Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
La nouvelle « carte de visite » de l’Auxerrois fait la part belle à l’anticipation économique…
août 24, 2019Face aux élus communautaires, le président de l’Agglomération de l’Auxerrois Guy FEREZ a présenté ce qui est un indiscutable outil de promotion à la cause du territoire. Quatre mille exemplaires de l’ouvrage « L’Auxerrois : aller à l’essentiel » serviront à la collectivité qui pourra ainsi les distribuer comme support de communication…auprès, entre autres, d’investisseurs et d’entrepreneurs…
SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Enjoué, le président de la Communauté de l’Auxerrois ne feint pas sa satisfaction à l’issue de la cérémonie. Les premiers commentaires glanés çà et là parmi une assistance composée d’élus communautaires et du département, surpris agréablement après la remise de l’ouvrage, l’ont convaincu de la pertinence de ce dossier. Un chantier entamé il y a plus de dix-huit mois.
C’est le temps nécessaire qu’il aura fallu depuis sa genèse pour que le chemin de fer de ce livre « L’Auxerrois : aller à l’essentiel » prenne corps. Et ne se transforme enfin en réalité palpable !
« Dorénavant, glisse-t-il en aparté de notre entretien, notre territoire peut s’enorgueillir de disposer d’un tel document qui en résume toute sa physionomie, ses richesses, son patrimoine et sa convergence identitaire… ».
Car, c’est bien de cela qu’il s’agit en toile de fond. Derrière l’aspect clinquant de cet opus qui s’étale sur plus de deux cents pages.
Raffiné, à la conception moderne dans sa forme et son graphisme, garni de visuels de belle qualité parfois très oniriques et de textes qualitatifs, le document se définit, dans l’esprit de Guy FEREZ, comme un « point d’unité ».
Celui qui relie positivement et en intelligence les relations parfois complexes existantes entre vingt-huit communes qui constituent cette intercommunalité dont il assure aujourd’hui la présidence.
« Transcrire cette unité sur le papier représente une véritable richesse, précise-t-il, elle se nourrit d’un glorieux passé. Mais, un territoire qui ne vivrait qu’en regardant dans un rétroviseur lui renvoyant sa seule splendeur passée serait condamnée à s’étioler peu à peu. Or, aller à l’essentiel, c’est se tourner résolument vers le futur… ».
La place faite à l’économie dans l’ouvrage : nécessaire et stratégique…
De celui-ci, il en est beaucoup question à la lecture de ce livre. Etonnamment, puisqu’un large chapitre, accordé à l’économie, y figure, certes en fin de cahier, mais en bonne place. Curieux, non, de retrouver cet item ?
« Nous devons tous être fiers de ce livre qui est un excellent outil promotionnel pour notre territoire, ajoute Guy FEREZ, nous devons en assurer son rayonnement autour de nous en notre qualité d’élu. La présence du volet économique était indispensable. Si des porteurs de projets optent pour l’Auxerrois, c’est qu’ils ont bien compris que notre territoire offre à la fois de nombreux atouts présents dans les grandes cités : théâtre, cinéma, centre hospitalier, enseignement supérieur, crèches, associations sportives et culturelles, évènements populaires, sans omettre un bouquet de services destiné à l’habitant. C’est pour cela que la Communauté de l’Auxerrois travaille au renforcement de son développement économique via sa nouvelle zone industrielle appropriée… ».
Après Auxerre qui eut droit aux bienfaits de la prose prolifique d’un rédacteur en 2012 et donc l’Auxerrois, dès à présent (le livre sortira toutefois auprès du grand public à la mi-septembre), pourquoi ne pas envisager alors le dernier volet de cette trilogie, celui se rapportant à l’Yonne dans son ensemble ?
« L’idée est excellente, approuve Guy FEREZ, cela permettrait de boucler ce chantier descriptif où il ne faut jamais omettre d’humaniser notre territoire… ».
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
L’Auxerrois se dévoile dans un livre à l’esthétique aboutie : un opus pour mieux sacraliser sa propre identité ?
août 24, 2019Curieusement, il n’existait jusque-là aucun ouvrage relatant les typicités caractéristiques des vingt-huit communes qui composent cet assemblage plutôt hétéroclite que représente l’Auxerrois. Cette carence culturelle sera vite oubliée de manière définitive dès la mi-septembre. Période où sortira un pavé de très belle facture tant au plan esthétique que visuel de 210 pages. L’opus se nomme « L’Auxerrois : aller à l’essentiel ». Il constitue un panorama non exhaustif de tout ce qu’il faut savoir et connaître de cette contrée qui demeure le point névralgique d’un département où il fait bon vivre…
SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Ce n’est pas un vadémécum de plus. Ni une compilation de bonnes adresses qu’il est de bon ton de posséder afin de rester à la page. Pas davantage, un guide à vocation touristique.
Non, dès qu’il feuillette ce volumineux document (un vrai livre au sens noble du terme), le lecteur prend pleinement conscience de la réalité tangible qui se présente à lui.
L’Auxerrois est une contrée de l’Yonne riche, belle, entreprenante et dynamique ! Pour s’en convaincre, il suffit d’égrener la somme d’informations contenues dans ce copieux bouquin. Agrémentées de ses petits appendices qui servent de renvois utiles à la lecture.
Il aura fallu environ dix-huit mois d’un travail besogneux pour composer la trame de cette œuvre scripturale à mettre dans toutes les mains. Celles, cela est une évidence des nouveaux habitants qui poseront leurs valises dans l’une des vingt-huit localités de l’agglomération dès la rentrée. Celles, aussi et par capillarité des touristes en quête d’un « Graal livresque » qui ferait office de précieuse « Bible » où tous les renseignements dévoilés faciliteraient la compréhension de l’endroit qu’ils visitent.
Celles, également de ces professionnels, hommes d’affaires ou commerciaux, venus d’ailleurs, qui arpentent les rues de cette zone de chalandise profitable au développement de leurs business. Enfin, celles des autochtones eux-mêmes, qui bien souvent à l’instar des Versaillais qui n’entravent que couic à la richesse patrimoniale de leur château, faute de l’avoir visité un jour, éprouvent cette irrésistible envie de redécouvrir leur lieu originel et de s’en imprégner.
Une suite logique à l’ouvrage consacré à Auxerre…
On l’aura compris : « L’Auxerrois : aller à l’essentiel » répond par ses diverses strates et chapitres aux besoins scrupuleux de ces publics. Dont, incontestablement, nous faisons partie ! Qui plus est, l’objet offre enfin une identité propre à cette agglomération très disparate dans son approche structurelle entre une ville dominante qu’est la capitale de l’Yonne et une kyrielle de communes périphériques.
Le document finalise le précédent exercice de rédaction, conçu en 2012 qui s’était borné à présenter sous toutes ses coutures la ville d’Auxerre. Un livre qui enregistre toujours quelques ventes parmi le réseau de libraires locaux. Dès septembre, quel accueil sera finalement fait à cette suite logique ?
« L’Auxerrois : aller à l’essentiel », publié par la structure parisienne des Editions du Palais, bénéficiera pour se faire connaître du terreau promotionnel usuel. Celui, des élus communautaires qui ont assisté à la présentation officielle de l’ouvrage à la salle des fêtes de Saint-Bris-le-Vineux, invités par leur président, Guy FEREZ.
Exégète de la communication dans une vie antérieure, l’édile d’Auxerre a d’ailleurs préfacé l’objet de toutes les convoitises de ce mercredi en saluant l’initiative. Rédigeant sur deux pages introductives, la raison d’être, judicieuse, de l’ouvrage.
Un budget d’environ 30 000 euros pour se doter de cet outil promotionnel…
Au plan quantitatif, une dotation de 4 000 exemplaires reviendra à la Communauté d’agglomération. Logique car l’institution s’appuiera sur ce support écrit pour étayer sa propre communication dans les semaines à venir. Mais, celles et ceux qui aimeraient en découvrir davantage de renseignements sur leur territoire de prédilection auront la faculté de pouvoir l’acquérir auprès de leur libraire. Le livre y sera commercialisé au tarif de 24,50 euros.
On ne saurait trop recommander à nos lecteurs de se le procurer dès sa parution. Histoire de rompre le cou, une bonne fois pour toute, aux sempiternelles allusions faisant d’Auxerre est une « belle endormie » où il ne se passerait strictement rien !
L’ultime chapitre, « Investir pour l’avenir », fort de sa trentaine de bonnes feuilles, accrédite plutôt le thème inverse…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Nouveau plan de vol pour EDEIS : l’exploitant aéronautique ajoutera l’aéroport Dole-Jura dans sa besace…
août 24, 2019Spécialiste de la gestion portuaire et aéroportuaire en France, la société EDEIS devrait étoffer son maillage territorial d’ici la fin de l’année, en devenant l’exploitant de l’aéroport franc-comtois à la suite d’un appel d’offres qui lui serait revenu favorable…
DOLE (Jura) : Positionné en qualité de leader de l’exploitation d’aéroports et de l’ingénierie et management d’infrastructures en France, le groupe EDEIS devrait poursuivre ce qui a été brillamment entamé depuis 2016, date de sa création, c’est-à-dire sa croissance exponentielle.
A la tête d’une vingtaine d’aéroports, de treize agences d’ingénierie et de la zone portuaire de Rouen (celle-ci intègre le dispositif HAROPA que connaissent particulièrement bien les gestionnaires de LOGI YONNE ayant à leur charge le devenir du port de GRON près de Sens), EDEIS exploite depuis plus de trois ans désormais l’aéroport d’Auxerre-Branches. Dont l’entité assure le développement économique, via l’essor des vols d’affaires.
Après celui d’Auxerre-Branches et de Dijon, l’aéroport de Dole-Jura, dont les pistes sont situées sur la commune de Tavaux, deviendrait ainsi la troisième structure gérée par l’entreprise en Bourgogne Franche-Comté.
De belles perspectives d’ici 5 ans…
Répondant à un appel d’offres à hauteur de vingt millions d’euros hors TVA, selon nos confrères du Progrès (édition du 22 août), la société EDEIS aurait ainsi décroché la timbale bien que l’information n’ait pas encore été confirmée de manière officielle et par voie de presse par la Chambre de Commerce et d’Industrie du Jura.
Cette dernière assurait la gestion jusque-là de la structure au sein de la Société d’exploitation de l’aéroport, aux côtés de KEOLIS (51 %). Précisons que le complexe aéroportuaire jurassien est détenu par le Conseil départemental du Jura.
EDEIS intervient également à l’international en apportant son savoir-faire et ses services auprès des réseaux insulaires (Mayotte, Saint-Martin) mais aussi sur la péninsule ibérique (Espagne).
Le plan de développement de l’entreprise pilotée par Jean-Luc SCHNOEBELEN prévoit la gestion d’une quarantaine de petits aéroports régionaux d’ici cinq ans. En Europe mais aussi sur le continent africain.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Le déclic tant espéré par les supporters était-il au rendez-vous de la précédente journée. Celle qui a vu l’équipe de Jean-Marc FURLAN recoller aux basques des Bretons de Guingamp en partageant les points. Le destin de ce match a été forcé de très belle manière. En tordant le cou à une défaite assurée après une première mi-temps complexe où le score était en défaveur des Icaunais (0-2). La rencontre en terre auvergnate face au premier du classement de Ligue 2 ne sera pas une promenade de santé ce vendredi soir.
AUXERRE : Un match nul faisant office de victoire ? Après la prestation de ses joueurs face à l’En Avant Guingamp (2-2), le coach auxerrois ne peut se montrer au final que satisfait. De bon augure juste avant de tenter de vaincre le « Puy-de-Dôme » de ce championnat : le Clermont Foot sur ses terres.
Une formation que l’ex-entraîneur de Brest connaît bien. D’autant que de nombreuses analogies existent entre les deux équipes, proches l’une de l’autre en matière de possession et de stratégie.
La prudence demeure toutefois de rigueur. « Nous sommes dans l’observation, précise Jean-Marc FURLAN, la question est simple : quelles sont nos capacités d’adaptation face à ce genre d’adversaire qui possède déjà dix points au compteur alors que notre besace n’en accueille que quatre ? ».
Depuis le début de la saison, Auxerre est confronté à un manque de réussite chronique malgré une domination constante sur le terrain.
« Le travail est la réponse idéale à cette malchance, assure le coach, il n’y a ni scoumoune ni malédiction au-dessus de nos têtes. Transmettre l’enthousiasme et l’envie à mes joueurs est une priorité avant chaque rencontre… ».
Il est encore trop tôt pour se faire une réelle opinion de la méthode FURLAN sur l’équipe. Mais, une chose est sûre : tout cela progresse dans le bon sens.
« Je n’ai pas encore assez de recul vis-à-vis de mon effectif, concède le responsable de la team, mais au vu des CV de certains, je sais qu’ils peuvent faire beaucoup mieux… ».
Ne pas se mettre la pression…
Patient, Jean-Marc FURLAN ne se met pas la pression. Il possède la parfaite maîtrise de l’exercice, lui qui a disputé 300 matches de Ligue 1 en qualité de coach.
« Laissez-moi un peu de temps avant de faire des analyses analytiques, ajoute-t-il, on reparlera de tout çà au bout de quinze journées… ».
Si l’on parle de philosophie de jeu, l’idéal serait de pratiquer une possession du ballon durant les quatre-dix minutes de la partie. Sans trop se livrer et en espérant glaner quelques points de manière éparse.
« C’est totalement utopique dans le milieu du football, affirme-t-il. Souvent la différence de jeu ne se fait pas au niveau de la technique mais bel et bien avec le cerveau. En France, on sépare le corps et l’esprit dans la pratique du sport. Ce qui est une hérésie. Il faut bien au contraire utiliser ses capacités intellectuelles au maximum et prôner l’art du dépassement de soi pour réussir… ».
Gageons que ce raisonnement soit nourri d’efficacité lors de cette cinquième joute du championnat.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
L’excellence reste le credo du CIFA d’Auxerre : la ministre Muriel PENICAUD devrait bientôt en entendre parler !
août 23, 2019L’information devrait bientôt lui arriver aux oreilles sous une huitaine de jours. La ministre du Travail Muriel PENICAUD découvrira alors à distance, et avant pourquoi pas si elle en éprouve le désir un futur déplacement en terre icaunaise, les bienfaits déontologiques et pédagogiques de l’un des centres de formation les plus en pointe de l’Hexagone. Celui du CIFA d’Auxerre. Le tandem à la tête de l’établissement aux mille cents apprentis, le président Michel TONNELLIER et le directeur Marcel FONTBONNE, vient de bénéficier du salvateur coup de pouce du président de la Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et de fabrication (CNAMS) Bernard STALTER. Conquis par ce qu’il a découvert lors de son immersion dans cet antre du savoir, celui-ci a décidé d’endosser le rôle vertueux d’ambassadeur de cette structure où l’excellence se vit et se respire au quotidien pour le plus grand bien des apprentis…
AUXERRE : Bluffé Bernard STALTER ? La réponse positive ne fait pas l’ombre d’un doute ! Et pourtant le président aux multiples casquettes (CNAMS pour Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et de fabrication, UNEC pour Union nationale de la Coiffure et APCMA pour Assemblée permanente des chambres de métiers et de l’artisanat) a pour habitude de rendre des visites de courtoisie régulières à moult établissements répartis un peu partout à travers l’Hexagone.
Enchanté par ce qu’il a vu lors de sa matinée de découverte en terre icaunaise, l’homme fort de l’artisanat français s’est investi d’une nouvelle mission dont il a fait part publiquement à ses hôtes : devenir l’ambassadeur du CIFA de l’Yonne. Et ce en plus haut lieu, vers des strates insoupçonnables !
Prochainement, l’agenda plutôt chargé de l’entrepreneur alsacien à la tête de quatre salons de coiffure lui permettra dans le cadre des négociations liées à la réforme de l’apprentissage de croiser la route de la ministre du Travail, Muriel PENICAUD. « Croyez-moi, assure-t-il, je vais lui relayer ce que j’ai pu constater de visu en ces lieux car le CIFA de l’Yonne fait figure de précurseur en bon nombre de domaines…Il faut donc le faire savoir ! ».
Découverte des pôles névralgiques du centre de formation…
A commencer par cette appétence à la discipline retrouvée dont ont su cultiver avec élégance et maîtrise depuis plusieurs exercices les duettistes de cette belle maison du savoir : Michel TONNELLIER, son président, et Marcel FONTBONNE, le directeur expérimenté, jamais à court d’idées.
Le port de l’uniforme représente précisément l’un de ses traits de civisme et de respect envers autrui qui a ainsi trouvé grâce aux yeux de Bernard STALTER. Ce dernier était accompagné d’une délégation représentative de la filière artisanale de Bourgogne Franche-Comté, forte de dix-sept personnes.
Parmi celles-ci, on notait la présence de Christophe DESMEDT, président de la CNAMS BFC et président de l’U2P BFC, Jean-François LEMAITRE, président de la Chambre des métiers et de l’artisanat de l’Yonne, Emmanuel POYEN, président régional de la chambre des métiers, David MARTIN, délégué national de l’UNEC Dialogue Social ou encore Martine MICHEL, présidente de l’UNEC Yonne.
Accueillis par le président Michel TONNELLIER qui exposa dans une brève allocution les axes stratégiques du centre de formation icaunais, les visiteurs découvrirent plus en détail la physionomie actuelle de ce site éducatif opérationnel depuis 1975.
S’appuyant sur quelques slides explicites, Marcel FONTBONNE déroula ses arguments. Présentant tour à tour les pôles névralgiques des lieux avant que chacun ne les découvre in situ.
L’espace e-learning (il comprend seize postes spécifiques), le laboratoire de langues, le virtual store (le fameux Clic Store que toute la France des CFA nous envie !), les univers esthétiques de la boucherie et de la boulangerie, le salon Emotion, conçu en étroite osmose avec L’OREAL (une première nationale), le City Stade, le restaurant d’application « Com’des Chefs » qui mériterait un Bib gourmand, la création d’une chambre d’hôtel…autant de pièces à conviction fonctionnelles prouvant que la banalisation de l’excellence peut s’envisager à satiété et devenir le cheval de bataille de tout centre de formation vertueux !
Une statue qui résume la déontologie du site…
Devant une telle avalanche démonstrative d’un savoir-faire maîtrisé, comment ne pas s’enthousiasmer alors à la cause de cet apprentissage appréhendé sous ses meilleurs auspices ?
Même le statuaire placé dans l’enceinte principale de l’édifice, fruit de l’imaginaire créatif de Marcel FONTBONNE s’inspirant de l’œuvre atypique de GIACOMETTI (« L’apprenti qui avance croisant le jeune étudiant qui se cherche… ») est en ce sens révélateur de la philosophie qui est inculquée ici !
Une approche éducative qui a su faire ses preuves au fil des ans. Elle a subjugué une délégation régionale et un président national, peu enclins à oublier ce qu’ils ont découvert en si peu de temps…Gageons que tôt ou tard la ministre du Travail, en personne, vienne aussi s’en imprégner !
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99