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« Jean-Pierre, lui et moi » : l’artiste Thierry COMBE dévoile son petit monde de tendresse et d’émotion…
mai 07, 2019Cette prise de parole théâtrale est un portrait sensible d’un « petit grand-frère » handicapé. Incarnant plus d'une dizaine de personnages, Thierry COMBE retraverse avec son auditoire tout un panel de situations vécues (ou non...), parfois loufoques, tantôt tendres, graves ou injustes...De l’émotion et de la pertinence à revendre…
AUXERRE : Si le sujet peut paraître grave et délicat, l'artiste l'aborde avec un mélange détonant d’humour brut, de pudeur et de finesse. Jouant avec liberté de la limite entre fiction et réalité, il amuse, émeut et nous questionne sur la part de hasard qui guide nos vies.
Pour ce nouveau projet après sa précédente réalisation, « Léon », Thierry COMBE accompagne le spectateur à la rencontre d'un personnage proprement « extra-ordinaire », qui n'est autre que son frère Jean-Pierre.
Avant de devenir auteur, comédien et metteur en scène, l’artiste a parcouru le monde. Il y a exercé plusieurs métiers et a même failli exercer celui de facteur ! Un cheminement atypique, en vérité.
Au sein du Pocket Théâtre, un lieu nomade qui s'accommode aussi bien des espaces ouverts que des salles de spectacle, pourvu qu'on puisse y planter une palissade circulaire, Thierry COMBE invite à l’occasion le public sur la scène. Sa forme d’écriture est spécifique : il veut être au plus près de l’existence et des gens. Le portrait émouvant que l’artiste nous brosse de ce frère reste tendre et percutant. Admirable…
« Jean-Pierre, lui et moi », par la compagnie Pocket Théâtre
Au théâtre d’Auxerre
mardi 14 mai à 20 h 30
mercredi 15 mai à 19 h 30
jeudi 16 mai à 20 h 30
vendredi 17 mai à 19 h 30
esplanade ou grande salle.
Tout public.
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Européennes : les tendances électorales seraient-elles influencées par la peste pour choisir le choléra ?
mai 06, 2019Les sondages (la peste) claironnent en disant que les populistes, c’est-à-dire le Rassemblement national (le choléra), gagneront les élections européennes. Pourquoi qualifier les sondages de « peste » ? Parce que « nous n’en mourons pas tous », comme l’écrivait si bien Jean de La Fontaine, « mais nous en sommes tous atteints… ». Cette épidémie insidieuse nous envahit au quotidien de manière lancinante via tous les canaux médiatiques. Serait-ce pour influencer nos décisions ? Pourquoi, alors qualifions-nous les populistes de « choléra » ? Parce que ces mêmes canaux qui ont une fâcheuse tendance à nous influencer, le répètent à longueur de journée, en boucle…
TRIBUNE : Depuis maintenant plusieurs semaines, et de façon invariable, les sondages indiquent que le Rassemblement national devrait remporter le prochain scrutin électoral, celui des élections européennes. Qu’est-ce que cela veut dire, gagner ces échéances ? Cela signifie que le vainqueur de ce scrutin aux enjeux continentaux sera le parti qui obtiendra le plus de suffrage en France. A l’heure où se rédigent ces lignes, la tendance indiquée par les instituts qui tâtent notre pouls pour en connaître le moindre soubresaut est de 24 %.
Étant donné que moins de 50 % de nos concitoyens se rendront devant les urnes, le score du RN ne représentera donc in fine que 12 % des électeurs. On ne peut pas parler décemment de raz-de-marée notoire !
Néanmoins, et c’est ennuyeux pour celles et ceux qui croient encore aux vertus de l’Europe. Parce que, et toujours selon les sondages, le parti au pouvoir depuis bientôt deux ans, la République En Marche, risque de n’obtenir que 22 % des intentions de vote.
Cette prévision, si elle devait se confirmer dans les semaines à venir, constituerait une gifle incommensurable pour le mouvement politique instauré par le chef de l’Etat.
L’humiliation serait à son comble pour celles et ceux qui se considèrent comme intellectuellement et moralement sains en y étant adhérent, si c’était une formation politique, ouvertement anti-européenne qui enverrait à Strasbourg le plus grand nombre de députés.
Une affaire encore sous le sceau de la présomption d’innocence…
Selon le principe et le respect d’une équité intellectuelle et démocratique, ce n’est pas cela qui peut gêner le plus aux entournures dans cette affaire, quoique...Même si on parle de plus en plus d’une hausse de la proportionnelle…
Ce qui serait très grave, en revanche, au niveau de l’éthique, ce serait de sanctifier la victoire éclatante de l’ancien Front national qui demeure toujours sous le coup d’une procédure judiciaire. D’ailleurs, référons-nous aux nombreuses publications qui parsèment l’univers du multimédia depuis plusieurs mois à ce propos.
Que peut-on y lire précisément ?
Grâce à un simple clic sur leur ordinateur, les Français peuvent avoir accès à des développements très pertinents sur ce sujet aux contours ténébreux. Par exemple, ce qui suit :
« L’affaire des assistants parlementaires du Front national au Parlement européen est politique et judiciaire. Elle porte sur des soupçons d’emplois fictifs qui concernent les assistants parlementaires des députés européens du parti français, dénommé depuis le 01er juin 2018, le Rassemblement national. Cette affaire débute en 2014 et continue durant la campagne pour l’élection présidentielle française de 2017… ».
Un peu plus loin, et sur une registre similaire, on peut toujours lire à propos de cette même histoire les points suivants :
« Les députés sont soupçonnés d’avoir employé ces assistants pour servir les intérêts de leur parti sans travailler réellement sur les dossiers européens. Dans le cas où ces accusations seraient fondées, cela correspondrait à des emplois fictifs financés par le contribuable européen, et constituerait un délit représentant un préjudice évalué entre 5 millions d’euros (entre 2012 et 2017) et 7,5 millions d’euros entre 2010 et 2016… ».
En son âme et conscience au fond de l’isoloir…
Bref, à la lecture de ces lignes qui circulent sur la toile (cf : WIKIPEDIA), une certaine gêne ne peut qu’envahir l’esprit éveillé et attentif des électeurs que nous sommes.
Que le Rassemblement national, sous le coup d’une procédure judiciaire pour une affaire qui relève du délit, devienne de facto le parti politique de référence français au Parlement européen serait un signe ostentatoire du délabrement significatif de l’institution.
Certes, me direz-vous, il y a la classique présomption d’innocence. Tant que l’affaire n’a pas été jugée. Mais, chacun connaît dans son for intérieur la ritournelle. Une fois jugée en première instance, elle pourra faire l’objet d’une procédure d’appel, englobant tous les délais d’usage et arguties multiples qui ne manqueront pas de renvoyer le dossier aux calendes grecques !
Conséquence : lorsque l’affaire sera définitivement jugée, si tant est qu’elle l’est réellement, on en serait déjà à faire campagne pour une nouvelle élection européenne, en 2024, voire en 2029.
Un état des lieux qui décrédibiliserait totalement le Parlement européen aux yeux de nos compatriotes. Déjà peu amènes avec tout ce qui touche de loin ou de près aux institutions européennes dans leur ensemble.
Le fait que cette instance, ô combien capitale pour notre avenir, soit devenue un exutoire de la classe politique française, où l’on recycle celles et ceux qui sont les recalés des suffrages nationaux, ne plaide pas en la faveur de l’organisme unioniste.
Alors, quel espoir pérenne offrira cette Europe où plus de dix millions d’électeurs français en rejettent à la fois sa classe politique dans son ensemble et ses fondements en particulier au soir du 26 mai ?
Eliront-ils au Parlement européen pour les représenter des députés qui sont à la fois eurosceptiques ou viscéralement anti-européens, voire en attente de décisions judiciaires ?
Ou rejoindront-ils les rangs exponentiels de ces adeptes de l’abstention à tout prix ? Dans l’isoloir, tout reste possible : comprenne qui pourra avec la peste et le choléra !
Emmanuel RACINE
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Gil GALASSO, maître d’hôtel doublement couronné : « Les arts de la table et le service constituent notre ADN… ».
mai 06, 2019Professeur de service et accueil à l’école hôtelière de Biarritz, Gil GALASSO possède deux titres distinctifs majeurs qui honorent sa déjà longue carrière. Le dénominateur commun de ces accessits est de les avoir obtenus la même année, en 2009. Meilleur ouvrier de France en qualité de maître d’hôtel, ce docteur en histoire contemporaine et auteur de la première thèse jamais consacrée à sa spécialité possède un titre de gloire universel : celui de champion du monde. Logique qu’il soit l’un des deux garants avec son ami, le MOF Serge GOULAIEFF, de la logistique organisationnelle de ces sélections nationales, proposées pour la première fois en France. Qualificatives pour les Mondiaux de novembre, elles ont été accueillies au lycée hôtelier Vauban…
AUXERRE : L’art et la manière de la découpe à table en France à travers les siècles n’est pas simplement une thèse que notre personnage a soutenu pour décrocher son doctorat à l’université de Bordeaux Montaigne. Cet imposant travail de chercheur, ayant nécessité moult déplacements à la Bibliothèque nationale de France à Paris, représente le chef d’œuvre abouti d’une carrière. De sa réelle passion pour ce noble métier des arts de la table, plutôt méconnu du grand public.
En bon pédagogue professionnel qu’il est (il dispense ses cours à l’école hôtelière de Biarritz), Gil GALASSO en a fait un opus de quatre copieux volumes dont les férus des arts de vivre et autres exégètes de la filière se doivent de posséder parmi leurs références livresques.
Gil GALASSO travaille de concert depuis plusieurs mois avec son camarade Serge GOULAIEFF aux préparatifs de cette pré-sélection nationale. L’idée de réunir le nec plus ultra du métier, soit un panel de huit « artistes » des arts de la table, et de leur faire disputer une série d’épreuves correspond à l’un des objectifs de la structure associative : promouvoir la filière.
Sortir de l’ombre pour entrer dans la lumière…
Composée essentiellement de meilleurs ouvriers de France, l’entité exerce son activité avec obstination et perfectionnisme au service des métiers de la salle.
« Le métier de maître d’hôtel est encore trop peu connu du public, concède-t-il, mais, cela n’a rien d’anormal car cette discrétion constitue l’un des éléments de notre ADN… ».
Il existe une étrange similitude avec ce que fut autrefois la notoriété des chefs dans les années 1970. Peu médiatisés, dans l’ombre discrète et rassurante derrière leur piano, ils ont su se faire violence pour devenir de vraies bêtes de scène de la communication aujourd’hui.
Un passage obligé indiscutable qui a servi à sensibiliser toute une génération de jeunes gens ayant capitalisé dans l’exercice de ce métier.
« Etre maître d’hôtel permet de voyager très facilement aux quatre coins de la planète, poursuit Gil GALASSO, et de faire valoir sa dextérité en négociant un salaire correct. On débute en qualité de commis avant d’être propulsé vers d’autres strates plus rémunératrices : d’abord comme chef de rang, puis en devenant maître d’hôtel, avant de conclure, pourquoi pas, par le titre de directeur de salle. Et ceci entre 25 et 30 ans… ».
Les souvenirs de réunions familiales vécues à table…
Globe-trotter, Gil GALASSO bénéficiera de ce parcours évolutif dès la sortie de l’école hôtelière où il fut diplômé. Expatrié en Afrique, puis à Londres, avant de s’implanter aux Etats-Unis, il aura profité de ces séjours lointains pour s’ouvrir à d’autres cultures et philosophies.
Le retour en France se fera par le prisme de la formation et de l’enseignement. Pas étonnant que ce professionnel ait voulu transmettre les fibres de sa passion grâce à une thèse universitaire.
« L’art de la découpe à table comporte un aspect sociologique important pour beaucoup d’entre nous, argumente-t-il, même si l’approche du service est complexe et date de plusieurs millénaires. Nous gardons tous, parmi des souvenirs enfouis, le partage des aliments synonyme de réunion familiale le dimanche autour d’une volaille…C’est inscrit dans notre ADN ! ».
Il n’est pas étonnant que l’Elysée respecte ces codes de la bienséance séculaire qui forment notre patrimoine lorsque le président de la République reçoit ses hôtes de prestige dans l’un des salons feutrés afin de redorer le blason de l’Etat…
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Le Grand Sénonais s’engage aux côtés de la Chambre de Commerce et d’Industrie au service de l’emploi
mai 05, 2019Geste fort et symbolique se traduisant par la signature d’une convention de partenariat, la Communauté de communes du Grand Sénonais devient la première structure institutionnelle du territoire à soutenir de manière officielle la plateforme POSITIV’EMPLOI, portée par la chambre consulaire de l’Yonne. Un engagement que sa présidente, l’édile de Sens, Marie-Louise FORT, qualifie d’indispensable. Ne serait-ce que pour dynamiser le recrutement des entreprises du territoire et les aider à se développer…
SENS : Fonctionnel depuis la mi-avril, le nouvel outil numérique d’aide au recrutement et à la recherche d’emploi de la Chambre de Commerce et d’Industrie a déjà reçu le soutien d’une communauté de communes. Et pas n’importe laquelle, celle du Grand Sénonais qui accueille bon nombre d’entreprises exerçant leurs activités dans l’Yonne.
Dès son lancement, la C.C. du Grand Sénonais faisait montre d’ouverture envers le concept. En devenant de facto la première EPCI (Etablissement public de coopération communale) à avoir signé une convention de partenariat avec l’organisme consulaire.
Une question de pure logique pour la présidente de l’entité institutionnelle, Marie-Louise FORT : « Nous avons l’ambition de passer un nouveau cap en matière d’emploi. Nous sommes des aménageurs et facilitateurs de projets de développement économique, et pas seulement que des politiques. Ce soutien à cette plateforme est aussi un moyen de valoriser les initiatives favorables à l’essor de nos entreprises… ».
Considérant que l’emploi est à appréhender tel un défi commun, la présidente du Grand Sénonais a salué l’initiative offerte par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Et de son président, Alain PEREZ.
« L’organe consulaire démontre avec ce nouveau projet qu’il est toujours d’une grande nécessité ; il évolue avec le temps au service de la vie économique du territoire. Je ne peux que me réjouir de réfléchir et de travailler à l’optimisation de notre département à leurs côtés… ».
Premier territoire industriel en matière d’emploi dans l’Yonne, le Grand Sénonais et ses 27 localités feront en sorte de relayer les informations sur le mode opératoire de ce site de recherche d’emploi novateur auprès des entrepreneurs et structures recruteuses de leur zone.
« Nous disposons de beaucoup d’atouts industriels mais aussi de zones commerciales importantes sur notre contrée, devait conclure Marie-Louise FORT, nous ferons tout pour que l’Yonne soit enfin reconnue pour ses capacités à avancer... ». Et surtout à réussir...
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Chaque année, la direction des Ressources humaines de l’un des premiers recruteurs privés des départements de l’Aube, de la Côte d’Or, de la Haute-Marne et de l’Yonne puise parmi son vivier de candidats potentiels pour embaucher de nouveaux collaborateurs. Ce fut le cas en 2018 avec 122 recrutements. 2019 ne dérogera pas à la règle. Afin de renouveler, voire de compléter des postes stratégiques dans les agences de proximité et sur les sites administratifs…A vos lettres de candidature !
DIJON (Côte d’Or) : Ambitieuse de coutume, la politique consacrée à l’optimisation des ressources humaines le sera cette année encore au Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne. L’établissement régional se mobilise pour attirer de nouveaux talents dans son escarcelle.
Fort de ses 1 707 collaborateurs, le groupe procédera au cours de ces prochaines semaines à l’accroissement de ses effectifs. Une centaine de postes en CDI figurent, en effet, parmi les propositions d’emploi à occuper dès que possible.
Quant à la palette des métiers, elle est plutôt éclectique. En pleine mutation du fait de la présence maximalisée du digital, le secteur bancaire offre un choix conséquent de métiers. Et pas seulement des postes de conseillers commerciaux.
L’établissement désire étoffer ses fonctions supports, celles du back-office, en dynamisant ses différents services que sont l’audit, le juridique, le marketing, les ressources humaines.
« Travailler au Crédit Agricole, c’est être sûr d’avoir un métier qui évolue au rythme des besoins de la clientèle et d’être formé en conséquence, stipule Patrick SCRO, directeur des ressources humaines et de la communication ».
L’accès à ces diverses fonctions est également facilité par le biais de l’alternance. Elle représente 30 % des recrutements annuels.
« A l’issue de leur période de formation, précise le directeur de la DRH, plus de 60 % des alternants rejoignent nos services avec un contrat à durée indéterminée dans la poche… ».
Le profil des expériences et du comportemental plus que le CV…
Garantissant une évolution de carrière, le Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne applique une politique de rémunération attractive. A ce titre, et selon les sources fournies par le ministère du Travail, la banque occupe, juste après le secteur pharmaceutique, une position privilégiée en matière de salaire. Avec un référent mensuel net moyen de 3 669 euros. Autant dire de précieux éléments à faire valoir pour accueillir les jeunes diplômés ou le bon profil dans ses rangs.
C’est d’ailleurs cet intérêt humain, fait d’expériences et d’analyse du comportement qui prime aujourd’hui dans la politique de recrutement de la Banque verte. Plutôt que le traditionnel CV.
D’ailleurs, la caisse régionale multiplie les initiatives originales, voire parfois décalées, pour trouver la perle rare, par le biais de job-dating, d’escape-game, d’after-school, mais aussi d’entretiens vidéo.
« Nos chargés de recrutement, ajoute Patrick SGRO, mettent tout en œuvre pour faire venir les meilleurs profils dans une véritable relation gagnant/gagnant… ».
Un processus méthodique, forcément profitable pour les deux parties en présence…
Pour en savoir plus sur la politique d’embauches du Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne, un référent multimédia : www.ca-cb.fr/recrutement
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