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Chaque année, la direction des Ressources humaines de l’un des premiers recruteurs privés des départements de l’Aube, de la Côte d’Or, de la Haute-Marne et de l’Yonne puise parmi son vivier de candidats potentiels pour embaucher de nouveaux collaborateurs. Ce fut le cas en 2018 avec 122 recrutements. 2019 ne dérogera pas à la règle. Afin de renouveler, voire de compléter des postes stratégiques dans les agences de proximité et sur les sites administratifs…A vos lettres de candidature !
DIJON (Côte d’Or) : Ambitieuse de coutume, la politique consacrée à l’optimisation des ressources humaines le sera cette année encore au Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne. L’établissement régional se mobilise pour attirer de nouveaux talents dans son escarcelle.
Fort de ses 1 707 collaborateurs, le groupe procédera au cours de ces prochaines semaines à l’accroissement de ses effectifs. Une centaine de postes en CDI figurent, en effet, parmi les propositions d’emploi à occuper dès que possible.
Quant à la palette des métiers, elle est plutôt éclectique. En pleine mutation du fait de la présence maximalisée du digital, le secteur bancaire offre un choix conséquent de métiers. Et pas seulement des postes de conseillers commerciaux.
L’établissement désire étoffer ses fonctions supports, celles du back-office, en dynamisant ses différents services que sont l’audit, le juridique, le marketing, les ressources humaines.
« Travailler au Crédit Agricole, c’est être sûr d’avoir un métier qui évolue au rythme des besoins de la clientèle et d’être formé en conséquence, stipule Patrick SCRO, directeur des ressources humaines et de la communication ».
L’accès à ces diverses fonctions est également facilité par le biais de l’alternance. Elle représente 30 % des recrutements annuels.
« A l’issue de leur période de formation, précise le directeur de la DRH, plus de 60 % des alternants rejoignent nos services avec un contrat à durée indéterminée dans la poche… ».
Le profil des expériences et du comportemental plus que le CV…
Garantissant une évolution de carrière, le Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne applique une politique de rémunération attractive. A ce titre, et selon les sources fournies par le ministère du Travail, la banque occupe, juste après le secteur pharmaceutique, une position privilégiée en matière de salaire. Avec un référent mensuel net moyen de 3 669 euros. Autant dire de précieux éléments à faire valoir pour accueillir les jeunes diplômés ou le bon profil dans ses rangs.
C’est d’ailleurs cet intérêt humain, fait d’expériences et d’analyse du comportement qui prime aujourd’hui dans la politique de recrutement de la Banque verte. Plutôt que le traditionnel CV.
D’ailleurs, la caisse régionale multiplie les initiatives originales, voire parfois décalées, pour trouver la perle rare, par le biais de job-dating, d’escape-game, d’after-school, mais aussi d’entretiens vidéo.
« Nos chargés de recrutement, ajoute Patrick SGRO, mettent tout en œuvre pour faire venir les meilleurs profils dans une véritable relation gagnant/gagnant… ».
Un processus méthodique, forcément profitable pour les deux parties en présence…
Pour en savoir plus sur la politique d’embauches du Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne, un référent multimédia : www.ca-cb.fr/recrutement
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POSITIV’EMPLOI : des offres comme s’il en pleuvait sur la nouvelle plateforme de la CCI de l’Yonne !
mai 04, 2019Plusieurs mois de labeur auront été nécessaires à la conceptualisation de cet outil numérique au service de tous les acteurs de l’économie de notre territoire. Parce qu’il y a urgence à répondre aux difficultés de recrutement des entreprises du département, la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne propose désormais de faciliter cette rencontre entre l’offre et la demande autour de l’emploi direct. Mais, sa volonté de renforcer l’attractivité du territoire englobe aussi des propositions concrètes liées à l’alternance et à la demande de stages…
SENS : Opérationnelle depuis quelques jours, la plateforme POSITIV’EMPLOI suscite déjà beaucoup d’intérêt dans le microcosme économique départemental. L’idée se veut très séduisante. Elle est surtout consensuelle auprès de l’ensemble des acteurs de l’emploi. Répondant ainsi à la volonté de son plus ardent défenseur, le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie en personne, Alain PEREZ.
Lors du lancement inaugural du concept, ce dernier n’a d’ailleurs pas tari d’éloges sur ses services qui se sont mobilisées autour de cet instrument numérique à forte potentialité.
Il est aujourd’hui instruit par l’une des valeurs montantes de la chambre consulaire icaunaise, Cécile NOIROT, en charge de son développement applicatif. Il faut dire que cette dernière connaît le monde du recrutement comme le fond de sa poche. Elle a été longtemps l’une des pierres angulaires d’une structure positionnée sur le marché du travail temporaire.
En invitant partenaires et référents des ressources humaines à une présentation qui se voulait didactique et démonstrative, Alain PEREZ a voulu réaffirmer que l’institution dont il défend les valeurs gardait la main sur les orientations économiques de ce territoire. Et par effet gigogne, qu’il restait à l’écoute des entrepreneurs en quête de développement, celui-ci se déclinant de facto par l’embauche de nouvelles compétences.
Un outil complémentaire des supports de Pôle Emploi…
Ouverte à tous les organismes en prise directe avec l’emploi, la plateforme est d’un abord fonctionnel très accessible. En la parcourant, on y trouve des éléments d’information détaillés qui se rapportent aux candidats à l’emploi (CV, expériences, compétences, formations…) mais aussi à la fonction professionnelle précise en attente d’être pourvue.
Enrichis, précis, ces renseignements constituent une formidable base de données mise en musique par les services de la CCI. Celle-ci s’appuie sur l’expertise technique et le savoir-faire de l’un de ses partenaires (ils sont nombreux à s’être engouffrés dans la brèche en faveur de la déclinaison de ce concept judicieux), la start-up METEO JOB.
Prestataire national, ce dernier avait déposé dès le lancement de l’outil consultatif par le multimédia un global de 584 offres d’emploi. Une manne informative importante qui donnait un aperçu tangible de l’ampleur de ce nouveau concept. Celui-ci devenant un corollaire naturel et harmonieux des outils qui sont déjà proposés par Pôle Emploi.
Institutionnels et entreprises, partenaires du concept…
Et avant même que ce nouveau référent ne soit officiellement en activité, plusieurs entreprises et collectivités de l’Yonne avaient déjà fourni près d’une trentaine de petites annonces dans la corbeille correspondante.
Soucieux de donner une impulsion à ce support numérique innovant, la CCI de l’Yonne avait convié l’une des actrices essentielles des ressources humaines de notre territoire, Aurélie VALLOT, de la société ARMATIS – un gros faiseur en termes de recrutement et de besoin de compétences -, à témoigner de la pertinence de cette initiative.
Cette dernière expliqua, exemples à l’appui, la façon de pouvoir naviguer avec aisance sur cette plateforme.
Quant à la présence à la tribune d’honneur de l’édile de Sens et présidente de la Communauté de communes du Grand Sénonais, Marie-Louise FORT, elle n’était pas fortuite.
Bien au contraire, l’élue fit part de sa satisfaction d’avoir choisi de faire adhérer l’organisme institutionnel en qualité de soutien et partenaire de cet outil.
Lors de sa prise de parole, le président PEREZ précisa que plusieurs syndicats patronaux, à l’instar du MEDEF de l’Yonne ou de la Fédération départementale du Bâtiment, avaient déjà apporté leurs crédits à la mise en place et à la réussite de la plateforme.
« Nous progressons pas à pas, ajouta le responsable de l’exécutif consulaire, je souhaite sincèrement que tout le monde soit uni derrière cette initiative vertueuse afin de favoriser l’aide au recrutement de nos entreprises ».
Puis, énumérant quelques statistiques, Alain PEREZ rappela que 25 % des entreprises de l’Yonne envisageaient de recruter cette année. L’Yonne, à ce titre, figurait dans le haut du panier de la création d’entreprises depuis deux ans avec 1 875 nouvelles venues dans le paysage (la moyenne nationale se situant à 1 224).
Mais, argument plus funeste, que faute de main d’œuvre qualifiée, beaucoup étaient dans l’obligation de décliner des commandes car ne pouvant y répondre dans des conditions optimales. POSITIV’EMPLOI a pour vocation de contrecarrer cela et inverser la tendance.
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MG DUFAY rencontrera LE MAIRE : plaidoyer de la dernière chance pour sauver les emplois de GENERAL ELECTRIC ?
mai 01, 2019Accompagnée d’une délégation d’élus locaux et de parlementaires de la Franche-Comté septentrionale, la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY se rendra d'ici peu dans la capitale afin d’y rencontrer le ministre de l’Economie et des Finances Bruno LE MAIRE. L’objectif de cet entretien, peut-être celui de la dernière chance, sera de faire pencher la balance en faveur du site de Belfort et d’y maintenir les compétences et les savoir-faire du groupe industriel, fabriquant de turbines à gaz.
BELFORT : Maintenir coûte que coûte la compétitivité et l’emploi dans le secteur de l’industrie. C’est l’un des credo essentiels qui motive l’action de la première Dame de la Région Bourgogne Franche-Comté.
Et au regard de l’actualité, propre à la société GENERAL ELECTRIC, implantée sur le Territoire de Belfort, l’élue régionale est plus que jamais déterminée à tirer toutes les ficelles possibles afin de sauvegarder l’activité économique et les emplois induits de cette entité.
Présent en France depuis un siècle, le groupe GENERAL ELECTRIC emploie près de 16 000 collaborateurs dans des secteurs d’activité liés à l’énergie. Son chiffre d’affaires s’élève à 7 milliards d’euros. Le site de Belfort accueille le centre technologique destiné à la conception de turbines à gaz 50hz ; il est aussi le siège de la joint-venture entre GE et Alstom Nucléaire.
Prenant le taureau par les cornes, Marie-Guite DUFAY a interpellé directement le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno LE MAIRE, sur ce délicat dossier.
Car avec ses quatre mille quatre cents salariés, la première unité de production de GENERAL ELECTRIC, localisée à Belfort, doit survivre aux aléas complexes de la conjoncture.
Récompensée de ses efforts, la présidente de la Région a obtenu une audience auprès du ministre. Celle-ci interviendra à Paris, la date et l'horaire restant à déterminer. L’élue régionale ainsi qu’une délégation de parlementaires et élus franc-comtois auront alors tout le loisir de faire part de leurs craintes et de leurs espoirs face au représentant du gouvernement.
Interrogée à ce propos, Marie-Guite DUFAY est on ne peut plus claire dans ses intentions :
« La sauvegarde de ces emplois passe par une diversification des activités du site, notamment dans le secteur de l’aéronautique, le nucléaire (dans sa composante démantèlement et grand carénage) et des filières d’avenir autour de l’hydrogène. L’Etat doit prendre la mesure de la situation et se positionner en stratège pour attirer des investisseurs. La Région Bourgogne-Franche-Comté, le territoire du Nord Franche-Comté, le département du Territoire de Belfort, sa communauté d’agglomération et ses parlementaires appellent aujourd’hui le gouvernement à actionner un véritable plan de bataille pour sauver le site de Belfort, son écosystème performant et ses emplois, c’est l’objet de cette rencontre… ».
Un plaidoyer juste pour une noble cause. Sera-t-il entendu par le pensionnaire de Bercy ?
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C’est dans une zone de chalandise très dynamique et prometteuse, en périphérie de Lyon, que la filiale française du groupe d’Outre-Rhin a choisi d’ouvrir son nouveau point de vente. Inaugurée officiellement le 24 avril, la structure complète l’offre globale du spécialiste de la vente de produits chimiques, de fixation, d’outillage et de consommables techniques, leader de la distribution multicanale.
VAULX-EN-VELIN (Rhône) : Le projet aura été de longue haleine. Dans sa phase d’élaboration et de positionnement. Devant l’accélération croissante des attentes de sa clientèle et au développement de la digitalisation dans les relations commerciales, l’ingénierie de BERNER France a capitaliser sur son expérience, vieille d’un demi-siècle, pour évoluer à travers ce nouveau concept de magasin.
Implantée dans l’Yonne depuis 1969, la déclinaison hexagonale du groupe allemand s’est forgée au fil du temps une solide réputation auprès des professionnels de la mobilité, de la construction et de la maintenance industrielle. C’est-à-dire son cœur de cible.
Aujourd’hui, BERNER France pèse 238 millions d’euros de chiffre d’affaires. L’entreprise recense 1 500 collaborateurs dont mille commerciaux qui font fructifier un portefeuille de plus de 100 000 clients.
Ouvrir une structure de la sorte dans le département du Rhône répondait à un besoin stratégique. Comme le précise Didier GOGUELIN, directeur général de la filiale française.
« Ce projet s’inscrit dans notre stratégie « omnicanal », c’est-à-dire du vendeur terrain à l’e-commerce qui vise à nous rapprocher de notre clientèle. Nous cherchons tous à améliorer l’expérience client. Nos clients sont aujourd’hui en contact constant avec notre marque, que ce soit via notre centre de relations client, notre commercial terrain, l’appli web, le site marchand ou nos supports imprimés tel que le catalogue. Le point de vente doit fonctionner de la même manière et c’est pourquoi nous voulions créer un parcours client simple, homogène et familier. En entrant dans le magasin, le client fait le lien avec la marque, ses produits et services grâce à la cohérence entre tous les points de contact ».
Un concept résolument ouvert vers l’humain
Attaché à la dimension humaine, la vitrine commerciale lyonnaise a été pensée dans cet état d’esprit. L’espace de vente en libre-service s’étend sur 300 mètres carrés et créé une ambiance plus accessible et plus proche. Pour permettre au visiteur de se repérer simplement dans le magasin, les gondoles centrales ne dépassent pas 1,50 mètre. Quant à la signalétique, elle est colorée et épurée. Cela contribue à donner une image structurée du magasin. Tout a été imaginé pour faciliter la compréhension de l’offre qui est proposée par univers produits.
Le point de vente dispose de salles de réunion. Elles faciliteront le lien avec la force de vente itinérante régionale, qui en profitera pour organiser des réunions d’équipes, des journées techniques ou des séances de formation sur site. Comme le précise Christian LEJET, directeur commercial Construction, « Le but d’ouvrir un magasin est d’une part de renforcer notre image de marque et notre ancrage local et d’autre part d’affirmer notre proximité avec nos clients et prospects… ».
Dans le point de vente, sis 15 rue Jacques Tati à Vaulx-en-Velin, quatre collaborateurs dont le responsable accueillent les clients, uniquement professionnels. Ces derniers évoluent dans les différents univers en libre-service et peuvent s’adresser à tout moment aux conseillers du magasin pour bénéficier de leur expertise produits ou leur demander des informations sur les services proposés exclusivement en boutique. In-situ, les salariés peuvent réaliser des devis et ouvrir de nouveaux comptes en toute autonomie pour plus de réactivité et de gain de temps. Les commandes spéciales se gèrent avec le savoir-faire du siège à Saint-Julien-du-Sault.
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80 km/h : Guillaume LARRIVE (LR) et André VILLIERS (UDI) veulent un pouvoir de décision à l’échelle du département
avril 30, 2019Présenté par les deux députés de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE et l’UDI André VILLIERS, l’amendement déposé dans le cadre de l’examen de la loi d’orientation des mobilités propose de confier aux acteurs de terrain, en particulier le préfet de département et le président du Conseil départemental, le soin de décider, au cas par cas, de la vitesse autorisée sur le réseau routier, dans la limite de 90 km/h. Le texte est en cours de traitement par les services de l’Assemblée. Mettra-t-il enfin un terme à ce long feuilleton qui n’en finit pas de durer ?
PARIS : Depuis le 01er juillet 2018, date à laquelle le gouvernement a décidé l’abaissement de la vitesse maximale autorisée sur le réseau routier secondaire, il ne se passe pas un jour où le flou artistique qui règne en maître absolu autour de ce dossier, ne ressurgisse à la surface médiatique et ne soit comparable à un véritable casse-tête chinois pour l’exécutif.
Il est vrai que prendre la décision de réduire de dix kilomètres par heure ladite vitesse, soit de 90 à 80, ne pouvait engendrer une cote de sympathie naturelle à ce projet quelque peu alambiqué. Et pour le moins inattendu…
Même si celui-ci était défendu bec et ongles dès le début par le Premier ministre. Instigateur du concept, Edouard PHILIPPE avait déjà utilisé les forceps pour « vendre » l’idée au président de la République, guère convaincu par la pertinence de cette suggestion forcément impopulaire.
La mobilisation sociale de la mi-novembre n’aura pas manqué de cibler ouvertement cette baisse généralisé de la vitesse sur les routes françaises et de l’inscrire parmi le lot des revendications privilégiées.
Avec en toile de fond, un argument tangible se rapportant aux habitants des territoires ruraux : leur pénalisation assurée puisque ne disposant pas d’alternative possible pour se déplacer autrement dans leur vie de tous les jours.
Faciliter l’arbitrage par le préfet et le président d’un conseil départemental…
Or, les choses évoluent, semble-t-il, autour de ce texte législatif. Ce lundi 29 avril, lors de la séance de l’Assemblée nationale où les parlementaires examinaient le projet de loi d’orientation des mobilités, les deux députés de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE et l’UDI André VILLIERS, sont donc montés au créneau : ils ont présenté l’amendement numéro 305.
L’exposé du texte, signé en tandem par les élus de l’Yonne, demande une justification formelle et chiffrée de cette mesure perturbante pour les automobilistes.
« Si la diminution du nombre de victimes d’accidents de la route est un objectif essentiel de toute politique de sécurité routière, il reste toutefois à démontrer que cette mesure contraignante et applicable à un réseau routier de 400 000 kilomètres ait pu y contribuer…écrivent de concert les députés icaunais.
S’en suivent deux alinéas. Le premier concerne le rôle du président du Département. Ce dernier, par arrêté motivé, fixerait la vitesse maximale autorisée pour les routes départementales, celles qui ne possèdent pas de séparateur central et hors agglomération, dans la limite de 90 km/h.
Le deuxième définit l’intervention du représentant de l’Etat dans le département. Ainsi, le préfet pourrait, en concertation directe avec le président du Conseil départemental, fixer la vitesse maximale autorisée pour les routes nationales et selon les conditions similaires au précédent alinéa. Une manière intelligente de gérer au cas par cas et selon les typologies de ces routes du réseau secondaire la mise en application de la loi. L’amendement est en cours de traitement par les services de l’Assemblée. Beaucoup croisent aujourd’hui les doigts pour que cet additif soit au final retenu par le Parlement…et applicable sur les routes de France.
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