennel de ce geste de constructeur ô combien symbolique, il concrétise le démarrage d’un projet. En l’occurrence, celui de la future résidence LAMBARENE, un ensemble architectural de trois petits bâtiments qui devraient être livrés pour le mois de décembre 2019. Et élargir l’offre de logements émise par l’Office Auxerrois de l’Habitat, dans le quartier Rive droite du chef-lieu de l’Yonne.
D’un montant prévisionnel d’1,9 million d’euros, ce chantier sera assuré par une quinzaine de prestataires du cru. Si le maître d’ouvrage en est fort logiquement l’Office Auxerrois de l’Habitat, la conception architecturale est revenue au cabinet UBIK Architectures. Les cabinets 3IA (ingénierie du bâtiment) et Expression Verte ont apporté leurs sciences en réalisant les études de conceptualisation nécessaires à ce projet.
Le particularisme de ces nouvelles habitations se situe dans l’obtention du label NF Habitat, délivré par CERQUAL. Les édifices respecteront la règlementation thermique, RT 2012, moins 10 %.
Un financement du projet multipartite…
Quant à la typologie de ces douze logements, elle se répartira de la manière suivante : deux T2 de 46 mètres carrés de surface utile, quatre T3 de 60 mètres carrés, cinq T4 de 76 mètres carrés et un T5 de 92 mètres carrés. La mise en location de ces appartements est prévue à l’orée de février 2020.
Côté financement, ce projet de construction a bénéficié de l’aide de plusieurs partenaires institutionnels. A commencer par l’Etat, à hauteur de 22 140 euros. Action Logement (45 000 euros) et la Communauté de l’Auxerrois ont apporté également leurs précieux subsides. Tandis que la Caisse des Dépôts injectait 889 494 euros dans le projet.
Enfin, comme devait le préciser le président de l’Office Auxerrois de l’Habitat, Jacques HOJLO, lors de son intervention, des fonds propres de l’organisme local furent aussi débloqués. Ils représentent une enveloppe globale de 219 181 euros.
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