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Ses larmes émeuvent le CIFA : Margaux CONNET défendra nos couleurs à la finale « Meilleurs Jeunes Boulangers » de France
octobre 10, 2022A l’annonce du résultat, victorieux, le juvénile visage se couvre de larmes. Une joie à peine contenue. Se frottant les yeux comme si elle sortait d’un songe, la jeune fille aux joues rougies doute de l’énoncé du verdict. Au terme d’une très longue journée de compétition – l’épreuve régionale du concours des « Meilleurs Jeunes Boulangers » de France – Margaux CONNET offre le titre à l’Yonne, et au CIFA son centre de formation initial, se qualifiant pour la finale hexagonale à Laval le mois prochain…
AUXERRE : Son cœur a dû battre la chamade. Rongeant son frein, dans l’attente des résultats définitifs qui devaient la départager du dernier prétendant au titre, Dylan ROUSSEAU, un jeune homme de Côte d’Or, Margaux CONNET attend.
On l’a sent se crisper au fil des minutes qui passent lentement, écoutant la moindre parole égrenée par le président du jury. Les deux ex-aequo figurant à la troisième place viennent d’être désignés par la voix du jury officiel. Il ne reste plus que deux candidats pouvant s’octroyer le titre de « Meilleur Jeune Boulanger » de France, sélection de Bourgogne.
Formée par Alexis PEUZIN, professionnel de la boulange officiant à Auxerre, la jeune Margaux avait déjà séduit il y a quelques semaines le jury présidé par Laurent BISSON, le président de la Fédération de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie de l’Yonne, lors de sa victoire au concours départemental.
La joie de Laurent BISSON envers sa jeune protégée…
La voir en si bonne position à quelques minutes de la déclaration devant la propulser vers le toit du monde n’est donc pas une surprise pour celles et ceux qui suivent son parcours depuis que la jeune fille a entamé son chemin initiatique dans cette filière artisanale.
Telle « l’heure bleue » que l’on peut apercevoir une demi-heure durant à la tombée de l’astre diurne à l’horizon, le subtil moment où fut prononcé le patronyme de la jeune professionnelle arriva. Lauréate du concours régional bourguignon, Margaux CONNET peut désormais entrevoir un tout autre registre émotionnel en candidatant au concours de la « Meilleure Jeune Boulangère » de France, à Laval.
Une épreuve se disputant au mois de novembre, comme devait le préciser Laurent BISSON. Un président départemental ô combien satisfait de la tournure des évènements puisque la demoiselle est employée dans sa boutique, que les amateurs de bons pains et de succulentes pâtisseries de l’Auxerrois ailent à fréquenter du côté de Chevannes…
Thierry BRET
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Un régal onirique pour l’âme : le ciel et ses couleurs éblouissantes illuminent l’œuvre de Liliane PECHENOT
octobre 04, 2022Que dire, devant de tels clichés ! Lumineuses, incandescentes, sublimes…les prises de vues de l’artiste icaunaise se contemplent avec respect et offrent une immersion évidente vers l’onirisme. Un ciel d’hiver qui se pare de coloris exceptionnels, où l’astre diurne joue presque à cache-cache avec les volumes vaporeux de nuages aux formes abstraites et poétiques. Du grand art pour la jeune femme qui a su profiter du moment opportun – « l’heure bleue » - pour immortaliser la voûte céleste de Collioure. Comme très peu ne l’avait déjà vue…
AUXERRE : Par le passé, il y a eu l’élément aquatique, l’eau, photographiée dans toutes ses configurations. On se remémore aussi ces clichés atypiques pris çà et là en Occitanie ou du côté de l’oriental Ouzbékistan pour illustrer un intense travail de créativité. Bref, on ne présente plus Liliane PECHENOT. Une artiste féconde, à l’imaginaire débridé qui utilise son objectif pour mieux entraîner dans son sillage un public admiratif de ses réalisations et de ses rêveries.
Cette fois-ci, elle a scruté le ciel, longtemps jusqu’au moment du coucher du soleil. Afin de tutoyer l’un de ces instants magiques de pure beauté que la nature nous offre avant que l’étoile nourricière ne disparaisse de l’autre côté du décor.
On appelle cela « l’heure bleue ». Une courte période temporelle entre le jour et la nuit. Là, où dans le ciel, le bleu azuréen cède la place à un coloris plus foncé et intense que le ciel du jour. C’était un soir de décembre. Le zéphyr local qui souffle d’ordinaire avec impétuosité entre Languedoc-Roussillon et Occitanie, la tramontane, se manifeste. Modifiant sans cesse la forme et les couleurs pourpres des nuages. L’occasion était trop belle…
« J’ai voulu partager avec cette exposition l’intense émotion que j’ai vécue à ce moment-là, précise Liliane PECHENOT, les fragments des nuages formés peuvent être assimilés à des toiles abstraites dans le paysage merveilleux de la baie de Collioure… ».
Il aura suffi d’une petite demi-heure de travail. Pour toucher du doigt tel le célèbre personnage peint par Michel-Ange sur la voûte constellée de représentations picturales de la chapelle Sixtine ce dieu de la création qui lui a offert ce ciel si étincelant.
Instant de grâce et de plénitude. Avec la vision de ces clichés, le plus souvent minimalistes. Un travail qui fut prolongé d’ailleurs aux abords du lac des Settons, autre source d’inspiration paisible aux couleurs chatoyantes. Des photos dont notre regard doit absolument s’imprégner : juste pour l’esthétisme des choses…Simples et naturelles.
En savoir plus :
Exposition photographique Liliane PECHENOT
« CouleurS du Ciel » à l’Espace MOUV’ART
2 Rue de l’Yonne
89000 AUXERRE
Ouverture tous les jours, présence de l’artiste de 14h30 à 19 heures.
Thierry BRET
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Curiosité : il n’y a pas qu’à Copenhague où vivent les sirènes, à Auxerre, elles existent aussi grâce au mermaiding !
octobre 03, 2022Néréïdys, première sirène de Bourgogne, a commencé cette discipline il y a treize ans. Elle en avait à peine douze quand elle évoluait dans sa piscine à trois boudins au fond de son jardin ! Bien que cela existe en Amérique, ce loisir aquatique n’a pas encore franchi ou si peu l’autre côté de l’Atlantique. Immersion dans l’univers des sirènes à qui l’on ne fait pas de queue de poisson !
AUXERRE : Elle commence par fixer deux palmes avec du scotch d’électricien et enfile ses jambes dans un legging. Voyant son entière détermination, ses parents lui offrent sa première mono-palme. Sa grand-mère lui coud son costume de sirène. La discipline n’en est encore qu’à ses balbutiements en France en 2011. Pourtant, grâce à Claire, la « sirène » officielle qui travaille à l’aquarium de Paris, et qui met le coup de projecteur sur le « mermaiding », Néréïdys peut acheter de vraies tenues constituées d'une housse textile, avec un tube qui enserre les jambes depuis la cheville jusqu'aux hanches, et une nageoire recouvrant une mono-palme. Astucieux !
Le bac en poche, la jeune fille prend alors la direction de Dijon pour y poursuivre ses études. Elle n’y reste qu’une seule année. En STAB, spécialité natation, où elle n’a pu pratiquer que de la natation traditionnelle. Les mono-palmes étaient interdites en dehors des amateurs d’apnée. Sa reconversion, via un BTS de commerce international, ne se fait pas attendre et se déroule à Auxerre avec un séjour de trois mois aux États-Unis. Salutaire !
C’est là-bas en effet que la jeune femme découvre le monde féérique des sirènes professionnelles. L’activité y est beaucoup plus développée que dans l’Hexagone, avec des « mermaid », bars où des sirènes évoluent dans des bassins, se donnant en spectacles. A son retour en France, à peine le temps de se remettre du décalage horaire, elle est sélectionnée sur dossier pour prétendre au titre de « Miss mermaid Bourgogne », avant de filer en Bretagne pour concourir à l’élection de Miss mermaid France 2017.
Le club de plongée de Joigny lui ouvre ses portes, pour qu’elle puisse s’entraîner dans un grand bassin. Parallèlement, la demoiselle propose des animations publiques et privées afin de mieux faire connaître cette nouvelle activité.
Une discipline à vocation 100 % sportive…
Lors d’une compétition départementale d’apnée – elle y fait une courte prestation pendant la mi-temps – la jeune fille se fait remarquer auprès des dirigeants du club de plongée Paul Bert à Auxerre. La structure lui demande d’intervenir à la piscine et de proposer ses propres cours de « mermaiding ».
En août 2019, pour vanter la promotion de ses cours, elle organise un shooting à la fontaine Saint-Nicolas, posant en tenue de sirène. Une vidéo qui est réalisée par l’agence de communication auxerroise, « Communik & Vous ».
Quant aux cours, ils se remplissent avec dix petites sirènes âgées de plus de huit ans avec la seule condition de bien savoir nager !
Malgré les chamboulements imputables à la COVID, une section adulte voit le jour avec treize « sirènes » et un « triton » en septembre 2021.
A l’occasion de cette rentrée, une autre sirène, la nouvelle « Miss mermaid France », Camille, va venir en soutien l’aider dans la section enfant qui est déjà complète. Des baptêmes sont organisés pour essayer de remplir la section adulte, où il reste encore quelques places. Les cours reprennent début octobre après le nettoyage des bassins.
La prochaine étape de ces jeunes femmes est de faire admettre la discipline au sein de la FFESSM (Fédération Française Etudes et de Sport Sous-Marin) comme catégorie sportive à part entière et non comme simple loisirs.
Etre une sirène suppose de la souplesse et de la créativité…
L’aventure commence à la piscine municipale de Carros, près de Nice, pour Camille où elle emmène ses enfants aux cours de natation. Repérée par la maître-nageuse, qui la voyait attendre, cette dernière lui propose de se mettre à l’eau et de nager. Au détour d’un reportage télévisé, elle découvre Ingrid FABULET, « Miss mermaid France 2016 », et surtout la pratique du mermaiding. Elle tombe sous le charme et se convertit à son tour à la mono-palme.
Elle devient bénévole de l’association « SOS Grand bleu », une structure qui a pour aspiration la mise en œuvre, le développement et l’encouragement de toutes les actions visant à protéger la faune et la flore de Méditerranée, notamment les espèces menacées par le développement des activités humaines. Elle y apparaît en tenue de sirène pour sensibiliser à la noble cause.
Après une pause, à la suite de déménagements successifs, dont un qui la conduit à Auxerre, Camille découvre l’existence du club de mermaiding à la piscine locale. Elle postule et après quelques séances d’entraînements, elle remporte le titre de Miss Bourgogne Franche-Comté de cette spécialité si originale. C’est le début de l’aventure avec Néréïdys, qui l’inscrit au concours de « Miss mermaid France », tout en la coachant. Grand bien lui a pris puisque Camille remporte le titre national le 30 juillet 2022.
Depuis, cette dernière va de shooting en shooting pour faire découvrir cette discipline à l’aide de ses photos ravissantes, et favoriser ainsi le développement de cette passion qui reste avant tout un sport. Plutôt physique car il exige une souplesse et un gainage pour la pratique de la mono-palme, voire un lâcher-prise afin de maîtriser l’apnée.
Être sirène est un état d’esprit qui demande de la créativité en personnalisant les nageoires de couleurs chatoyantes. Il est aussi question d’une mise en valeur de soi et surtout d’une mise en confiance pour faire face, forcément aux moqueries qui existent. Les adeptes de la discipline ont également pu remarquer que des personnes craignant l’eau perdent leurs repères, et du coup se lâchent en allant jusqu’à mettre la tête sous l’eau !
Et je peux vous dire, que pour avoir essayé la discipline après un baptême, ce n’est pas si simple que cela de devenir une sirène ! C’est presque un vrai métier !
En savoir plus
La sirène Auxerroise sur FB : https://www.facebook.com/lasireneauxerre
instagram : nereidys_moon
Tiktok : @nereidys_sirene
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mail comité regional BFC Miss Mermaid : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Maryline GANDON
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L’Aile ou la Cuisse : n’est pas MOF qui veut, à la découverte d’un concours exigeant…
septembre 30, 2022Afin de valoriser les métiers manuels, après la Première Guerre mondiale, il fut décidé la création du titre prestigieux de Meilleur Ouvrier de France (MOF). Ce titre a subi, au travers des années, d'inévitables évolutions avec l’apparition de nouveaux métiers, les changements de type d'épreuves…
AUXERRE : Mercredi dernier, deux cuisiniers icaunais, Alexandre BONDOUX, de « La Côte Saint-Jacques » de Joigny et François HENNARD, professeur de cuisine au lycée des métiers Vauban à Auxerre, ayant réussi à franchir les premières barrières éliminatoires, ont été chacun confrontés à cette demi-finale du MOF cuisine, accueillie à Auxerre.
L'Aile ou la Cuisse est en mode concours. Alors, aujourd’hui, l'on s'attable, certes, mais de façon un brin différente !
Découvrons l'intitulé des plats, avec des produits souvent peu usités dans le monde culinaire. Ainsi le « skyr », mentionné dans l'entrée froide, est un fromage d'origine scandinave. Comme si en France, nous ne disposions pas suffisamment de variétés fromagères, mais passons.....!
Le lait d'avoine est mentionné. Quézaco ont dû se demander candidats et candidates ! Quant aux croquis de dressage des plats, ils leur sont aussi imposés. Point de place pour la fantaisie ici-bas, durant les quatre heures d'épreuves !
La vedette de ces quatre assiettes envoyées doit être le goût, c'est ce dernier que traquent le jour « J » les jurys de dégustation.
Attention : la moindre erreur de proportion peut s’avérer fatale…
Une réelle technicité est ici nécessaire pour réussir pareil montage. Comme dans le plat d'entrée et ces délicats œufs pochés « chaufroités » au lait d'avoine (!), posés sur quatre disques de gaspacho de concombre. Croquis et clichés indiquent ici le sens de l'épreuve. Et comme de bien entendu, le jour « J » à l'heure H, personne n'est à l'abri d'une panne de four au centre d'examen, d'un bris de vaisselle ou autres…Voici quelques années lors de l'épreuve finale, un excellent cuisinier parisien confondit, stress aidant, sel et sucre !
Dans un autre domaine, le plat (double côte de porc noir de Bigorre ou autre de qualité similaire, mariné aux épices thaï) est tout aussi délicat à réaliser, entre la marinade, la petite betterave farcie, le jus de porc, les gnocchis de « butternut ».Et tout irrespect des consignes entraîne l'élimination immédiate du candidat. Et retour donc à la case départ, quatre ans après !
D'ici quelques jours, sur les 180 demi-finalistes initiaux, seuls devraient demeurer une trentaine de finalistes. Espérons que nos icaunais en soient ! Car n'est pas MOF qui veut et ce prestigieux col tricolore se mérite.
Gauthier PAJONA
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« Do You speak English » à Saint-Joseph-la-Salle ? « Of course » grâce à la certification « Cambridge » !
septembre 27, 2022Tradition, quand tu nous tiens ! C’est dans l’enceinte auréolée de lumière de la cathédrale Saint-Etienne que s’est déroulée la cérémonie de remise des diplômes de la certification « Cambridge » - du nom de la célèbre université britannique qui perpétue les joutes nautiques par aviron interposé contre Oxford chaque année – vendredi soir. Devant 840 invités, 170 jeunes apprenants, du collège au BTS, ont reçu la fameuse distinction…
AUXERRE : Solennité oblige, c’est au son si caractéristique des cornemuses que s’est ouverte la traditionnelle manifestation de remise de diplômes concoctée comme chaque année dans le principal édifice religieux de la ville.
Une cathédrale Saint-Etienne pleine comme un œuf et qui accueillait, outre les lauréats de la session 2022 de la certification « Cambridge », familles et professeurs d’anglais, ainsi que quelques personnalités du sérail dont le président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD, visiblement impressionné.
Il incombait à François-Xavier WILLIG, chef d’établissement du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle, de présider cette cérémonie où l’émotion était palpable parmi les plus jeunes de ces impétrants.
On notait aussi la présence de Jean-François ADAMCZIK, président de l’OGEC (Organisme de Gestion de l’Enseignement catholique) de Saint-Joseph et Philip GOMIS, représentant de l’Université de Cambridge en Bourgogne Franche-Comté, qui est le responsable du centre d’examen de Dijon, organisateur de cette certification en phase directe avec la célèbre université d’Outre-Manche.
Un vrai outil de communication linguistique moins artificiel que les salles de classe...
Cette année, le cru était de belle qualité avec pas moins de 170 collégiens et étudiants, de la 6ème aux classes de BTS, qui ont planché durant toute la saison scolaire, avec le précieux concours de leurs enseignants, afin de décrocher le judicieux sésame. Un accessit qui traduit cette acquisition de compétences orales et écrites dans la langue la plus pratiquée de la planète : l’anglais.
Ce dispositif « Cambridge », fort apprécié des jeunes pousses en quête de savoir, permet d’approfondir les connaissances et les compétences linguistiques, voire culturelles, autour de la pratique de la langue anglaise. En y développant l’expression orale et en s’en servant comme un vrai outil de communication qui favorise le goût de cette langue.
Bref, c’est une manière moins artificielle que dans la salle de classe de lier l’apprentissage d’une langue étrangère à de vraies situations de communication usuelles. Précisions que les épreuves se déroulent de manière orale mais aussi écrite au centre d’examen de Dijon.
François-Xavier WILLIG, de son côté, rappela « l’importance de l’apprentissage des langues qui permet aux jeunes générations de s’ouvrir à l’international ».
Le rituel de ce cérémonial ficelé au cordeau par les organisateurs s’acheva avec le lancer dans les airs du fameux « motarboard » - la coiffe atypique des étudiants britanniques – sur le parvis de la cathédrale auxerroise. Sous le feu nourri des applaudissements familiaux et les regards emperlés de larmes de parents, très fiers de leur progéniture ! On les comprend !
En savoir plus :
La remise des diplômes s’est déroulée pour les certifications suivantes :
A1 Movers - 50 lauréats
A2 Key - 53 lauréats
B2 First - 27 lauréats
B1 Preliminary - 36 lauréats
B1 Business Preliminary - 1 lauréat
C1 Advanced - 3 lauréats
Thierry BRET
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