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La recrudescence des attaques du loup pénalise l’élevage ovin : le préfet Patrice LATRON passe à l’offensive…
juin 18, 2019Trop, c’est trop ! La récente mésaventure vécue par les professionnels de l’élevage ovin sur la localité d’Arthonnay le 09 juin dernier est l’ultime goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Celui d’une saine cohabitation et d’un équilibre nécessaire entre les espèces animales, l’homme et le fruit de sa production professionnelle. Le prédateur si redouté des éleveurs fera donc l’objet d’une surveillance étroite via la mise en place d’une cellule de veille établie dans le cadre du Plan national d’actions sur le loup…
AUXERRE : Les représentants de la famille des « canis lupus » devraient être très inspirés s’ils passaient leur chemin avant de s’aventurer trop loin sur les terres de l’Yonne. Car, dorénavant, ils font partie d’un plan de surveillance drastique qui analysera le moindre de leurs faits et gestes.
La cellule d’observation sera officiellement installée par le préfet Patrice LATRON ce jeudi 20 juin. Son mode opératoire et sa raison d’être feront l’objet d’une explication de texte détaillée devant la presse.
Réponse appropriée aux nombreuses exactions commises depuis plusieurs mois dans le nord et l’est de l’Yonne, cet outil est l’une des préconisations mises en exergue par le PNA 2018/2023, le Plan national d’actions sur le loup et les activités d’élevage.
Le préjudice et les traumatismes subis, à la suite de ces attaques intempestives sur les malheureux agneaux, par les éleveurs ne sont plus supportables. Déjà, il y a de cela quelques mois en arrière, le représentant de l’Etat avait été alerté sur ce fléau tout droit sorti de l’époque moyenâgeuse. Lorsque le loup hantait par sa présence les bois et les campagnes…
Une cellule opérationnelle dès le 20 juin…
Composée de représentants de service de l’Etat, des collectivités, des professions agricoles et forestières, des associations de protection de la nature, mais aussi de l’association départementale des lieutenants de louveterie et de la fédération départementale des chasseurs, cette cellule devra s’honorer de différentes missions.
Outre le suivi du carnivore lors de ses déplacements sur notre territoire, l’organisme devra évaluer les mesures de protection à mettre en œuvre pour protéger les ovins. En cas de situation délicate à gérer : la cellule de veille adoptera un protocole d’action réactif à appliquer selon le cas de figure local. Enfin, charge à elle, également, de diffuser une information transparente et objective auprès du public. Sachant que le loup possède aussi ses ardents défenseurs comme chacun le sait.
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SF3PRO finalise son projet de piste d’entraînement : celle-ci accueillera les stagiaires dès septembre…
juin 18, 2019Structure professionnelle vouée à la formation aux métiers de la sécurité et de la protection rapprochée, SF3PRO passe à la vitesse supérieure. Deux ans à peine après s’être constituée. Accueillie au sein du complexe EURIPOLE, le centre d’affaires en phase exponentielle en termes de croissance, la SAS de Philippe MERCHICA se dote d’une piste d’entraînement flambant neuve qui sera opérationnelle dès septembre. L’achat d’un terrain situé en zone des Vauguillettes auprès de la Communauté du Grand Sénonais devrait très vite s’amortir tant les marchés de cette TPE de service enregistrent de réelles évolutions…
SENS: Spécialiste de la protection physique des personnes, ce que l’on nomme communément la protection rapprochée, SF3PRO prépare un nouvel épisode de sa jeune carrière pourtant bien remplie. L’entité conduite par Philippe MERCHICA profitera d’ici peu des avantages d’une nouvelle infrastructure. Celle-ci devant compléter son siège social : une piste d’entraînement qui est phase terminale d’aménagement en zone des Vauguillettes.
Là, clients nationaux et internationaux de ce prestataire de services auront tout le loisir de s’aguerrir aux ultimes nouveautés en matière de protection. Agrée par le CNAPS, le Conseil national des activités privées de securité, l’entreprise emploie six collaborateurs. Elle multipliera désormais les initiatives en matière d’entraînement. Sur la nouvelle piste bitumée, des exercices de précision et techniques s’y dérouleront.
Une entreprise initialement basée à Paris...
Fondée dans la capitale de l’Hexagone, avec le concours d’un associé, Gilles APPRAHAMIAN, SF3PRO s’appuie sur l’expérience et la qualité professionnelles de free-lance. Nonobstant, l’ensemble de ces formateurs, aguerris aux techniques les plus évolutives de la protection, sont issues de la filière sécurité. Parfois, ce sont d’anciens policiers en reconversion.
Soutenu financièrement par la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté, le centre de formation supportera in fine un investissement d’environ 150 000 euros pour rendre conforme sa piste d’entraînement à ses objectifs. Un site ô combien névralgique, désormais, servant à assurer le développement de la SAS.
Déclinant des offres cousues main aux besoins toujours renouvelés du marché, SF3PRO développe des prestations proches des entreprises et collectivités. Celles qui ont des attentes spécifiques pour leurs agents de protection en matière d’innovation pédagogique.
Ainsi, le plateau formatif du Sénonais, officialisé en septembre, recevra des stages d’une durée appréciable à l’instar du CQP (Certificat de qualification professionnelle), propre aux métiers d’agents de la protection physique.
Outre le renouvellement des cartes professionnelles des agents déjà assermentés, l’entreprise de Philippe MERCHICA programme d’autres activités techniques : comme la sensibilisation au métier de conducteur de sécurité.
« On a développé également la gestion des risques et des conflits, notamment ceux liés à la menace terroriste, confie-t-il, et ce grâce à des modules spécifiques qui ont forgé notre savoir-faire…. ».
Et surtout la réputation d’une entreprise qui voit la sienne dépasser largement nos frontières…
Un article réalisé en partenariat
avec la Communauté du Grand Sénonais et la Ville de Sens…
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Parmi les interrogations ouvertes suggérées par ce grand questionnaire, élaboré par les élus de l’opposition à la municipalité, l’une d’entre elles n’aura pas manqué de surprendre les personnes sondées. Plus qu’une simple question, il s’agissait plutôt d’un exercice de style imaginatif où le panel de citoyens consultés devait esquisser en quelques lignes les caractéristiques propres à l’élu idéal de leur choix…
AUXERRE : Pour 53,63 % des personnes ayant répondu à cette enquête d’opinion, le profil type du futur maire est le suivant. Elles l’espèrent issue du secteur privé, sans se soucier plus particulièrement de son sexe, et qu’il ou qu’elle soit situé(e) dans une tranche d’âge, comprise entre 35 et 55 ans…
Un enseignement judicieux et peut-être révélateur de ce que souhaitent véritablement les Auxerrois. Ceux-ci devront s’exprimer dans les urnes lors du prochain scrutin municipal prévu au printemps 2020.
Ce portrait-robot, certes un peu liminaire et simpliste, suffit-il en l’état pour identifier de manière catégorique l’une ou l’un des futurs prétendants à la succession de l’actuel édile, Guy FEREZ ? Ce serait sans doute aller trop vite en besogne, convenez-en !
« Je suis mal placé pour émettre un avis… »
Toutefois, présent lors de la restitution de ces informations faite au public, le candidat des Républicains et du centre droit Crescent MARAULT a réagi à brûle-pourpoint à la question que nous n’avons pas manqué de lui poser devant ces quelques bribes identitaires définissant l’élu idéal.
« Le profil type du candidat me correspond-il ? Je suis mal placé pour émettre un quelconque avis à la suite de la présentation de ce portrait-robot… ». Une courte répartie assurée avec un large sourire, il est vrai !
Respectant une réserve qui lui est propre, le candidat de la droite traditionnelle intègre néanmoins les cases initiales de cette mini-esquisse. Agé d’une quarantaine d’années, lui-même dirigeant d’entreprise, Crescent MARAULT possède sans qu’il veuille l’affirmer les caractéristiques identitaires qui semblent être liées aux desiderata d’une petite frange de la population locale.
La moitié des six cents personnes qui ont répondu à cette enquête et apporté leur avis sur ce point crucial du questionnaire. De quoi lui fournir déjà de précieuses indications sur la tendance actuelle !
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La France est à la traîne sur le temps de travail : faut-il éradiquer les ponts pour remettre du cœur à l’ouvrage ?
juin 17, 2019« Travailler plus pour gagner plus…». La rhétorique fit sensation sous la gouvernance du président Nicolas SARKOZY. Mais, le Premier ministre initial de l’ère MITTERRAND, Pierre MAUROY, nous asséna dès 1981 qu’il était beaucoup plus sage de travailler moins. En aménageant par exemple le temps de travail. Il fut alors amputé d’une heure symbolique, passant de 40 à 39 heures hebdomadaires. Avant que ne s’engouffrent dans la brèche Martine AUBRY et Lionel JOSPIN. Tous deux optèrent pour une diminution plus drastique de la durée du labeur en France. Ainsi naquirent les incontournables 35 heures dont tout le monde se fit écho autour de nous mais que personne n’adopta jamais dans les pays occidentaux ! Peut-être, entendrons-nous bientôt fleurir à nos oreilles la formule suivante : « Travailler moins et gagner plus »...
TRIBUNE : Aujourd’hui, nous avons maintenu la semaine de 35 heures. Toutes les statistiques le confirment : nous sommes le peuple où l’on travaille le moins en Europe et où le chômage est le plus élevé. Dont acte.
Donc qui va travailler plus ? Là encore, l’égalité ne règne pas.
La Cour des Comptes pointe régulièrement du doigt les abus que l’on trouve parmi certains organismes publics, parapublics et autres sur le plan du temps de travail. Il y a quelques années, Zoé SHEPARD, fonctionnaire d’une administration régionale, écrivit un livre au titre provocateur : « Absolument débordée !».
Elle décrivait le rythme de travail dans l’administration de la région où elle avait la chance, sinon de travailler, du moins d’être présente et de toucher un salaire à la fin du mois.
Évidemment, ce livre connu un relatif succès et fut à l’origine d’un profond scandale. Que pensez-vous qu’il arriva ?
Après sa publication, on aurait pu penser que les présidents de Région se seraient réunis pour faire effectuer un audit sur le travail dans leur administration respective. Afin de prendre les mesures qui s’imposaient pour valoriser une productivité quelque peu désastreuse. Ne rêvez pas !
L’auteure de l’ouvrage fut mise à pied pendant quelques mois. Souvenons-nous que Guy BEART chantait en son temps : « Il a dit la vérité, il faut l’exécuter… ».
Le mot « égalité » serait-il hermétique à une application dans le travail…
L’émission « Capital » a dénoncé les formidables inégalités de situation qui règnent entre des employés qui effectuent le même travail. Suivant qu’ils fassent partie d’une grande structure ou bien qu’ils soient employés d’une TPE, voire d’une structure indépendante. Le mot « égalité » qui, en France, est écrit sur tous les bâtiments publics et apposés sur tous les documents administratifs demeure, et on ne peut que le déplorer, vide de sens.
Pour travailler plus, je préconise une solution simple et facile. Mais, pour cela, voyons comment est rythmée la vie des hommes et des entreprises en France. Le début de l’année n’est pas le 01er janvier mais bel et bien le 01er septembre après la longue trêve estivale. A la rentrée, la France se remet péniblement au travail. Mais, moins de deux mois plus tard, ce sont déjà les vacances d’automne. Début novembre, la tâche reprend doucement mais, attention, à partir du 15 décembre, les fêtes de fin d’année se profilent à l’horizon. On entend alors cette antienne : « on verra ça, après les fêtes !». Pathétique !
Tirer un trait définitif sur les ponts serait souhaitable…
Début janvier, une fois passée la trêve des confiseurs, c’est le retour au boulot. Sans conviction, aucune. Arrivent ensuite les congés de février. On repart tant bien que mal. Mais attention, les fêtes de Pâques se manifestent avec les absences habituelles, une fois de plus, liées aux zones géographiques. C’est une pagaille sans fin pour toutes les strates de l’économie française.
Puis, « le Grand Cirque national » recommence : ce sont les jours fériés innombrables avec ponts et viaducs à profusion. Enfin, en bout de course, la mi-juin réveille en nous d’insondables envies qui refont surface : l’été est là !
La période qui court d’avril à septembre constitue un vrai désastre économique. Les vacances et les ponts s’incrustent dans les esprits, cassant le rythme indispensable pour conserver l’efficience professionnelle.
Ce que je préconise ne coûte rien. Cela n’exige aucun sacrifice des Français. Mieux, cela pourrait rapporter gros à qui veut l’entendre ! Il faut tirer un trait définitif sur les ponts sans supprimer les jours de congés.
La fête du Travail ne tomberait plus le 01er mai mais le premier lundi de mai. Puis, comme l’avait pratiqué le président Giscard d’Estaing, sans que personne n’y trouve à redire, l’anniversaire de l’Armistice de la dernière guerre, le 08 mai, serait supprimé.
Si l’on a peur d’un mouvement contestataire de « Gilets tricolores », on appliquerait alors la règle à l’instar du 01ermai. C’est-à-dire que ce serait le deuxième lundi de mai et l’on appellerait cela la fête de la réconciliation franco-allemande. Le jour férié de l’Ascension serait déplacé au vendredi. Il ne serait plus figé de manière systématique dans le calendrier, un jeudi. Il suffirait d’une entente tacite avec le Vatican pour que ce principe puisse s’animer. D’ailleurs, qui connaît encore en France la signification exacte de l’Ascension ?
Enfin, puisque le lundi de Pentecôte a été supprimé de manière ambigüe, engendrant un flottement caractéristique dans les entreprises, faisons en sorte que ce jour-là ne soit plus un jour férié pour tous les Français. Fonctionnant à géométrie variable, son application représente une véritable absurdité pour le commun des mortels qui essaient d’y voir clair !
Espérons que tôt ou tard la bien-pensance du grand think tank gouvernemental que représente « France Stratégie », puisse apporter des réponses concrètes sur un sujet qui divise et concerne les Français…
Emmanuel RACINE
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Le séculaire château de Puisaye Forterre a bénéficié de l’extrême générosité d’un mécène privé dans le cadre de la reconstitution de la chambre à coucher de l’illustre pensionnaire de ce haut lieu du tourisme régional. Partenaire inféodé à la sauvegarde et à l’embellissement du patrimoine historique et culturel sur son territoire, soit quatorze départements, l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire a injecté une enveloppe de 80 000 euros à la réalisation de ces travaux…Ancrant un peu plus sa présence territoriale.
SAINT-FARGEAU : L’instant se veut solennel. Il se vit juste à l’entrée de la pièce, une chambre à coucher, objet de toutes les convoitises du jour. Sous le feu nourri des crépitements photographiques, il est fixé à jamais parmi l’éternité immuable du temps.
Comme le joli portrait de la Grande Mademoiselle qui orne cet espace enchanteur, dont on honore aujourd’hui grâce à ce geste symbolique le poids historique à travers les siècles.
Elle, la malheureuse cousine de l’intransigeant Louis XIV, qui se vit privée d’un mariage d’amour avec le romanesque Monsieur de LAUZUN ; le duc payant au prix fort durant une décade cet hymen à jamais refusé par le roi Soleil dans la geôle de la sombre forteresse de PIGNEROL située dans le piémont turinois.
Un sinistre édifice où furent emprisonnés avec la même détermination royale le mystérieux « Homme au Masque de fer » ou l’intendant FOUQUET…
Intègrent-ils ces éléments en parfaite conscience les auteurs de ce moment de grâce lorsqu’ils découpent le ruban jaune qui officialise par la voie du protocole la phase inaugurale de la reconstitution de la chambre de la duchesse de Montpensier, Anne-Marie Louise d’Orléans ?
Ce geste cérémonial exhume en effet à notre bon souvenir la mémoire vive de l’illustre pensionnaire de ce château de Puisaye, devenu entre-temps un haut lieu du tourisme régional (35 000 visiteurs à l’année), où elle s’installa en novembre 1652, exclue de la cour par la seule volonté du roi de France…
Les largesses d’un mécène imprégné de culture et de valeurs patrimoniales…
Entièrement détruits lors d’un incendie survenu en 1752 et qui endommagea le bâtiment, les appartements de la Grande Mademoiselle et leur reconstitution sont l’œuvre de toute une existence. Celle de l’actuel propriétaire. Michel GUYOT, un personnage au charisme incroyable et qui œuvre depuis tant d’années, aux côtés de son frère, Jacques, pour redonner la vie à ces joyaux du patrimoine national.
Il aura fallu une simple rencontre fortuite avec l’une des clés de voûte d’un investisseur privé pour que naisse l’ambitieux et incroyable projet. Lors de ce contact initial qui ne fut pas imputable au pur hasard, Philippe RENOUX présidait encore la Fédération départementale des caisses locales de l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris Val-de-Loire, dans l’Yonne.
Une entité solidement ancrée dans sa zone de prédilection territoriale. S’octroyant, de temps à autre, l’excellente opportunité de pouvoir insuffler un air nouveau par le prisme du mécénat lorsqu’il s’agit de valoriser les pépites de notre patrimoine.
Le château de Monte-Cristo, lieu de résidence de l’écrivain romanesque Alexandre DUMAS dans les Yvelines à Port-Marly, a pu, entre autre, bénéficier des largesses inhérentes à la générosité de ce groupe. Une décision qui fut validée unanimement par l’organigramme collégial de la structure mutualiste, à savoir son Conseil d’administration et la direction générale.
Comme ce fut le cas présentement dans l’Yonne. Après ce coup de cœur réservé à cet endroit cher à Jean d’ORMESSON, à la suite d’une visite privée qui fut organisée de fond en comble en avril 2018.
Il est donc légitime de retrouver parmi les officiels de la cérémonie protocolaire de cette découpe de ruban, le président du Conseil d’administration Daniel COLLAY aux côtés du directeur général, Eric GELPE. Les deux dirigeants ont eu la courtoisie d’y associer également le successeur de Philippe RENOUX, le chef d’entreprise du monde agricole, Pascal MAUPOIS, nommé en 2018, à cet événement.
Pour que vive à jamais le souvenir de la Grande Mademoiselle à travers les années…
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