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L’Aile ou la Cuisse : Bénédicte et Fabien PECHERY croqués sous la plume experte de Périco LEGASSE
février 13, 2023C’est l’un des papes de la critique gastronomique en France. Il livre ses chroniques incisives et pertinentes de manière hebdomadaire sur le magazine « Marianne », à la façon d’un Jean-Pierre COFFE que les puristes des arts culinaires regrettent encore aujourd’hui. Cette semaine, c’est l’ex-couple Icaunais, installé depuis l’été 2021 en Saône-et-Loire, Bénédicte et Fabien PECHERY (« Une table dans le Verger »), qui a servi de source d’inspiration au « maître »…
MARCHAMPT : On ne peut que féliciter sincèrement le couple PECHERY, Fabien en cuisine et Bénédicte en salle, que l’on a connu antan à « L’Auberge du Pot Etain », sise à L’Isle- sur-Serein.
Depuis l’été 2021, ces restaurateurs ont quitté l’Yonne pour s’établir à Marchampt, au cœur du Beaujolais, au sud-ouest de Mâcon où ils font vivre de belle manière leur « Table du Verger ».
Ce bon petit restaurant vient d’être évoqué de manière enthousiaste, dans les colonnes de l’hebdomadaire « Marianne » par l’exigeant Périco LEGASSE, défenseur éternel de la bonne cuisine française. Cela méritait bien un petit clin d’œil de notre part !
Alors, comme l’on dit dans les monts du Beaujolais, bon appétit et large soif !
Gauthier PAJONA et Thierry BRET
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Ils étaient des milliers dans les rues d’Auxerre : les manifestants bien décidés à ne pas battre en retraite…
février 13, 2023Ils étaient nombreux samedi matin à battre le pavé des rues du centre-ville auxerrois, pour cette quatrième journée de mobilisation contre le projet de réforme des retraites voulu par le gouvernement. Des manifestants venus pour beaucoup en famille. Mais si l’ambiance était bon enfant, la détermination reste intacte. En témoigne ce nouveau rendez-vous pour une prochaine journée d’action le 16 février, avant l’appel à la grève lancé par l’intersyndicale, le 07 mars, jour de l’examen du texte au Sénat.
AUXERRE : « Qu’elle monte des mines, descende des collines, celle qui chante en moi, la belle, la rebelle, ma France… ». La voix chaude et chaleureuse de Gérard-André, figure emblématique du théâtre de la Closerie à Etais-la-Sauvin fait vibrer de belle manière les vers de Jean FERRAT, le temps d’une pause musicale devant les grilles de la préfecture.
Parti une heure plus tôt de la place de l’Arquebuse, le cortège des manifestants semble s’étirer en un ruban sans fin, rythmé par les couleurs kaléidoscopiques des différentes bannières syndicales. Comme il est de tradition, leur nombre est à géométrie variable, passant de 2 600 personnes selon la police, à près du double pour les organisateurs. Par-delà cette stérile guerre des chiffres, c’est une mobilisation qui ne faiblit pas, même si une interrogation demeure : l’écho de la rue sera-t-il entendu par Emmanuel MACRON et sera-t-il suffisant pour une remise au placard de ce projet de réforme jugé par tous comme « brutal et injustifié » ?
Jean-Pierre, pour sa part, est sceptique : « je ne suis pas désabusé, mais réaliste… ». Cet ancien fonctionnaire parti en retraite à 60 ans, se reconnaissant lui-même comme « nanti », est venu soutenir son épouse qui à 58 ans, sait déjà qu’elle devra travailler un an de plus avant de pouvoir bénéficier d’un repos mérité : « il faut que le mouvement passe à un niveau supérieur et des grèves seraient à mon avis un minimum… ».
Aidée par le Secours Populaire, la première fois, j’en ai pleuré…
Même colère, teintée de détresse chez Sabrina, ancienne aide-soignante, en retraite depuis un an, après avoir commencé à travailler à l’âge de 14 ans, mais contrainte aujourd’hui de faire appel aux associations de solidarité pour survivre : « après avoir tout payé, il me reste 200 euros pour faire le mois, obligée d’être aidée par le Secours Populaire et l’Epicerie Solidaire. La première fois, j’en ai pleuré, honteuse d’en arriver là après avoir trimé toute ma vie. Mais je me bats aussi pour les jeunes qui arrivent derrière car si c’est dur pour nous, qu’en sera-t-il pour eux ? ».
Son métier d’assistante maternelle, Valérie, la petite cinquantaine, ne s’imagine pas un seul instant pouvoir encore l’exercer à 64 ans et préfère en rire : « Imaginez, ce sont les enfants qui vont nous pousser et nous promener ! ».
Avec la crainte que l’âge aidant, elle soit jugée inapte à conserver les quatre agréments dont elle bénéficie aujourd’hui, indispensables pourtant, pour lui assurer un salaire.
Le vert de leurs bannières syndicales n’est pas sans rappeler le milieu dans lequel ils travaillent : agents de l’Office National des Forêts, Marie-Lou et Dorian sont encore loin de la retraite, pour autant, bien au fait de la pénibilité du métier : « qui exige une grosse part de physique, des heures de marche en forêt lors d’opérations de martelage, la maladie de Lyme, reconnue comme maladie professionnelle, les troubles musculo–squelettiques… ».
Eux aussi préfèrent en rire : « Vous nous voyez avec un déambulateur en forêt à 64 ans ? Cela risque de ne pas passer très bien ! ».
Il serait hypocrite de toucher à l’âge légal de la retraite…
Si le soutien au mouvement social ne faiblit pas dans la population, qu’en sera-t-il demain en cas de grèves prolongées et reconductibles ? Encore combien de manifestations pacifiques, avant que la violence ne l’emporte, à l’image des invectives que s’adressent les députés dans l’hémicycle et d’une classe politique fracturée ?
D’un côté, un gouvernement qui joue la montre mais aussi avec le feu, de l’autre, un mouvement qui risque l’essoufflement, prêt malgré tout à durcir le rapport de force. Et au milieu, un Président « droit dans ses bottes », sourd à la vindicte populaire et aux déclarations tenues par un certain MACRON Emmanuel en avril 2019, pour qui : « tant qu’on n’a pas réglé le problème du chômage dans notre pays, franchement, ça serait assez hypocrite de décaler l’âge légal… ».
Un taux de chômage qui, selon les données de l’INSEE, s’élevait alors à 8,1 %, contre 7,3 % en moyenne aujourd’hui…
En savoir plus :
Parmi les élus présents samedi matin, le vice-président du Conseil régional et maire de Joigny, Nicolas SORET : « je ne sais pas si les manifestations suffiront mais elles sont de toute façon indispensables pour montrer qu’il y a une réelle contestation de cette réforme et encore une capacité des corps intermédiaires à structurer une opposition populaire… ».
Gérard André, le « barde » d’Etais-la-Sauvin, a repris quant à lui a capella la chanson « Ma France » de Jean FERRAT.
Dominique BERNERD
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Parfois, notre journée se déroule autrement qu'initialement prévu. Voici là, l'un des charmes de la vie et des imprévus qui lui sont propres ! En cet ensoleillé jeudi hivernal, j'avais prévu un tour dans le Gâtinais. A l'instar de la Bresse gourmande ou des monts morvandiaux, le Gâtinais se partage avec d'autres départements comme la Seine-et-Marne, le Loiret, mais aussi l'Yonne, comme de bien entendu !
FERRIERES-EN-GATINAIS : Ce midi-là, mon déjeuner était prévu dans le petit village de Jouy, proche de l'ancienne laiterie SENOBLE, à « La Grange » dont on m'a moult fois vanté le joli menu-déjeuner. D'ordinaire, ils sont fermés le mercredi. Sauf que ce jeudi-là, les volets étaient clos. A la revoyure, songeai-je alors, en faisant demi-tour, comme à regrets...
Je me souvins alors d'avoir prévu un jour d'aller déjeuner au réputé relais, sis à Bignon-Mirabeau. En avant, la première, puis la seconde, le clignotant et nous voici stationnés au pied de l'église de la bourgade. Aie : la table baptisée aussi chez Sonny, comme dans la chanson de Richard ANTHONY, est également fermée.
Refus catégorique de la patronne, et retour tête basse sur le trottoir !
Là, on ne plaisante plus ! L'heure avance, signe fréquent de refus de clientèle chez nous en France. Je continue ma route en direction du très joli bourg de Ferrières-en-Gâtinais. En déambulant dans les rues escarpées, je tombe sur une alléchante façade, « Le Biquin d'Or », un restaurant traditionnel. L'ardoise du menu du jour indique une choucroute garnie, l'un de mes plats hivernaux préférés !
C'est donc le cœur plein d'espoir que j'en pousse la porte. Les saveurs paraissent prometteuses mais hélas, c'est complet. Une dame, seule, propose à la souriante patronne tatouée que je puisse partager sa table, afin de pouvoir y déjeuner. Refus net de la restauratrice ! Et, retour tête basse sur le trottoir. Une table intéressante, m'a-t-il brièvement semblé cependant !
La marge financière appréciable des crêperies…
Il est 13h20. En remontant la rue, derrière l'église, j'aperçois une crêperie-saladerie. Un souriant et salvateur « installez-vous » me permet de m'attabler, et le délicieux cidre brut du Val de Rance (nom d'un fleuve côtier breton) me permet de me remettre légitimement de mes émotions.
Bien sûr, tenir une crêperie, à l'instar d'une pizzeria d'ailleurs, ce n'est pas la même chose que tenir un restaurant où l'on cuisine. Assez injustement cependant, dans ce type d'affaires, la marge financière est supérieure souvent à celle d'un vrai restaurant.
Un petit rappel : il faut de la farine de sarrasin pour les galettes salées, et celle de froment pour les crêpes-dessert ! Ici, la salle est claire et lumineuse, impeccablement propre. Quelques maximes ornent les murs, dont celle-ci : « la vie est faite de plaisirs simples, à savourer au jour le jour, sans modération ! ».
Pour commencer, un classique du genre, avec œuf, jambon, fromage. La pâte à galette est bien croustillante. Quant au jambon blanc, j'en ai dégusté de meilleur, comme de bien entendu ! Même chez un grossiste - à défaut d'un artisan - cela peut aussi se trouver, moyennant quelques subsides en sus. La jeune serveuse est particulièrement aimable, cela est plaisant.
Des légumes sortis tout droit d’une boîte de conserve…
A la table derrière moi, on adore Téléphone. Non pas l'engin technique, mais le groupe vedette des années 80. Ils commencent alors à entonner brièvement : « Un jour, j'irai à New York avec toi » !
Si le groupe Téléphone a leurs faveurs, il n'en va pas de même pour Vincent DELERM, qu'à l'unisson, ils clouent au pilori. De toute façon, admoneste la convive, moi je n'aime que DAVE et Michel SARDOU. Dont acte !
Arrive ensuite la galette indienne : c'est correct. Les légumes me semblent sortis tout droit d'une boîte de conserve de ratatouille. Dommage, la sauce curry annoncée n'a pas dû quitter Bombay ou New Delhi !
En dessert, je choisis une crêpe flambée au délicat alcool qu'est le « Grand Marnier ». Ce type de dessert disparaît hélas peu à peu de nos tables (mention émue pour les crêpes « Suzette » d'antan et leur beurre à l'orange...).
En résumé, ce fut une petite étape plaisante au cœur d'un environnement qui ne l'est pas moins.
En savoir plus :
Les - : l’absence de sauce curry dans la galette indienne, c’est vraiment dommage.
Les + : le service est aimable, souriant et poli. Cela n'est pas tous les jours le cas, merci !
Contact :
« Caramel et fleur de sel »
crêperie-saladerie
2 Place Saint-Macé
45210 FERRIERES-EN-GATINAIS
Tel : 09. 86. 32. 11. 32.
Juste à côté, un café-bar-salon de thé.
Gauthier PAJONA
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Le premier février est une date clé en France puisqu’elle correspond à pléthore de changements se rapportant à notre quotidien que l’on soit actif ou retraité. Voici un panorama non exhaustif des particularismes de ce mois qui, avec ses journées en moins, n’est décidément pas comme les autres !
TRIBUNE : Commençons par l’indemnisation chômage : la réforme de l'assurance-chômage inscrite dans la loi relative au « fonctionnement du marché du travail en vue du plein-emploi » est donc entrée en vigueur le 01er février. Toute nouvelle personne inscrite à Pôle Emploi verra désormais sa durée d'indemnisation réduite de 25 %.
A propos de la COVID, les arrêts de travail sans jour de carence sont supprimés. Quant aux arrêts de travail dérogatoires, sans jour de carence pour les personnes testées positives au coronavirus, ils ne sont plus possible, selon un décret publié au Journal Officiel. Ce texte met un terme à « la délivrance d'arrêts de travail dérogatoires aux assurés se trouvant dans l'impossibilité de continuer à travailler, y compris à distance ».
Du côté des transports, les tarifs de courses de taxi sont revalorisés. Cette hausse s'applique de manière différenciée selon les départements et les arrêtés préfectoraux, mais ne doit pas être supérieure à 4 %. Le prix maximum du kilomètre parcouru est porté à 1,21 euro. Le tarif minimum d'une course reste fixé à 7,30 euros pour tous les taxis, parisiens comme non parisiens. L'accord conclu en janvier sur la rémunération des chauffeurs de VTC entre également en vigueur. Il instaure un minimum de course à environ 10,20 euros sur une application comme Uber.
Des péages aux masters…
Quant aux péages, ils augmentent en moyenne de 4,75 %. Cette hausse est le résultat d'une formule automatique liée au taux d'inflation. En 2022, les tarifs n'avaient augmenté que de 2 %. Les automobilistes qui utilisent un véhicule électrique en sont toutefois exonérés, puisque l'Etat leur accorde une réduction de 5 % sur les tarifs des péages en 2023 afin d'accélérer « la décarbonation » du parc automobile. La réduction appliquée aux automobilistes disposant d'un badge « Télépéage » et qui parcourent le même trajet au moins dix fois par mois augmente également. Elle passe de 30 à 40 %.
Les conditions pour échanger et rembourser son billet de train vont être plus strictes. À partir d'une semaine avant le départ, échanger son billet de train coûtera 19 euros alors que l'opération était gratuite jusqu'à J-3 depuis 2020.
Le site monmaster.gouv.fr est officiellement lancé par le ministère de l'Enseignement supérieur, qui cherche à garantir une place en master à tous les diplômés de bac+3. Plus de 3 500 formations et 8 000 parcours de master seront proposés par les établissements d'enseignement supérieur publics ou privés en convention avec un établissement public. La plateforme permettra de déposer sa candidature à partir du 22 mars et jusqu'au 18 avril. L'admission des candidats se fera du 23 juin au 21 juillet.
La date de validité des permis de conduire en question…
Nous sommes nombreux à avoir oublié ces dispositions : suivant la réforme de septembre 2013, le permis de conduire est délivré au format carte de crédit en plastique. Un format jugé plus sécurisé grâce à la biométrie. Autre conséquence de cette réforme : le permis de conduire n’est désormais plus valable à vie. En effet, le nouveau titre comporte une date de fin de validité allant de 1 à 15 ans selon le cas. Une fois le délai passé, il faudra alors demander un nouveau titre. La réforme du permis de 2013 a été initiée pour se conformer à la directive européenne 200-126. Cette dernière a pour objectif d’harmoniser la législation relative aux règles de la route dans toute l’Europe. Dans les faits, cette réforme vise à uniformiser le permis de conduire sur le territoire européen pour faciliter la circulation des conducteurs dans tous les états membres et faciliter le contrôle par les forces de l’ordre. En définitive, la durée de validité intégrée sur les nouveaux permis de conduire permet d’actualiser la photo et l’adresse du titulaire.
Les permis de conduire au format traditionnel ou au format F9 délivrés avant 2013 sont valables jusqu’au 19 janvier 2033. Leurs titulaires ont jusqu’à cette date pour demander la production d’un nouveau titre. Cette démarche s’effectue directement en ligne sur le site de l’ANTS (Agence nationale des titres sécurisés). La durée de validité des nouveaux permis de conduire varie en fonction de la catégorie du véhicule.
Le permis A (moto), B (voiture) et E (véhicule attelé d’une remorque) sont valables quinze ans à partir de la date de délivrance. Passé cette date, il faudra renouveler le titre. Les permis de la catégorie C, CE, C1 et C1E aussi appelés permis « poids lourd » sont valables pour une durée de 1 à 5 ans en fonction de l’âge du conducteur. Ainsi, pour les conducteurs de moins de 60 ans, le permis de conduire est valable 5 ans. Contre 2 ans pour les conducteurs de 60 à 76 ans et 1 an pour les plus de 76 ans. Dans tous les cas, la date de validité de votre permis de conduire est inscrite à la ligne 4 b sur le recto de votre titre. À l’instar du permis C, le permis D, attribué aux conducteurs de véhicules dédiés au transport de personnes, est valable entre 1 et 5 ans en fonction de l’âge du conducteur. Pour les moins de 60 ans, la durée de validité du permis de conduire est de 5 ans tandis que le permis de conduire des plus de 60 ans est valable 1 an. Le renouvellement de votre permis de conduire pour fin de validité se fait par simple demande sur le site de l’ANTS. En revanche, pour les catégories C, D et E, cette démarche peut s’accompagner d’une visite médicale qui vise à vérifier votre aptitude à la conduite.
Nouveaux plafonds pour MaPrimeRenov'...
Pour MaPrimeRénov sérénité, qui concerne les travaux de rénovations permettant un gain énergétique d'au moins 35 %, les plafonds seront revalorisés de 30 000 à 35 000 euros pour les ménages les plus modestes. Le dispositif MaPrimeRénov Copropriétés est pérennisé et renforcé. Les plafonds de travaux finançables passent de 15 000 euros à 25 000 euros.
Plus de 55 millions de personnes devraient bénéficier de la hausse du taux du livret A qui passe de 2 % à 3 %. La même hausse s'applique au livret de développement durable et solidaire (LDDS) et au livret d’épargne populaire (LEP). Destinée à compenser en partie l'inflation, cette évolution « représente déjà une hausse significative », se félicite la Banque de France. Les spécialistes précisent qu’avec 2 % d’inflation et un livret rémunéré 0,5 %, tout le monde râle. Alors qu’avec une inflation à 6 ou 10 % et un livret à 3 %, on respire mieux…Quoi qu’il en soit, réjouissons-nous des bonnes nouvelles et pour les mauvaises, faisons contre mauvaise fortune bon cœur…
« La bonne et la mauvaise nouvelle sont que les politiciens font rarement ce qu'ils disent qu'ils vont faire lorsqu'ils font campagne. » Charles G. KOCH.
Jean-Paul ALLOU
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Gestion des déchets : Daniel GRENON (RN) favorable à une harmonisation des règles de tri en France
février 10, 2023Courte mais pertinente intervention dans l’hémicycle du Palais Bourbon, il y a quelques jours à Paris, du député de la première circonscription de l’Yonne. Ce dernier a pris la parole à propos des problématiques environnementales se rapportant à la gestion et au tri des déchets. Selon lui, « ne serait-il pas plus efficace de faire confiance aux Français sur la façon de gérer leurs détritus plutôt que de le faire la morale sur les gestes citoyens ? »…
PARIS : Prendrait-on les Français pour des enfants à peine mature ?! Notamment dans leur manière de gérer la question du recyclage de leurs déchets ménagers. C’est ce que pense, en filigrane, le député de la première circonscription de l’Yonne, le Rassemblement National Daniel GRENON qui est intervenu la semaine dernière à l’Assemblée Nationale afin de remettre les points sur les « i » sur un dossier qui lui tient particulièrement à cœur, en vertu des principes du bon sens.
La question du recyclage des détritus figurait parmi les items inscrits à l’ordre du jour de la séance à débatte à l’hémicycle. Une opportunité pour l’élu de l’Yonne de s’exprimer sur le sujet et de poser un jalon fondamental à la discussion : « Ne faut-il pas commencer par harmoniser les règles de tri et les couleurs de poubelles sur toute la France afin que nos concitoyens y voient un peu plus clair ? ».
« Les instructions de tri sont mal comprises par les Français… »…
Une prise de parole brève mais incisive où l’ex-retraité, redevenu hyper actif à 73 ans en endossant la vêture de parlementaire, demande au gouvernement d’accorder davantage de confiance aux Français plutôt que de les seriner continuellement autour de la récurrente rhétorique des « gestes citoyens » à adopter.
« Il serait judicieux de leur expliquer les contraintes techniques du recyclage qui justifient, d’une part la nécessité du tri et d’autre part, le regroupement de certains types de déchets entre eux, explique-t-il, je vous rappelle que la première loi sur la valorisation et le recyclage des déchets date de 1992. Pourtant, aujourd’hui encore et malgré le nombre de poubelles de tri, les couleurs desdites poubelles et les instructions de tri, rien n’est harmonisé au niveau national – ne parlons même pas du niveau européen – et que les instructions sur le sujet semblent plutôt fluctuantes aux yeux des citoyens, voire très mal comprises car les contraintes de tri en aval ne sont pas connues… ».
Le parlementaire de l’Yonne se veut à la fois pédagogue mais aussi favorable à accorder plus de responsabilités et de confiance aux Français – en l’occurrence aux Icaunais par le fait – dans cette approche environnementale fondamentale : la gestion de nos déchets.
Thierry BRET
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