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Santé : près de 17 millions d’euros se destinent aux établissements de Bourgogne Franche-Comté
décembre 26, 2018Hasard vertueux du calendrier, le ministère des Solidarités et de la Santé a endossé sa houppelande de Père Noël ces jours-ci en débloquant une enveloppe budgétaire de 415 millions d’euros de crédits au niveau national. Conséquence de ce geste prévisionnel, l’Agence régionale de Santé (ARS) de notre territoire a annoncé dans un bref communiqué le 21 décembre qu’une somme de près de 17 millions d’euros sera affectée aux établissements de santé, publics et privés, de Bourgogne Franche-Comté.
DIJON (Côte d’Or) : Chaque année, une partie des fonds servant au financement des hôpitaux sont placés en réserve en début d’exercice, à titre dit « prudentiel ». Ces crédits prévisionnels peuvent être libérés en fin d’exercice. C’est ce qui a été décidé par le ministère des Solidarités et de la Santé en fin de semaine dernière.
En effet, pour l’année 2018, l’engagement et les efforts des différents acteurs de la filière, assurant le respect de l’Objectif national des dépenses d’assurance maladie (ONDAM), ont été observés. D’où l’initiative du déblocage de cette manne financière au plan national.
Ainsi, une enveloppe globale d’environ 17 millions d’euros se répartira aux établissements de santé de la région. Qui en seront les bénéficiaires dans les huit départements de Bourgogne Franche-Comté ?
Les établissements publics et privés qui pratiquent une activité de médecine, chirurgie et obstétrique (MCO), recevront environ 13 millions d’euros. Les établissements publics profiteront eux-aussi de trois millions d’euros pour leurs activités de psychiatrie et de soins de suite et de réadaptation (SSR).
Enfin, plus de 900 000 euros seront alloués aux cliniques privées qui sont spécialisées dans les soins de suite et de réadaptation ainsi que de la psychiatrie.
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Thierry CHEMINANT (Ecole Supérieure de l’Immobilier) : « La formation n’est jamais une perte de temps… »
décembre 26, 2018Premier centre de formation professionnelle dans l’immobilier en France, l’ESI (Ecole supérieure de l’immobilier) fêtera sa quinzième année d’existence en 2019. Portée sur les fonts baptismaux par la FNAIM, l’établissement pédagogique prépare les acteurs de cette filière incontournable de l’économie aux enjeux de demain et à une profonde mutation intellectuelle et comportementale de ses membres. En y injectant davantage de méthodologies ultra modernes qui ont recours aux outils de la digitalisation et du numérique…Rencontre avec son directeur, le Sénonais Thierry CHEMINANT.
COURBEVOIE (Hauts-de-Seine): L’Ecole supérieure de l’immobilier est-elle une référence dans cette branche professionnelle ?
Oui, on peut l’affirmer. L’ESI a été créée par la FNAIM en 2004 sur un modèle dual : une structure de formation mariant à la fois formation initiale et formation continue. Quinze ans après, les faits sont là : 400 étudiants en formation initiale, tous en alternance, et plus de 35 000 adultes sont formés chaque année. Ce qui fait de nous aujourd’hui le premier centre de formation professionnelle dans l’immobilier en France. Et la première école à ne dispenser que des formations pour l’immobilier en alternance qui, toutes donnent, accès aux cartes professionnelles.
Quelle est sa genèse ? Quel est son mode de fonctionnement ?
Il fallait répondre à deux besoins identifiés : former les futurs professionnels de l’immobilier et former les acteurs déjà en poste dans les entreprises du secteur. Le concept mis en avant à l’époque est que pour être crédible en formation continue, il faut pouvoir démontrer qu’on sait faire de l’enseignement supérieur.
Dès lors, nous avons mis en place au fils des ans, six partenariats avec des Universités françaises, nous permettant de délivrer au sein de l’ESI seize diplômes d’Etat, tous en alternance (professionnalisation ou apprentissage). Ce modèle est bel et bien unique. Nous allons ainsi du BTS professions immobilières au Master 2. Tous les étudiants sont basés dans nos locaux à Courbevoie. Pour ce qui concerne la formation continue, nous proposons aujourd’hui un catalogue de plus de 400 formations entièrement dédiées à l’immobilier. Ce qui représente pour 2018, l’organisation de plus de mille sessions de formations sur la France métropolitaine et Outre-mer (Martinique, Guadeloupe, Guyane et la Réunion).
Pour se faire, nous bénéficions du soutien de nos chambres FNAIM, réparties sur l’ensemble du territoire qui sont nos centres de formation en région. Ce maillage territorial unique pour une organisation professionnelle telle que la FNAIM, est pour nous un atout majeur de notre développement et de notre présence au plus près des territoires. Par ailleurs, nous avons développé depuis 2016 une offre de formation 100 % en ligne sous forme de classes virtuelles (autrement dit « webinaires » ou « visio-conférences synchrones). Aujourd’hui, notre catalogue digital, fort de plus de soixante thématiques, attire plus de quatre mille apprenants par an.
L’ESI est-elle entièrement adossée à la FNAIM ? Des professionnels non-affiliés peuvent-ils bénéficier de ces formations ?
L’ESI émane de la FNAIM et appartient entièrement à la FNAIM. C’est notre ADN ! Nous formons tous les adhérents de la FNAIM qui le souhaitent et depuis quelques années, nous sommes ouverts aux entreprises non adhérentes, qui paient un tarif différent bien sûr. Tout le monde peut venir se former chez nous. Je veux également préciser que nous avons des programmes qui s’adressent spécifiquement aux demandeurs d’emploi en reconversion professionnelle. A ce titre, nous en accueillons plusieurs centaines par an.
Que proposerez-vous en matière d’offres de formation pour l’année 2019 ?
Nos catalogues 2019 viennent de sortir fin novembre. Nous avons renouveler près du tiers des programmes. Comme chaque année, l’accent a été mis sur l’éco rénovation énergétique et les nouvelles dispositions de la loi ELAN, entre autres.
Côté étudiants, nous avons proposé à la rentrée plusieurs parcours nouveaux en licence et master.
La crédibilité de l’offre, gage de sérieux et de professionnalisme…
L’instauration de la loi ALUR oblige les professionnels de l’immobilier à suivre des formations continues. Comment cela se concrétise-t-il au quotidien ?
Pour nous, cela s’est traduit par un accroissement très important de notre activité en formation continue depuis 2016, de l’ordre de plus 20 % par an. Depuis deux ans, nous avons beaucoup plus d’apprenants dans les sessions et nous avons un taux de maintien de plus de 80 % desdites sessions inter-entreprises.
Si l’on prend comme point de repère les années 2017 et 2018, quels sont les chiffres clés qui caractérisent vos missions ?
L’ESI en 2018, c’est plus de mille sessions de formations en présentiel sur l’ensemble du territoire, y compris l’ultramarin, dans nos cinquante centres de formations accueillis dans les chambres syndicales FNAIM. Soit près de 35 000 jours/stagiaires, et plus de 4 000 personnes formées à travers notre digital Learning (webinaires), sans oublier nos 400 étudiants tous en alternance, préparant du BTS professions immobilières au Master 2.
Le taux de placement des personnes ayant suivi vos séances pédagogiques s’élève à 100 % lorsqu’elles désirent intégrer la vie active. L’ESI dispose nécessairement d’une précieuse « aura » pour obtenir de tels résultats ?
On peut dire qu’aujourd’hui, l’ESI a su prouver la qualité de son modèle et la crédibilité de son offre de formation, faisant de nous un des principaux acteurs de la formation aux métiers de l’immobilier.
Est-il nécessaire pour un jeune qui souhaite se diriger vers cette filière professionnelle de posséder le maximum de diplômes pour réussir ?
Non, pas forcément. Même si les métiers de l’immobilier sont de plus en plus exigeants, avec un encadrement règlementaire qui ne cesse d’évoluer, j’en veux pour preuve la promulgation de la loi ELAN, fin novembre. Nous proposons des parcours accessibles dès le niveau bac, jusqu’à des Masters qui nécessitent un bac + 4. Tout est question de volonté, de motivation et d’intérêt pour ces professions qui sont exigeantes, certes, mais passionnantes. Surtout, il s’agit d’aider les ménages ou les entreprises à se loger, ce qui est un acte récurent et pérenne.
L’ESI propose 17 formations diplômantes et 400 thématiques. Quelles sont-elles ?
Le BTS professions immobilières, puis en partenariat pédagogique avec nos Universités partenaires (Perpignan, Lorraine, Limoges, Aix Marseille, Dijon, Paris VIII): six licences professionnelles, quatre Masters 1 et six Masters 2, tous 100 % immobilier, urbanisme et/ou gestion patrimoniale. Vous avez le détail sur notre site www.groupe-esi.fr...
Par manque de temps, peut-être par ignorance, les professionnels ont parfois du mal à se dégager de leurs contraintes pour suivre une formation, ou envoyer leurs collaborateurs. Comment remédier à cela ?
Déjà, la formation n’est pas une perte de temps. C’est un investissement qui permet de toujours mieux répondre aux exigences de ses clients. La meilleure des réponses pour les « sur- bookés », c’est la formation digitale à travers nos « webinaires ». On se forme, depuis son bureau, en « visio-conférence synchrone », sans déplacement. C’est le formateur qui vient « virtuellement » à vous ! C’est un énorme gain de temps…
« Avec Jean-François BUET, le président de l’ESI, il n’y a pas de problème entre Bourguignons ! »
Votre siège social est situé à Courbevoie. Une facilité, sans doute, pour faire converger tous les apprenants vers la capitale et l’Ile de France ?
C’est un choix qui répondait à notre cahier des charges et nos contraintes financières. Courbevoie, c’est la Défense. Mais, c’est une ville agréable à dix minutes de Paris centre par les transports !
Disposez-vous de représentativité à travers l’Hexagone ?
Nous sommes présents pour la formation continue à travers nos cinquante centres de formation dans nos chambres syndicales. Mais, nous allons proposer dès le premier semestre 2019 un modèle qui va nous rapprocher encore plus des territoires…
Financièrement, quel est votre modèle économique ?
Nous sommes une entreprise comme les autres. La FNAIM a beaucoup investi au départ pour lancer ce projet. Aujourd’hui, nous sommes fiers de pouvoir être un centre d’activité à l’équilibre et qui, je le crois, permet à la FNAIM de faire un réel retour sur investissement.
Comment voyez-vous la formation dans les années à venir ?
La nouvelle loi sur « la liberté de choisir son avenir professionnel », promulguée le 05 septembre dernier, est une révolution copernicienne, comme il est bon de dire… Elle contient des éléments positifs. D’autres qui appellent à la vigilance. Je pourrai vous en dire plus quand les quatre-vingts décrets que nous attendons seront parus. Ce que je peux affirmer, c’est que nous sommes prêts à gérer ce nouveau biotope réglementaire au service de nos adhérents FNAIM et de nos autres clients.
L’ancien président de la FNAIM, Jean-François BUET, est désormais le président de l’ESI. Comment fonctionne votre binôme au sein de l’ESI ?
Entre bourguignons, il n’y a pas de problème ! Jean-François BUET m’a recruté il y a quinze ans (il était à l’époque président de la FNAIM par intérim). Nous avons eu le temps d’apprendre à nous connaître, et je crois, à nous apprécier. La formation est un enjeu majeur pour la FNAIM, et notre nouveau président fédéral Jean-Marc TORROLLION, de même que son président-adjoint, Loïc CANTIN. Ils travaillent également étroitement avec nous sur les dossiers.
Maîtriser la formation, gage d’excellence, demeure-t-il le meilleur moyen de faire front à la concurrence exacerbée qui sévit à l’heure actuelle sur votre secteur d’activité ?
Notre modèle a fait ses preuves désormais, nous essayons d’être « agiles » face à notre environnement. Il en va de même pour les professionnels qui viennent se former chez nous. La marque « ESI », associée à la FNAIM, est aujourd’hui reconnue et représente un gage de sérieux et compétence. Notre travail de plus de quinze années est en train de porter ses fruits.
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Agnès PANNIER-RUNACHER en appelle à la responsabilité des consommateurs auprès du commerce de proximité…
décembre 20, 2018Faire preuve de solidarité auprès des petits commerces en souffrance après l’épisode des « Gilets jaunes » passe par une plus grande mobilisation des consommateurs. Et surtout un réel besoin de changer de paradigme. Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, a exhorté les citoyens consuméristes de notre territoire à faire davantage abstraction de leurs actes d’achat sur les plateformes numériques pour soutenir les commerçants de quartier. Une démarche solidaire, qu’elle applique à elle-même au quotidien. Elle devait l’expliquer lors d’un point presse succinct à l’issue de sa rencontre qualifiée de constructive avec des artisans et commerçants de l’Yonne…
SENS : En déplacement sur le Sénonais, la secrétaire d’Etat auprès du ministère de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, a profité du court temps d’expression accordé à la presse pour inciter les ménages français à consommer autrement à l’avenir.
Certes, les propos de la secrétaire d’Etat n’ont pas appelé de manière officielle à boycotter les plateformes numériques à vocation commerciale. Elles exercent une complémentarité parmi l’offre existante dont on ne pourrait raisonnablement se passer aujourd’hui.
Bon nombre d’entre elles, internationales, exercent dans les règles vertueuses de l’art leur pratique de vente en ligne, tout en respectant les normes et les fondamentaux de la saine concurrence. Y compris la fiscalité.
A contrario, la secrétaire d’Etat a pointé du doigt, sans toutefois les désigner de manière précise, celles qui cassent les prix et envahissent le marché de produits issus de la contrefaçon.
Or, face aux difficultés de trésorerie observées depuis plusieurs semaines par les boutiques traditionnelles, la représentante de l’Etat n’hésite pas à froncer les sourcils.
Il est désormais nécessaire de revoir la copie de l’activité commerce en France, en privilégiant les échoppes de quartier et les enseignes de proximité.
Etre responsable dans ses actes d’achat…
S’interrogeant ensuite sur la véritable création de valeurs offertes par les plateformes numériques, Agnès PANNIER-RUNACHER a insisté sur la responsabilité de chacun par rapport à cette thématique insidieuse qui plombe le chiffre d’affaires de ces commerces.
Las, le phénomène inopportun des « Gilets jaunes », à quelques semaines des fêtes de fin d’année, aura eu un impact néfaste et considérable sur la trésorerie de nombreuses boutiques. D’où l’insistance de la ministre qui devait clore ce chapitre en invitant à aller consommer chez le petit commerçant de quartier.
« Moi-même, précisa-t-elle, j’achète mes livres uniquement chez mon libraire…Il faut être en accord avec ce que l’on préconise… ».
Des facilités de paiement comme pistes d’accompagnement…
Constatant que la situation financière des petits commerces frisait à ce jour la correctionnelle, Agnès PANNIER-RUNACHER a assuré que la question des facilités de paiement et des couvertures assurantielles serait inscrite à l’ordre du jour des futures consultations territoriales.
Dans l’Yonne, à l’instar des autres départements, ce serait les édiles des communes qui porteraient le flambeau créatif de ces initiatives populaires, auxquelles se rallieraient les députés et sénateurs, les représentants consulaires et les milieux économiques.
« Parmi l’ensemble des diagnostics émis par les Français, il existera certainement des solutions locales qui seront adoptées uniquement sur leur territoire originel, ajouta la ministre.
Enfin, parmi les thèmes qui devraient structurer ces prochains débats, ceux concernant la transition énergétique, la participation citoyenne, la refonte de la fiscalité ou la réorganisation des services publics seront prépondérants.
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DRTP développe le terrassement de précision à l’aide du nouveau véhicule IVECO 8X4 TRIDEM « aspirant »…
décembre 12, 2018S’inspirant de principes technologiques utilisés pour les aspirateurs industriels, la gamme de poids lourd « IVECO 8X4 TRIDEM » se destine à la réalisation de terrassements par aspiration. Rares sont aujourd’hui les entreprises positionnées sur ce segment d’activité qui en possèdent un spécimen. Pourtant, l’apport de ce processus innovant est multiple pour ses utilisateurs. Procédé s’inscrivant dans la droite ligne du développement durable et de la sécurisation des chantiers, l’emploi de cette typologie de poids lourd fournit une palette d’avantages éclectiques dont bénéficie depuis le 06 décembre dernier la société « DRTP », structure entrepreneuriale de Saint-Florentin, qui vient de faire l’acquisition de son premier exemplaire…
SAINT-FLORENTIN : Préservation des réseaux enterrés existants, réduction significative de la durée des travaux, protection des racines, sources nourricières naturelles des végétaux…la liste des bénéfices offerts par l’emploi de ce véhicule IVECO hors norme est loin d’être exhaustive.
Depuis quelques jours, le personnel de l’entreprise DRTP (DUBOST Réseaux Travaux Publics) apprécie les multiples avantages de ce poids lourd, nouvelle génération, qui offre un particularisme étonnant : une fonction « aspirante ».
A l’aide d’un tuyau flexible de 250 mm de diamètre, les déblais sont ainsi aspirés avec une relative aisance par les opérateurs sur les chantiers, avant qu’ils ne se déposent directement dans la benne prévue à cet effet pour y être évacués.
Outre le gain de temps indiscutable pour l’entrepreneur, la sécurité s’en trouve considérablement optimisée : le personnel d’exécution n’ayant plus besoin de descendre dans la tranchée. Ce processus technique lui garantit de facto la propreté de ses chantiers !
Le premier véhicule, d’une plus longue série d’acquisitions…
Spécialiste des interventions visant à installer l’éclairage public, la pose de canalisations et de réseaux (électricité, gaz, eau potable, télécommunication,…), DRTP a trouvé avec l’achat de ce nouveau véhicule un précieux auxiliaire pour conforter la qualité de ses services et de ses prestations parmi son environnement professionnel.
Disposant d’une flotte de poids lourds, forte d’une trentaine de véhicules à l’estampille du constructeur IVECO, la PME de Saint-Florentin n’a pas hésité à investir une enveloppe budgétaire de 450 000 euros pour acquérir ce modèle unique en son genre.
Précurseur en la matière en Bourgogne Franche-Comté, et soucieux de la protection environnementale, son PDG Eric CHARTON a été séduit par les qualités techniques offertes par cet engin. Propulsant plus de 500 chevaux, le nouvel « IVECO 8x4 TRIDEM » ne devrait pas être le seul à rejoindre la panoplie de ces véhicules motorisés dans l’entreprise. Le dirigeant de DRTP envisage d’autres acquisitions à moyenne échéance pour doter les différentes agences que compte la structure en France. Plus précisément, dans l’Aisne, à proximité de Laon. Mais, aussi en terre champenoise, près d’Epernay et dans l’Ain, à Trévoux.
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DOMANYS : le plan d’amélioration de l’habitat social fleure bon la reprise économique pour les artisans du bâtiment…
décembre 12, 2018Créateur de valeur auprès des territoires de l’Yonne et de ses résidents, l’office public de l’habitat DOMANYS a dévoilé la configuration détaillée de son plan stratégique de patrimoine, mis en exergue au cours de ces futures deux années. Devant un parterre d’entrepreneurs du bâtiment et de représentants institutionnels, et en présence du président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD, le premier bailleur social du département bourguignon a, par le biais de sa directrice générale, Karine LASCOLS, évoqué le vaste programme de constructions, réhabilitations et rénovations, prévu dans cet intervalle temporel. Des chantiers qui représenteront une manne providentielle pour les artisans du bâtiment…
AUXERRE : Répondre aux besoins des Icaunais et des territoires en matière de logement et de services associés : telle est l’ambition vertueuse de la deuxième entreprise de services de l’Yonne.
Face aux artisans de la filière du bâtiment, très attentif à la présentation du jour, la directrice générale de l’organisme, Karine LASCOLS, évoqua le rôle stratégique de DOMANYS dans l’univers du logement social, aujourd’hui en grande mutation.
Acteur territorial de proximité, DOMANYS possède de sérieuses ambitions. Celles de tenir le rôle d’un partenaire social de confiance, soucieux des enjeux environnementaux, sociétaux et économiques.
Dans ce domaine, l’organisme demeure un pourvoyeur incontestable d’emplois, accueillant près de deux cents collaborateurs parmi ses quatre vitrines réparties équitablement sur le territoire départemental.
Chantre de l’habitat « responsable », DOMANYS a donc expliqué avec moult détails le copieux programme de développement de projets, qui compose l’ossature factuelle du Plan stratégique de patrimoine (PSP).
Premier bailleur social à avoir pu bénéficier de la certification « Qualibail » en Bourgogne Franche-Comté (un label de référence national reconnu au niveau de la qualité des services), DOMANYS ne lésine pas sur les projets de constructions, de réhabilitations et de rénovations sur le double exercice 2019/2020. L’un de ses dirigeants, Wilfrid BELLEVILLE, aura eu tout le loisir, slides à l’appui, de décortiquer les lignes directrices et les applications de ces multiples chantiers qui permettront in fine de proposer des logements de qualité à loyer modéré aux familles à revenus modestes.
Agir en faveur de l’amélioration et la qualité résidentielle…
Révisé de façon régulière, le Plan stratégique de patrimoine a été enclenché dès 2016 dans l’Yonne. Il court jusqu’en 2024. Nécessitant une enveloppe globale de 130 millions d’euros, il concerne la réhabilitation de 1 635 logements existants, privilégie l’édification de 270 logements neufs, mais aussi la démolition de 321 édifices, jugés vétustes.
Le volet de la construction représente une articulation majeure de son champ applicatif. Après une longue période d’incertitude, inhérente aux réalités de la conjoncture économique, la construction connaît une phase de regain positive. Ses dossiers s’instruisent en amont avec le concours de partenaires essentiels dans la réécriture des programmes de l’habitat, à l’instar de l’Association des paralysés de France ou des services techniques du SDIS (Service départemental d’incendie et de secours).
Pléthore de projets constructifs se rattachent à notre territoire. Trente logements, imaginés en conception réalisation, devraient être réalisés d’ici le terme de 2019 pour une enveloppe de 3,5 millions d’euros à Auxerre. Citons pêle-mêle, le projet de résidence sociale COALIA, avec sa trentaine de logements (4,3 millions d’euros) livrés d’ici 2020, toujours dans le chef-lieu du département.
Parmi les exemples des futures réalisations en périphérie ou dans d’autres villes de l’Yonne, citons la conception de dix logements, sous la forme de maisons individuelles à Charbuy (fin 2019 pour 1,3 million d’euros d’investissement), la réalisation de trois logements (valeur de 438 000 euros) à Saint-Moré, six habitats individuels à Saint-Florentin (enveloppe de 876 000 euros), vingt-et-un logements construits à Chevannes, avec le particularisme d’y adjoindre des services à la personne pour 3 millions d’euros ou encore à Migennes, l’acquisition amélioration de onze logements (valeur à 1,6 million d’euros).Soit un total de 111 logements qui occasionnent plus de 15,2 millions de travaux.
Vingt-deux millions d’euros engagés dans les programmes de réhabilitation
Ce sont près de 700 logements qui seront impactés par les travaux de réhabilitation dans le plan stratégique de patrimoine à deux ans. L’amélioration du cadre de vie mais aussi la transition énergétique par le prisme de la recherche de performances consuméristes constitueront le socle de ces chantiers, dispatchés aux quatre coins du territoire.
DOMANYS s’emploiera à réaliser cet objectif à Avallon (plusieurs programmes comprenant près de 150 logements, avec l’enlèvement de l’amiante, pour un équivalent de 3,9 millions d’euros), Chablis (52 logements réhabilités pour deux millions d’euros), Joigny (104 logements pour 3,6 millions d’euros). Plusieurs opérations seront menées à Migennes (165 logements pour environ une enveloppe financière de 5 millions d’euros), à Paron (30 logements pour un million d’euros).
S’ajoutent à cet inventaire à la Prévert les communes de Pont-sur-Yonne (64 logements pour 1,4 million d’euros), Saint-Julien du Sault, Sens, Toucy ou encore Villeneuve sur Yonne.
Quant aux gros travaux d’investissement (ils se rapportent à l’isolation, la couverture, la VRD), ils sont évalués à 5,6 millions d’euros pour l’exercice 2019 et à 3,8 millions d’euros l’année suivante. Enfin, a contrario, aucun programme de démolition n’est prévu avant 2021.
Soucieux de la qualité environnementale, les responsables de DOMANYS ont procédé à des rappels à l’ordre indispensables à la sécurisation des chantiers et au respect de la protection de la flore et de la faune sauvage. Des messages qui ont été assimilés par les artisans du cru, qui peuvent se préparer d’ores et déjà à candidater pour obtenir un ou plusieurs lots sur les futurs projets 2019/2020.
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