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L’enseignement supérieur au cœur de nombreuses polémiques : ENA et Bachelor sont pointés du doigt !
mai 14, 2021Cela a commencé avec la réforme de « Sciences Po ». Permettre à toutes les couches sociales d’accéder à des hautes études semblait légitime. L’école souhaitait également intégrer les étrangers. Afin de donner sa chance aux jeunes des banlieues de parvenir au Graal des concours, il fallait supprimer l’épreuve de culture générale. C’est ici que le bât blesse ! Car du côté des partisans de l’érudition et de l’épistémè, la réforme fut largement décriée !
TRIBUNE : Un dossier et un entretien oral bouclent la procédure d’accès à cette prestigieuse école. La moyenne des notes présentées dans les dossiers de candidature pose question : tout le monde sait qu’un « 17 » obtenu au lycée Henry IV à Paris n’a pas la même valeur qu’un « 17 » obtenu dans un établissement de Seine-Saint-Denis !
La sélection prend le risque de l’arbitraire en faisant un savant dosage d’étrangers : quotas d’européens et de non-européens… Quid des critères de parités hommes /femmes et blancs/noirs ? Nous risquons de nous éloigner des sélections élitistes de l’origine.
Souvent, « Science Po » constituait une marche pour entrer à l’ENA (Ecole Nationale de l’Administration). Sa réforme semblait donc inévitable ! C’est non seulement une décision politique (démagogique ?) voulue par le Président de la République mais aussi un outil qui prolonge le plan global des réformes de l’enseignement supérieur.
Cette réforme s’inscrit en droite ligne du projet néolibéral impulsé par Emmanuel MACRON. Ses principaux vecteurs en sont l’abrogation des références culturelles, fleurons de l’histoire et de la culture française, l’intégration de la langue inclusive, afin de satisfaire toutes les minorités agissantes (les anticoloniaux, LGBT, les gens de couleur, etc.).
Permettre aussi aux jeunes des banlieues d’accéder aux études supérieures, en copiant ce qui se passe aux Etats-Unis, est une autre piste de cette réflexion.
L’enseignement supérieur français ne performe pas au niveau international…
La langue française disparaît progressivement des enseignements des grandes écoles au profit de l’anglais. Toutes ces mesures amoindrissent le niveau de l’excellence qui précédait la notoriété de nos prestigieuses écoles. Il est fallacieux d’annoncer que la suppression de l’ENA était une revendication des « Gilets Jaunes » : ces derniers voulaient surtout payer le carburant moins cher !
Certains affirment qu’il s’agit d’une mesure populiste quand d’autres craignent que l’on va faire de l’ENA le bouc émissaire de la crise sanitaire et sociale actuelle.
De toute façon, les réfractaires à tout changement sont conformes aux habitudes nationales. Repenser l’ENA, c’est également vouloir globaliser d’autres bastions pédagogiques de la République : l’INET (Hautes Etudes Territoriales) ou encore l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique… La volonté de réduire les budgets doit être prise en compte. L’ENA sera donc remplacée par l’ISP : l’Institut du service Public.
Les problèmes posés à l’enseignement supérieur reposent surtout sur la qualité de l’enseignement primaire et secondaire. Au classement PISA (Programme International pour le suivi des acquis des élèves) 2018, la France ne pointe qu’au 25ème rang sur 79 pays recensés.
Qu’il s’agisse des domaines de « la compréhension de l’écrit », des « mathématiques » et des « sciences », nous arrivons bien après la Chine (en tête sur les trois matières), la Pologne, la Finlande et surtout l’Estonie qui a le plus petit budget (en proportion des dépenses publiques) réservé à l’éducation.
Quant aux universités, parmi les dix meilleures soulignons les légendaires Harvard (première du classement), Sandford (2ème) et Cambridge (3ème).
Grâce à un regroupement de Paris-Saclay, la France décroche péniblement une 14ème place dans le top des 200 meilleures universités de la planète. Notons la 39ème place de notre célèbre Sorbonne, plus connue aujourd’hui pour sa participation aux « manifs » de mai 1968 que pour ses prix Nobel !
Une autre réforme très controversée : les « Bachelor » proposés dans les IUT…
On prépare aujourd’hui des « BUT » pour Bachelor universitaire de technologie en remplacement des DUT (Diplôme universitaire de technologie). Le BUT se situe au niveau de BAC + 3 et offre les mêmes spécialités que leurs prédécesseurs.
Le DUT sera obtenu automatiquement dès que l’étudiant aura accompli les deux premières années du BUT mais à condition qu’il en fasse la demande. Le syndicat Force Ouvrière a vivement dénoncé l’existence de ces Bachelor, arguant du fait qu’ils y voyaient une attaque contre les licences professionnelles.
FO souligne également que le volume horaire des enseignements diminue de 25 %. Le syndicat réclame que le DUT soit délivré automatiquement sans la demande des étudiants. Il soutient toutes les actions collectives qui contestent la vulgarisation de ces Bachelor à grand coup de motions et de pétitions…
Le plus important de la réforme et de la contestation repose sur la perte du caractère national du DUT. Jusqu’à présent, l’organisation de son enseignement, respectait un programme pédagogique élaboré au niveau hexagonal. Avec l’actuelle réforme du BUT, chaque IUT sera soumis à l’approbation de son établissement de tutelle qui pourra imposer sa propre organisation du BUT. Par exemple, les coefficients et volumes horaires des matières enseignées dans une mention de BUT pourront être différents d’un établissement à l’autre. La dimension nationale donnait un gage de qualité aux entreprises recruteuses. On risque d’ouvrir une compétition stérile entre les BUT.
Clairement, les BUT font l’unanimité contre eux. Les enseignants exigent dans leur grande majorité un cadrage national de ces enseignements. Il est certain que dans les nouvelles conditions le Bachelor sera noirci par l’arbitraire des recrutements et des enseignements et la réduction de la longueur des cours.
Les universités, les écoles supérieures, les BUT… doivent faire face à la mutation des données sociales et économiques d’aujourd’hui. Les changements sont inéluctables, voire indispensables.
Un réel brassage des cartes pour suivre des études supérieures ?
La volonté d’ouvrir les études supérieures aux classes les plus défavorisées n’est peut-être pas d’actualité. En effet si 35 % des étudiants sont issus de parents classés « cadres supérieurs », 30 % viennent de la catégorie « ouvriers-employés ». De plus, la moitié des enfants, des couches les plus basses socialement, est diplômée ou étudie dans les filières de l’enseignement supérieur. Ce phénomène est relativement récent. Il est cohérent avec les 90 % d’étudiants reçus au Bac, qui usent plus leur fonds de culotte au « Resto U » que dans les amphis et les salles de TD ! Seuls les enfants d’agriculteurs sont sous-représentés : 1,7 % !
Mais cette situation est cohérente avec les difficultés économique d’un secteur « peau de chagrin ». L’enseignement doit répondre à une question de fond : promouvoir des jeunes capables de travailler à la sortie des études ou produire de bons cerveaux capables de conceptualiser et d’engendrer des prix Nobel. Aujourd’hui, sûrement un peu les deux. Une question reste au-dessus de nos têtes comme une épée de Damoclès : qu’est-ce qui permet à chacun de s’adapter à toutes les situations et modifications de l’environnement ? LA CULTURE.
C’est aussi le niveau de culture qui permet à chacun de ne pas tomber dans le piège des manipulations intégristes de certains partis politiques et courants religieux.
Un jeune banquier discutait avec un sénateur-maire, lors d’un repas amical. Il s’agissait de feu Gabriel KASPEREIT, pour ne pas le nommer, ancien ministre sous de GAULLE, édile du 9ème arrondissement de Paris et député, était aussi un ancien énarque. Le banquier posa alors une question : « Comment à vingt ans, avez-vous pu dire, mon idéal politique c’est la droite et tout extrémisme écarté, ce n’est pas la gauche ? ». Et notre élu de répondre dans un grand éclat de rire : « cher ami, vous n’avez rien compris, à la sortie de l’ENA, le premier micro qui s’est présenté c’est celui-là, tant pis pour la gauche !». C’est aussi cela qu’il faut changer à l’avenir !
Jean-Paul ALLOU
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Francis GRAILLE quitte la présidence de l’AJ Auxerre : James ZHOU en taille patron à la tête du club bourguignon
mai 03, 2021Officiellement, le nouvel organigramme de l’AJ Auxerre n’est pas encore ratifié. Mais, en vérité, ce n’est qu’une question de jours puisque le prochain conseil d’administration du pensionnaire de Ligue 2 est prévu à la date du 10 mai. Ce jour-là, l’actionnaire majoritaire du club bourguignon, l’industriel chinois James ZHOU succédera à Francis GRAILLE à la présidence de l’AJA. Révolution de palais ?
AUXERRE : Les rumeurs allaient bon train depuis quelques temps dans le microcosme footballistique auxerrois. Mais, les choses se sont accélérées à la sortie de ce week-end, synonyme au plan sportif d’une rétrogradation d’une place au classement de Ligue 2.
Sixièmes à deux longueurs du Paris FC dans la course aux play-offs (celle-ci est loin d’être terminée), les protégés de Jean-Marc FURLAN ne seront plus présidés par Francis GRAILLE.
A 66 ans, ce personnage emblématique du football français, ancien président du LOSC et éminence grise du Paris Saint-Germain, quittera officiellement ses fonctions dont il avait hérité en mai 2017 d’ici une semaine.
Pour autant, l’ancien homme d’affaires, spécialiste de la presse, continuera à agir à l’AJ Auxerre, au sein du conseil d’administration.
C’est donc l’actionnaire majoritaire du pensionnaire de Ligue 2 et président du groupe industriel spécialiste de l’emballage de produits, ORG Technology, James ZHOU qui reprend les rênes de ce club. Il a su tisser patiemment des liens ténus avec la Chine dont il est originaire.
Outre Francis GRAILLE, il se murmure aussi que Cédric DAURY, directeur sportif, pourrait lui aussi quitter ses fonctions. Réponse dès le lundi 10 mai à l’issue d’un conseil d’administration lourd de conséquences…
Thierry BRET
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L’Europe veut bannir de la circulation les véhicules à moteur thermique : une perspective aux réelles incidences
avril 30, 2021Les pays européens prévoient l’interdiction à la vente des véhicules à propulsion thermique dès 2025 en Norvège, en 2030 pour le reste de la Scandinavie ou les Pays-Bas, en 2035 en Grande-Bretagne ou en 2040 dans l’Hexagone. Attendue pour 2025, la norme « EURO 7 » signe la fin de l’ère de l’essence et du diesel. Pourtant, ce virage technique, dixit les constructeurs, est impossible à réaliser en si peu de temps et se présente comme une catastrophe pour tout le secteur.
TRIBUNE: Si les voitures diesel d’occasion connaissent un franc succès compte tenu des prix de vente, les marques abandonnent peu à peu la filière. Une course contre la montre s’est désormais engagée avec des milliards d’investissement à la clé pour répondre à la maîtrise des émissions de Co2 et à la construction de véhicules électriques et hybrides. Tout le monde réclame à la Commission européenne un ajustement du calendrier. Les courts délais sont assortis de pénalités pharaoniques pour les dépassements de Co2 fixés. Le dictat européen met à mal un secteur économique important : près de 14 millions d’emplois en Europe dont 350 000 en France. Dès 2035, l’Europe veut interdire la production des moteurs thermiques. Essence et diesel tombent à l’eau, au profit de la seule voiture électrique ?
A la décharge des autorités européennes, on ne peut pas dire que les constructeurs ont été pris au dépourvu ! Dès la fin des années 1990, les nouvelles règles étaient mises sur la table et diffusées. Les lobbyistes de l’automobile ont cru qu’ils exerceraient les pressions nécessaires à des contournements des règles édictées…
Les véhicules électriques, des avantages évidents pour la nature…
La voiture électrique ne produit pas de Co2 ou de polluants de l'air à l’utilisation. Elle offre donc de solides avantages, surtout au cœur des villes. Allons-nous tous rouler un jour à l’électricité ? Est-elle réellement le véhicule du futur ? La voiture électrique est alimentée uniquement par... de l’électricité. Elle possède un ou plusieurs moteurs électriques, équipés de batteries, et se recharge chez soi ou à l'extérieur via une borne spéciale, dans la rue, sur des parkings ou des stations-service. Il existe également des voitures hybrides, qui possèdent un moteur électrique et un moteur thermique, ainsi que des hybrides rechargeables ou plug-in. Elles peuvent se recharger en roulant.
La production des batteries, a contrario, pose de sérieux problèmes environnementaux et sociaux. On utilise de plus en plus de batteries au lithium pour les véhicules mais aussi pour leurs équipements informatiques et électroniques. Cela accroît la pression sur ce métal rare.
Le lithium – aussi surnommé or blanc – provient souvent d’Amérique latine. Sa production, très gourmande en eau, met à mal les écosystèmes et la survie des populations locales dans des zones où la sécheresse est déjà très problématique.
On ne pourra pas tous avoir une voiture électrique et rouler de la même façon qu’aujourd’hui. Il faut aussi noter que pour l’instant un véhicule électrique coûte pas moins de 30 000 euros. Précisons également que pour une voiture de moins de 45 000 euros, le bonus accordé par l’Etat s’élève à 6 000 euros. Mais, quid de la situation réelle lorsque les aides s’arrêteront ?
Les concessionnaires sont-ils vraiment en danger ?
Même si certains le prédisent, ils ne disparaîtront pas du paysage. Leur nombre va diminuer, à cause de la vente en ligne. Conséquence : une adaptation sera nécessaire, notamment en matière de surface. Certaines concessions ressemblent à des châteaux de verre ! La réparation et l’entretien des véhicules électriques est plus simple et va faire disparaître le bon vieux « mécano » traditionnel. Fini le mécanicien dans les garages, que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître : juste à l’oreille, il identifiait l’origine de la panne…
On peut prévoir aussi que les grands groupes s’adapteront et résisteront mieux aux mutations. Il est certain que des marques disparaîtront au passage. D’autres se créeront sans doute. Mais, la réduction du carbone passe nécessairement par l’hydrogène. L’échéance est fixée à 2050 : zéro carbone pour tout le monde !
Le problème, c’est que pour produire de l’hydrogène, il faut beaucoup d’eau et d’électricité. Par contre, c’est un carburant propre. STELLANTIS fabrique déjà des camionnettes à hydrogène. Elles roulent grâce à des piles à combustible développées par la NASA. Aujourd’hui, un kilo d’hydrogène coûte dix euros. Un plein de 60 euros permet de réaliser 600 kilomètres. Le prix va aller en diminuant au fil des années. Par contre, le prix de vente de ces véhicules reste très prohibitif autour des 70 000 euros !
Un très vieux gag de l’humoriste Francis BLANCHE montrait ce dernier poussant sa voiture manifestement en panne d’essence. Sous le regard médusé du pompiste, il remplissait son réservoir avec un arrosoir rempli d’eau ! La réalité dépassera sans doute la fiction un jour. Nous ne sommes pas si loin d’un moteur transformant directement l’eau en hydrogène ! Alors s’il vous plaît, monsieur le pompiste, donnez-nous encore un peu d’essence pour les briquets et dix litres d’eau pour la voiture !
Jean-Paul ALLOU
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Une analyse de la Banque Populaire BFC : la France pourrait patienter quatre ans avant de se remettre de la crise
avril 30, 2021D’après l’établissement bancaire régional, notre pays mettrait quatre longues années avant de guérir de cette crise sanitaire inattendue commencée depuis plus d’un an maintenant. Des emplois détruits, un PIB en net recul, un chômage en augmentation : la crise aura un réel impact sur nos lendemains économiques.
QUETIGNY (Côte d’Or) : Du 17 mars jusqu’au 11 mai 2020, les Français ont vécu leur premier confinement du fait de la présence du virus de la COVID-19. C’était avec un visage tendu que le Président de la République Emmanuel MACRON annonça cette décision.
À la suite de cela, la plupart des citoyens et des entreprises ont été impactés. Les bars, les restaurants, les musées, toute la vie culturelle et de loisirs que connaissait la population, étaient à l’arrêt pour une durée indéterminée. D’autres entreprises ont perdu beaucoup de clients ; ce qui entraînera une perte d’argent et des licenciements.
Selon l’INSEE, au deuxième trimestre de 2020, il y a eu 215 200 destructions nettes d’emploi, soit 158 000 dans le secteur privé et 57 100 dans le secteur public.[1]
Malgré de nombreuses aides fournies par l’État pour soutenir les professionnels, beaucoup ont été contraints de se retirer.
Pour le directeur général de la Banque Populaire de Bourgogne-Franche-Comté, Bruno DUCHESNE, en comparant les autres pays et la France, celle-ci mettrait alors plus de temps à se relever. Le grand gagnant de cette situation si atypique qui a réussi à augmenter son produit intérieur brut (PIB) : la Chine.
Celui-ci est 5 % plus élevé en 2021 par rapport à 2020. Ensuite, ce sont les États-Unis. Bruno DUCHESNE est affirmatif dans sa démonstration de macro-économie : les Américains s’en sortiraient au bout de deux ans. La France, quant à elle, serait malheureusement plus en retard.
La crise sanitaire met la France à l’épreuve...
Le PIB de l’Hexagone reculerait de 8,6 % sur l’année 2020, selon l’INSEE.[2] Ce chiffre est le plus bas que le produit intérieur brut a connu depuis le début des évaluations trimestrielles, les premières datant de 1949.
La crise de la COVID-19 engendre beaucoup de coûts pour l’État, avec la commande de masques, de gels hydro-alcooliques et de vaccins.
La secrétaire d’État belge au budget de la protection des consommateurs avait publié le 17 décembre 2020 les prix négociés de ces vaccins sur son compte Twitter. Ces prix ont été débattus par la Commission européenne auprès de six entreprises ayant développé différents vaccins contre la pandémie.
Son tweet avait été supprimé dans la demi-heure suivante pour faute d’appréciation politique sans doute imputable à la confidentialité des données.
Or, celui-ci a eu le temps d’être repris par les médias belges et les internautes. Avec ce tableau, nous apprenons que le vaccin le plus cher serait l’américain MODERNA suscitant un coût de 14,87 euros par dose. Le vaccin britannique/suédois ASTRAZENECA est lui le moins coûteux : 1,78 € par dose.[3] Rappelons que chaque vaccin nécessite deux injections.
Ces différents coûts ont une influence sur la dette publique, mesurée selon les critères de Maastricht.
Celle-ci s’est comptabilisée à près de 115,7 % du PIB avec un déficit de 9,2 % soit 211,5 milliards d’euro pour 2020.[4] Or avant la crise sanitaire, la dette s’élevait à 97,6 % au premier trimestre de 2018 selon l’INSEE.[5]
Le gouvernement français a été contraint de faire des choix pour protéger la santé de ses citoyens au détriment de l’économie. Le fameux « quoi qu’il en coûte ».
C’est d’ailleurs ce qu’avait répété le président de la République français à maintes reprises dans sa promesse de ne laisser aucun de ses concitoyens de côté.
Jordane DESCHAMPS
[1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4653055
[2] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5018361
[3] https://twitter.com/Calimer30438496/status/1339824766778281984
[4] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5347882#titre-bloc-12
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La pharmacopée chinoise n’a plus de secrets pour lui : Philippe SIONNEAU un soignant du corps et…de l’esprit ?
avril 29, 2021Dans son domaine, celui de la formation et de la pratique de la médecine chinoise, notre interlocuteur qui exerce en Andorre est une sommité internationale. C’est par ailleurs l’un des rares occidentaux à avoir suivi dans une université en Chine un cursus complet de cette discipline qui se démocratise de plus en plus en Europe. Portrait de ce praticien qui sort des sentiers battus…
TRIBUNE : Quand on demande à Philippe SIONNEAU de se décrire ; il explique de prime abord qu’il est un heureux papa de quatre enfants fruits d’une union formidable, celle qu’il a contractée avec son épouse, véritable pilier de la famille.
Notre homme est à ce jour l’un des quatre français à avoir obtenu le fameux diplôme national chinois lui permettant d’exercer depuis 1994 dans n’importe quel établissement hospitalier de l’ex-Empire du Milieu ! C’est suffisamment rare pour être mentionné !
Son cursus devant l’amener à ce que beaucoup considèrent là-bas comme la profession de médecin, il l’a suivi en université à Pékin ou à Wuhan. Une ville qui est aujourd’hui universellement reconnue pour être le foyer initial de la pandémie de la COVID-19.
Alors, nécessairement, lorsqu’on aborde avec lui la question cruciale de ce terrible fléau qui s’est répandu depuis octobre 2019 aux quatre coins de la planète, Philippe SIONNEAU ne peut que témoigner avec beaucoup d’humilité et d’humanisme.
Lui qui se définit tel un modeste soignant a proposé un protocole sanitaire sur place. Un processus ayant généré des résultats.
Aider de la meilleure façon celles et ceux qui viennent le consulter demeure aujourd’hui son principal leitmotiv. Il pratique son art, non pas comme du « prêt-à-porter » mais avec dans la tête le fait qu’administrer un médicament à un patient se réalise de la manière la plus adaptée qu’il soit. C’est à partir de ce cheminement basique que les résultats tant attendus sont perceptibles…
Retrouver le lien de l’entretien avec Philippe SIONNEAU sur la référence suivante :
En savoir plus :
Site du cabinet de Philippe SIONNEAU : http://acupuncture-andorre.com/
Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Hadrien ACELA
Interview réalisée par Daniel BOUKEZ
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